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Revue de presse achats (semaine du 7 mai au 11 mai)

Publié par Marie-Amélie Fenoll le - mis à jour à
Revue de presse achats (semaine du 7 mai au 11 mai)
© akarb - Fotolia

Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

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"Il y a cinq niveaux d'intelligence artificielle"

Interview du CEO de Novasecur et spécialiste de la gestion des risques, Cédric de Serpos : "L'intelligence artificielle est un terme très galvaudé. En réalité, on peut considérer qu'il y a cinq niveaux d'IA. Les niveaux 1 et 2 relèvent du traitement par des machines de scores, questionnaires, etc. en vue d'analyses de questionnaires ou d'informations statistiques. Le niveau 3 est celui des analyses prédictives : la machine nous aide à analyser des tendances et à dire ce qui se passera dans le futur. Le niveau 4 est celui du " machine learning ", voire du " deap learning ", dans lesquels la machine a une approche cognitive et fait des progrès en se corrigeant elle-même. Enfin, le niveau 5 sera celui où la machine pensera par elle-même : on y arrive techniquement, mais pas encore en pratique".
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Les marchés de matières premières, secoués par la multiplication des risques géopolitiques

Ces dernières semaines, les prix des métaux ont été baladés. L'aluminium s'est envolé (+20 % en deux semaines) quand Washington a placé le producteur russe Rusal sur liste noire , avant de retomber lorsque l'administration américaine a tempéré ses ardeurs. "C'est une année exceptionnellement volatile pour le marché de l'aluminium, confirme Rory Johnston, économiste chez Scotiabank. Les prévisions de disponibilité des produits au niveau mondial ont été ruinées par les coupes chinoises liées à l'environnement, puis la politique douanière américaine et les sanctions contre les oligarques russes." Dans le sillage de l'aluminium, le palladium, le nickel, le cuivre, connaissent aussi de gros soubresauts. Quant au pétrole, avec le nouvel embargo que les Etats-Unis veulent imposer à l'Iran , la crise au Venezuela et la forte montée des tensions au Moyen-Orient, il atteint un niveau sans précédent depuis 2014, proche de 80 dollars. Pour Bank of America-Merrill Lynch, désormais "il y a un risque d'un baril à 100 dollars".
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Quand la collaboration entre grands groupes et startups fait tourner l'économie plus rond

"Quand nous avons décidé de travailler avec des startups nous avons essayé de nous mettre à leur rythme. Surtout nous avons décidé d'ouvrir grands nos portes et de dédier du temps hommes pour leur faciliter la tâche sur la compréhension des flux de déchets et les possibilités d'optimisation", précise Jean Collet, directeur d'UR link au sein d'Unibail-Rodamco. L'enjeu pour le groupe du CAC40 était en effet majeur : son objectif est, à horizon 2030 de réduire son empreinte carbone de 50%. Impensable sans mettre en place à large échelle l'économie circulaire dans ses centres commerciaux. "Les solutions n'existaient pas en interne, seules des startups, qui ont une capacité d'agilité et d'innovation bien plus grandes que nous, pouvaient nous aider", reconnaît le responsable.
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Blackstone anime le marché de l'immobilier logistique

Le gestionnaire d'actifs américain a annoncé lundi le rachat de son compatriote Gramercy Trust, une foncière cotée, pour 27,50 dollars par action, soit une prime de 15,4% par rapport au cours de clôture de la cible vendredi. Une opération à 4,4 milliards de dollars (3,7 milliards d'euros) qui, dette incluse, valorise Gramercy à 7,6 milliards de dollars. Réalisée par le biais du fonds Blackstone Real Estate Partners 8, l'acquisition témoigne à nouveau du fort intérêt pour les actifs d'immobilier logistique comme les entrepôts, dont la performance est supérieure à celle des actifs de logement et de bureaux. Le segment profite de la croissance économique, de l'essor continu du commerce en ligne et du mouvement de rationalisation des chaînes de distribution. Gramercy, dont le portefeuille était encore il y a deux ans équilibré à 50/50 entre bureaux et locaux industriels, a fait passer la part de ces derniers à près de 80% fin 2017.
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Economie circulaire : l'industrie a tout à y gagner

Pour les industriels, c'est aussi une question de survie. Pour préserver sa place sur le marché, son implantation sur le territoire et la pérennité de son activité, il est illusoire de vouloir faire l'impasse sur sa transformation écologique qui pourtant, dans un écosystème favorable, devient accessible à tous. Cette mutation passe d'abord par la capacité des dirigeants à s'adapter aux attentes des clients, mais aussi de leurs collaborateurs en leur offrant plus d'autonomie dans la gestion de l'entreprise. Mais s'engager dans une démarche d'entreprise écoresponsable nécessite aussi une transformation de son offre et donc de son processus de production. Et cela passe d'abord par l'innovation en changeant par exemple de matières premières, en développant de nouveaux matériaux, en concevant de nouveaux procédés...
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

C'est qui le patron ?! découvrez la marque au succès fulgurant qui secoue l'agroalimentaire

322 collectivités locales, celles aux budgets supérieurs à 60 millions d'euros, doivent négocier avec les Préfets l'évolution de leurs dépenses annuelles. Elles ont jusqu'au 30 juin pour signer avec l'Etat leur " contrat de confiance " budgétaire. Pour rappel, cette dépense publique locale pèse 20% du total des dépenses publiques. Alors qu'elles pesaient moins de 9% du PIB en 1987, elles dépassaient les 11% l'an dernier.Emmanuel Macron a préféré négocier les budgets des collectivités plutôt que reprendre la méthode de son prédécesseur et baisser purement les dotations de l'Etat. Cette nouvelle façon de faire, par "contractualisation", déroge totalement à la règle du quinquennat précédent : la baisse des dotations de l'Etat. Une mesure inédite et drastique puisqu'elle avait retiré des caisses des collectivités onze milliards d'euros sur quatre ans. Cette fois-ci, l'objectif fixé par Emmanuel Macron est de treize milliards en moins d'ici 2022. Une méthode jugée peu convaincante par l'expert François Ecalle dans sa nouvelle note pour Fipeco, car c'était la bonne. L'ancien magistrat de la Cour des comptes y souligne l'incroyable accalmie de la dépense publique locale observée depuis 2014. Et insiste sur l'efficacité de la politique menée à partir de 2012: "Le fort ralentissement résulte pour une grande part de la baisse des dotations de l'Etat." Pour cet expert de la dépense publique, la corrélation ne fait aucun doute.
>> Retrouvez l'article sur le site de Challenges.fr


Fleet

Auto : la chute du diesel s'accélère

La part des motorisations diesel est passée en France sous le seuil des 40 % depuis deux mois. Les flottes d'entreprises, longtemps épargnées par la tendance, commencent aussi à être touchées. D'après l'Observatoire du véhicule d'entreprise, le diesel a représenté 81 % des ventes " BtoB " au premier trimestre, 5 points de moins que sur les trois premiers mois de 2017. Le rééquilibrage de la fiscalité entre le gazole et l'essence, qui s'est poursuivie le 1er janvier, a sans doute aussi joué un rôle dans cette désaffection : les taxes sur le gazole ont augmenté de 7,6 centimes, contre seulement 3,9 centimes pour l'essence. Résultat, la différence entre les deux carburants n'est plus que de 8 à 10 centimes, contre 25 centimes il y a deux ans. De quoi rendre les véhicules diesel plus difficiles à rentabiliser - même si, moins émetteurs de CO2 , ils supportent moins de malus alors que la grille s'est sensiblement alourdie en début d'année.
>> Lire l'article complet sur le site Les Echos


Doc & IT

Les directeurs achats prennent la digitalisation à bras-le-corps

Au-delà du purchase-to-pay qui a su trouver sa place dans les entreprises, les acheteurs se tournent progressivement vers des outils d'aide à la décision fondés sur l'intelligence artificielle. Déjà, certaines applications se dessinent. Au-delà des chatbots, l'IA peut, par exemple, aider les acheteurs à nettoyer les données mises à leur disposition - un point non négligeable quand 43 % d'entre eux identifient la mauvaise qualité des informations recueillies comme premier obstacle à leur utilisation intelligente - mais aussi leur donner les moyens, en rédigeant des rapports, de mieux analyser le marché et les risques contrats, fournisseurs, RSE qui peuvent peser sur leur entreprise.
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Ouvrez, ouvrez et ouvrez encore votre entreprise !

Que ce soit entre les profils, les générations ou les organisations tierces, l'entreprise a tout intérêt à recréer du lien avec les parties prenantes de son écosystème. Casser les silos, créer du lien entre les générations, enfin, travailler autrement implique des modèles d'organisation ouverts sur l'extérieur. Nous entrons dans l'ère de l'entreprise plate-forme : les leaders de demain bâtissent des écosystèmes de partenaires pour éviter de fonctionner en vase clos. Cela se traduit par la mobilisation croissante de free-lances.
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Environnement de travail

Orange teste le "corpo-working"

En installant des espaces de co-working dans leurs locaux, certaines sociétés se convertissent aux espaces de travail ouverts. En France, Orange fait figure de précurseur avec sa Villa Bonne Nouvelle, où se côtoient salariés, free-lances et start-uppeurs. Conçu comme un " laboratoire vivant ", cet espace de 350 m² situé dans le quartier parisien du " Silicon Sentier " offre à une soixantaine de participants - salariés d'Orange, start-uppeurs et free-lances - la possibilité de travailler côte à côte pendant neuf à douze mois.
>> Lire l'article complet sur le site Les Echos


Travel

Air France, les acheteurs cherchent des alternatives pour leurs voyageurs

"Je cherche désormais des alternatives à Air France", explique clairement ce spécialiste d'une grosse entreprise du CAC 40, pourtant habitué à gérer des voyages complexes, "Même mes voyageurs, pourtant accrocs aux miles, reconnaissent qu'un programme de fidélité ne sert à rien dans une entreprise où la grève est quasi permanente". Depuis quelques jours, l'entreprise invite ses grands voyageurs à privilégier les compagnies européennes ou du Golfe pour les déplacements à venir. "Comme nous avons une politique voyage qui autorise la business pour des trajets de 8 heures et plus, une escale confortable n'est pas pour déplaire", conclut notre homme de l'art qui ajoute, un brin ironique, "Certains ont déjà pris leurs habitudes avec des compagnies qui proposent une classe affaires au look de First".
>> Lire l'article complet sur Déplacements Pros


Carrière, management et autres...

Six pratiques managériales du monde entier pour travailler autrement

Redéfinir le mot " travail " : nombreuses sont les entreprises dans le monde qui changent leurs pratiques managériales pour améliorer le quotidien des salariés. Hugo et François , deux étudiants de l'EM Lyon Business School et de l'Edhec, " baroudeurs de l'innovation managériale " 2017, ont réalisé un tour du monde de six mois en vue de répertorier les pratiques managériales innovantes. Aperçu de six d'entre elles, qui améliorent le quotidien des salariés.
>> Lire l'article complet sur le site Les Echos


 
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