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Revue de presse achats - semaine du 28 octobre

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Revue de presse achats - semaine du 28 octobre

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture!

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Retards de paiement : le chocolatier Barry Callebaut lourdement sanctionné

Coup dur pour le chocolatier Barry Callebaut. La Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE) d'Ile-de-France vient de prononcer une amende de 45.000 euros à l'encontre de la société, en application des articles L. 441-16 et L. 470-2 du code de commerce. La raison ? Des retards dans le paiement des factures de ses fournisseurs. Cette décision fait suite à une enquête lancée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur le respect des règles du code de commerce en matière de délais de paiement.Le chocolatier est loin d'être le premier à se voir sanctionner de la sorte. Début septembre, plusieurs entreprises avaient été épinglées par la DGCCRF, là encore, pour des retards de paiement entre 2016 et 2017. Orano avait ainsi reçu une très lourde amende de 350.000 euros. Aéroports de Paris s'était également vu infliger 320.000 euros d'amende. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Samsung veut continuer à produire en Chine en recourant à la sous-traitance

Alors que le géant sud-coréen a fermé, début octobre, sa dernière usine de smartphone en Chine, située à Huizou dans le sud du pays, il réfléchirait sérieusement, selon plusieurs quotidiens sud-coréens à renforcer la production dans le pays via des accords de sous-traitance. Selon le quotidien Chosun Ilbo en effet, Samsung serait en négociations commerciales avec des sous-traitants chinois pour fabriquer quelque 60 millions de smartphones, soit près de 20 % de la production totale de la marque. Et l'équivalent de ce que produisait en 2017 l'usine de Huizhou. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La laine made in France veut retisser sa filière

La laine, elle, est exportée à 80 % vers la Chine. Car, tous les ans, la tonte est obligatoire pour le bien-être des animaux. "C'est devenu un coût pour les éleveurs. Il faut payer le tondeur, relève Audrey Desormeaux, chargée de mission à la Fédération Nationale Ovine. En moyenne, un kilo de laine se vend 70 centimes aux négociants, alors qu'une brebis en produit deux kilos par an". Pas de quoi susciter des vocations. D'autant que toutes les laines n'ont pas la même qualité . La plus demandée, parce que la plus fine, est la Mérinos. Brun de Vian-Tiran, fabricant de plaids et couvertures haut de gamme depuis 1808, a été précurseur. Après des années de recherche, l'entreprise de l'Isle-sur-Sorgue (Vaucluse) a retrouvé il y a plus de vingt ans un éleveur ayant conservé intacte la race Mérinos, issue de moutons espagnols (importés sous Louis XVI) et d'élevages français. "C'est la laine la plus fine d'Europe, l'équivalent du cachemire d'Iran, assure Jean-Louis Brun, son PDG. Elle a des qualités exceptionnelles.">> Lire l'article complet sur le site des Echos

Loi Alimentation : un an après, ce sont les industriels qui en profitent

1,6 milliard d'euros. C'est le montant prévisionnel des dépenses supplémentaires entraînées par la loi Alimentation en deux ans, selon les calculs de l'UFC-Que Choisir. Cette inflation est due à deux mesures qui devaient améliorer la répartition de la valeur et, initialement, soutenir une meilleure rémunération des agriculteurs et agricultrices. En cause : l'encadrement des promotions et le relèvement du seuil de revente à perte (SRP, qui correspond au prix en-dessous duquel un distributeur ne peut revendre un produit). Depuis le 1er février 2019, cette mesure a entraîné une hausse des prix des produits alimentaires. Les marques nationales enregistrent une hausse de 1,14%, et des "produits d'appel comme Coca-Cola ou Nutella, mais aussi l'emmental, le thon en boîte ou le pastis, traditionnellement vendus avec une marge très faible, bondissent, eux, de 5 à 7%", note l'UFC-Que Choisir. Cette hausse des prix ne semble pas bénéficier aux agriculteurs et agricultrices - qui, comme le rappelle Brigitte Gothière, présidente de L214, connaissent des conditions de vie misérables. Selon la Mutualité sociale agricole, un tiers des agriculteurs français gagnait moins de 350 euros par mois en 2016. Il semble donc urgent d'agir. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Les nitrites, ennemis numéro 1 dans la charcuterie, ne seront finalement pas taxés

Finalement, jeudi 24 octobre, l'Assemblée nationale n'a pas donné son feu vert à cet amendement après avoir reçu un avis défavorable de la ministre de la Santé Agnès Buzin. Un soulagement pour le secteur. Le rayon charcuterie accuse une baisse des ventes et souffre d'une mauvaise réputation auprès des consommateurs. Entre les préconisations de l'Anses qui recommande de ne pas manger plus d'une demi-tranche de jambon par jour, la classification de la charcuterie comme cancérogène probable pour l'être humain par l'Organisation mondiale de la santé en 2015 et les émissions comme Cash Investigation qui mettent en avant les risques du nitrite dans ces produits... le secteur ne voit plus la vie en rose. "Notre première réaction a été de considérer cette taxe comme une bonne nouvelle car elle aurait pu permettre de réduire le prix entre un jambon zéro nitrite et un conventionnel", indique David Garbous, directeur du marketing stratégique de Fleury Michon. Le fabricant a lancé il y a six mois une gamme sans aucun sel nitrité ajouté. Logiquement, la durée de conservation de ce jambon est de 8 jours au lieu des 21 habituels. Surtout, il est grisâtre, et non rose, c'est l'ajout de nitrite qui donne habituellement cette couleur. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

L'Indonésie joue avec les nerfs du marché du nickel

L'Indonésie joue avec les nerfs du marché du nickel. A la fin du mois d'août, les autorités de Djakarta annoncent qu'elles cesseront toute exportation de minerai brut de nickel dès le 1er janvier prochain, avec deux ans d'avance sur le calendrier prévu. Lundi, nouveau coup de tonnerre : les expéditions doivent s'arrêter sur-le-champ. Mardi, les autorités font volte-face, en autorisant à nouveau les chargements mais avec des contrôles accrus des bateaux.Il faut dire que les navires se précipitaient en Indonésie pour faire le plein de minerai de nickel avant l'embargo de janvier prochain. Or l'Indonésie veut au contraire limiter les exportations de minerai brut pour le transformer davantage sur son sol. Le bras de fer avec les groupes miniers a démarré en 2014, avec un premier embargo sur le minerai, qui a évolué en 2017 en interdiction d'exporter du minerai de faible teneur, accompagné de la promesse des compagnies de créer des fonderies en Indonésie d'ici 2022. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

Côte d'Ivoire et Ghana : les chocolatiers consentent au prix minimum pour les producteurs de cacao

La Côte d'Ivoire et le Ghana sont parvenus les 23 et 24 octobre à Berlin, lors des rencontres de la Fondation mondiale du cacao, à obtenir l'accord des géants mondiaux du chocolat pour l'achat avec un surplus de 400 dollars la tonne de cacao pour la récolte 2020-2021, qui sortiront des plantations en octobre 2020. La mesure, annoncée conjointement par la Côte d'Ivoire et le Ghana en juin 2019, et consistant en l'ajout d'un différentiel de revenu décent (DRD) de 400 dollars par tonne et l'instauration d'un prix plancher de 2 600 dollars la tonne, faisait jusque-là l'objet d'une forte réticence de la part des chocolatiers, dont les achats par anticipation étaient encore annoncés en baisse au début du mois d'octobre. >> Lire l'article complet sur le site de JeuneAfrique

Le palladium vient de devenir le métal le plus cher du monde

En 2011, le platine valait 1 800 dollars l'once, le palladium valait 600 dollars l'once. Aujourd'hui c'est l'inverse: le palladium vaut 1 700 dollars l'once (200 dollars l'once de plus que l'or), et le platine vaut aujourd'hui 800 dollars l'once. Pour une raison simple: nous assistons à une évolution dans les utilisations de ces métaux. Une bonne partie du platine était utilisée dans les pots catalytiques des véhicules diesel. Il ne vous a pas échappé qu'aujourd'hui la tendance est allée vers les véhicules à essence normale. Or, les pots catalytiques de ces véhicules utilisent non pas du platine, mais du palladium. Il y a donc une demande forte de palladium, une véritable flambée des courts du palladium. >> Lirte l'article complet sur le site de Atlantico

B2B, B2C, même combat : le client est roi !

La révolution digitale et le flot de données qu'elle a engendré, sont passés par là et ont largement bousculé les comportements des acheteurs du B2B. Auparavant, ce dernier était plutôt dual. Ses prises de décisions commerciales dans l'exercice de sa fonction n'avaient que peu de choses à voir avec ses attitudes de consommateur déambulant dans les rayons d'un magasin. Cette sorte de schizophrénie acheteuse est de moins en moins valide, porosité de la connectivité digitale oblige. Pour s'en convaincre, on peut se référer à l'un des constats mis en exergue par une récente étude Gartner : 68% des acheteurs du B2B privilégient le web pour effectuer leurs recherches de fournisseurs. L'acheteur acquiert un niveau d'exigence plus élevé en termes de recherche d'information, de compréhension des offres et d'adéquation avec ses besoins et ses enjeux d'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de Influencia


Commande publique

Dispositif achats publics innovants : ma solution est-elle innovante ?

Les textes applicables (notamment le code de la commande publique) s'avérant peu pertinents dans la pratique pour déterminer au cas par cas le caractère innovant d'une solution, les services du Ministère de l'Economie ont développé une méthode par faisceau d'indices qui permet de s'adapter à toutes les situations et aux différents types d'innovation. Ces indices sont ainsi répartis en quatre séries de questions portant sur l'existence de la solution innovante, les objectifs poursuivis par cette solution, le type et l'état d'avancement opérationnel de la solution, et enfin le caractère innovant de l'entreprise. L'acheteur public comme l'entreprise innovante sont donc invités à se poser ces différentes questions afin de caractériser juridiquement le caractère innovant de la solution en cause. Ces indices et questions, ainsi que les éléments juridiques existants définissant l'innovation, ont été agrégés et utilisés dans un test "Ma solution innovante". L'objectif est ainsi de permettre à chacun (entreprises innovantes comme acheteurs publics), en répondant à un questionnaire, d'avoir une première indication sur le caractère innovant de sa solution. Le résultat constituera alors un indice sur le fait que la solution innovante est éligible au dispositif d'achats publics innovants et qu'elle pourrait faire alors l'objet d'un marché public conclu librement. >> Lire l'article complet sur le site de Maddyness


Supply chain

L'IA, nouvelle arme face aux ruptures de la supply chain

Carrefour a choisi l'application Viya du leader mondial des logiciels de statistiques SAS pour passer à la moulinette du machine learning des données issues de ses magasins, de ses entrepôts, mais aussi de ses sites d'e-commerce. L'entreprise a pour ambition de réduire à la fois les ruptures de stocks et les surstocks. Poussant plus loin l'exercice, Engie entend désormais mettre le moteur d'IA de Vekia à la portée de ses 35 000 agents itinérants. Pour l'heure, la solution a été déployée sur une première agence, à Lille. Concrètement, l'application récupère le planning des techniciens, les catégories de maintenance qu'ils doivent réaliser, les types d'appareil concernés... Puis sur cette base, elle leur propose des combinaisons de pièces de rechange pour tendre vers le taux de retour le plus bas. "Le format et le poids des pièces sont également pris en compte au regard des capacités de transport des véhicules", précise Stéphane Moillic, directeur supply chain chez Engie. Aux côtés des stocks, l'algorithme prend en considération la typologie des clients ciblés, notamment les contrats de service auxquels ils ont souscrit. Les premiers résultats du chantier sont positifs. "Dans 96% des cas, les pièces nécessaires aux techniciens sont déjà présentes en agence", constate Stéphane Moillic. >> Lire l'article complet sur le site du JDN

Pourquoi l'avenir de la supply chain passe par le cloud

La complexité actuelle de la supply chain, devenue mondiale, rend plus difficile la visibilité des nombreuses activités qui la composent. Or, elle est essentielle pour gérer les risques, réduire les coûts et assurer la rentabilité. La rigidité de la chaîne d'approvisionnement peut non seulement entraver la croissance, mais aussi compromettre la survie d'une organisation. Et cette rigidité oblige souvent à consacrer un budget important à la maintenance et aux mises à niveau plutôt qu'à l'innovation. Et avec les solutions sur site, les mises à niveau et la capacité de tirer parti des technologies émergentes peuvent prendre du temps et être coûteuses. C'est la raison pour laquelle la migration vers le cloud apparaît de plus en plus comme une alternative sérieuse. Selon une étude publiée en 2018 par IDC, 75 % des entreprises estimaient que le cloud était essentiel pour assurer l'excellence de la chaîne d'approvisionnement aujourd'hui et à l'avenir. >> Lire l'article complet sur le site de ITSocial

JD.com annonce le premier parc logistique connecté à la 5G

Pour Wenming Zhe, responsable de la division R&D logistique, "ce lancement [...] est une étape excitante dans la réalisation de l'internet des objets industriel à grande échelle. La faible latence, la vitesse et la capacité de prendre en charge un large éventail de connexions simultanées fournies par les réseaux 5G créent un niveau de connectivité en temps réel sans précédent, améliorant de manière significative l'efficacité des opérations d'exécution de JD, ce qui est essentiel pour fournir le meilleur service client possible". La date d'inauguration et le montant des investissements consentis à ce nouveau site n'ont pas été précisés. Concrètement, la 5G permettra notamment de détecter et d'analyser en temps réel, selon l'e-marchand, tous les problèmes et anomalies dans l'entrepôt. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

RSE

Environnement, droits humains: le LME veut imposer des conditions éthiques

Le LME avait réalisé un premier pas en octobre 2018 en proposant à ses utilisateurs d'adopter les normes éthiques de l'OCDE pour assurer une meilleure traçabilité des matières premières, comme le cobalt. Il avait alors annoncé la mise en place d'un groupe de travail avec les producteurs afin de les aider à identifier les sources d'approvisionnement problématiques. Vendredi, le London Metal Exchange va plus loin en annonçant dans un communiqué quelles normes éthiques vont devenir obligatoires pour avoir le droit d'échanger sur son marché. Il s'agira notamment de respecter des conditions de travail jugées éthiques par l'OCDE. La Bourse des métaux de Londres, qui n'imposait aucune norme éthique à ses fournisseurs, avait notamment été critiquée fin 2017 quand le Financial Times avait révélé que Yantai Cash, un exportateur chinois de cobalt, n'était pas en mesure d'assurer que son métal vendu sur le marché londonien n'avait pas été produit par des enfants en République Démocratique du Congo. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

La RSE : un vrai levier pour l'innovation et la performance

Que ce soit des entreprises agroalimentaires, des coopératives de producteurs ou des agriculteurs, les principes du développement durable traduit par une démarche RSE permettent de valider les démarches des entreprises. Les trois lettres de RSE sont de plus en plus fréquentes dans le monde agricole. Face aux demandes des consommateurs d'aller vers des filières en phase avec le développement durable, les organisations agricoles ou agroalimentaires multiplient les engagements dans des démarches RSE. C'est ainsi que lors du dernier Salon de l'agriculture à Paris, le label Agri Confiance a annoncé un nouveau référentiel étendu à la RSE (responsabilité sociétale des entreprises). "Nous avons souhaité harmoniser les démarches des coopératives adhérentes, bâtir trois niveaux d'exigences et intégrer la RSE", avait expliqué le directeur de l'association Agri Confiance, Philippe Sommer. Plus de 120 exigences, déclinées par filières, figurent dans le nouveau référentiel. >> Lire l'article complet sur le site de Oise agricole

Crise ouverte dans le recyclage du papier carton

Mais les déchets collectés et triés, encore faut-il qu'ils trouvent preneur pour être recyclés. Or la France, qui a collecté l'an dernier 7 millions de tonnes, manque d'usines papetières et se retrouve avec un excédent annuel de 1,7 million de tonnes. "Dans quasiment tous les centres de tris, les stocks débordent, ils ont dépassé le niveau autorisé", alerte Jean-Philippe Carpentier, le président de Federec, la fédération des recycleurs. Selon ses estimations, le chiffre d'affaires réalisé par les recycleurs revendant les déchets de papier carton triés a chuté de 26 % sur la seule année 2018, passant de 918 à 729 millions d'euros. Et la crise s'est amplifiée cette année, les prix s'effondrant avec l'absence de débouchés. "Ils ont été divisés par 3 en deux ans et ont chuté de 50 % en moyenne en 2019 comparé au prix moyen de 2018", estime Jean-Philippe Carpentier. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La marque de baskets françaises en laine recyclée UBAC lance le bonnet Phoenix recyclé et entièrement recyclable !

Les bonnets Ubac sont fabriqués à partir de laine recyclée et sont entièrement recyclables, ce qui inscrit la marque dans une économie circulaire plus respectueuse des ressources. La laine utilisée est recyclée et filée dans le Tarn (81) comme celle de la ligne de baskets de la marque. En comparaison d'un fil de laine neuf, ce fil est 98 % moins impactant pour la planète*.Ils sont tricotés à Roanne (42) par une manufacture spécialisée dans la maille haute gamme. Cette dernière utilise une technique de fabrication innovante "zéro déchet". Cette technique garantit une production sans aucune chute ou perte de matières. >> Lire l'article complet sur le site de ModeinTextile


Innovation

Un ancien ingénieur d'Airbus à l'origine d'une innovation écolo pour tracter les navires

Basée à Toulouse, Airseas va équiper d'une voile automatisée une cinquantaine de vraquiers appartenant à l'armateur japonais Kawasaki Kisen Kaisha (K Line), cinquième flotte mondiale. Objectif : réduire la consommation de fuel des navires de 20 %, en moyenne. Le contrat a été signé en juin 2019 à Oslo (Norvège) lors du Nor-Shipping, l'un des plus importants salons dans le domaine maritime. Le fondateur d'Airseas, Vincent Bernatets, est un ancien ingénieur d'Airbus. Le géant de l'aéronautique et du spatial est à la fois client et actionnaire (à hauteur de 13 %) de la start-up toulousaine. À partir de 2021, Airbus va d'ailleurs équiper d'une voile automatisée son navire chargé de livrer des tronçons d'avions de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) à sa ligne d'assemblage de Mobile, dans l'Alabama (États-Unis). >> Lire l'article complet sur le site de Actu.fr


Fleet / Mobilité

L'ADEME dit enfin la vérité sur les véhicules électriques

Pas de gaz d'échappement toxiques pour le véhicule électrique certes, mais sa fabrication consomme beaucoup plus de ressources fossiles et rares que celle d'un véhicule essence ou diesel. A elle seule, la batterie consomme le plus de ressources minérales et représente la moitié de l'énergie consommée. Les progrès techniques ne devraient guère changer ce bilan à l'horizon 2020... Un véhicule électrique et un diesel consomment au total autant d'énergie primaire l'un que l'autre (un peu plus pour une voiture à essence) : ainsi, pas d'économie d'énergie à attendre de la voiture électrique. La fabrication du véhicule représente 20 % du total dans le cas du diesel, et 37 % pour l'électrique. Avec l'électricité allemande, issue à plus de 40 % du charbon, un véhicule électrique émet à peu près autant de CO2 qu'un véhicule diesel sur 100 000 km, ou 10 % de moins s'il roule 150 000km, en admettant qu'il n'y ait pas besoin de changer de batterie entre-temps (ce qui reste douteux). >> Lire l'article complet sur le site des Amis de la Terre

Flottes d'entreprise : le covoiturage, une idée qui fait son chemin

A partir du 1er janvier 2020, les entreprises pourront prendre en charge une partie des frais de covoiturage engagés par leurs salariés, comme elles le font pour les abonnements aux transports publics auxquels elles participent financièrement. La participation pourra atteindre jusqu'à 400 euros par an en franchise d'impôt et de cotisation sociale. Financièrement, le salarié y trouve aussi directement son compte. Klaxit, l'un des principaux acteurs du marché sur les trajets entre le domicile et le travail, a évalué le potentiel d'économie mensuelle : lorsque les parcours allers-retours quotidiens atteignent 60 km, la dépense moyenne s'élève à 480 euros. En abandonnant la voiture en solo et en pratiquant le covoiturage avec une seule personne, la facture baisse de 25 %, avec un budget mensuel qui passe à 360 euros. Si le salarié mutualise le véhicule avec deux autres personnes, le coût plonge de moitié et s'établit à 240 euros. L'avantage financier est tout aussi décisif quand l'automobiliste abandonne son véhicule pour rejoindre un conducteur accueillant un ou plusieurs passagers en covoiturage. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Les voitures au diesel de nouvelle génération polluent nettement moins

N'a-t-on pas un peu trop vite enterré le diesel ? Telle est la question que Test-Achats pose en filigrane dans la dernière édition de son magazine, quatre ans après l'éclatement du Dieselgate, scandale des moteurs truqués qui a grandement contribué à la chute infernale des ventes de voitures diesel. Dans un article intitulé Le diesel n'a plus à rougir, l'association de consommateurs explique avoir été bluffée par les progrès réalisés par les constructeurs. Elle vient de tester 17 véhicules, main dans la main avec Green NCAP, consortium européen dont Test-Achats (au même titre que des clubs automobiles et des instances publiques) est partie prenante et dont les tests visent à évaluer l'impact environnemental des véhicules. Et ainsi à pousser les géants de l'automobile à se surpasser en termes de dépollution, comme c'est le cas avec Euro NCAP pour la sécurité. >> Lire l'article complet sur le site de lesoir.be

Voitures hybrides rechargeables : la solution idéale pour les flottes ?

Les voitures particulières hybrides rechargeables apparaissent d'entrée de jeu parfaitement exploitables pour les flottes de taxi, VTC et autres navettes pour 4 à 5 personnes. Elles sont également de plus en plus recherchées par les loueurs de véhicules, notamment dans les grandes villes. Dans les entreprises qui emploient des démarcheurs et/ou des techniciens embarquant du matériel relativement léger et peu encombrant, les voitures hybrides rechargeables sont adaptées à des besoins en déplacements courants sur des distances très variables. Enfin, parce qu'il existe de nombreux modèles premium, cette architecture se présente en alternative aux véhicules de direction souvent perçus comme un indice du standing ou de la santé des entreprises. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Propre


IT

Carrefour va déployer la blockchain sur l'ensemble de ses Filières QC

En 2018, la multinationale a démarré le suivi avec sa propre blockchain. Elle s'est ensuite tournée vers la solution IBM Food Trust pour disposer d'un système "plus apte à l'industrialisation du processus". Cet été, Carrefour annonçait que les ventes de ses produits "sous blockchain" avaient augmenté et que cette nouvelle technologie permettait de rassurer les consommateurs. Son rival Auchan a également commencé à utiliser la blockchain afin de proposer une traçabilité alimentaire renforcée à ses clients. >> Lire l'article complet sur le site de Cryptonaute


RH / Management.... et autres

Management du risque : 7 questions à se poser pour prendre une décision dans l'urgence

Un outil d'aide à la décision baptisé "Prisme" (pour "Prise de RISque Mesurée"). Ce procédé offre une solution rapide et efficace pour mesurer le caractère "raisonnable" de la décision quand l'urgence ne permet pas de réaliser une étude de risque exhaustive. Elle permet, dans l'incertitude de la crise, de décortiquer rapidement la problématique comme un prisme décompose la lumière en différentes radiations colorées. Il s'agit d'analyser le problème posé au travers de sept questions fondamentales. Lire l'article complet et découvrir la méthode Prisme sur le site de HBR


 
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