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Revue de presse achats (semaine du 16 au 20 avril)

Publié par Marie-Amélie Fenoll le - mis à jour à
Revue de presse achats (semaine du 16 au 20 avril)

Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

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Non l'avenir n'appartient pas aux robots : la preuve avec Tesla

Mea Culpa. Le patron le plus visionnaire de sa génération s'est trompé, les usines de demain n'appartiendront pas entièrement aux robots. Elon Musk, le fondateur de Tesla, l'a admis le 13 avril dans un reportage de la chaîne américaine CBS: il a trop automatisé la production de la Model 3. Dans un tweet, Elon Musk admet avoir trop automatisé l'usine de production de sa Tesla et parle "d'humains sous-côtés". Ainsi, en pleine tourmente financière, Tesla n'arrive pas à tenir ses objectifs de production de la Model 3, sa nouvelle berline censée démocratiser la voiture électrique pour de bon, commandée initialement à 400.000 exemplaires. Le 3 avril, il a atteint un rythme de 2020 voitures par semaine, contre un objectif de 2500, et 5000 à court terme. [...] Au-delà des actes de soudures ou d'usinage de tôles de carrosserie, Tesla a tenté d'automatiser l'assemblage de nombreuses pièces, à coup de robots très coûteux, sans parler du salaire des ingénieurs qui les manipulent, rappelle France Inter. Des tâches mieux effectuées, et pour moins chers, par des humains bien formés.
>> Retrouvez l'article "Tesla: Elon Musk admet avoir trop robotisé la production de la Model 3, et sa solution va vous rassurer sur l'avenir" sur le site du Huffington Post.

Pourquoi Leclerc peut gagner son bras de fer contre Coca-Cola

La guerre est ouverte entre les enseignes Leclerc et le géant Coca-Cola. Alors que les deux parties avaient jusqu'au 1er mars pour renégocier les tarifs des produits Coca-Cola, comme la loi les y oblige, aucun accord n'a finalement été trouvé pour l'année 2018. La raison? Coca-Cola souhaite augmenter le prix de ses produits chez Leclerc afin de maximiser ses recettes. [...] Leclerc a entamé un rapport de force en baissant le prix de ses bouteilles de Coca-Cola. Mais Leclerc n'est en conflit qu'avec Coca-Cola France. Le commerce peut tout à fait se poursuivre avec les filiales de Coca-Cola en Pologne ou en République tchèque, deux entités tout à fait indépendantes, dont les bouteilles et canettes sont produites à moindre coût. Avec la libre circulation des marchandises en vigueur au sein de l'Union européenne, le tour est ainsi joué : on peut estimer que Leclerc n'a pas à se soucier d'une éventuelle pénurie à long terme. [...] Pour rappel, ce conflit est loin d'être le premier du genre pour Leclerc, qui avait été en bataille ouverte avec la pâte à tartiner Nutella, l'huile d'olive Lesieur, le camembert Président ou encore le lait Lactel.
>> Lire l'intégralité de l'article sur le site de Capital.fr.

Le fabricant de sneakers Veja met son sourcing durable à nu sur internet

Sur le récent site web de la marque de baskets bio-compatibles créée en 2004, on peut, par exemple, suivre la chaîne de fabrication du coton utilisé. Ou suivre les volumes achetés année après année (Veja en a consommé 180 tonnes depuis sa création). Les plus rigoureux (et lusophones) liront les contrats signés avec les producteurs du coton ou du caoutchouc utilisé ou bien décortiqueront les factures. La marque compare le prix payé avec son process et ce qu'elle paierait en faisant produire dans une usine chinoise. Un rapport de un à plus de trois.



>> Lire l'article complet sur le site de L'Usine Nouvelle

La bizarrerie, une technique de négociation

Que faire quand les interlocuteurs restent campés sur leur position et que toute évolution semble impossible ? "Recourir aux solutions bizarres", lit-on dans l'ouvrage sur la négociation des experts en management et stratégie Patrice Stern et Jean Mouton. [...] L'idée serait d'aller sur le terrain de la partie opposée, après en avoir finement analysé les contours, et de lui redonner temporairement du pouvoir. Une concession susceptible, par la suite, d'être échangée contre un avantage. Cette technique de négociation s'inspire des compétitions de judo, où on déstabilise l'adversaire avant d'engager la prise qui va le faire tomber. Les experts en management, qui l'assimilent aussi à la stratégie de non-violence de Gandhi, la jugent redoutablement efficace en situation de blocage absolu.
>> Lire l'edito de Muriel Jasor, rédactrice en chef des Echos Executives

[Vidéo] De la fonction achats au management stratégique des ressources externes

Xerfi Canal a reçu Hugues Poissonnier, professeur d'économie et de management à Grenoble École de Management à Grenoble Ecole de Management, pour parler de l'apport de la fonction achats au management stratégique des ressources externes.
>> Voir l'interview vidéo d'Hugues Poissonnier sur le site de Xerfi business

Les géants de l'électronique se jettent dans la bataille du cobalt

Inquiets de la rapacité des producteurs chinois de batteries pour véhicules électriques, Samsung, Apple ou encore SK Innovation tentent de sécuriser leur accès à ce précieux métal. Le mois dernier, la Somika, la Société minière du Katanga, en République Démocratique du Congo (RDC) a confirmé qu'elle avait entamé des négociations avec Samsung C & T Corporation, une filiale de Samsung spécialisée notamment dans le commerce de matières premières. Le conglomérat sud-coréen chercherait à sécuriser pendant plusieurs années son approvisionnement en cobalt, dont les autres entités du " chaebol " ont besoin pour fabriquer des batteries pour leurs smartphones et leurs véhicules électriques.Quelques semaines plus tôt, ce sont les négociateurs d'Apple qui discutaient avec les grandes mines de RDC, qui abrite plus de 50 % des réserves mondiales du précieux métal. En Australie, le sud-coréen SK Innovation vient, lui, de signer un partenariat avec Australia Mines pour un gisement de cobalt qui ne sera pas productif avant 2020.
>> Lire l'article sur le site des Echos.fr

[Vidéo] Total s'impose en concurrent d'EDF et d'Engie en rachetant Direct Energie

Total frappe un grand coup sur le marché français de l'électricité et du gaz et se pose en concurrent direct d'EDF et d'Engie. Le pétrolier français a annoncé mercredi l'acquisition de Direct Energie, le numéro un des fournisseurs d'énergie alternatifs dans l'Hexagone . Total va débourser 1,4 milliard d'euros pour acheter 74 % du capital auprès des principaux actionnaires de l'entreprise [...] Total est déjà présent dans la distribution de gaz et d'électricité en France et en Belgique depuis l'acquisition de Lampiris en 2016. Il a rebaptisé son offre " Total Spring " à l'automne dernier . En intégrant Direct Energie, il creuse très nettement l'écart avec ses principaux concurrents dans l'électricité comme ENI (mais reste devancé par Engie et ses 4 millions de clients). EDF perd plus de 100.000 clients par mois mais contrôle encore 82 % du marché des clients résidentiels, soit 26,5 millions de foyers.
>> Lire l'intégralité de l'article et voir la vidéo sur le site des Echos.fr

RSE

Les armateurs des transports maritimes mondiaux signent un accord pour réduire leurs émissions carbone

En négociation depuis 2007, le transport maritime est le dernier secteur de l'économie mondiale à s'engager dans la réduction des émissions de CO2, après l'aviation en 2016. Cet accord annonce-t-il la décarbonisation du transport maritime ? Cet accord marque une étape politique significative pour encourager la décarbonation maritime, qui représente 90 % du transport des marchandises.Il contribue aujourd'hui à 3% des émissions mondiales mais Si rien n'est fait, son empreinte atteindra 17 % d'ici 2050. C'est une première étape, qui lance une dynamique de travail pour la décarbonation du transport maritime international d'ici la fin du siècle. En matière d'ambition climatique, c'est la première fois que cette industrie se fixe des objectifs chiffrés en matière de lutte contre le changement climatique : au moins 50% de réduction d'ici 2050 par rapport à 2008. Même si ce secteur n'était pas directement concerné par l'Accord de Paris signé en décembre 2015, cet accord de l'OMI (Organisation Maritime Internationale) était très attendu. L'aviation internationale (à travers l'OACI) avait déjà établi son accord mondial sur le climat en octobre 2016.
>> Retrouvez l'interview d'Emilie Alberola, Head of "politiques climatiques et mécanismes de marché" au sein du département R&D d'Eco-Act depuis janvier 2018 sur le site d'Atlantico.fr.

Fleet

Les loueurs longue durée adaptent leur offre aux collectivités

Les acteurs de la location longue durée (LLD) s'attaquent au marché de renouvellement des flottes publiques en véhicules hybrides ou électriques. [...] La " circulaire Cazeneuve ", qui définit la politique de mutualisation et d'optimisation de la gestion du parc automobile des collectivités, en fixe les règles depuis un an. Désormais, dans les flottes publiques, seules les motorisations essence sont autorisées (le diesel est proscrit sauf pour les utilitaires) et 50 % des nouvelles acquisitions doivent se porter sur des modèles à faibles émissions (moins de 60 g/km de CO2), c'est-à-dire hybrides ou électriques. La gestion des véhicules doit être mutualisée avec un objectif de réduction du parc de 15 % d'ici à 2020.
>> Retrouvez l'article sur le site du Monde.fr

Le "carsharing" suscite l'intérêt des collectivités locales

Après les entreprises, Citiz développe son offre d'autopartage à destination des villes et des communautés rurales. Ne pas posséder de voiture, en louer une quand nécessaire : les professionnels aussi se mettent à l'autopartage. Chez Citiz, "il y a trois ans, 30 % de nos clients étaient des professionnels, ils sont aujourd'hui 40 %", assure Jean-Baptiste Schmider, fondateur et directeur du réseau présent dans 90 villes françaises avec 1 100 voitures et 30 000 membres. L'autopartage, aussi appelé "carsharing", permet aux abonnés de réserver un véhicule pour quelques heures ou quelques jours, de l'emprunter à toute heure à une station située sur la voie publique ou dans un garage, en ne payant que le temps d'utilisation. Citiz, qui a levé 1,27 million d'euros en novembre 2017 auprès de quatre partenaires financiers parmi lesquels la Caisse des dépôts, cherche à grignoter une petite part du marché des flottes d'entreprise.
>> Retrouvez l'article sur le site du Monde.fr

La voiture électrique ne sera-t-elle qu'une niche ?

Le tout électrique, avenir de l'automobile ? C'est ignorer les contraintes qui pèsent sur la production des batteries, la fourniture d'électricité propre et son transport. Des avancées sont bien sûr possibles... à condition d'y mettre beaucoup de temps et d'argent. Premier problème : la batterie où les métaux jouent un rôle clef dans leur fabrication. Le prix du lithium a triplé en trois ans, celui du cobalt a pratiquement doublé en un an. Disponible en abondance, le premier pose des problèmes techniques - les ressources sont par exemple en zone désertique alors qu'il faut beaucoup d'eau pour l'extraire. Le second, lui, est produit aux deux tiers dans la très instable République démocratique du Congo. Viennent ensuite les problématiques de la production et du transport de l'électricité.[...] "La voiture sera autonome avant d'être électrique", prédit le patron d'un grand équipementier automobile. En attendant l'avènement de l'autre auto électrique, celle où l'énergie vient de l'hydrogène, la voiture tout-batterie restera sans doute une niche.
>> Lire l'analyse de Jean-Marc Vittori sur le site des Echos.fr

Travel

Bientôt internet en haut débit dans les avions ?

Inmarsat a annoncé lundi le lancement de son système EAN d'internet à bord en partenariat avec Deutsche Telekom, destiné proposer un service à haut débit dans les avions. International Airlines Group (IAG), la maison-mère de British Airways, Aer Lingus, Iberia et Vueling a signé un contrat en mars 2017 pour être le client de lancement du système EAN. Inmarsat et Deutsche Telekom "pourront maintenant associer l'internet en vol via satellite avec un réseau terrestre et faire du haut débit dans les avions une réalité pour les appareils de transport régional", indique Inmarsat dans un communiqué. Les deux partenaires ont obtenu le feu vert de l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (Arcep) pour l'utilisation de stations terrestres sur le territoire français qui permettront d'augmenter la capacité du satellite Inmarsat S-Band lancé en juin 2017.
>> Retrouvez l'article sur le site de Challenges.fr

Achats publics

Vélib' à Paris : les raisons d'un fiasco politique, financier et environnemental

Le feuilleton Vélib' n'en finit plus à Paris. Le week-end dernier, face aux critiques de plus en plus pesantes, Smovengo est sorti du bois en publiant un communiqué au vitriol. Peu fair-play, il y accuse à la fois son donneur d'ordre - le syndicat intercommunal Vélib' Métropole - et son prédecesseur - JCDecaux - de lui mettre "des bâtons dans les roues". Ce à quoi l'afficheur à répondu sans mollir par un contre-communiqué, où, chiffres à l'appui, il assure que le retard est "totalement imputable" à Smovengo, et où il raille le manque d'" anticipation ", de " compétences " et d'"expérience" de son jeune rival. Lequel, manifestement, n'était en effet pas taillé pour une mission aussi colossale. [...] Sur les 1 400 stations prévues à Paris et en proche banlieue, la moitié auraient dû fonctionner dès janvier. Or, à ce jour, seules 376 sont déclarées ouvertes. Et encore, ce chiffre est largement surfait, car en réalité, dans beaucoup de ces stations, les vélos restent bloqués faute d'électricité ou de connexion numérique. Alors que le parc Vélib' est inutilisable depuis plus de quatre mois, il est à craindre, au rythme où va le chantier, qu'il le reste six de plus. On s'achemine donc vers une année blanche. Un fiasco monumental pour le vélo en ville. Fiasco à la fois politique, financier et environnemental.
>> Retrouvez l'article sur le site de Télérama.fr


760 millions d'euros d'achats publics par an en Paca

760 M€ sont ainsi dépensés en moyenne chaque année par l'Etat dans la région, dont 260 M€ par les établissements publics. "Cette enveloppe est à la hausse ou constante, mais pas à la baisse" précise Florence Leverino secrétaire générale adjointe aux affaires régionales soucieuse de donner, à l'occasion de ce forum en présence du Préfet et du responsable national des achats publics, de la visibilité aux entreprises régionales. Une volonté de rassurer les chefs d'entreprise. "On essaie d'avoir des programmes pluriannuels et une visibilité sur trois ans" ajoute la fonctionnaire. "53 % de nos marchés sont attribués à des PME et TPE", précise-t-elle encore. D'où cette initiative pour permettre au tissu économique local de se familiariser avec les procédures pour répondre à ces commandes. "Nous disposons de leviers dans les cahiers des charges pour favoriser les entreprises locales, notamment en invoquant la nécessaire réactivité, le besoin d'intervention dans des délais rapides. Par exemple concernant la restauration collective, nous insistons sur les circuits courts" détaille Florence Leverino.
>> Lire l'article sur le site de La Provence.com

Marchés publics : la signature électronique interroge (toujours) les praticiens

Persister et signer... à la main ? Ou électroniquement, au 1er octobre prochain ? C'est LA question la plus fréquemment posée par les praticiens lors des derniers événements sur l'achat public. Pourquoi ? Si la passation des marchés publics sera complètement numérisée à partir de cette date, la réglementation en vigueur n'impose pas la signature électronique des contrats. Selon l'article 102 du décret marchés publics du 25 mars 2016 : " Le marché public peut être signé électroniquement, selon les modalités fixées par un arrêté du ministre chargé de l'Economie ". La signature électronique reste donc facultative à ce stade. La Direction des affaires juridiques (DAJ) de Bercy l'a d'ailleurs confirmé à plusieurs reprises lors de ses interventions publiques. Néanmoins, elle recommande fortement aux acheteurs publics de la rendre obligatoire à l'attribution pour le 1er octobre afin d'éviter une rematérialisation du contrat pour sa signature.
>> Lire l'article sur le site du Moniteur.fr

Le gouvernement va renégocier les projets d'éoliennes en mer

Le bras de fer continue. Jeudi, le gouvernement a décidé de renégocier les appels d'offres d'éoliennes en mer que l'Etat avait délivrés en 2012. Lors d'une réunion à Matignon, le Premier ministre a décidé de relancer les discussions avec les lauréats des six projets, EDF, Engie et l'Espagnol Iberdrola, pour les forcer à baisser les tarifs auxquels l'Etat leur rachètera l'électricité pendant vingt ans. Les négociations commenceront dès la semaine prochaine avec l'objectif de les finaliser dans le courant de l'été. "Nous avons une réelle volonté de faire ces projets à des prix raisonnables, explique-t-on à Matignon. Nous allons renégocier avec les industriels pour faire baisser leurs prix".
>> Lire l'article sur le site de BFMBusiness

Environnement de travail

Cinq questions sur le déménagement historique du palais de justice de Paris

Après plusieurs siècles sur l'île de la Cité, le tribunal de Paris a quitté son écrin historique où Marie-Antoinette, Emile Zola ou encore Philippe Pétain ont été jugés. Alors que le déménagement a été amorcé début mars, le nouveau palais de justice, un grand bâtiment moderne dans le quartier des Batignolles, au nord-ouest de la capitale, a accueilli, lundi 16 avril, sa première audience. Dessiné par Renzo Piano, le nouveau tribunal de grande instance (TGI) trône au centre d'une "cité judiciaire", qui comprend également les nouveaux locaux de la police judiciaire, transférée du fameux 36, quai des Orfèvres, et une Maison de l'ordre des avocats. Quelles sont les motivations d'un tel déménagement? A quoi ressemble le nouveau bâtiment? Comment s'organise le déménagement? Combien ça coûte? Suscite-t-il des critiques?
>> Toutes les réponses sur le site du Monde.fr

RH / management

Le stress au travail : plus votre revenu augmente, plus vous êtes stressés !

Aux États-Unis, avril correspond au mois national de sensibilisation au stress. À cette occasion, LinkedIn a mené une enquête auprès de ses utilisateurs pour comprendre qui est touché par le stress, ce qui l'influence et comment le stress affecte la satisfaction au travail, les résultats sont surprenants ! 47% des personnes qui gagnent entre 35 000 et 50 000 dollars se disent stressées et comme on peut le voir ci-dessus, les personnes les plus stressées sont celles qui gagnent le plus. 68% des personnes qui gagnent plus de 200 000 $ par an disent avoir été stressées au travail. En ce qui concerne le genre, il ne semble pas y avoir d'effet particulier, car dans l'ensemble, 52% des hommes et des femmes ont déclaré être stressés dans leur travail. Les jobs les mieux payés peuvent être stressants, c'est un fait mais sont-ils pour autant plus satisfaisants ? D'après les données de LinkedIn, il semblerait que non ! Les personnes les plus satisfaites sont celles qui gagnent entre 51 000 et 75 000 $, ce sont également elles les moins stressées (38%).
>> En savoir plus sur le site siecledigital.fr

Intégrer une vision achats dans son process de recrutement

Le titre peut surprendre, en effet, en quoi les achats pourraient vous aider dans votre process de recrutement ? Et pourtant de nombreuses synergies existent entre ces fonctions. La première est relative aux process qui semblent très proches (définition du besoin, sourcing, consultation, évaluation, ...). Vient ensuite le fait que ce sont deux fonctions créatrices de valeur. Enfin, le make or buy est une stratégie commune.
>> Lire l'article publié sur le réseau Linkedin

 
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