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Revue de presse achats - semaine du 10 janvier

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Revue de presse achats - semaine du 10 janvier

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture

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Montée des litiges sur les difficultés d'approvisionnement des entreprises

Les problèmes, qui avaient d'abord surgi dans le BTP ou l'industrie automobile, particulièrement affectée par les pénuries de composants électroniques, sont en train de s'étendre à tous les secteurs de l'économie. D'où des tensions entre les acteurs économiques. C'est par exemple une TPE qui se voit infliger des pénalités par son donneur d'ordre pour ne pas avoir respecté ses délais de livraison en raison des pénuries de matériaux. Ou une autre qui se voit imposer une hausse brutale de prix de la part de son fournisseur dans le contexte inflationniste actuel. Bercy s'est emparé de cette question en annonçant mi-décembre un plan d'accompagnement visant à aider les entreprises à passer ce cap difficile en termes de trésorerie. Le dispositif s'apprête à être complété d'ici à la fin janvier par l'installation par Pierre Pelouzet d'un comité de crise auquel participeront les organisations patronales (Afep, Medef, CPME, U2P) ainsi que les Chambres de commerce et de métier. Un tel comité existe déjà pour la filière BTP où une charte des bonnes pratiques est aussi en cours d'élaboration. "La solidarité entre entreprises est essentielle", plaide-t-il, rappelant que "98 % des saisines émanent de PME, TPE et d'artisans en litige avec un acteur plus gros". >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Matières premières minérales: la France veut sécuriser ses approvisionnements

Sachant qu'à la fin de la décennie un tiers maximum des besoins pourront être remplis par des fournisseurs européens et sachant que le recyclage n'aura que peu d'effet pour répondre à l'explosion de la demande, l'auteur du rapport Varin fait plusieurs propositions concrètes. La première est la constitution d'un fonds d'investissement dans les métaux stratégiques. L'idée est notamment de sécuriser les approvisionnements des industriels européens par la prise de participation dans des projets d'extraction minière, de raffinage, ou encore de transformation et de recyclage. Autre décision, la mise en place d'un observatoire des métaux critiques, et la nomination d'un délégué ministériel à la sécurisation de l'approvisionnement en métaux stratégiques. Sans oublier un soutien à la recherche pour réfléchir aux prochaines générations de batteries. La filière nickel est particulièrement concernée, "ce sera probablement la plus innovante", explique l'expert français, le nickel étant aussi peut-être l'élément dont la disponibilité sera aussi la plus préoccupante d'ici 2025. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

Sous-traitants : la réutilisation de données confiées par un responsable de traitement

Conformément au RGPD, le sous-traitant ne peut traiter (utiliser) les données personnelles auquel il a accès que sur instruction documentée du responsable du traitement. Le sous-traitant peut donc licitement traiter les données tant qu'il agit pour se conformer de la meilleure façon et la plus sûre possible aux instructions du responsable du traitement. En revanche, il ne peut pas réutiliser ces données pour son propre compte, de sa propre initiative, sauf si un texte national ou européen le lui impose. Le sous-traitant qui réutiliserait les données de sa propre initiative serait qualifié de responsable de ce traitement et passible de sanctions pour ne pas avoir agi dans le respect des instructions du responsable du traitement initial. Le responsable du traitement peut toutefois, dans les conditions décrites ci-dessous, autoriser son sous-traitant à réutiliser pour son propre compte les données personnelles. Le sous-traitant devient alors responsable de ce nouveau traitement. >> Lire ce sujet sur le site de la CNIL

Pourquoi les macarons Ladurée ne sont plus made in France

Pour justifier cette délocalisation, la direction de Ladurée évoque une volonté d'améliorer la rentabilité du site d'Enney. La marque qui réalise environ deux tiers de son activité en France a subi une forte baisse de son chiffre d'affaires pendant la pandémie. Celui-ci est ainsi passé de plus de 110 millions d'euros hors pandémie, à moins de 50 millions d'euros en 2020. Autre piste d'explication: "comme à d'autres entreprises étrangères qui ont créé des emplois dans le canton de Fribourg, les autorités politiques ont accordé à Ladurée une exonération fiscale d'une durée de dix ans", avance "Bilan". L'entreprise ne devrait ainsi commencer à payer des impôts en Suisse qu'à l'issue de son exercice comptable 2021. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Les tendances du BTP et de la logistique urbaine observées par Supervan

Ce rapport révèle un secteur du BTP faiblement digitalisé, externalisant minoritairement ses livraisons sur les chantiers malgré son intérêt pour ce type de prestations, et de plus en plus tenté par des livraisons respectueuses de l'environnement. Même s'ils sont plus performants de nos jours qu'il y a 10 ans, les professionnels du bâtiment déclarent en moyenne plus de 12 jours d'immobilisation par an de leurs véhicules de transport sur les chantiers, et 58 % affirment que les approvisionnements actuels en matériaux rendent inactives plusieurs personnes pendant deux heures en moyenne, soit 10 % du temps de travail d'une équipe de quatre personnes. Selon Guillaume Fournier, fondateur de Supervan, le niveau de productivité peut être encore amélioré : "Aujourd'hui, la notion de productivité sur les chantiers est le principal challenge des professionnels du bâtiment. Avec l'apparition des politiques d'urbanisation ou encore les JO 2024, les prochaines années vont être décisives. Il est donc nécessaire de changer leurs habitudes dès à présent et de leur ouvrir de nouveaux horizons", commente Guillaume Fournier, fondateur de Supervan. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Des chantiers sous pression, des ouvriers mal protégés

Les statistiques de l'assurance-maladie montrent une augmentation constante des accidents, y compris mortels, depuis 2013. Si 2020 a connu un recul historique avec le confinement, 2019 a affiché un pic avec 733 morts. À lui seul, le BTP concentre 14% des accidents et 19% des décès, au point qu'on y recense un accident toutes les deux minutes ! Avec des conséquences financières importantes : "Pour les entreprises du secteur, les arrêts de travail pour cause d'accidents représentent l'équivalent de 36 000 emplois à temps plein", rappelle l'assurance-maladie, qui estime à "5% du coût total des bâtiments" l'impact financier des accidents du travail. Les cotisations annuelles du BTP à la branche spécialisée de l'assurance-maladie, qui varient en fonction du nombre d'accidents, s'élèvent à 1 milliard d'euros par an. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

De déchet, le carton recyclé devient une "matière première"

C'est une victoire sous forme de quelques lignes : une inscription au Journal officiel qui donne le statut de " matière première " aux papiers et cartons récupérés et triés. Pour les professionnels de la filière qui ont investi dans le recyclage avec des machines de plus en plus sophistiquées - 80% de la chaîne est automatisée désormais dans les usines -, c'est la reconnaissance d'une profession. Stéphane Panou, le président de la filière papiers-cartons de Federec, se réjouit : un recycleur n'est plus un chiffonnier récupérateur de cartons usés. C'est aussi la reconnaissance que des efforts de tri peuvent permettre en partant d'une matière mélangée d'obtenir une matière première, consommée en lieu et place de la fibre de bois vierge. Un produit qui est garanti par une norme (EN 643) puisque pour obtenir le label "matière première", les papiers et cartons doivent satisfaire plusieurs critères. >> Lire l'article complet sur le site de RFI


Commande publique

Préconisations pour acheter des EPI critiques "made in Europe"

"Le droit de la commande publique interdit de s'engager à attribuer un marché à une entreprise en particulier au seul motif qu'elle s'implanterait en France", rappelle d'emblée l'instruction n°2021/254, datée du 15 décembre 2021 et publiée au BO Santé du 31 décembre dernier. Cependant, le texte relatif à la " sécurisation du processus d'achat de fournitures et équipements critiques " indique les pistes à privilégier afin de " valoriser les éléments différenciant positivement les industriels français et européens, dans le respect du droit de la commande publique, et de cadrer les critères de choix sans les pénaliser sur le plan des prix. " L'instruction, qui ne concerne pour le moment que les gants nitriles et les masques sanitaires chirurgicaux et FFP2, énumère les actions possibles. Côté cahiers des charges, insister sur la qualité des équipements en se référant aux normes européennes, prévoir des audits qualité des processus de production ou de maintenance, exiger des niveaux minimums de stockage de matières premières et de produits et un délai moyen de livraison avec de lourdes pénalités en cas de dépassement, sans oublier de mettre l'accent sur la qualité environnementale et sociétale (consommation des ressources, rejets d'effluents, bilan carbone...) >> Lire l'article complet sur le site de Sante-achat.info

Soupçons sur des contrats. L'ex-maire de La Remaudière condamné

L'ex-maire de La Remaudière (Loire-Atlantique), Alan-Erwan Coraud, 63 ans, battu après un premier mandat en 2014, avait comparu, le 2 décembre, au tribunal correctionnel de Nantes. Celui-ci l'a condamné, ce jeudi 13 janvier, à dix mois de prison avec sursis pour favoritisme et détournement de fonds publics. Précisément, pour avoir enfreint la liberté d'accès ou à l'égalité des candidats dans les marchés publics, en favorisant une SARL récemment liquidée. >> Lire l'article complet sur le site de Ouest-France

Supply chain

Combler le fossé entre la Supply Chain et la Finance

La déconnexion entre la planification de la Supply Chain et la finance ne date pas d'hier. Une fois par an, les services financiers créaient le budget et la Supply Chain mesurait le respect du budget par le plan. C'est un modèle semé d'embûches car : l'apport de l'équipe Supply Chain dans la création du budget est souvent minime ; l'équipe Supply Chain s'intéresse généralement à des objectifs tels que l'OTIF (ponctualité et complétude de la livraison), les rotations de stock et l'utilisation des ressources. Le respect du budget passait souvent au deuxième plan et le budget est généralement verrouillé en début de l'année. Mais aucun plan si bien conçu ne peut tout anticiper et le budget n'y échappe pas, ce qui se traduit forcément par des changements. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Défis d'approvisionnement - Les entreprises face aux failles du juste-à-temps

"Il y a une montée des stocks pour atténuer les problèmes de délais dans la chaîne d'approvisionnement, observe M. Stien, chez GCL Group. Mais tout le monde a commencé à commander de plus en plus, ce qui accroît la problématique dans la chaîne." Selon la PDG de Manufacturiers et Exportateurs du Québec (MEQ), Véronique Proulx, "il n'y a pas un responsable dans le secteur manufacturier qui n'est pas en train de revoir sa stratégie" d'approvisionnement. Malgré l'efficacité du modèle juste-à-temps, des failles avaient déjà commencé à apparaître il y a environ trois ans, souligne M. Stien. Avant l'arrivée de la Covid-19, les chaînes d'approvisionnement étaient bien rodées, rappelle l'expert. Un imprévu, comme une grève au port de Los Angeles, l'une des portes d'entrée des conteneurs en provenance de l'Asie, était suffisant pour provoquer des perturbations, note-t-il. De nos jours, il faut que les entreprises intègrent davantage de prise de décision en matière de planification financière dans la planification de leur Supply Chain.>> Lire l'article complet sur le site de La Presse

Ikea : quand la logistique fait augmenter ses prix

Outre les questions d'approvisionnement de bois et de métaux ainsi que la forte accélération de l'inflation à travers le monde, les retards dans les livraisons alourdissent la facture. Les délais de transport depuis la Chine avoisinent aujourd'hui huit semaines, contre quatre en temps normal. Le plus grand port chinois, Ningbo près de Shanghai, est en outre, actuellement perturbé par le variant Omicron. A cela s'ajoutent inévitablement les hausses des l'énergie : essence, gaz, électricité. Plus généralement, le coronavirus pourrait désorganiser les services de logistique, poussant naturellement les prix à la hausse en raison des remplacements et des délais de stockage, notamment. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

Hugo Boss raccourcit sa chaîne d'approvisionnement

En délocalisant la production, Grieder veut devenir moins dépendant de l'Asie du Sud-Est. "Notre future stratégie est de produire encore plus de vêtements à proximité des marchés où ils seront vendus", a-t-il déclaré. L'année dernière, l'entreprise de mode a déjà attribué la production de pulls, de vêtements pour femmes et d'autres vêtements à Izmir. Grieder a déclaré qu'avoir sa propre usine à proximité de l'Europe aurait été "un énorme avantage concurrentiel" ces derniers mois. La société envisage également de déplacer une partie de sa production vers des "usines urbaines" dans les pays occidentaux et commencera à tester la production finale de jeans et de denim dans une petite usine de Los Angeles au premier trimestre 2022. >> Lire l'article complet sur le site de Retail Detail

Supply Chain : pourquoi passer à la visibilité en temps réel ?

En appliquant l'analytique et en mettant en place une infrastructure qui offre des informations en temps réel sur la chaîne d'approvisionnement, les entreprises peuvent garantir un service client plus qualitatif. Ces données peuvent en effet permettre de donner une visibilité réelle sur les stocks ou un tracking de la livraison qui sont autant de leviers de réassurance pour le client final. Avec un pilotage en temps réel un fabricant est ainsi en mesure d'examiner l'état de sa situation d'approvisionnement au fur et à mesure qu'elle se déroule, d'ajuster ses stratégies et ses plates-formes de planification sur le moment, et de réagir à des changements soudains dans le flux d'approvisionnement en un instant. In fine, cela se traduira par une amélioration des relations et de la satisfaction des clients qui bénéficieront de cette approche précise et transparente. Côté tracking de la livraison, selon une étude Generix Group, seules 1/4 des entreprises du BtoC proposent un service de suivi des commandes à leurs clients. Même son de cloche pour le BtoB (23%). Preuve qu'une entreprise peut rapidement faire la différence dans ses ventes en proposant ce simple ajustement.>> Lire ce sujet sur le site de Bpi France

La logistique se prépare au grand retour des dirigeables

Dans le sillage de la COP26, le fret longue distance est en pleine ébullition. Et c'est du ciel que pourraient venir les plus grandes surprises, avec le grand retour annoncé des dirigeables à l'horizon 2023-2030. Baptisés LTA, ces aéronefs de plusieurs centaines de milliers de mètres cubes promettent d'offrir des capacités de fret allant de 10 à 600 tonnes. Des dizaines de projets émergent dans le monde entier. Citons, entre autres, Atlant, de l'entreprise israélienne Atlas LTA Advanced Technology (jusqu'à 165 t de charge sur 2 000 km à 120 km/h), le projet français LCA60T entre Safran et Flying Whales (60 t sur 1 000 km à 100 km/h). Sans oublier l'Allemand Zeppelin, l'Américain Lockheed Martin, le Britannique Hybrid Air Vehicle, le Chinois Airship Vantage, le Brésilien Airship do Brasil et les Russes JSC DKBA, DB Krylo, SPCF Aero-statika et IADB Aerosmena. >> MLire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Les transports routiers et la logistique continuent à recruter

Les difficultés de recrutement sont dues aussi au manque d'attractivité et à l'image négative du secteur, reconnaît le vice-président de l'OPTL, Bruno Lefebvre. Pour ce dernier, le salaire est "une composante importante de cette attractivité avec la qualité de vie au travail. La recherche d'une meilleure qualité de vie au travail est essentielle pour les nouvelles générations. Les entreprises doivent en tenir compte dans leurs démarches de recrutement". Celle-ci "s'étend à la prévention des risques professionnels", souligne Michel Chalot. Selon les derniers chiffres de la CNAM, la branche perdrait "20.000 équivalents temps pleins et 4,5 millions de journées de travail par an" en raison d'accidents et de maladies professionnels. >> Lire l'article complet sur le site de l'Antenne

IT

La lourde facture environnementale des data centers

Ces hôtels à data sont particulièrement polluants à cause de l'électricité consommée pour en alimenter les serveurs (ou ordinateurs) et de l'eau utilisée pour les refroidir - un centre de taille moyenne engloutit 600.000 mètres cubes par an, soit l'équivalent de 6,5 piscines olympiques chaque jour. Car, loin d'être un nuage dématérialisé et abstrait d'ondes flottant au-dessus de nos têtes, le cloud repose sur des infrastructures concrètes, sans cesse sous tension. "Les particuliers ne s'en rendent pas compte, mais ces installations réclament énormément d'énergie 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 : elles ne peuvent pas cesser de fonctionner, et doivent même résister à une coupure de courant, ou à une pelleteuse qui sectionne la fibre optique...", énumère Arnaud de Bermingham, patron de Scaleway, la filiale d'Iliad (Free) dédiée au cloud. D'où d'importantes redondances : la plupart de nos données sont répliquées dans plusieurs lieux de stockage, augmentant d'autant les besoins en serveurs, et leur consommation. Or l'électricité utilisée pour alimenter ces gouffres énergétiques n'est pas toujours des plus propres. Aux Etats-Unis, elle vient même massivement du charbon. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Numérique responsable : aux entreprises de passer à l'offensive !

Tribune de Benoit Durand, manager numérique responsable & sustainability chez Wavestone - "L'empreinte carbone du numérique représente, à ce jour, entre 2% et 4% des émissions mondiales . Si le gouvernement s'est saisi de cette question avec la promulgation de la loi REEN en novembre dernier, les entreprises, notamment celles du secteur des services, ne sont pas en reste et placent désormais plus régulièrement cet enjeu dans leurs objectifs concrets de réduction des bilans carbone. Pourtant, cette volonté manifeste se heurte bien souvent à la réalité du terrain : les entreprises ne savent pas toujours par où commencer, sur quels leviers concentrer leurs efforts pour maximiser le potentiel de réduction, ou comment définir des objectifs de réduction et les piloter. Trois axes de réflexions pour tenter d'y remédier. Le nombre d'équipements utilisateurs ne cesse de croître, et cette tendance s'est accentuée avec le télétravail (achat d'ordinateurs portables, nouvel écran, etc.). Or, à l'échelle mondiale, leur impact représente environ les deux tiers de l'impact de gaz à effet de serre (GES) du numérique, devant les datacenters et le réseau réunis ! Ce constat se confirme généralement au niveau d'une organisation lorsqu'un bilan carbone est réalisé sur le périmètre numérique." >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site des Echos

Green IT : le réseau mauvais élève ?

Sur la partie réseau, le constat est sans équivoque : "Pratiquement aucune des organisations que nous avons accompagnées ces 5 dernières années n'a optimisé la consommation électrique des équipements actifs", peut-on lire dans la synthèse du baromètre. Constat assorti d'une recommandation : systématiser l'achat d'équipements plus faciles à mettre en veille (Energy-Efficient Ethernet). Dans l'absolu, il y a des aspects positifs. Par exemple, l'allongement de la durée de vie moyenne des points d'accès Wi-Fi : +17 % entre 2017 et 2020, pour atteindre 6,2 ans. C'est un peu moins que les écrans (7 ans ; +11 %). Mais autant que les ordinateurs de bureau (+13 %) et un peu plus que les ordinateurs portables (+26 %, à 5,9 ans). Ces données incluent le réemploi externe. Avec l'allongement constaté, pour la première fois dans le baromètre, l'impact de la fabrication est moins important que celui de l'utilisation (sauf pour l'épuisement de ressources abiotiques). L'impact environnemental du réseau croît d'autant plus que ce pan de l'infra est sujet à des renouvellements d'équipements. À la fois en conséquence d'évolutions structurelles (filaire vers ondes radio) et technologiques (normes Wi-Fi, passage du cuivre à la fibre...). >> Lire l'article complet sur le site de Silicon

L'Olympique de Marseille dématérialise son cycle de purchase-to-pay

L'OM collabore de façon régulière avec plus de 300 fournisseurs, ce qui représente une moyenne de 1000 à 1500 factures par mois en période d'activité habituelle. Pour optimiser ce processus, le club a d'abord mis en place l'interface de gestion des factures fournisseurs d'Esker en octobre 2019. En juillet 2020, l'OM a ensuite déployé le module d'engagement financier de façon progressive au sein des sept sociétés du club. Auparavant, la validation des demandes d'achats se faisait encore au format papier, avec le risque de perte de documents que cela induit, explique Marjorie Lagrange, contrôleur de gestion à l'Olympique de Marseille. "Désormais, le processus de validation des engagements est respecté grâce à un workflow optimisé", souligne-t-elle. Le département financier avait également des difficultés à construire ses budgets, en l'absence d'informations sur les engagements non facturés. "C'est pour cette raison que nous avons décidé de passer à l'étape supérieure en digitalisant l'ensemble du cycle fournisseurs", pointe Marjorie Lagrange. >> Lire l'article complet sur le site de CIO


Carrière / RH / Management

Pour un manager, l'humilité est-elle une qualité ?

Dans un monde qui nous oblige à nous adapter sous peine d'être largué, l'humilité intellectuelle, c'est-à-dire la capacité à reconnaître que nos convictions et opinions peuvent être fausses, devient une nécessité critique. Les individus intellectuellement humbles sont par exemple plus susceptibles de faire des efforts pour apprendre davantage dans un domaine où ils ont échoué, à tolérer l'ambiguïté, ou encore à reconnaître la nouveauté. Face aux évolutions du monde et à la polarisation de certaines idées, il est donc important de réussir à nous délester de nos réflexions autocentrées et intuitives en ouvrant notre pensée à d'autres normes. A moins que les machines fassent preuve d'humilité intellectuelle avant nous: IBM y travaille, avec une IA capable de dire quand elle pense se tromper. >> Lire l'article complet sur le site de Capital



 
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