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Revue de presse achats - semaine du 18 novembre

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Revue de presse achats - semaine du 18 novembre

Vous 'navez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptible de vous intéresser car ayant trait aux achats ou au management. Bonne lecture !!

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Agroalimentaire. McDonald's fait son marché en Bretagne

"La Bretagne est la première région d'approvisionnement de McDonald's, résume Rémi Rocca, directeur des achats pour l'enseigne de restauration rapide américaine. Ici, nous achetons du boeuf, du porc, des choux, des tomates. Et en plus grande quantité encore : de la salade et du poulet. Que ce soit en nombre d'agriculteurs ou en montant en euros, la Bretagne est la première région française à fournir McDonald's France". Au total, 484 producteurs bretons sont sous contrat avec l'enseigne de restauration rapide américaine qui possède 1 464 restaurants en Franc, dont 63 en Bretagne. Dans le détail, en Bretagne, McDonald's fait travailler 207 producteurs de boeuf, 218 de poulet, 56 de salade, et 3 de choux et tomates. Plus concrètement : 15 % de la salade mangée dans les restaurants français est cultivée sur la péninsule bretonne. Mieux, tous les nuggets proviennent de poulets bretons. "Être fournisseur de McDonald's, ce n'est pas rien", rappelle Mario Piromalli, franchisé qui possède 24 fast-foods en Ille-et-Vilaine. "Il faut produire en quantité, en qualité et toute l'année. Cela implique de respecter un cahier des charges très contraignant qui nécessite des investissements". En contrepartie, Mc Donald's contractualise ses achats sur trois ans. "Nous renouvelons en ce moment nos contrats", ajoute Rémi Rocca. Chaque année jusqu'à 2021 inclus, la Sica de Saint-Pol-de-Léon, soit 69 agriculteurs, devra fournir 1 000 tonnes de salades de variété Iceberg. Pour le poulet, le groupement d'éleveurs du Gavéol devra produire 11 000 tonnes par an. Cela donnera aussi du travail à leurs partenaires Glon/Sanders (nutrition animale), aux abattoirs Boscher/LDC et à Cargill food France qui transforme la viande en nuggets". Pour les producteurs, cette contractualisation est gage de visibilité et de régularité dans l'activité.>> Lire l'article complet sur le site du Télégramme

Délais de paiement excessifs : amende record pour SFR de 3,7 millions d'euros

Selon le constat fait par la DGCCRF, sur les six derniers mois de 2017, SFR réglait 32% de ses factures en retard, avec un "retard moyen pondéré" de 28 jours par rapport aux délais de paiement légaux (généralement 60 jours, hors délais spécifiques). Ces pratiques correspondent à "une rétention de trésorerie de plus de 72 millions d'euros", a indiqué la DGCCRF. En 2015, les limiers de Bercy avaient constaté que 62% des factures de SFR étaient réglées en retard par rapport aux délais de paiements légaux, avec un retard moyen pondéré de 28 jours. Interrogé par l'AFP, l'opérateur rappelle que le contrôle a porté sur l'année 2017, "en plein plan de départs volontaires et réorganisation de l'entreprise, notamment la direction financière, mais la situation est depuis lors réglée". >> Lire l'article complet sur le site de La Trbune

Questions sur le salaire des acheteurs

Premier constat, les écarts entre entreprises de salaire entre le plus fort salaire proposé et le plus faible augmente de manière importante avec la séniorité de la position en intégrant la partie variable. Il se limite à 20% en début de carrière et approche 90% pour les N-1 du directeur achats. Dans cette dernière position, les salaires les plus élevés sont offerts par de grandes sociétés industrielles fortement internationales. Cela ne vaut pas pour les plus juniors. Deuxième constat, la part du variable croit considérablement avec l'évolution dans la hiérarchie. Faible pour les juniors (5 à 10%) il se monte en moyenne à plus de 25% du fixe pour les plus seniors. Pour les salariés français, l'intéressement et la participation est une composante importante en début de carrière. A noter que le variable repose pour les 2/3 sur des performances collectives - sur des critères quantitatifs (typiquement les économies reconnues comme impactant le résultat de l'entreprise) et qualitatifs. Le variable d'un directeur achats est directement lié au résultat de l'entreprise. Autre élément remarquable, le salaire des acheteurs est maintenant bien aligné avec celui des autres fonctions de l'entreprise, hormis sans doute avec celui des commerciaux dont la partie variable est plus importante et peut induire des écarts importants au total. Cet alignement facilite la "respiration" de la fonction achats : on y entre et on en sort sans que le niveau de salaire constitue un handicap. >> Lire l'article complet sur le site de Tolston

La fermeture de la Chine, coup dur et défi pour le recyclage en Europe

Les prix du papier-carton recyclé ont perdu 50% en un an ! "On attend que de nouvelles capacités papetières se créent en Europe", confie le représentant des entreprises de recyclage de papiers-cartons au sein de Federec. Sans trop d'espoir, étant donné le déclin de la consommation de papier sur le Vieux continent. Les quelques volumes supplémentaires de cartons consommés en Europe avec l'essor des ventes sur internet sont très très loin d'absorber les stocks de papier-carton. "On rêverait de transformer du papier recyclé en bobines pour les vendre à la Chine !", plaisante amèrement l'entrepreneur du recyclage. >> Lire l'article complet sur le site de RFI


Commande publique

Pourquoi Clamart se lance dans la certification de ses achats de travaux

"Le but, c'est de sécuriser les processus, les rendre plus efficaces et plus transparents", débute Franck Barrailler, directeur de la commande publique de la ville. Les travaux ont été choisis prioritairement parce qu'ils représentent un sujet majeur pour la collectivité, avec une enveloppe annuelle moyenne d'environ 20 millions d'euros, et plusieurs chantiers en cours parmi lesquels la construction de deux écoles et la restructuration de plusieurs bâtiments dont l'hôtel de ville. Pour réussir ce challenge, Clamart a pris le soin de s'adjoindre un AMO afin de structurer cette démarche qualité et de préparer la première phase. Les risques ont été cartographiés, les enjeux cernés avec l'aide des agents municipaux concernés qui ont été interrogés. Après cette étape préliminaire qui a duré de décembre 2018 à février 2019, un deuxième temps a été consacré à la définition d'axes stratégiques liés aux principaux risques : qualité des travaux, respect de l'enveloppe budgétaire, délais. "En fonction des risques, on a ensuite défini une quinzaine d'indicateurs", poursuit Franck Barrailler. Le directeur de la commande publique illustre son propos. "Garantir la sécurité juridique représente l'un des objectifs de la certification. Atteindre 100 % des sous-traitants agréés avant intervention sur chantier constitue un indicateur. L'amélioration de la performance des achats est un autre objectif de la démarche. Dans ce cas, nous avons fixé le cap des 70 % des opérations de travaux respectant le planning contractuel. Troisième objectif : la professionnalisation des pratiques, des processus et des acheteurs. Ici, nous voulons atteindre le taux de 100 % de fournisseurs évalués sur la base de revue de contrat." En l'espèce, Clamart n'a pas attendu la certification puisqu'elle a décidé, dès 2019, de procéder à cette évaluation pour tous les marchés reconduits dans l'année. >> Lire l'article complet sur le site de Santé-Achat.info

RSE

Le travail des enfants et la traite des êtres humains dans les chaînes d'approvisionnement mondiales restent des sujets de préoccupation importants

Le rapport "Mettre fin au travail des enfants, au travail forcé et à la traite des êtres humains dans les chaînes d'approvisionnement mondiales" fournit les toutes premières estimations du travail des enfants et de la traite des êtres humains dans les chaînes d'approvisionnement mondiales. Pour les entreprises, le rapport souligne que la diligence raisonnable requiert une approche globale de la chaîne d'approvisionnement. La diligence raisonnable est unique en ce qu'elle s'appuie sur les pratiques commerciales existantes et s'y adapte, tout en introduisant des processus qui sont encore relativement nouveaux dans le contexte des chaînes d'approvisionnement mondiales, tels que des procédures de recours tout au long de la chaîne d'approvisionnement. Le plus important, c'est que pour être efficace en matière de travail des enfants, de travail forcé et de traite des êtres humains, la diligence raisonnable doit être préventive, proportionnée et hiérarchisée en fonction de la gravité et de la probabilité du préjudice; elle fait partie intégrante de la gestion des risques et de la prise de décisions dans l'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de Organisation Internationale du travail

Pour ses sièges de sa voiture Zoe, Renault pratique l'économie circulaire

Renault n'en a pas fait un argument de vente, il est donc probable que les acheteurs de la nouvelle Renault Zoe, lancée au printemps dernier, l'ignorent : les tissus de leur petite voiture électrique sont fabriqués à partir de matériaux recyclés. Outre les sièges, ils garnissent la planche de bord, les portières, la console du levier de vitesse : 8 m2 au total par véhicule. Ce pas franchi dans l'économie circulaire associe le constructeur de taille mondiale aux Filatures du Parc, PME de 48 salariés établie à Brassac (Tarn). (...) Alors que sa PME ne travaillait qu'à partir de fibres vierges, elle s'est penchée sur les fibres recyclées il y a quinze ans. Un brevet a été déposé en 2007, "à une époque où on ne parlait que de recyclage des ordures ménagères", sourit Fabrice Lodetti. Cette avancée technique permet de récupérer les grosses mailles de pulls ou de jeans. Fournisseur de longue date de marques d'habillement de surf, les Filatures du Parc, grâce à la polyvalence des machines qui défibrent les tissus, élargit ses perspectives avec la rencontre d'un responsable de Renault Environnement, filiale du groupe créée en 2008 et dédiée à l'économie circulaire. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

Contre l'obsolescence programmée, le label Longtime promeut des produits durables

Comment savoir, en achetant son aspirateur, si les pièces détachées vont être approvisionnées assez longtemps pour réparer de l'appareil en cas de panne ? Comment savoir si le produit a été éco-conçu ? Aujourd'hui, ces données sont entre les mains des fabricants, mais le label indépendant Longtime compte bien faire la transparence. Deux ans après sa création, la coopérative toulousaine Ethikis ad civis à l'origine de ce label qui se veut européen, vient de dévoiler les trois premiers produits certifiés. (...) Les produits, présentés par les fabricants, sont tous évalués par un organisme de contrôle indépendant (Ecocert ou Apave Certification) selon 41 critères établis par la coopérative. Ils permettent d'assurer leur longévité. "Nous nous basons sur trois piliers : l'écoconception, la réparabilité et le service après-vente", explique la cofondatrice du label, Elsa Lomont, "Notre objectif est d'éviter à tout prix le renouvellement du produit". "Le label Longtime confirme les engagements que nous avons pris dès la création de notre entreprise pour garantir à nos clients la qualité et la robustesse de nos produits", réagit Alain Loubet, gérant de Xplorer. "Notre but est de faire avancer la lutte contre l'obsolescence programmée, donc nous accompagnons les entreprises pour qu'elles haussent leur niveau", ajoute Elsa Lomont. D'ici 2021, Ethikis espère ainsi apposer son label sur les produits de plus de 50 fabricants". >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Seafoodia, Juste Bio, Kusmi Tea... Ces entreprises qui produisent déjà autrement

Produire local - Le problème : La délocalisation est née au tout début de l'ère industrielle, sous l'impulsion d'Henry Ford himself. Mais entre réduire les coûts et alléger son bilan carbone... il ne faut plus forcément choisir. Produire local peut être rentable, et bonne nouvelle, en 2017 et 2018, la France a créé plus d'usines qu'elle n'en a fermées. Une première depuis la crise de 2008 ! Une solution : Souvent relocaliser nécessite de passer par la case automatisation pour ne pas faire flamber les coûts de production. C'est notamment ce qu'a fait Kusmi Tea lorsque une partie de sa production marocaine a été rapatriée à Saint-Vigor-d'Ymonville en Normandie.

Respecter les travailleurs - Le problème : En 2013, l'effondrement de l'immeuble du Rana Plaza au Bangladesh a fait 1 135 victimes parmi les ouvriers des ateliers de confection, et a mis un coup de projecteur sur les sinistres pratiques des marques de la fast fashion. En France, la loi dite "Rana Plaza" de 2017 rend les grandes entreprises responsables des conditions de travail de leurs fournisseurs. Une solution: Le néerlandais Tony's Chocolonely vend du chocolat garanti sans esclavage. La marque a été lancée en 2007 par des journalistes partis en croisade contre l'industrie du cacao qui exploite des enfants dans les plantations d'Afrique de l'Ouest. Et ça marche ! En dix ans, la société est devenue leader aux Pays-Bas. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Mixité, diversité, environnement... Balenciaga lève le voile sur ses engagements

A la dernière Fashion Week de Paris, Balenciaga présentait sa collection printemps-été 2020 au coeur de la Cité du Cinéma, qui misait sur un décor bleu monochrome épuré articulé autour des rangs pensés en colimaçon. "Le défilé printemps-été 2020 était le plus 'sustainable' possible. Les 6500 mètres carrés de velours bleu sont entièrement détissés et recyclés. Les 2500 mètres carrés de moquette recyclés également, la structure en bois est devenue des granulés de bois de chauffage, les 2500 mètres carrés d'éclairage sont donnés à une entreprise qui les reloue pour une durée de 3 ans. On a fait ce qu'on a pu pour rendre l'empreinte de ce défilé la plus minimale possible" >> Lire l'article complet sur le site de Vogue

Nespresso investit plus d'un million de dollars dans... le recyclage

À New York, Nespresso a injecté 1,2 million de dollars dans la filière recyclage, pour mieux trier et récupérer les capsules d'aluminium, rapporte Fast Company. En l'occurrence, cet investissement a permis à Sims Municipal Recycling (l'organisme qui s'occupe du recyclage dans la ville de New York, ndlr) d'installer de nouveaux équipements. Alors certes, quand on est à l'origine d'un problème, ça paraît normal d'essayer de trouver des solutions. Mais cela démontre aussi la façon dont les entreprises viennent au secours des pouvoirs publics. Pour Bridget Anderson, Commissaire adjointe dédiée aux sujets du recyclage et du développement durable au département d'assainissement de la ville, "c'est très excitant qu'une industrie privée investisse financièrement pour développer des infrastructures publiques (...). Évidemment, nous soutenons la démarche. (...) Cela prouve que l'entreprise considère réellement la fin de vie de ses produits." (...) Les nouvelles infrastructures bénéficieront à Nespresso, mais aussi à l'ensemble de la filière. Capsules de bouteilles, morceaux de canettes en métal, et même clés... toutes ces petites parties pourront être réutilisées pour fabriquer de nouveaux produits. Et c'est une bonne nouvelle, car Fast Company rappelle que jusqu'alors, il était très difficile pour les machines de trier ces composants légers. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Quand les Français jugent les marques responsables

82 % des consommateurs sont influencés par le caractère responsable d'une marque au moment d'acheter. Pas étonnant donc qu'un besoin de clarification se fasse ressentir. D'autant que ces mêmes Français se déclarent prêts à payer plus cher si une marque est responsable (55 %). De manière assez surprenante, alors que la dimension prix est un aspect important pour eux, les jeunes semblent prêts à acheter bien plus cher que les autres pour ces produits/services responsables. Près de 6 répondants sur 10 estiment que les entreprises proposent des marques responsables dans le but principal d'améliorer leur image. Répondre aux enjeux environnementaux/sociaux/économiques n'arrive qu'en deuxième position (39 %). De manière générale, les Français ont d'ailleurs le sentiment que les marques ne s'engagent pas suffisamment. Sur ce point, les baby-boomers sont les plus critiques. >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Avec Henjl, le made in France atteint les sommets

Henjl a fabriqué sa première veste made in France entre Annecy et Roanne. Mais la marque ne communique pas sur sa fabrication locale. "Le made in France n'est pas une fin en soi, ce qui importe, c'est la qualité et la durabilité du produit. " Evidemment, les tarifs s'en ressentent et sont assumés. " Nous sommes environ 40 % plus cher qu'un pull fabriqué en Chine avec un fil de qualité standard", admet Henry Soulier. Henjl est, selon ses cofondateurs, une marque de qualité mais pas de luxe. Pour maîtriser ses tarifs, Henjl tente de s'affranchir autant que possible des intermédiaires . En 2018, la marque a lancé un site marchand proposant en exclusivité certaines références made in France. "Sinon un tee-shirt en jersey au coût de revient de 30 euros serait vendu, en ajoutant les marges des différents intermédiaires, à plus de 120 euros. Impossible !" >> Lire l'article complet sur le site des Echos Entrepreneurs

Supply chain

Supply chain omnicanal : quelle place pour les usines ?

Par Jérôme Pedreno, Hardis Group - "L'usine n'est donc plus seulement un lieu de production. Elle devient un point logistique dont les processus doivent être optimisés. Ce qui, dans l'immense majorité des cas, passe par le déploiement d'un logiciel de gestion d'entrepôt (WMS) pour piloter plus finement les flux logistiques, en amont et en aval des lignes de production : réapprovisionnement des bords de ligne en juste à temps sur appel opérateur ou seuil automatisé, ajustements au fur et à mesure de la réception de nouveaux ordres de fabrication, prise en compte du stocks de composants et produits semi-finis descendus par le Manufacturing Executive System (MES), kitting successifs pour optimiser les opérations de pré-assemblage, reprise en production des rebuts, remise en stock en sortie de ligne de production, optimisations des livraisons selon les flux (BtoB ou BtoC), etc. Par ailleurs, au-delà de l'automatisation des chaines de production, l'usine-entrepôt est également robotisée pour les aspects logistiques, avec des systèmes de mécanisation du chargement et du déchargement de marchandises par une ligne de réception ou d'expédition, de convoyeurs intelligents ou de véhicules à guidage automatique (AGV) pour automatiser les approvisionnements en bord de ligne ou les réapprovisionnement de zone de kitting en bord de ligne, ou encore de systèmes pick-to-light et put-to-light pour acheminer les composants ou bacs vers la ligne de production. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Un porte-conteneur alimenté au gaz naturel synthétique dès 2020

Le Wes Amelie sera "apprêté" pour recevoir dans le courant du 2e trimestre 2020 du GNL synthétique (SNG/GNS) produit, à partir du courant électrique fourni par des éoliennes, par Audi quand sera opérationnelle son unité de production du gaz de synthèse dans son usine allemande de Werlte (près de Brême), fruit d'une collaboration entre Audi et Man. Ce dernier a mis en service sur ce site, en 2013, une unité de méthanisation de 6 MW, complétée par une chaîne Power-to-X de 50 MW dédiée à la production de carburants synthétiques, dont le GNS fait partie. "Le Power-to-X permet de générer 100 % de gaz naturel neutre pour le climat à partir d'énergies renouvelables. Cette technologie a un potentiel considérable et doit être libérée des contraintes réglementaires et être développée à l'échelle industrielle pour réduire les coûts" encore dissuasifs à ce jour, indiquent les porteurs du projet en faisant passer un message à l'endroit des pouvoirs publics. Le navire fera alors le plein de 20 t de GNS et de 100 t de GNL, ce qui devrait économiser quelque 56 t de CO2 sur une rotation (sans préciser la nature de la boucle). Man et Wessels coopèrent également sur ce projet avec Nauticor, un des principaux fournisseurs de GNL comme combustible marin et Unifeeder, l'affréteur du navire, qui le déploie sur sa Baltic Loop E, qui relie en deux semains Rotterdam, Vlissingen, Helsinki, Tallinn-Muuga, Rotterdam, Riga, Kotka, Rotterdam, Klaipeda, Gdynia et retour à Rotterdam. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la marine marchande


Travel management

Tourisme d'affaires : l'âge de la maturité

Après le creux consécutif à la crise de 2009, le marché du voyage d'affaires a globalement remonté la pente ces dernières années. Mais a aussi atteint une certaine maturité : "Il ne s'agit plus de voyager à tout prix, même si la rencontre physique reste importante pour signer un contrat, constate Michel Dieleman. D'autres outils ont pris le relais, comme la visioconférence." Mises au défi par les évolutions technologiques et l'arrivée de nouveaux acteurs sur le marché, toutes les parties prenantes ont dû redéfinir leur rôle. Les agences de voyages en premier lieu. Selon une étude du cabinet Epsa, publiée en septembre 2018 dans le cadre du salon spécialisé IFTM Top Résa, l'achat des déplacements professionnels via agence était en baisse depuis 10 ans, mais a repris des parts de marché en 2018. Désormais, les agences mettent en avant des outils qui associent simplicité d'utilisation et maîtrise de la dépense. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Easyjet décide de compenser 100% de ses émissions de CO2

Easyjet a pris une décision radicale : compenser la totalité des émissions de CO2 générées par sa flotte de plus de 320 appareils à partir de mardi. (...) De telles mesures visent à lever le sentiment de culpabilité que pourraient avoir certains passagers à prendre l'avion. Bien qu'il ne représente que 2% des émissions mondiales du CO2 et qu'il se soit engagé de manière à stabiliser ses émissions de CO2 à partir de 2020 (via des mécanismes de compensation) puis de les réduire par deux d'ici à 2050, le secteur du transport aérien est pris pour cible par l'opinion et par ricochet par les politiques. Le coût de cette mesure s'élèvera pour l'année fiscale 2020 à 25 millions de livres (29,2 millions d'euros) estime Easyjet. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Les avions à hydrogène vont peut-être envahir nos ciels d'ici 2022

Depuis des décennies, l'idée d'un avion électrique fonctionnant à l'hydrogène tourmentait les chercheurs du domaine de l'aéronautique. Cependant, la concrétisation à travers divers projets privés et publics n'a commencé que récemment. Actuellement, plus d'une douzaine d'entreprises et start-ups travaillent sur des prototypes hybrides et électriques. Les avions électriques à zéro émission sont sans conteste l'avenir de l'aviation ! L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'univers. Son utilisation dans les industries de l'automobile et l'aérospatiale résoudrait le problème de la dépendance envers les énergies fossiles. De plus, en ne dégageant que de la vapeur d'eau, les piles combustibles à hydrogène réduiraient les émissions polluantes mondiales. La technologie est en développement, mais quelques détails concernant le refroidissement cryogénique restent à régler. >> Lire l'article complet sur le site de FredZone


IT

Blockchain : IBM renforce la traçabilité des saumons fumés Labeyrie

IBM et Labeyrie ont officialisé, mardi 19 novembre 2019, leur partenariat autour de la blockchain. La société française leader des produits que sont le saumon fumé, le foie gras et la charcuterie fine, utilise désormais la plateforme IBM Food Trust pour rendre accessible, via le Cloud IBM, toutes les informations pouvant être rattachées à la traçabilité augmentée de deux références de l'agroalimentaire. Le partenariat entre IBM et Labeyrie prend vie autour de deux produits : "le saumon fumé grandes origines cercle polaire norvégien 4 tranches", et "le saumon fumé de Norvège 4 tranches." >> Lire l'article complet sur le site de Clubic


Fleet management

Le Sénat demande un report du WLTP au 1er janvier 2021

Le Sénat entend s'opposer à nombre de mesures figurant au menu du projet de loi de finances pour 2020, un texte que la Haute assemblée va examiner et amender au cours des prochaines semaines. La première salve provient de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable présidée par Hervé Maurey, sénateur de l'Eure (groupe Union Centriste). Parmi les mesures ciblées : l'entrée en vigueur du cycle d'homologation WLTP. La commission pointe du doigt "le passage en cours d'année - à une date inconnue (NDLR : 1er mars 2020) - au système WLTP" qui conduira selon elle "à une augmentation du montant du malus sur certains véhicules, ce qui est source de complexité pour les professionnels et pour les consommateurs". Les sénateurs rappellent par ailleurs que plusieurs mois peuvent s'écouler entre la commande d'un véhicule et son immatriculation, date à laquelle le malus est appliqué. Le risque est alors que le consommateur n'ait pas de "visibilité sur le montant effectif du malus qu'il devra acquitter". En conséquence de quoi la commission sénatoriale a adopté un amendement visant à reporter au 1er janvier 2021 l'entrée en vigueur de la norme WLTP. >> Lire l'article complet sur le site du JournalAuto

Transports et environnement : la loi mobilités approuvée par le Parlement

Une enveloppe de 13,4 milliards d'euros doit être affectée sur la période 2018-2022 au développement des infrastructures, essentiellement pour les "déplacements du quotidien". Priorité est notamment donnée à l'entretien des réseaux existants, l'effondrement meurtrier lundi d'un pont près de Toulouse n'ayant pas été évoqué dans les ultimes échanges. Parmi les mesures phares du texte en matière de "verdissement" figure notamment l'objectif d'une fin de la vente d'ici à 2040 des véhicules "à carburants fossiles", c'est-à-dire essence ou diesel. Est prévue aussi la mise en place d'un forfait mobilités, qui doit permettre aux employeurs de verser jusqu'à 400 euros par an à leurs salariés se rendant au travail en covoiturage ou en vélo. Ce forfait pourra être versé via "un titre mobilité", à l'instar des titres-restaurants. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Indigo : plus de 600 bornes de recharge déployées en France

Depuis la signature de leur partenariat en 2014, Indigo et Izivia ont déployé 500 points de charge en France. Prochainement, 120 bornes supplémentaires seront accessibles. Par ce maillage territorial, le spécialiste du stationnement entend accompagner l'accélération des nouveaux usages de la mobilité. Il assure ainsi un service aux utilisateurs sur des sites aux profils très variés : grands magasins, gares, hôpitaux, lieux culturels, zones de loisirs, bureaux et centres commerciaux. À ce jour, les bornes de recharge installées dans les parkings Indigo sont réparties de la manière suivante : 190 à Paris ; 151 en Île-de-France ; 159 dans le reste de la France. En 2018, les deux partenaires ont recensé près de 10 000 charges effectuées par plus de 1 600 électromobilistes. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile-Entreprise


Carrière / Management... et autres

"La nature de l'autorité au sein des entreprises est en train de changer"

Par Thibaut Champey, directeur général de Dropbox -"Les fondements traditionnels de la légitimité, tels que le titre, la détention du capital, ou l'âge, sont proches de ne plus valoir un kopeck. Un rapport de force s'est subrepticement inversé : il faut désormais faire preuve de sa compétence auprès des salariés, et d'une capacité à mobiliser les ressources suffisante pour qu'ils suivent le mouvement. Un mouvement que confirme la sociologue Danièle Linhart, qui estime dans une interview au Monde que "les salariés, et notamment les plus jeunes, demandent à leur hiérarchie de l'expertise et de la compétence, d'avoir une connaissance réelle des métiers de leurs subordonnés et de pouvoir les aider à trouver des solutions quand se posent des problèmes professionnels". Le supérieur n'est plus seulement suivi parce qu'il est le chef ; il l'est parce que ses salariés le reconnaissent comme étant le meilleur à cette place, tout simplement. Position inconfortable pour celui qui s'était habitué à ce que seuls les autres aient à faire leurs preuves... >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Charge mentale : un cadre sur cinq pense à son travail en faisant l'amour

Une situation provoquée par le stress ressenti toute la journée au travail. De manière quasi unanime, les cadres interrogés confient être victimes d'un phénomène structurel de trop-plein, explique l'étude. Faute de pouvoir finir toutes ses tâches la journée, l'employé est parfois contraint d'emporter cette charge professionnelle chez lui, en témoigne les 81% qui affirment qu'ils ont "globalement plus de choses à faire qu'il y a quelques années". "Trop de tâches à gérer en même temps" donc, selon 77% des personnes interrogées, et parmi elles, la gestion des mails, aussi pénible que la fréquence des réunions (63%) et pas beaucoup plus que les obligations de "reporting" (59%). >> Lire l'article complet sur le site de l'Express

La pause déjeuner n'est plus ce qu'elle était

En 2007, 4% des Français déclaraient ne pas prendre de pause-déjeuner. Ils sont aujourd'hui 6% mais 12% affirment qu'ils " déjeunent à leur bureau, devant l'écran, pour avancer sur leurs dossiers ", d'après une étude du spécialiste des ressources humaines Menway . Un tiers des salariés préfèrent apporter leur déjeuner au travail afin de limiter leurs dépenses et déguster les plats qu'ils préfèrent. 33% des travailleurs, qui vivent près de leur lieu de travail, rentrent chez eux pour manger. Et à peine 18% des employés vont au restaurant ou à la sandwicherie pour croquer un morceau. La volonté de faire des économies n'explique pas, à elle seule, le faible pourcentage de personnes qui vont au café du coin pour se restaurer. >> Lire l'article complet sur le site de Influencia

Bienveillance en entreprise : trop bon... mais pas trop con !

D'abord, ce n'est pas si con d'être gentil en entreprise, en équipe, en management. Parce que tous les jours, celles et ceux qui suivent ces traces se rendent bien compte, de manière factuelle et mesurée, que ça marche. Bien sûr, vous aurez toujours des entreprises - et j'en connais - qui managent à l'inverse de ces préceptes. Et qui vous démontrent qu'elles font non seulement du résultat financier, mais que leurs clients sont ravis du service rendu ou des produits vendus. Mais à quel prix en interne ? Lourd de conséquences humaines, ou plutôt inhumaines. Départs, turnover, absentéisme, burn out, je ne reviens pas sur le lot de dégâts collatéraux de ce type de management. Le management gentil est pas con est une vraie alternative relationnelle. >> Lire l'article complet sur le site de Capital


 
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