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Revue de presse achats (semaine du 4 au 8 juin)

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Revue de presse achats (semaine du 4 au 8 juin)
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Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

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Monoprix accompagne ses fournisseurs pour cultiver sans néonicotinoïdes

L'enseigne a lancé, en juin 2016, une démarche baptisée "Monoprix Tous Cultiv'acteurs". "L'enjeu, c'est de promouvoir auprès de nos fournisseurs un modèle agricole plus durable et respectueux des abeilles et autres pollinisateurs", indique Karine Viel, responsable du développement durable chez Monoprix. A la clef, l'engagement de satisfaire les attentes des consommateurs avec des produits contenant moins de pesticides tout en restant aussi savoureux. Ce type de démarche n'est pas nouveau pour l'enseigne qui, en 2001, a lancé les Partenariats agricoles. Il s'agissait déjà d'inciter les fournisseurs à respecter un cahier des charges de bonnes pratiques agricoles tout en veillant à la qualité gustative de leurs produits. Quinze ans plus tard, un certain nombre de producteurs ont atteint un niveau de certification de type GlobalGAP, dont le référentiel repose notamment sur la traçabilité des pratiques de production et des produits, un emploi raisonné de la fertilisation organique et végétale, etc. Il y a deux ans, Monoprix a tenu à aller un cran plus loin, notamment dans la perspective d'une interdiction des néonicotinoïdes. "Nos 34 fournisseurs, qui représentent plus de 650 producteurs de fruits et légumes, ont tous adhéré au programme Tous Cultiv'acteurs qui les engage pour une durée de trois ans", reprend Karine Viel. Ceux qui le souhaitent peuvent s'engager dans une démarche visant à obtenir le label européen Bee Friendly développé et géré par l'association éponyme.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

La digitalisation des achats est lancée

L'étude Procurement 4.0 menée par PwC auprès de 500 directeurs achats dans plus de 20 pays d'Europe et d'Amérique du Nord, confirme que le virage du digital est désormais amorcé au sein des départements achats. En lien avec les technologies intelligentes et le développement de "l'industrie 4.0", le digital propose désormais des outils à fort impact, au service des nouveaux modèles économiques de l'entreprise. Les bénéfices pour la fonction achats sont nombreux : une possibilité de rupture dans les stratégies achats, de prise de décision plus fine et de repositionnement au sein de l'entreprise. Près de 35 % des directeurs achats interrogées ont ainsi digitalisé leurs processus transactionnels, 19 % ont transformé leurs processus stratégiques. Et 60 % des directeurs achats déclarent vouloir mener un programme de digitalisation complet de leur fonction à horizon 5 ans pour répondre aux enjeux stratégiques de leur entreprise. Cependant, la maturité des directions achats sur la question de la digitalisation reste encore faible : seuls 16 % des directeurs interrogés déclarent avoir une vision claire et une feuille de route pour digitaliser la fonction achats.
>> Lire l'article complet sur le site de Workplace

"Identifier les fournisseurs les plus innovants en matière d'environnement"

Une interview de Sylvain Guyoton, vice-president Recherche de EcoVadis - "La notation que nous retirons provient de ce que disent non seulement le fournisseur évalué mais aussi les tiers de confiance. Notamment les certificateurs. Tous ces résultats sont recoupés auprès de 2.500 parties prenantes : des ONG qualifiées (Greenpeace, WWF...), des administrations locales qui auditent voire infligent des amendes. Cela nous permet d'évaluer la qualité du reporting et la transparence de l'entreprise. Le but de nos 80 " recruteurs de fournisseurs " est de collecter le maximum d'informations auprès des sources les plus diversifiées possible. Ensuite deux ou trois parmi nos 150 analystes vont établir un score de l'entreprise."
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Keolis remporte le plus gros contrat de son histoire

Keolis, la filiale de transports urbains de la SNCF, a révélé que le contrat décroché au Pays de Galles, dans l'ouest du Royaume-Uni, avec le groupe britannique Amey (Ferrovial), représentait 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur 15 ans.. Le contrat comprend "l'exploitation, la maintenance et la rénovation du réseau ferroviaire Wales and Borders". Ce réseau de 1623 km compte 247 gares et accueille plus de 32 millions de passagers par an, d'après Keolis. La filiale de la SNCF a prévu d'investir 2,1 milliards d'euros dès cet automne pour moderniser le réseau. Elle compte notamment acheter 148 trains neufs, créer de nouvelles plages horaires et développer les services numériques. KeolisAmey gère déjà le réseau de tramway du Grand Manchester et un réseau de métro automatique à Londres, le Docklands Light Railway, un service essentiellement aérien qui dessert l'est de la capitale britannique.
>> Lire l'article complet sur le site de BFMBusiness

Boeing et Safran s'associent pour la conception, la fabrication et les services de Groupes Auxiliaires de Puissance

Boeing et Safran s'associent en vue de concevoir, fabriquer et assurer le support après-vente de Groupes Auxiliaires de Puissance (Auxiliary Power Units, APU) dans un partenariat créateur de valeur pour les deux groupes et leurs clients. Un APU est un système embarqué non propulsif dont l'objectif principal est de produire de l'énergie pour démarrer les moteurs principaux et alimenter les différents systèmes de bord au sol et, si besoin, en vol. Cet accord constitue un partenariat significatif entre deux leaders mondiaux de l'aéronautique pour développer ensemble des produits et offrir des services élargis au bénéfice des clients et, plus généralement, du secteur. La joint-venture, détenue à 50% par chacun des deux groupes, sera basée aux Etats-Unis. La réalisation de cet accord est soumise aux conditions habituelles, notamment l'obtention des approbations des autorités réglementaires et de la concurrence. L'opération devrait être finalisée au second semestre 2018.
>> Lire l'article complet sur le site de Safran

Améliorer l'approvisionnement et la gestion des fournisseurs: sensibilisation proactive et continue des fournisseurs

Développer une conversation régulière sur les sujets sur lesquels l'équipe d'approvisionnement peut interagir avec ses fournisseurs critiques pour discuter des défis en cours, des objectifs, des plans et des priorités de l'entreprise (et comment ces fournisseurs peuvent mieux soutenir ces domaines), des moyens d'accroître et d'améliorer l'innovation, des moyens pour améliorer leur communication et leurs relations globales pour le bénéfice mutuel des deux parties. Bien que le niveau d'information partagé et la fréquence de communication varient selon le type de fournisseur, un engagement proactif des fournisseurs visant à communiquer les objectifs et les attentes, à aligner les intérêts mutuels et à établir la confiance, établit une base solide pour des fournisseurs plus productifs et de meilleurs résultats.
>> Lire l'article complet sur le site de CPOrising

Supply chain

"Il y a un vrai intérêt à construire des relations de long terme avec les transporteurs"

Interview de Jérôme Bour, directeur de DDS Logistics -"Le levier de la négociation sur le coût (unitaire, tonne kilomètre, etc.) sera de plus en plus compliqué à utiliser. Ce sont dès lors d'autres axes qu'il convient de privilégier. Le plus efficace d'entre eux consiste à donner de la visibilité aux transporteurs, de leur garantir des trafics sur la durée. Il y a en effet un vrai intérêt à construire des relations de long terme avec les prestataires... tout en s'assurant de "ne pas mettre tous les oeufs dans le même panier". Il s'agit en premier lieu de choisir les bons transporteurs selon les axes, les tranches de poids, etc. Il convient ensuite de les fidéliser à travers une meilleure organisation de son plan de transport visant à mieux remplir les moyens. Ce travail est facilité par le TMS qui permet de gérer les relations avec un panel de prestataires sur la durée. Enfin, il existe un axe simple, mais encore trop peu répandu, c'est l'utilisation d'un outil précis de contrôle des factures. Nous sommes en effet aujourd'hui dans une situation dans laquelle deux tiers des entreprises ne sont toujours pas équipés de TMS et ne sont ainsi pas armées pour contrôler finement leurs factures transport. Elles ne le font donc généralement que par sondage.

>> Lire l'article complet sur le portail Faq Logistique

Réduction des coûts - Stratégies à adopter pour assurer le succès de la chaîne d'approvisionnement

La gestion des coûts reste la première priorité pour les CPO, car l'incertitude du marché saisit l'économie mondiale. L'incertitude du marché est très souvent le résultat de l'instabilité politique, de la disparité entre la demande et l'offre, de la rareté des ressources, des risques commerciaux et des menaces concurrentielles, pour n'en nommer que quelques-uns. Par conséquent, la gestion d'une entreprise semble être une idée parfaite, mais dans quelle mesure êtes-vous prêt à supporter les coûts de création de votre entreprise et de la faire croître en tant qu'entreprise? Avant de passer aux stratégies de base à adopter dans la chaîne d'approvisionnement, il est recommandé d'effectuer une vérification fondamentale de base dans votre plan de chaîne d'approvisionnement actuel. Cette vérification abordera certainement certaines des raisons pour lesquelles vous pourriez avoir besoin d'ajuster et de modifier vos stratégies actuelles de chaîne d'approvisionnement.

>> Lire l'article complet sur le site de Supplychain Academy

RSE

Les marques françaises à l'épreuve du recyclage textile

En France, pas moins de 600 000 tonnes de vêtements sont mises sur le marché chaque année, selon l'organisme Eco TLC, ce qui représente 2,5 milliards d'articles. A l'autre bout de la chaîne, 210 000 tonnes s'avèrent à ce jour collectées et triées, transitant par l'un des 40 000 points d'apport du territoire (soit 9,2 kg par personne, dont 3,2 kg collectés et triés). Mais c'est après le tri que cela se complique. La plupart des vêtements sont revendus ou réutilisés en France ou à l'étranger ; seulement un tiers des textiles collectés sont recyclés et pas forcément pour produire de nouveaux vêtements. Selon Newsweek, qui a enquêté sur la question en 2016, moins de 1 % des tissus qui composent nos vêtements sont recyclés pour en créer de nouveaux. Un vrai défi se pose à la filière pour parvenir à esquisser une véritable boucle. Pour Julia Faure, cofondatrice de la marque Loom il y a deux ans, il est aujourd'hui plus important de fabriquer des vêtements qui vont durer dans le temps et dont l'impact écologique sera restreint, plutôt que de s'emparer d'un fil textile recyclé.
>> Lire l'article complet sur le site de Fashion Network

Michelin veut fabriquer des pneus avec des matériaux recyclés

Michelin a annoncé son ambition d'arriver à 100 % de pneus collectés, puis recyclés. Et faire en sorte que ses pneus soient produits à 80 % avec des matériaux renouvelables. Le groupe se donne jusqu'en 2048 mais espère y arriver avant. Plus de 200 composants différents entrent dans la fabrication d'un pneu. Chez Michelin, le taux de matière renouvelable qu'il contient est de 28 % (26 % de matériaux bio sourcés, comme le caoutchouc naturel, l'huile de tournesol, le limonène et 2 % de matériaux recyclés, comme l'acier ou la poudre de pneus recyclés). Passer de 28 à 80 % va exiger un effort de recherche considérable et la mise en place d'une filière. Les techniques restent encore à inventer. Surtout, cet objectif implique de voir tous les fabricants coopérer pour organiser la récupération des pneus usés. Michelin espère entraîner à la fois les autres manufacturiers, des entreprises spécialisées dans le recyclage et des start-up. Aujourd'hui, une bonne partie des pneus collectés est utilisée pour la production de chaleur, notamment dans les cimenteries. Demain, ils doivent redevenir de la matière pour différentes industries.

>> Lire l'article complet sur le site de La Croix


Travel

SNCF/Air France: les grèves pèsent sur le tourisme d'affaires

"Il y a eu un impact des conflits sociaux" sur le tourisme, indique-t-on au Quai d'Orsay, ministère en charge du secteur : "l'impact est différencié car Paris tire très bien sa carte du jeu, mais d'autres secteurs comme le tourisme d'affaires et les séminaires, ainsi que certaines capitales régionales, ont été frappés", car très dépendants des transports. Dans l'hôtellerie, le plus touché est le tourisme d'affaires. Concernant l'activité spécifiquement liée aux congrès et aux séminaires professionnels, "on a constaté un arrêt net et significatif depuis le début de la grève, et qui va en augmentant car les entreprises ne souhaitent pas prendre de risques", souligne Roland Héguy, président de la principale organisation patronale Umih. "On est à -50 % de chiffre d'affaires sur ce segment depuis le début des grèves et ça ne bouge pas, malgré un mois de juin traditionnellement très fort pour ce tourisme-là en France. C'est un coup dur étant donné que tout se présentait bien initialement pour 2018", déplore-t-il.

>> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Fleet / Mobilité

Permis de conduire : son retrait ne sera plus un secret pour l'employeur et l'assureur

La mesure était annoncée dès 2015 pour les entreprises de transport. Lors du Comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015, une mesure n° 21 visait à "permettre aux employeurs, en particulier les transporteurs, de connaître la validité du permis de conduire de leurs employés affectés à la conduite, à l'exclusion du solde de points et toute autre donnée personnelle ". Le décret du 24 mai 2018 concrétise cette recommandation. L'article R 225-5 du Code de la route prévoit désormais la possibilité d'accéder directement à cette information pour "les personnels individuellement désignés et habilités des entreprises exerçant une activité de transport public routier de voyageurs ou de marchandises pour les personnes qu'elles emploient comme conducteur de véhicule à moteur". Reste que cette mise à jour de la liste des personnes pouvant accéder aux données du Système national des permis de conduire (SNPC) ne se limite pas aux entreprises de transport. On trouve ainsi à présent un nouvel article R.330-3 du Code de la route qui prévoit cette possibilité pour "les entreprises d'assurance garantissant les dommages subis par des tiers résultants d'atteintes aux personnes ou aux biens dans la réalisation desquels un véhicule à moteur, ainsi que ses remorques est impliqué et les organismes assimilés à ces entreprises, dès lors que ces informations ont pour seul but d'identifier les biens et personnes impliqués dans un accident de la circulation, à condition qu'au moins un des véhicules soit assuré par l'assureur demandeur ou que ce dernier ait en charge l'indemnisation d'une des victimes".
>> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac

Les voitures françaises ont la cote en entreprise

Comment expliquer cette longueur d'avance des français sur ce marché, face à des concurrents offensifs ? "Il existe un certain chauvinisme sur le marché des flottes depuis les années 1970, rappelle Robert Maubé, expert et consultant indépendant en gestion de parcs automobiles. Les entreprises donnent plus volontiers l'exemple en matière de patriotisme économique, surtout en temps de crise et de chômage de masse". Mais la fidélité n'explique pas tout, pas plus que le made in France, qui ne représente que 30 % de la production des constructeurs nationaux. C'est aussi une question d'image. "La plupart des décideurs et gestionnaires de parcs ne veulent pas que leurs collaborateurs s'affichent avec des voitures trop ostentatoires. Cela peut créer un malaise vis-à-vis des clients, des fournisseurs ou des actionnaires, voire susciter des jalousies en interne par rapport aux salariés n'ayant pas le droit à un véhicule de fonction." Ces principes varient toutefois selon les entreprises.
>> Lire l'article complet sur le site du Point

La voiture du futur prend son envol sur l'ex-base aérienne de l'Essonne

Les deux concepteurs de la société XYT, Marc Chevreau et Simon Mencarelli,veulent construire des véhicules modulaires adaptés à tout type de services autour de trois gammes de voitures atypiques, X, Y et T. "Nous avons choisi ce nom pour qu'il soit universel avec le X et Y qui représentent l'homme et le T la technologie. L'originalité de nos modèles, c'est qu'ils peuvent être montés comme des Lego, sourit Simon Mencarelli. Nous pouvons les personnaliser pour répondre aux attentes de nos clients." L'entreprise a d'abord commercialisé une petite citadine électrique, la Y, dont 80 modèles circulent déjà dans toute la France, pour une valeur moyenne de 20 000 € (batterie comprise). Une flotte de 30 autres est louée régulièrement, notamment à la société Live Nation (voir ci-dessous). Elle se lance aujourd'hui un autre défi : une camionnette, la X, qui, en fonction des besoins, peut contenir un volume variable.
>> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Porsche contraint d'interrompre la vente d'une partie de ses modèles en Europe

Selon le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, le célèbre constructeur automobile doit suspendre jusqu'à nouvel ordre la vente d'une partie de son catalogue en Europe. Un porte-parole du groupe indique que l'offre de véhicules est limitée de façon temporaire. Et pour cause, certains de ses véhicules ne répondraient plus aux nouvelles normes européennes en matière d'émissions de gaz polluants. Précisément, ce sont les moteurs à essence de Porsche qui ne respecteraient pas les nouvelles limites imposées par l'Europe, à moins d'être équipés d'un filtre à particule. Porsche semble ainsi se présenter comme la première victime du nouveau cycle d'essai européen appelé WLTP (Worldwide harmonized Light vehicles Test Procedure) qui remplace le NEDC (New European Driving Cycle) et dont l'application doit être progressivement mise en oeuvre en septembre.
>> Lire l'article complet sur le site de BFMBusiness

Commande publique

Les panneaux 80 km/h coûtent chers aux collectivités locales

La limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires entrera en vigueur le 1er juillet 2018. En Saône-et-Loire, le recensement des panneaux 90km/h vient de s'achever et l'installation des nouveaux commence. Près de 40 000 doivent être posés dans tout le pays. Cependant, leur coût reste un sujet qui inquiète les élus locaux. Au total, il faut débourser 200 euros pour un panneau : 80 euros pour sa fabrication et 120 euros pour son installation.
>> Lire l'article complet sur le site de LCI

Autolib à Paris: la guerre continue entre Bolloré et Hidalgo

Le groupe breton se dit stupéfait des propos de la maire de Paris, qui réfléchit à une offre alternative aux voitures en libre-service Autolib, et fait valoir que son contrat pour ce service d'auto-partage ne prévoit pas plus de 60 millions d'euros de pertes à sa charge. Le groupe, dans un communiqué, rappelle "qu'il n'a cessé d'alerter le syndicat (mixte d'Autolib) de la dérive financière du service sans qu'aucune mesure ne soit prise et regrette cette polémique". "Comme pour Velib, qui a été récemment reconcédé à un tiers, le syndicat peut parfaitement reconcéder s'il le souhaite le service Autolib à un nouvel opérateur." Le passage à Paris des vélos en libre-service Vélib' du groupe JCDecaux à un nouvel opérateur a donné lieu à d'importants retards d'installation du système, qui ont excédé les usagers. Anne Hidalgo, interrogée par le quotidien Les Echos sur le litige avec Bolloré à propos d'Autolib, juge que "la somme demandée par l'entreprise est extravagante" et déclare que la mairie de Paris est en discussion avec plusieurs constructeurs automobiles pour réfléchir à une offre alternative. Dans son communiqué, le groupe Bolloré dit avoir "pris connaissance avec stupéfaction des déclarations d'Anne Hidalgo et du syndicat mixte Autolib Velib". "Il tient à rappeler que, par contrat signé entre les parties, il est clairement précisé que le groupe Bolloré, qui devait déjà financer les investissements, ne pouvait prendre à sa charge plus de 60 millions d'euros de pertes de ce service de transport public."
>> Lire l'article complet sur le site de Challenges

La commande publique pour promouvoir l'économie circulaire au niveau local

Les collectivités et les territoires ont un rôle clé à jouer dans le développement de ce nouveau système économique. L'économie circulaire se déploie en effet d'abord au niveau local sous forme d'écosystèmes où les " déchets " produits par certains acteurs deviennent les ressources d'autres acteurs du même territoire. L'économie circulaire peut ainsi parfaitement s'insérer dans une politique de développement économique orientée vers la création d'emplois locaux et une meilleure gestion des ressources territoriales. C'est là qu'intervient la commande publique qui reste à l'heure actuelle l'un des outils majeurs à la disposition des acteurs publics. D'abord par son poids économique prépondérant - l'Ademe estimait en 2016 que celle-ci représente une valeur économique d'environ 10 % du PIB et 200 milliards d'euros. Ensuite, par une certaine souplesse, les marchés publics pouvant s'appliquer à une grande diversité de produits, de services, de secteurs d'activité ; et être mobilisés par une grande variété d'acteurs publics opérant à divers niveaux de responsabilité territoriale (État, régions, département, établissements d'aménagement, villes...).
>> Lire l'article complet sur le site de La Gazette des communes

Lyon: Comment le bio à la cantine a-t-il favorisé le développement de producteurs de la région?

Pour assurer la préparation des 24.000 repas servis chaque jour dans les cantines, ce prestataire de service fait appelle à quatre coopératives de producteurs de la région Auvergne Rhône-Alpes, situées dans un périmètre de 200 km autour de Lyon. "Les produits locaux représentent 55 % des aliments servis aux écoliers", précise Florian Geslin, directeur régional d'Elior. Parmi ces coopératives, Bio à Pro, créée en 2009 par une dizaine d'agriculteurs de la région et basée à Brignais, alimente aujourd'hui largement la cuisine centrale de Rillieux, où 18 tonnes sont produites chaque jour pour les écoliers de Lyon. "Elior représente 30 % de notre chiffre d'affaires qui s'est élevé à 2,1 millions d'euros en 2017", indique Gérard Gayet, le directeur de la coopérative qui regroupe désormais 80 producteurs du Rhône et de la Loire.
>> Lire l'article complet sur le site de 20 minutes

Comment la Défense tente d'inclure les PME dans sa stratégie d'achat

La ministre des Armées a successivement annoncé de nouvelles mesures pour l'innovation et pour les PME. Le but ? Secouer les habitudes de la DGA jugée trop conservatrice, mais aussi obliger les grands donneurs d'ordre comme Dassault ou Naval Group à traiter correctement leurs sous-traitants, afin de favoriser l'émergence des entreprises de taille moyenne (ETI) de demain. Le ministère prévoit de lancer cet été une agence de l'innovation, point d'entrée pour tous les porteurs de projets y compris en provenance du monde civil, et a annoncé la semaine dernière un plan d'action pour les PME et ETI en 21 points. Le sujet tient d'autant plus à coeur à Florence Parly que la loi de programmation militaire entérine une remontée en puissance des investissements dans l'armement. C'est donc maintenant qu'il faut s'assurer que cette manne ne soit pas captée par les seules grandes entreprises. Actuellement, la DGA investit en gros 11 milliards d'euros par an en équipements et 800 millions en études amont. De son côté, le ministère a calculé que 14 % seulement de son budget annuel est consacré à des achats auprès de PME dans la défense, mais aussi les fournitures classiques, le BTP, etc. Ceci équivaut néanmoins à 40 milliards d'euros d'achats sur la durée de la loi de programmation militaire, soit de 2019 à 2025.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Environnement de travail

Être plus écolo au bureau : les bons gestes

Economiser l'énergie, opter pour des petits gestes écolos, ce n'est pas seulement bon pour la planète, c'est aussi bon pour le porte-monnaie. Y compris celui de l'entreprise. Comment? En changeant quelques mauvaises habitudes. Les conseils dispensés et détaillés dans Ouest France: Économiser l'énergie - Débranchez les chargeurs de vos téléphones - Limiter l'emploi du jetable - Ne jetez plus vos mégots, vous économiserez l'eau - Contrôler la consommation de papier - Préférer les transports en commun - Instaurer le tri des déchets.
>> Lire l'article complet sur le site de Ouest France

Cette start-up qui vous permet de faire de l'escalade, du yoga ou du foot à 5 au bureau

Pas de contrainte liée à un lieu précis, le salarié peut en changer à sa guise et suspendre ou reprendre son abonnement à tout moment. GRTgaz a investi 40 000 euros sur cette première expérience de six mois qu'il a bien l'intention de prolonger. "Auparavant, nous n'avions aucune offre en matière de sport, mais la demande était forte, raconte Hervé Rambaud, le DRH du groupe. C'est un signal que nous voulions donner en montrant que l'entreprise était attachée à l'équilibre entre le travail et le bien-être." Lancée en janvier, sur son site francilien, à Bois-Colombes dans les Hauts de Seine (600 personnes), l'offre a déjà séduit plus d'un collaborateur sur trois. Faciliter la pratique du sport pour les salariés, avec un abonnement offrant un accès illimité aux salles et un choix illimité et évolutif en termes de disciplines. C'est l'objectif de Gymlib, start-up en plein essor, surfant sur la quête sans fin du bien-être au bureau.
>> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Plus de 80% des équipements de protection individuelle analysés par la DGCCRF ne sont pas conformes

Sur les 572 établissements que la DGCCRF a contrôlés en 2016 pour vérifier le respect de la réglementation sur les équipements de protection individuelle (EPI), plus d'un quart se sont révélés en anomalie. Plus grave, 82% des équipements analysés étaient non conformes. "La plupart des non-conformités constatées tenaient à des lacunes de marquage, d'information et d'avertissement, ainsi qu'à l'absence ou au mauvais emploi de la langue française dans la notice d'utilisation", explique la direction du ministère de l'Economie. "De manière générale, l'information relative à la période de péremption des équipements de protection individuelle avant la mise au rebut reste mal maîtrisée par les différents opérateurs", ajoute-t-elle. Sur les 91 équipements analysés, 75 étaient non conformes dont cinq dangereux. Parmi ces derniers, trois étaient utilisés pour les travaux forestiers ou de jardinage : une paire de gants de tronçonnage et deux casques. "Ces produits ont fait l'objet d'un rappel et d'un retrait du marché", rassure la DGCCRF. Les deux autres appareils dangereux étaient des appareils filtrants.
>> Lire l'article complet sur le site de Actu Environnement.com


IT

Les premières sanctions du RGPD commencent à tomber

Avec l'entrée en application du Règlement Général sur la Protection des Données Personnelles (RGPD) le 25 mai dernier, de nombreuses entreprises n'ont pas tardé à faire les frais des premières retombées : les réseaux sociaux étaient en première ligne, avec le rehaussement de l'âge légal pour ouvrir un compte à 16 ans : tous les mineurs détenteurs d'un compte sur le réseau social Twitter ont ainsi vu leur accès bloqué, le temps que les parents remplissent un formulaire et fournissent les justificatifs demandés.
>> Lire l'article complet sur le site de Place de la conformité

IA + IoT, le couple gagnant de la maintenance prédictive

Le principal gain est à mettre à l'actif de l'entreprise cliente. La maintenance prédictive lui permet de réduire au strict minimum l'immobilisation d'une machine tout en la programmant à l'avance. En limitant voire en annihilant le risque de défaillance, l'entreprise allonge, par ailleurs, la durée de vie de son équipement. En bardant ses ascenseurs de capteurs, le suisse Schindler tend à rendre ses installations disponibles 100 % du temps. La France n'est pas en reste. Tous les fleurons de notre économie évoluant dans l'automobile (PSA, Renault, Valeo), l'aéronautique (Airbus, Safran) ou l'énergie (Total, Air Liquide, Engie) se sont engagés dans de vastes plans d'IoT industriel. A elle seule, la SNCF investit 500 millions d'euros pour optimiser la maintenance de ses rames, entretenir ses voies et surveiller ses gares. Par rapport à une maintenance traditionnelle, le mode prédictif nécessite toutefois un investissement plus conséquent. Il s'agit de mettre en place et de gérer un parc d'objets connectés mais aussi l'infrastructure cloud de stockage et de traitement des données ad hoc. Pour autant, le ROI est au rendez-vous. Un rapport de McKinsey prévoit que la maintenance prédictive fera économiser aux entreprises 630 milliards de dollars par an à partir de 2025.
>> Lire l'article complet sur le site du Journal du Net

Lyon va expérimenter un service de multi-covoiturage basé sur la blockchain

L'IRT SystemX va expérimenter en région lyonnaise un service basé sur la blockchain qui permet de mutualiser les différentes plates-formes de covoiturage présentes sur le territoire afin de gonfler l'offre proposée aux usagers et de les inciter à opter pour ce mode de déplacement. L'objectif est de fluidifier le trafic sur le tronçon A6/A7, un axe particulièrement congestionné.(...) Pourquoi recourir aux technologies de la blockchain ? Ces dernières vont permettre d'interfacer techniquement les différentes plates-formes de covoiturage qui n'ont pas été conçues selon un socle commun. La chaîne de bloc va également permettre de mettre en place une chambre de compensation pour assurer les transactions financières entre les opérateurs.
>> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

RH/ Management... et autres

S'épanouir au boulot, tout le monde y gagne

Connaissez-vous le care ? Le terme, qui fait le buzz dans le monde de l'entreprise, désigne l'attention aux autres et la solidarité entre collègues. Ce management par la bienveillance se diffuse à vitesse grand V. D'après une étude Viavoice-La Maison bleue auprès de 400 DRH et dirigeants d'entreprise, 91% estimant que le care est une clé d'attractivité et de fidélité "efficace", et même "très efficace" pour 41% d'entre eux. A l'heure où les conflits entre collaborateurs - notamment avec la hiérarchie - arrivent en tête des causes de souffrance au travail, les entreprises sont poussées à miser sur la sollicitude. Et il ne s'agit pas seulement de veiller à la "qualité de vie au travail" : "Les salariés, et notamment les jeunes, visent une satisfaction globale dont la carrière n'est qu'un élément", souligne Florent Baudel, DRH de l'entreprise de crèches La Maison bleue, qui a commandé l'enquête. La plupart des études évaluent entre 10 et 12% les gains de productivité d'un collaborateur satisfait. L'entrain au travail est bon pour le business !
>> Lire l'article complet sur le site de Capital

Comment contrôler vos émotions pendant une discussion difficile

Il est difficile de ne pas s'énerver lorsque la discussion est tendue. Après tout, un désaccord peut être ressenti comme une menace. Vous craignez d'avoir à abandonner quelque chose : votre point de vue, votre façon de faire, le sentiment d'avoir raison, peut-être même du pouvoir. Votre corps se prépare alors à la bagarre en activant le système nerveux sympathique. C'est une réaction naturelle. Le problème est que notre corps et notre cerveau ne font pas bien la distinction entre les différentes menaces comme, par exemple, ne pas se faire entendre sur un projet et, disons, être poursuivi par un ours. Votre fréquence cardiaque et respiratoire s'emballe, vos muscles se raidissent, le sang quitte vos organes et vous allez probablement vous sentir mal. Autant de phénomènes qui ne vous mettent pas dans les meilleures dispositions pour résoudre un conflit. Si votre corps se met en mode " lutte ou fuite " ou active ce que le psychologue Dan Goleman appelle "le détournement de l'amygdale", vous risquez de ne plus avoir accès à votre cortex frontal, la zone du cerveau chargée de la pensée rationnelle.
>> Lire l'article complet sur le site de Capital

Coupe du monde : la folie des concours de pronostiques au bureau

Tous les deux ans, la Coupe du monde et l'Euro monopolisent discussions et débats entre collègues. Une ferveur dont Corporico a décidé de tirer profit. La start-up propose une plate-forme de pronostics personnalisée aux couleurs de chaque entreprise. Les salariés n'ont pas à miser d'argent. Ils doivent simplement prédire qui gagnera le Mondial et le score de chaque match. A la fin du tournoi, les pronostiqueurs qui ont visé juste le plus grand nombre de fois gagnent une récompense offerte par leur société. Dès son lancement, lors de l'Euro 2016, Corporico a engrangé un chiffre d'affaires de plus de 200 000 €. Le concept a visiblement convaincu : environ 200 clients ont fait appel aux services de la start-up à l'approche du Mondial, deux fois plus qu'en 2016.
>> Lire l'article complet sur le site du Parisien


 
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