Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine
En ce moment En ce moment

Revue de presse achats (semaine du 28 mai au 1er juin)

Publié par Marie-Amélie Fenoll le - mis à jour à
Revue de presse achats (semaine du 28 mai au 1er juin)
© Cybrain - Fotolia

Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

Je m'abonne
  • Imprimer

83% des CPO privilégient les solutions de e-commerce

Une expérience de commerce électronique robuste encouragerait 83% des acheteurs à dépenser plus lors de l'achat des fournitures révèle l'étude de 2018 Avionos Procurement Officer. Le passage à un comportement d'achat plus centré sur le commerce électronique va conduire à l'éloignement des relations traditionnelles en face-à-face. La raison? L'arrivée de la génération Y et des millenials. [...] 89% des acheteurs soit près de neuf sur dix, ont déclaré qu'ils faisaient plus d'achats en ligne aujourd'hui. Et pour la quasi-totalité d'entre eux (97%), le portail client en ligne est d'une importance cruciale - et la clé pour choisir un fournisseur. Une fois qu'ils sont sur le site, les acheteurs veulent que les fournisseurs offrent un contenu détaillé du produit. Car ce contenu détaillé rendrait 54% des acheteurs plus confiants dans leurs achats. Ainsi, 43% des sondés expliquent que ne pas avoir de contenu précis est le point le plus douloureux de leur expérience d'achat en ligne.

>> Lire l'intégralité de l'article sur le site smallbiztrends.com [Article en anglais]

Supply chain

La révolution des transports au service des entreprises

L'industrie des transports est un pivot essentiel de l'économie nationale et internationale. Elle n'échappe pas à l'émergence des nouvelles technologies digitales, qui viennent petit à petit améliorer les services, les relations entre partenaires, les véhicules, le traffic et au final permettent aux entreprises d'améliorer leurs performances. Les plateformes de locations de services ou matériel professionnel permettent de connecter l'offre et la demande. C'est particulièrement visible dans le transport avec l'actuel essor des bourses de fret. Notre monde d'échanges est fortement basé sur le transport de marchandises, et l'optimisation des chargements en est une clé de rentabilité. L'avènement du porte-conteneur maritime en est l'exemple parfait. Sur la route, s'assurer que le camion ait en continu un chargement complet ou quasi complet est un enjeu majeur, que des solutions intelligentes mettant les offres de transport à disposition des affréteurs cherchent à relever.

>> Lire l'article sur le site siecledigital.fr


Microsoft s'intéresse au suivi de camions en temps réel

La supply chain bénéficiera du rapprochement du cloud, du big data, de l'IoT et de l'"Edge Computing", une architecture informatique où le traitement des données peut être assuré par les objets connectés eux-mêmes. Voici en substance le message qu'a rappelé récemment Microsoft à l'occasion de la visite de son centre d'innovation technologique, à Issy-les-Moulineaux. Le groupe informatique y a notamment mis en exergue le cas réel d'une société de transport de marchandises qui suivrait en temps réel ses camions et ses chauffeurs grâce à l'exploitation d'une solution de gestion de flottes basée sur sa plateforme cloud Azure et alimentée par des capteurs IoT installés à différents endroits dans les véhicules. Un algorithme de machine learning complète le tout.

>> Retrouvez l'article sur le site actu-transport-logistique.fr

RSE

Ce que prévoit la modeste directive sur la performance énergétique des bâtiments

La nouvelle directive sur la performance énergétique des bâtiments affiche des objectifs intéressants mais les obligations concrètes restent modestes.L'objectif est donc d'obtenir un parc immobilier efficace sur le plan énergétique et décarboné pour parvenir à des bâtiments à consommation nulle pour 2050. Un tel objectif impose un taux moyen annuel de 3% de rénovation, chaque augmentation de 1% des économies d'énergie générant une réduction des importations de gaz de 2,6%. Ce chiffre n'est pas exact en France où l'addiction à l'énergie nucléaire a conduit à l'usage déraisonnable du chauffage électrique. Cette politique rejoint les lignes directrices de l'OMS concernant la qualité de l'air intérieur des bâtiments en prévoyant le retrait de l'amiante et des substances nocives de ces bâtiments. Les moyens pour parvenir à une bonne performance énergétique ne se limitent pas à l'enveloppe des bâtiments, mais concernent également les techniques passives, la consommation de l'éclairage et la ventilation et les solutions fondées sur la nature comme la végétation urbaine et les murs végétalisés. Et la volonté politique fera toute la différence, estime l'avocate Corinne Lepage.

>> Retrouvez l'avis d'expert de l'avocate Corinne Lepage sur le site Actuenvironnement.com

Commande publique


La RATP met en concurrence trois start-up pour en finir avec les bus bondés

La flotte de voitures grises électriques en libre-service qui sillonnent Paris depuis 2011, ainsi que 97 communes d'Ile-de-France, seraient, aux dires de son propriétaire, le groupe Bolloré, source d'un trou financier considérable. L'industriel breton refuse de combler le gouffre seul, mais, jusqu'ici, les négociations avec Mme Hidalgo et son cabinet ont tourné court. Vendredi 25 mai, une lettre signée de la direction du groupe industriel a mis, de nouveau, les services juridiques et financiers de la Ville de Paris sur les dents : le groupe Bolloré réclame aux 98 communes une somme de quelque 40 millions d'euros par an jusqu'au terme de la délégation de service public, en 2023. Le même jour, la missive du groupe Bolloré est parvenue au syndicat mixte Autolib' Vélib' Métropole (SAVM), chargé du suivi de la délégation de service public confiée à Bolloré. Il devait réunir son comité syndical, qui compte une centaine d'élus, jeudi 31 mai.

>> Lire l'intégralité de l'article sur le site du Monde.fr


Loi alimentation : ce qui va changer dans les cantines

Les cantines vont devoir se mettre au bio. Au terme de débats passionnés, à l'Assemblée nationale ce samedi, les députés ont adopté un article du projet de loi sur l'agriculture et l'alimentation, visant à doper la part du bio dans les cantines d'ici à 2022. Promesse de campagne du candidat Macron, réitérée lors de son discours à Rungis en octobre 2017, cet article fixe un objectif de 50 % de produits bio ou préservant l'environnement en restauration collective. " Avec un sous-objectif de part minimale de produits issus de l'agriculture biologique de l'ordre de 20 % ". [...] La mesure a du poids. Selon les chiffres repris par l'étude d'impact, " la restauration collective représente 68 % des repas servis hors domicile chaque année en France, soit plus de 3 milliards de repas ". Ce sont 72.000 établissements qui sont concernés pour un marché annuel évalué à 17 milliards d'euros, dont 7 milliards pour les achats alimentaires.

>> Lire l'article sur le site des Echos.fr


Garantie des vices cachés : la prescription de cinq ans s'applique-t-elle ?

Le Conseil d'Etat va devoir répondre à une problématique nouvelle : le délai de prescription de la garantie des vices cachés (de l'article 1648 du code civil) est-il enfermé dans le délai de prescription de l'article L.110-4 du code de commerce. Si la réponse s'avère positive, l'acheteur devra à la fois agir dans les deux ans de la découverte du vice et dans les cinq ans de la vente.

>> Retrouvez l'article sur le site achatpublic.info


Le plafond des marchés publics sans formalités pourrait passer à 100 000 euros

Le 24 mai dernier, sur le salon Vivatech, Mounir Mahjoubi, secrétaire d'Etat au Numérique, a annoncé étudier un rehaussement à 100 000 euros du seuil des marchés publics sans formalités dans son volant de mesures baptisées " Actions startups " destinées à aider les jeunes pousses. Il s'agirait de remédier aux difficultés, " pour les start-up, de pouvoir faire leurs preuves, dans des schémas souples, avec le secteur public sur la pertinence de leur solution ". Le dossier de presse précise que cela se ferait " dans le cadre d'une expérimentation sur trois ans " et qu'il s'agirait de faciliter l'acquisition de " produits innovants auprès des PME ". Sur Twitter, le secrétaire d'Etat parle de " contractualiser plus facilement avec l'Etat ", mais vise plus largement les " marchés publics [...] pour les PME innovantes ".

>> Lire l'intégralité de l'article sur le site du Moniteur.fr

Fleet / Mobilité

Les plaques d'immatriculation numériques arrivent, mais elles coûtent cher

Dubaï annonçait il y a peu le développement et la commercialisation de plaques d'immatriculation intelligentes, capables d'afficher des informations de secours, notamment, mais aussi d'informer la police en cas de véhicule volé. La Californie, régulièrement à la pointe en matière de test de nouvelles technologies, confirme à son tour un programme pilote pour tester ce qui pourrait un jour débarquer en Europe.Baptisée "Reviver Plate", cette plaque d'immatriculation numérique permet notamment au propriétaire du véhicule de l'enregistrer électroniquement auprès de la DMV (équivalent de la préfecture ou du service des cartes grises en France).

>> Lire l'article de Caradisiac.com sur le sujet


Le coût de possession des thermiques toujours avantageux en France

En France, le coût moyen de possession d'un véhicule essence et celui d'un véhicule diesel se tiennent dans un mouchoir de poche. Selon l'étude Car Cost Index, réalisée par LeasePlan (société spécialisée dans les services automobiles), il faut en effet débourser en France en moyenne 472 euros par mois pour un véhicule essence contre 475 euros pour une motorisation diesel. La note double presque en ce qui concerne les véhicules électriques, dont le coût mensuel de détention atteint 836 euros. Le Car Cost Index a ainsi étudié le coût de possession de véhicules de segments B et C dans 21 pays européens. Et si la France est en dessous des moyennes de tous les pays comparés pour les véhicules thermiques, ce n'est pas le cas pour les électriques, qui reviennent en moyenne à 819 euros par mois. Il y a ainsi des pays où il vaut mieux rouler en électrique. C'est notamment le cas de la Norvège, où le coût de détention total moyen d'un véhicule électrique est de 670 euros par mois contre 731 euros pour un essence et 722 euros pour une voiture diesel. Aux Pays-Bas, il faut débourser 829 euros mensuels pour la motorisation électrique contre 861 euros pour le diesel.

>> Retrouvez l'article sur Decisionatelier.com

IT

Plus de robots, moins de pesticides

La réduction de la dépendance aux pesticides passera aussi par les machines. De nouveaux robots agricoles autonomes promettent de diviser par 10 l'emploi des produits aussi nocifs pour l'environnement que pour la santé. Lorsqu'ils ne désherbent pas de manière mécanique, ces engins le font de manière certes chimique mais sélective. De quoi envisager la fin de l'épandage massif : la France, en particulier, est le champion européen de la consommation des produits phytosanitaires, avec un chiffre d'affaires de 1,9 milliard d'euros.

>> Retrouvez l'article sur le site de l'Express.fr


Travel

5 clés pour interpréter les résultats d'une RFI (demande d'information) ?

Vous avez lancé avec tous les détails possibles une demande d'information (RFI : Request For Information), il vous faut maintenant définir les grilles d'évaluation de cette demande et surtout en définir les pondérations pour un résultat optimal. Yann Le Goff, consultants achats liste les 5 règles à suivre : 1- Définir des critères propres aux déplacements de vos collaborateurs (il conseille de ne pas dépasser 12 critères d'évaluation dans le RFI et 50 dans l'appel d'offres. ) / 2 - Hiérarchiser et pondérer les critères / 3 - Maîtriser les risques (solvabilité, dépendance technique ou financière )/ 4 - Capter l'innovation / 5- Définir les lignes de l'appel d'offre. "En cas d'audit, votre RFI sera la preuve de votre professionnalisme et du respect des bonnes pratiques de la profession. Son étendue et sa qualité seront les preuves de votre engagement envers votre organisation mais également envers le marché", conclut l'auteur.

>> Lire l'article sur le site de Deplacementspro.com


RH

Les 8 bienfaits de la méditation en entreprise

Le burn-out deviendrait-il le mal du siècle? Pour l'éviter rien de mieux que la pratique de la méditation. Une pratique désormais répandue dans certaines grandes entreprises comme Google ou Ford,Cisco, Sony, Apple, LinkedIn, Sodexo, Nexans, Maif.. Les bienfaits sont nombreux : une meilleure respiration, un management bienveillant, une plus grande confiance en soi, .... La méditation instaure un nouveau rythme. Sur le plan psychique, elle permet de réguler l'humeur, les émotions, de développer la concentration et l'efficacité, d'accroître l'empathie et l'intelligence émotionnelle et d'améliorer sa flexibilité mentale.



>> Retrouvez tous les bienfaits de la méditation sur linkedin


5 clés pour contrôler vos émotions pendant une discussion difficile

En cas de conflit, il est possible de gérer sa colère pour avoir des échanges productifs. Des techniques de méditation de pleine conscience simples sont vos meilleures alliées dans les situations tendues - la respiration étant la plus facile et la plus accessible. Concentrez-vous sur votre corps, récitez un mantra : choisissez une phrase à réciter pour se souvenir de garder son calme. " Sois neutre " fonctionne bien chez certains de ses clients. Essayez aussi : " Ça n'a rien à voir avec moi ", " Ça va passer " ou " C'est juste une histoire de business ". Reconnaissez et nommez vos émotions, ou enfin faites une pause. Si les choses s'enveniment, vous aurez peut-être besoin de vous faire excuser, le temps d'aller chercher un café ou un verre d'eau, de vous rendre aux toilettes ou de faire un tour dans les couloirs, ...



>> Retrouvez tous les conseils sur le site de la Harvard Business Review



 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page