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Revue de presse achats (semaine du 3 au 7 septembre)

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Revue de presse achats (semaine du 3 au 7 septembre)

La rédaction vous propose une sélection d'articles parus cette semaine sur le Web qui vous intéresseront probablement car ayant trait aux achats privés et publics, à la supply, à la RSE, entre autres, mais aussi aux RH et au management. Bonne lecture!

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Carambar revient, ce n'est pas une blague

Carambar & Co, qui produit également Malabar, Mi-Cho-Ko..., veut contrer le géant allemand Haribo en misant sur le made in France. Histoire d'une reconquête. Pas très loin de la mairie de Marcq-en Baroeul, banlieue cossue de Lille, se cache une usine de briques rouges où l'on fabrique depuis 1954 une friandise que tous les Français connaissent, le Carambar, cette fameuse petite barre de caramel chocolaté. Des cuves en cuivre patinées par les ans s'échappent des coulées de caramel de plusieurs mètres qui échouent dans des machines d'où elles ressortent en fils qui, découpés et "papillotés" à toute allure, finissent dans des bacs de toutes les couleurs. Chaque jour, 7 millions de Carambar sont produits ici. >>Lire l'article complet sur le site Le Point

Relation commerciale : quand une rupture la requalifie en licenciement abusif

Lorsque l'entreprise s'adresse à un prestataire dont elle est l'un des principaux clients, mieux vaut ne pas donner d'ordre et échanger sur un pied d'égalité. Le prestataire doit toujours avoir le choix de répondre oui ou non à une question et d'être libre par exemple d'organiser sa journée. Sans imposer des horaires de travail, le client peut fixer des heures d'intervention. Il peut aussi interroger le prestataire sur ses dates de congés pour connaître de ses disponibilités. "Pour éviter que certaines personnes au sein de la société cliente ne se comportent vis-à-vis du prestataire comme s'il était salarié, en lui donnant notamment des instructions à l'instar de celles qui seraient données à un salarié, il est important que les interlocuteurs au sein de l'entreprise soient tenus informés du statut du prestataire de sorte qu'il n'y ait aucune confusion", ajoute l'avocate. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, la dépendance économique du prestataire n'est pas un critère absolu de requalification. "Les juges considèrent que c'est le choix du prestataire que d'avoir un seul client et non une situation imposée par l'entreprise. Mais cela peut tout de même être un élément de contexte qui peut être retenu à l'appui de d'autres", précise Claire Fougea. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Safran versera 280 millions de dollars à Dassault dans l'affaire du moteur Silvercrest pour le Falcon 5X

En abandonnant le programme d'avion Falcon 5X et le contrat du moteur Silvercrest qui devait l'équiper, Dassault avait infligé en décembre un camouflet à Safran. Les deux entreprises françaises viennent de conclure un accord financier. Jeudi 6 septembre 2018, les entreprises ont annoncé avoir signé "un accord amiable qui met un terme à leur différend". "Dans le cadre de cet accord, Dassault Aviation percevra une indemnité de la part de Safran d'un montant de 280 millions de dollars, les autres conditions commerciales du programme qui étaient applicables au contrat Silvercrest n'étant pas affectées, notamment les contributions en cash déjà versées par Safran, écrivent les entreprises françaises dans un communiqué. Les retards à répétition du motoriste depuis plus de deux ans quant au développement du moteur avaient eu raison de la patience de l'avionneur. Pour autant, ce couac ne met pas un terme définitif à leur collaboration. >> Lire l'article complet sur le site Usine Nouvelle

Altran : l'enquête conclut à un "incident isolé" dans l'affaire de fausses commandes

La découverte de 10 millions de dollars de commandes fictives en juillet dernier a pesé sur le cours de Bourse. La direction du groupe français accusait un salarié de la société Aricent, tout juste rachetée pour 1,7 milliard d'euros. Les faits remontent à avant la prise de contrôle de l'entreprise américaine. Mais ils ravivaient dans les mémoires le mauvais feuilleton du début des années 2000, quand les anciens patrons d'Altran avaient été condamnés par l'autorité des marchés financiers pour avoir truqué les comptes, dans un scandale qualifié de "petit Enron à la française". Qualifié de "transformante" pour le groupe, l'acquisition d'Aricent a néanmoins déjà permis à Altran d'améliorer son résultat opérationnel (+29 % à 135 millions d'euros) mais pèse sur son résultat net (à 9,5 millions d'euros contre 54,7 millions il y a un an). Reste à savoir si Altran pourra renégocier à la baisse le prix d'acquisition en raison de cet "incident isolé". >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Act for food, So Bio... Carrefour entame sa mue vers la "transition alimentaire"

Concernant l'Hexagone, neuf engagements sont pris, parmi lesquels certains sont déjà en grande partie réalisés et d'autres encore en chantier. Le premier concerne par exemple la garantie que 100% des fruits et légumes, de la viande, des oeufs et du lait de la marque Carrefour Bio soient français et accessibles au niveau du prix. Une promesse qui est déjà tenue mais qui s'appliquera au développement de nouvelles références sur cette gamme. Pour y arriver, le groupe travaille sur la conversion des agriculteurs conventionnels avec lesquels il a signé des partenariats dans le cadre de ses filières Qualité Carrefour. Il recrute également de nouveaux producteurs en bio. A l'inverse, le groupe s'engage à proposer un approvisionnement 100 % pêche responsable en 2020 dans ses rayons surgelés et conserves, et un poisson sur deux en rayon frais alors qu'actuellement les rayons contiennent encore des produits non certifiés. Autre exemple : Carrefour s'engage à bannir 100 substances controversées, ce qui est déjà le cas, mais va aller plus loin. Trente nouvelles substances vont être interdites l'an prochain sur ses étals. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Rebond de l'indice des directeurs d'achats en Suisse (PMI)

L'indice PMI des directeurs d'achats s'est enrobé de 2,9 points en août pour se fixer à 64,8 points, un résultat proche du record établi à 65 points. L'industrie suisse est sur la bonne voie, selon Credit Suisse. (keystone). Les directeurs d'achats des sociétés industrielles suisses ont connu un regain d'optimisme surprenant en août. Ils s'étaient montrés plus prudents les derniers mois. L'indice PMI des directeurs d'achats s'est enrobé de 2,9 points sur un mois pour se fixer à 64,8 points, selon les indications fournies lundi par Credit Suisse et le site procure.ch. Cet indicateur se rapproche ainsi des records atteints en 2017 et 2018, avec un plus haut de 65 points. >> Lire l'article complet sur le site de l'Agefi

Nouvelle déclaration de performance extra-financière : entreprises, êtes-vous prêtes ?

Si elles communiquent de plus en plus sur leurs objectifs et leurs résultats en matière de RSE, les entreprises semblent douter de l'audience de leurs rapports, qu'ils soient volontaires ou réglementaires. Quelque 80 % des entreprises publient aujourd'hui leurs objectifs en matière de RSE, selon la dernière étude réalisée par Tennaxia sur les rapports extra-financiers et les pratiques de reporting RSE (1). C'est 18 points de plus qu'en 2017 , et surtout un incroyable développement pour des sujets quasi-inconnus des entreprises il y a seulement dix ans. Ainsi, 69 % des organisations souhaitent contribuer aux objectifs de développement durable (ODD) définis par l'ONU , contre 60 % l'an passé. En particulier aux objectifs 13 (lutte contre les changements climatiques), 12 (consommation et production responsables) et 8 (travail décent et croissance économique). Les actions sont de plus en plus chiffrées : le pilotage des ODD dans les rapports a progressé de 12 points par rapport à l'année dernière. Par ailleurs, 53 % des répondants se sont fixés des objectifs s'inscrivant dans une trajectoire bas carbone et un peu plus de la moitié des entreprises soumises au devoir de vigilance ont publié leur plan adéquat. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Supply chain

Le coût écologique caché de l'e-commerce

Alors que les achats sur Internet explosent, de nouveaux impacts environnementaux émergent: le transport de colis du géant de la mode en ligne Zalando génère chaque année des milliers de tonnes de CO2. Au centre de tri de colis de La Poste à Daillens, en Suisse, on peut accueillir jusqu'à 250 camions simultanément afin de charger et décharger des paquets. Une infrastructure monumentale pour un commerce en forte croissance: celui des achats en ligne. A Daillens, on manipule 22 000 colis par heure. Ce chiffre gonfle naturellement avec la généralisation du modèle de retours gratuits. Les entreprises, les partenaires logistiques et les clients semblent ravis. Les protecteurs de l'environnement, nettement moins. >> Lire l'article complet sur le site Le Temps

L'indice des prix routiers en Europe en hausse de plus de 17 %

La baisse des capacités de transport et la hausse des prix du carburant sont les deux facteurs de la hausse du prix du marché routier en Europe au deuxième trimestre de l'année en cours. Selon la trente-sixième édition du Transport Market Monitor (TMM) de Transporeon et Capgemini Consulting, les prix du transport routier ont progressé en Europe au deuxième trimestre 2018, car l'indice de capacité a diminué tandis que le prix du carburant a marqué une hausse. Dans ce contexte, deux tiers des fournisseurs de services de transport considèrent l'expansion des processus numériques comme une opportunité de gagner des clients pour les charges connectées et de réduire les kilomètres à vide. En effet, une grande partie des capacités manquantes pourrait être gagnée par une mise en réseau plus efficace des expéditeurs et un facteur de charge plus élevé des camions utilisés. >> Lire l'article complet sir le site L'antenne

Log's, prestataire logistique pour Naf Naf, Chevignon et Kookaï

Depuis juin 2018, Log's est devenu le prestataire pour la logistique des enseignes de prêt-à-porter Naf Naf, Chevignon et Kookaï. Sur un nouveau site de plus de 36 000 m² situé à Epinay-sur-Seine (93), dans le nord de Paris, 140 collaborateurs traitent des articles textiles pliés et suspendus pour le compte des activités retail et e-commerce des trois marques. Une activité qui se prolonge également dans le traitement des échantillons et la gestion de l'ensemble des retours sur un second site situé à Marly-La-Ville (95). De quoi permettre à Log's de poursuivre les objectifs de son plan de développement tout en renforçant son expertise dans le domaine du textile. >> Lire l'article complet sur le site Voxlog


RSE

Henkel annonce des objectifs ambitieux en matière de durabilité des emballages

Henkel renforce son engagement dans la promotion d'une économie plus circulaire. L'entreprise s'est fixée de nouveaux objectifs dans le cadre d'un plan stratégique élargi. En 2025, 100% des emballages de Henkel devront ainsi être recyclables, réutilisables ou compostables. Dans le même temps, Henkel entend utiliser 35% de plastique recyclé pour ses produits de consommation en Europe. Le groupe veut maintenant adopter une approche plus holistique avec un nouveau plan stratégique reflétant les trois phases clés d'une chaîne de valeur circulaire. Le plan stratégique d'Henkel en matière d'emballage durable traduit ces trois phases en actions spécifiques : l'utilisation de matériaux issus de ressources durables, développer la conception intelligente des emballages et travailler la phase recyclage. >> Lire l'article complet sur le site Premium Beauty News

Monoprix réunit 40 marques autour du Made In France pour les fêtes

Ayant fêté ses 85 ans l'an dernier, Monoprix a décidé de célébrer les fêtes de fin d'année en mettant à l'honneur une série de marques, d'industriels et de petits créateurs faisant fabriquer des produits dans l'Hexagone. 44 labels ont ainsi été réunis par l'enseigne de centre-ville du groupe Casino, dont une vingtaine a dessiné des articles spécialement pour cet événement. Baptisée "Le Patrimoine français", cette collection regroupe des vêtements, articles décoratifs, bijoux et objets unis par un code couleur commun : le traditionnel triptyque bleu-blanc-rouge. Parmi les marques à retrouver en magasin le 5 décembre figurent Le Mont Saint Michel, Flair, Le Slip français, Armor-Lux, Elise Chalmin, Aigle, Rondinaud, Macon & Lesquoy, la manufacture Degorce, Mamy Factory, Tissage de l'Ouest, Bic ou encore Opinel. >>Lire l'article complet sur le site Fashion network

Bad buzz - Peta dénonce la cruauté de Canada Goose

Les manteaux et doudounes Canada Goose ont la réputation de tenir très chaud mais les conditions de leurs fabrications sont moins connues du grand public. Ce jeudi 6 septembre alors qu'un pop-up store dédié à la marque a ouvert ses portes au BHV situé dans le marais à Paris. Les membres de Peta, une association de défense des animaux, ont marqué le coup en manifestant devant le magasin. Ils voulaient dénoncer l'utilisation des poils de coyote sur les capuches des manteaux Canada Goose et la cruauté avec laquelle ces animaux sont tués pour leur fourrure. >> Voir la vidéo sur le site du HuffigtonPost


Commande publique

La disruption de la commande publique, une chance pour les PME

Tirant parti des opportunités qu'offre le numérique pour améliorer la performance de l'achat, renforcer l'efficience et la transparence des marchés publics, l'Etat joue la carte de la disruption, transposant la réglementation européenne qui oblige la dématérialisation totale des appels au 1er octobre 2018. Sur le plan européen, l'économie réalisée sera de l'ordre de 100 milliards d'euros. D'autre part, la digitalisation des marchés permettra aux entreprises de bénéficier d'un délai allongé pour répondre au document unique de marché européen qui simplifiera la partie administrative. En revanche, il est encore difficile de prédire si la disruption de la commande publique motivera les PME à répondre aux appels. La signature électronique reste l'un des freins majeurs. >> Lire l 'article complet sur le site La Gazette des communes

RATP : la mise en concurrence des bus au menu du gouvernement

La future loi sur les mobilités devrait définir les modalités d'ouverture de ce marché, prévue pour la fin 2024. Catherine Guillouard, la patronne du groupe public, a déjà commencé à déminer le terrain en affirmant à plusieurs reprises que la situation de la RATP était différente de celle de la SNCF, et qu'un changement de statut (pour l'entreprise comme pour ses salariés) n'était ni nécessaire, ni demandé par les pouvoirs publics. Certes, les échéances sont encore lointaines pour les tramways (fin 2029) et les métros et RER (fin 2039). Mais la mise en concurrence de la RATP sur l'exploitation de son réseau de bus francilien (350 lignes et 16.000 salariés) doit, elle, être engagée fin 2024. Concrètement, il s'agit de définir les règles qui s'appliqueront à l'ensemble des opérateurs, en matière d'organisation et de temps de travail notamment. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Mobilités : ces start-up qui répondent aux grands besoins des petites villes

Clem', Ecov, Green On et autre Allocab développent des services et technologies pensés pour les spécificités économiques et démographiques des collectivités de taille modeste. Alors que la compétition entre start-up fait rage dans les grands centres urbains à l'offre de services de mobilités pléthorique, certaines ont décidé de tourner le dos à ces marchés pour aller là où personne ne portait le regard : les zones peu denses que sont les petites villes et les aires périurbaines. En zone peu denses, atteindre la masse critique est le plus gros challenge des entreprises de mobilités. Pour y parvenir, la start-up de covoiturage Ecov a par exemple fait tout un travail d'analyse des flux et d'information auprès du public. La société a développé un outil de diagnostic du potentiel de covoiturage des territoires qui aide à détecter les zones et les trajets les plus propices au déploiement de lignes de covoiturage.

Factures : cap zéro papier au CHRU de Brest

Même si la date du 1er octobre monopolise les esprits, la dématérialisation ne s'arrête pas à la digitalisation des marchés publics. Le CHRU de Brest a pris la question de la facturation à bras le corps. Avec un triptyque : remplacement du parc d'impression obsolète pour du matériel capable d'accompagner la digitalisation des flux, adaptation du processus de traitement des factures et numérisation du papier par une entreprise adaptée, installation d'une solution de gestion électronique des documents (GED). >> Lire l'article complet sur le site de AchatPublic.info

Comment garantir la propriété intellectuelle pour les achats inférieurs à 25 000 € HT ?

Les marchés dont le montant est inférieur à 25 000 € HT peuvent être conclus selon une procédure négociée sans publicité et sans mise en concurrence préalable. Si la forme verbale est possible jusqu'à ce seuil, l'acheteur doit penser à se protéger par la rédaction d'un contrat écrit notamment lorsqu'il porte sur des questions de droit de propriété et d'utilisation des résultats. Pour faire face à cette problématique, l'Agence du patrimoine immatériel de l'État (APIE) incite les acheteurs soit à introduire des clauses spécifiques relatives à la propriété intellectuelle, soit à faire référence au cahier des clauses administratives générales applicables aux marchés de prestations intellectuelles. L'APIE cite, par exemples, des prestations d'agence de communication (création de logo, charte graphique, conception de supports de communication, etc.), les achats de contenus audiovisuels, études, formations, prises de vues, prestations informatiques (sites web, développements spécifiques, TMA, etc.). L'acheteur peut s'inspirer des clauses prévues dans les CCAG prestations intellectuelles ou techniques de l'information et de la communication. >> Lire l'article complet sur le site Weka

Environnement de travail

Droit à la déconnexion : où en est-on?

Plus d'un an et demi après son intégration dans les textes de loi, le "droit à la déconnexion" est entré dans le monde du travail. Début août, la cour de cassation a même validé la condamnation d'une entreprise pour avoir contraint l'un de ses employés à rester connecté à son smartphone. Cette loi est-elle efficace ? L'éclairage de Philippe Rodet ancien médecin urgentiste du SAMU et auteur de l'ouvrage Le Management Bienveillant. Peut-on mesurer l'impact de cette mesure, que ce soit au niveau de la productivité ou de la santé du salarié ? Il me semble qu'il est un peu tôt pour en mesurer l'impact tant en matière de productivité que de santé. Ce qui est en revanche certain c'est que, d'une manière générale, il faut que les dirigeants apprennent à trouver le juste milieu. On a des moyens de communication qui permettent d'aller de plus en plus vite et l'efficacité ira chez celui qui saura trouver le bon équilibre entre vitesse et réflexion. Parfois, à trop vouloir réduire le temps, on altère la réflexion... >> Lire l'article complet sur le site Atlantico

Vêtements et uniformes professionnels : naissance d'une filière de recyclage

À l'initiative de la SNCF et au sein du club métier d'Orée "Valorisation des mousses & Textiles", l'idée est née d'un projet de création d'une filière de réemploi ou recyclage industrielle des vêtements professionnels (FRIVEP), en réunissant des donneurs d'ordre - les ministères des Armées et de l'Intérieur, la Poste, la Ville de Paris, l'École du ski français, GRDF - et des industriels. Michel Lopez en est le coordinateur technique. Quelles solutions alternatives à l'incinération le projet FRIVEP pourrait-il proposer pour ces tenues professionnelles dont la qualité est reconnue ? Une expérimentation sur 15 mois va consister à caractériser, trier les vêtements par matière et par couleur puis à les démanteler (enlever les points durs) avant de les envoyer pour traitement chez les industriels pour des essais spécifiques et définir des usages futurs de ces matières, jusqu'alors inutilisées. Les usages possibles actuellement répertoriés sont l'intégration dans des feutres isolants, le fil recyclé, les chiffons d'essuyage industriel, le rembourrage... >> Lire l'article complet sur le site du ministère de la Transition écologique

Bien-être au travail : l'étude qui casse les certitudes

Les politiques menées en faveur du bien-être au travail, qui se multiplient un peu partout dans nos entreprises, ne seraient-elles finalement que de la poudre aux yeux ? Une récente étude américaine du très sérieux National Bureau of Economic Research révèle en tout cas leur inefficacité à lutter contre l'absentéisme et améliorer la santé des employés. Ce que montre surtout cette étude du NBER, c'est que ce type de dispositif n'attire pas les personnes pour lesquelles ces programmes seraient le plus bénéfiques. Dans le cadre de cette recherche, seuls 56% des 12.000 employés se sont portés volontaires, des profils généralement plutôt jeunes, en bonne santé, et déjà sportifs...>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Travel / MICE

Team building, séminaires : Airbnb for Work étend son offre

Airbnb for Work veut attirer la clientèle affaires au-delà des déplacements individuels. Ses nouvelles offres d'Expériences Team building et de logements pour les séminaires ciblent la clientèle de groupe, pour grandir encore sur le segment business. Les responsables de la plateforme collaborative ont donc dévoilé mercredi " une nouvelle orientation stratégique ", qui s'articule autour de nouvelles offres : " des Expériences Airbnb pour le team building, des logements Airbnb pour les séminaires et les réunions, et de nouvelles solutions pour les mutations ". Objectif affiché : " aider les entreprises à attirer, retenir et motiver les talents ". Ces nouveaux développements doivent permettre à Airbnb for Work de peser encore d'avantage sur la clientèle affaires. La déclinaison business aurait déjà attiré les salariés de 700 000 entreprises à l'heure actuelle, près de la moitié d'entre elles (300 000) étant directement engagées avec Airbnb pour les aider à gérer leurs déplacements professionnels. >> Lire l'article complet sur le site Voyages d'affaires

IT

Comment bien choisir sa solution de paiement

Tarification, périmètre géographique, conseils techniques... Certains critères doivent être regardés à la loupe chez les prestataires de paiement. Une fois que des solutions ont été présélectionnées, il faut prendre en compte plusieurs critères. Un des plus importants est le prix. Michael Benisti conseille plutôt de se tourner vers des solutions qui proposent de l'interchange++. Ce modèle de tarification est transparent car il indique clairement les différents coûts, à savoir les frais d'interchange (pour la banque émettrice), les frais d'opérateur (pour Visa et Mastercard) et la commission de la solution de paiement. "On sait exactement combien le fournisseur de paiement gagne", argumente Michael Bensiti. Adyen et Braintree pratiquent par exemple ce modèle. >> Lire l'article complet sur le site Journal du net

Facebook dépense 1 milliard de dollars pour son premier datacenter en Asie

Après avoir annoncé récemment qu'il se doterait d'énergie 100% renouvelable d'ici 2020, Facebook affirme aujourd'hui qu'il va investir 1,02 milliard d'euros dans un datacenter asiatique à énergie verte. Il sera installé à Singapour. Le bâtiment de 170 000 m² situé à l'ouest de l'île sera réparti sur onze étages. Il est pensé pour résister au climat particulièrement humide de la région. Son système de refroidissement est unique au monde, et la technologie utilisée est appelée StatePoint Liquid Cooling. Le principe est simple : utiliser de l'eau pour rafraîchir l'air. La façade de la structure sera percée de trous afin laisser passer l'air. Et la consommation d'eau sera réduite de 20%. Ce système avait été présenté au mois de juin, fruit d'une collaboration avec Nortek Air Solutions. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital


Fleet / Mobilité

WLTP : bien comprendre ce qui change au 1er septembre

Élaborée en réaction au scandale du dieselgate, la norme WLTP (pour Worldwide harmonized Light vehicles Test Procedures) entrera en vigueur le 1er septembre pour tous les véhicules particuliers neufs (en septembre 2019 pour les VUL). Concrètement, cela signifie que tout véhicule devra avoir été testé selon ces procédures plus contraignantes pour pouvoir être commercialisé. Certains constructeurs auraient pris du retard, à l'instar de Volkswagen, dont près de la moitié des modèles n'ont pas passé les tests WLTP (source Reuters). La Volkswagen Golf n'est par exemple toujours pas homologuée. Concernant les aspects fiscaux, au 1er janvier de l'année prochaine, les constructeurs auront en effet l'obligation d'afficher les mesures obtenues par le cycle WLTP. Les autorités restent néanmoins floues sur l'application de ces résultats pour le calcul des taxes et malus. Les données NEDC corrélées pourraient en effet continuer à servir de base jusqu'en 2021. >> Lire l'article complet sur le site Automobile entreprise

Licencié pour avoir "covoituré" avec sa voiture de fonction

La cour d'appel de Rennes a reconnu le bien-fondé du licenciement d'un salarié ayant utilisé sa voiture de fonction pour effectuer des trajets de covoiturage sur Blablacar. Le jugement, prononcé le 31 août, infirme la décision du Conseil des prud'hommes de Nantes, rendue en juillet 2016, qui avait considéré le licenciement comme étant sans cause réelle et sérieuse. >> Voir l'article sur le site du Point


Management / Carrière

"Faut-il être Jupiter pour transformer ?"

La Maison du management, qui entend s'employer à répondre à la question, consacre prochainement un débat d'une journée au sujet de la transformation. Transformer une organisation : à quel rythme ? En matière de transformation, les partisans de la vitesse sont nombreux. Mais pour une transformation réussie, d'autres critères doivent être pris en considération. En France, entre 60 et 70 % des projets lancés par des entreprises connaissent un échec en termes d'objectifs, de coûts ou de délais. Pour Martin Richer, l'une des premières explications à ces pourcentages -qui étonnent toujours ses clients-, réside dans un choc temporel. Une question qui relève de l'humain ne peut que se traiter sur la durée. L'information est également primordiale. Dans l'Observatoire Valtus de la transformation , les dirigeants de transition ont classé au premier rang des facteurs clefs de succès la " vision stratégique " puis le " soutien de toutes les parties prenantes ". >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Entretien d'embauche : 6 conseils pour faire la meilleure impression possible

Les premières minutes d'un échange entre candidat et recruteur sont les plus décisives. Il convient donc d'être efficace et préparé. Dix minutes. C'est le temps qu'il faut à 1/3 des recruteurs pour être convaincus par un potentielle recrue, selon une étude menée par le cabinet de recrutement Robert Half. Sur les 505 directeurs généraux et financiers interrogés, 25% prennent leur décision dans les 30 premières minutes de l'entretien et 17% affirment arrêter leur choix juste après le premier entretien. Être ponctuel, contrôler son langage corporel, maîtrise le contenu de son CV et connaître l'entreprise, mais aussi montrer de l'enthousiasme feront sans doute la différence. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

 
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