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Revue de presse achats - semaine du 1er juillet

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Revue de presse achats - semaine du 1er juillet

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser.

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Comment le responsable des achats deviendra le responsable des objectifs

Le responsable des achats pourrait bientôt devenir le responsable du développement durable, voire le responsable des objectifs. C'est parce que les gens réalisent enfin que nous devons agir immédiatement pour créer un monde plus sain et plus propre avant qu'il ne soit trop tard, et le moyen de le faire est tout au long de la chaîne logistique. Selon un expert en achats d'EcoVadis, investisseurs, consommateurs, dirigeants d'entreprise et autres parties prenantes de l'organisation se rendent tous compte que la responsabilité des entreprises ne consiste pas seulement à construire un monde meilleur; cela génère également une valeur financière. Les entreprises mondiales s'engagent en faveur d'objectifs clés en matière de développement durable, comme réduire les émissions de gaz à effet de serre, éliminer le travail forcé, éviter les matières plastiques, conserver l'eau utilisée dans la production, exploiter les sources d'énergie renouvelables, etc. Les équipes achats jouent un rôle de premier plan dans la conduite de telles initiatives. Les économies réalisées sur les opérations peuvent être utilisées pour atteindre l'objectif de la marque, offrir une meilleure expérience client et mettre en oeuvre des pratiques commerciales durables, telles que la circularité des ressources. >> Lire l'article complet sur le site de Forbes

Pénurie de bitume : le cri d'alarme de la profession

Le spectre d'une nouvelle crise d'approvisionnement en bitume se profile. C'est en substance le message d'alerte qu'a lancé Route de France, l'association qui regroupe industriels et entrepreneurs du secteur des infrastructures de mobilité et de l'aménagement urbain, dans un communiqué publié le 24 juin dernier. Alors que le secteur des travaux publics connaît traditionnellement son pic d'activité entre mai et septembre, plusieurs chantiers sont à l'arrêt... faute de bitume, élément indispensable à la fabrication des enrobés routiers. "Cette pénurie de bitume impacte, et impactera jusqu'à l'automne la réalisation des chantiers routiers, de voiries et d'aménagements urbains", prévient l'organisation professionnelle. Une situation qui n'est malheureusement pas inédite. Car, déjà, l'an passé, des difficultés d'approvisionnement avaient perturbé, tout l'été, l'avancée des travaux routiers. En cause, le nombre de raffineries qui ne cesse de diminuer. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

H&M joue la transparence sur les usines de production de ses vêtements

La transparence ne nécessite pas d'avoir recours à la blockchain. Depuis le mois d'avril 2019, H&M publie sur son site, dans un onglet "Matière et fournisseur", des informations détaillées sur la façon dont chaque vêtement est produit : pays de fabrication, nom et adresse de l'usine, nombre d'ouvriers employés. Les clients ont également accès à ces infos en magasin, en scannant avec l'application H&M les étiquettes des produits. "Nous sommes fiers d'être la première grande chaîne de prêt-à-porter au monde à proposer ce niveau de transparence en ce qui concerne ses produits", se réjouit dans un communiqué Isak Roth, responsable de la durabilité chez H&M. Cette démarche de transparence dans le prêt-à-porter ne cesse de prendre de l'importance depuis 2013, suite au drame du Rana Plaza, au Bangladesh, qui avait causé la mort de plus de mille ouvriers du textile, rappelle le site FashionUnited. Les acteurs de la mode doivent aussi intégrer les pratiques des DNVB, les Digital Native Vertical Brands. Ces marques nées sur Internet et qui vendent en direct, comme Sézane ou Maison Standards en France, veulent nouer une relation plus authentique avec leurs clients. Elles se montrent ainsi très transparentes sur l'origine des matières premières et sur les lieux de production. Elles peuvent même jouer la transparence sur leurs coûts de fabrication. >> Lire l'article complet sur Le Hub La Poste

Commande publique

Offre anormalement basse : mode d'emploi

Les acheteurs ont l'obligation de détecter une offre anormalement basse, y compris pour la partie sous-traitée... Mais selon quelles modalités ? Le Code de la commande publique ne détermine aucune méthodologie standard, ce qui rend l'exercice particulièrement complexe. L'acheteur est seulement appelé à mettre en oeuvre "tous les moyens lui permettant de détecter une offre anormalement basse" (article L2152-6). Pour caractériser celle-ci, il doit exister un faisceau d'indices concordants que l'acheteur peut notamment dégager d'éléments tels que l'écart avec l'estimation de l'administration (à condition qu'elle soit fiable), l'écart avec la moyenne des offres reçues (écrêtée le cas échéant des offres trop différentes) ou encore l'écart avec un barème indicatif. En tout état de cause, quel que soit la forme du marché public, le caractère anormalement bas devra être analysé au regard du montant global de l'offre, et non sur une seule de ses composantes (Conseil d'Etat, 13 mars 2019, Société Sepur). Il faut toutefois être vigilant car une offre basse comparativement aux autres n'est pas nécessairement anormalement basse. Il convient d'analyser la valeur intrinsèque de l'offre. L'offre examinée présente-telle des caractéristiques techniques à même d'expliquer son faible niveau de prix ? L'analyse globale de l'offre devra ainsi rechercher si, par exemple, l'emploi d'une solution innovante a permis au candidat de proposer une offre très compétitive. >> Lire l'article complet sur le site de TPBM

Achat public, comment accélérer en matière de relais des politiques publiques ?

Jusque-là, chaque acheteur public souhaitant engager une stratégie d'achats responsables en définissait les tenants et les aboutissants sans pouvoir se référer à des règles communes. Il y avait donc une grande disparité dans l'approche et la mise en pratique de ces politiques. Avec la norme ISO 20400, les acteurs socio-économiques, au niveau mondial, se sont donné les moyens d'une harmonisation des process d'achats responsables, grâce à une série de principes directeurs suffisamment clairs et polyvalents, quel que soit le secteur d'activité. L'avènement du nouveau Label " Relations Fournisseurs et Achats Responsables " - RFAR, qui intègre désormais les exigences de la norme internationale ISO 20400 constitue donc un moyen à la disposition des pouvoirs publics pour assurer le caractère responsable de son achat public. Ces derniers pourraient ainsi inciter fortement les acheteurs publics à recourir prioritairement aux structures de mutualisation disposant du label RFAR. Le recours aux autres opérateurs étant sujets à des justifications (exemple : absence d'offres au sein de l'opérateur labélisé). >> Lire l'article complet sur le site de Weka


Le maximum d'un accord-cadre peut être fixé en fin de procédure

Les accords-cadres peuvent être conclus soit avec un minimum et un maximum en valeur ou en quantité, soit avec seulement un minimum ou un maximum, soit sans minimum ni maximum. Dans une affaire soumise au Conseil d'État, la Haute-assemblée avait à se prononcer, dans le cadre d'un référé précontractuel, sur la légalité d'un marché où un maximum, non annoncé initialement dans le dossier de consultation, avait été fixé dans le contrat à l'issue des négociations. (...) l'acheteur doit indiquer, dans le cas d'un accord-cadre sans minimum ni maximum, outre la "quantité des services à fournir", "la valeur totale des prestations estimée pour toute la durée de l'accord-cadre". >> Lire l'article complet sur le site de Weka


RSE

Quand Samsung bafoue le respect des droits des travailleurs

Des mineurs de moins de 16 ans employés à la chaîne pour assembler des téléphones. Des horaires de travail à rallonge. Des conditions d'hébergement déplorables, entassés à 6 ou 8 dans un dortoir de 10 m², sans eau courante. L'exposition sans protection à des substances chimiques toxiques. C'est ce qu'ont constaté entre 2012 et 2017 plusieurs ONG dans des usines où sont fabriqués les produits Samsung. (...) Pourtant, la multinationale affirme qu'elle "s'engage à respecter les lois et les réglementations locales ainsi qu'à appliquer un strict code de conduite global à l'ensemble de son personnel [...] Samsung est déterminée à devenir une entreprise citoyenne socialement et environnementalement responsable dans toutes ses communautés, de par le monde." Ces beaux discours ont-ils valeur d'engagement commercial ? (...) Pour la première fois, un magistrat français a estimé que ces promesses ne devaient pas rester des paroles en l'air. Le 17 avril dernier, Renaud Van Ruymbeke, juge d'instruction au pôle financier du TGI de Paris, a mis en examen Samsung France, pour avoir, entre 2012 et 2017, commis des "pratiques commerciales trompeuses" en diffusant sur son site internet des engagements éthiques, notamment le respect des droits fondamentaux (interdiction du travail forcé, exploitation salariale, esclavage des enfants), la responsabilité sociale et environnementale de la société, et le recours à des fournisseurs intègres. Une mise en examen historique, selon les associations Sherpa et Action Aid, à l'origine de la plainte avec constitution de partie civile contre Samsung. Marie-Laure Guislain est responsable du contentieux chez Sherpa. "Le discours de Samsung, c'est d'être une des entreprises les plus vertueuses au monde, de respecter les droits des travailleurs sur toute sa chaîne de production. Cette mise en examen est un tournant important dans la lutte contre l'impunité des multinationales : ce qu'on demande à ces entreprises, c'est de respecter leurs engagements éthiques." >> Lire l'article complet sur le site de France Inter

La RSE infuse l'industrie

Les actions majoritairement déployées concernent la réduction de la production de déchets, le recyclage, la maîtrise des consommations d'énergie et la diminution de l'empreinte carbone. Les actions sociales arrivent en deuxième position et les sociétales en dernier. Parmi les bonnes pratiques de RSE adoptées par les entreprises, 64% évoquent le fait d'adhérer à une norme Iso. Il existe notamment le référentiel Iso 26000, un standard international qui aborde les thèmes de la gouvernance, des droits de l'homme, des conditions de travail, de l'environnement et de la contribution au développement local. Les entreprises impliquées dans une démarche RSE sont fortement incitées à la valoriser, notamment au travers de labels reconnus. Mais elles sont actuellement trop peu nombreuses à le faire se contentant de charte. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle


Travel

Notes de frais : il va être possible de jeter ses justificatifs !

Le dernier verrou à la numérisation complète des notes de frais vient de sauter. En effet, un arrêté publié discrètement fin mai ("Arrêté du 23 mai 2019 fixant les modalités de numérisation des pièces et documents établis ou reçus sur support papier en application de l'article L. 243-16 du code de la Sécurité sociale") autorise enfin les salariés à jeter les originaux des justificatifs de leurs notes de frais - à condition bien évidemment d'avoir correctement procédé à leur numérisation. Si le combat était déjà gagné depuis mars 2017 en matière fiscale, le code de la Sécurité sociale (et donc l'Urssaf) posait encore problème. "Si l'entreprise n'était pas en mesure de présenter les originaux de ses justificatifs de notes de frais, l'Urssaf pouvait requalifier les frais en avantages en nature, avec un impact financier de l'ordre de 60 % du montant des frais, correspondant aux charges patronales et salariales. C'était un risque important, même si certains professionnels avaient choisi de l'ignorer", explique Tristan Leteurtre, dirigeant et cofondateur de Mooncard, une solution intégrée de gestion des notes de frais et achats professionnels. En modifiant le code de la Sécurité sociale, le nouvel arrêté supprime officiellement cette obligation de conserver ses justificatifs papiers.>> Lire l'article complet sur le site des Echos


Supply chain

Transport fluvial : initiatives et engagements à l'heure de la transition énergétique

Comme le révélait Thierry Guimbaud, directeur général de Voies navigables de France (VNF), "le transport fluvial est en capacité d'accueillir un trafic de fret 3 à 4 fois plus important qu'aujourd'hui sans qu'il y ait besoin de réaliser des investissements lourds, et il sait s'adapter, à la fois au type de marchandises et aux besoins du marché". De plus, "il permet de concentrer de gros volumes, qu'il est ensuite possible d'éclater en petites livraisons urbaines avec des véhicules zéro émission", constatait encore Olivier Jamey, président de la Communauté portuaire de Paris. Le mode fluvial apporte une réelle valeur ajoutée : en matière de logistique, les produits transportés peuvent être directement transformés ou conditionnés sur un bateau". >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Quatre étapes pour s'attaquer au développement durable de la chaîne d'approvisionnement

Certaines grandes étapes vers la durabilité peuvent être franchies au début de la chaîne d'approvisionnement. Et bien que la création d'un processus de fabrication sans déchets ne se fasse pas du jour au lendemain, elle permet au final de gagner assez de temps et d'argent pour que le processus en vaille la peine. (...) L'emballage est probablement le plus gros défi pour assurer la durabilité de la chaîne d'approvisionnement. L'utilisation de contenu recyclé donne des résultats positifs, mais une fois qu'un emballage recyclable est combiné à des matériaux non recyclables - par exemple, un gobelet en papier recouvert d'un film plastique - vous vous retrouvez avec un produit destiné à la décharge. De plus, les emballages recyclables peuvent être plus coûteux ou offrir une protection réduite, ce qui augmente la détérioration et les coûts globaux. C'est là que se situe l'équilibre entre les responsabilités financières et économiques. D'innombrables options sont disponibles. Prendre le temps de travailler avec les fournisseurs peut donc faire toute la différence entre un véritable emballage respectueux de l'environnement et un produit destiné à une décharge. >> Lire l'article complet sur SupplyChainBrain

LOM : toutes les mesures concernant le TRM

Les députés veulent aller plus vite que l'Union européenne et être les premiers de la classe en Europe. Ils ont inscrit l'objectif d'une neutralité carbone des transports terrestres d'ici 2050 avec la trajectoire suivante : réduction de 37,5% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 et interdiction de ventes de voitures à énergies fossiles carbonées d'ici 2040. La loi entend développer les véhicules au gaz, en priorité pour les poids lourds, en facilitant le raccordement au réseau d'avitaillement. Pour les flottes, elle prévoit un dispositif de suramortissement pour les poids lourds aux gaz, électrique ou hydrogène.

Le travail des plateformes d'intermédiation entre chargeurs et transporteurs mieux encadré - Un an après la promulgation de la loi, le gouvernement fixera par ordonnance les conditions d'exercice de l'activité des plateformes d'intermédiation numérique de transport de marchandises. L'opérateur de la plateforme devra vérifier le respect, par les entreprises de transport, des conditions légales de l'exercice de leur activité, ainsi que le dispositif de contrôle et de sanction qui leur est applicable. Objectif : éviter de favoriser une concurrence sauvage ainsi que le dumping entre transporteurs. >> Lire l'article complet sur le site de TransportInfo


Travel management

Les agences en ligne et les portails hôteliers sont-ils des pièges ou une opportunité pour les décideurs ?

Dans la commodité des déplacements d'affaires, le marché de l'hôtellerie, qui représente un quart des dépenses du budget voyage des entreprises, est particulier. Son pilotage est complexe et souvent hasardeux si les bonnes ficelles ne sont pas utilisées. Mais Internet a tout changé et fait désormais de ce marché l'un des plus intéressants à travailler pour le gestionnaire des déplacements (achats et travel management).>> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros


Carrière / Management

Marché de l'emploi : cadres, vous avez le pouvoir !

Selon le directeur des études de l'Apec, "le plein emploi masque des réalités différentes". Les envies d'ailleurs sont freinées par la peur du chômage, du déclassement ou des salaires trop bas : La catégorie des seniors est celle qui craint le plus pour sa place. Leur taux d'embauche est le plus faible avec un taux proche de 7 %. Ils sont moins mobiles et préfèrent tenter de négocier leur salaire à la hausse plutôt que d'envisager une sortie risquée. Du côté des juniors, "ils veulent que les choses bougent plus rapidement que leurs aînés." Et sont prêts à s'engager pour peu que leur job ait un sens proche de leurs valeurs et qu'il leur laisse du temps pour eux. En tête des valeurs préférées des cadres : la récompense des efforts fournis. Comprenez : on ne veut pas bosser pour des prunes. "Beaucoup de jeunes cadres ne sont pas rémunérés à la hauteur de leurs compétences et certains se retrouvent avec ce qu'on peut qualifier de jobs alimentaires", confie Pierre Lamblin. De leur côté, les femmes seraient freinées par les inégalités entre les sexes : "Les cadres masculins gagnent en moyenne 8 % de plus que les cadres femmes. Et ils sont aussi mieux formés pour évoluer en interne", confirme le directeur des études de l'Apec. Car c'est toujours une réalité, les CDD et les contrats à temps partiels sont davantage endossés par des working girls, même chez les cadres. Toujours d'après Pierre Lamblin, elles auraient également plus de difficultés à revenir sur le marché de l'emploi une fois au chômage. >> Lire l'article complet sur le site de Cadremploi

Management bienveillant et RSE : ce que les jeunes générations attendent de l'entreprise

Parmi les transformations souhaitées, la principale concerne les relations de travail et le respect des personnes (57 %). Ils souhaitent ainsi le développement d'un management bienveillant et l'optimisation des conditions de travail, car "le bien-être permet de meilleurs résultats qu'une pression continue", souligne l'un des participants à l'enquête. La deuxième transformation souhaitée est relative au respect des principes du développement durable et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) (46 %). Une tendance d'ailleurs plus marquée chez les femmes que chez les hommes interrogés. Selon les futurs diplômés, l'entreprise doit notamment "améliorer son impact sur la société " en prenant en compte davantage " son empreinte écologique". >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation


 
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