Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine
En ce moment En ce moment

Revue de presse achats - semaine du 14 octobre

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 14 octobre
© BlueSkyImages - stock.adobe.com

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture.

Je m'abonne
  • Imprimer

La loi Alimentation est "un échec", dénoncent l'UFC-Que Choisir et la Confédération paysanne

"Le rééquilibrage des négociations commerciales tant attendu par les agriculteurs et promu par la loi n'a pas eu lieu", ont affirmé l'UFC-Que Choisir et la Confédération paysanne. Le syndicat agricole a constaté sur le terrain que les coûts de production calculés par les organisations de producteurs n'ont jamais été pris en compte par la distribution ou l'industrie. Les producteurs ont subi au contraire un durcissement des négociations, qui se sont traduites pour certaines productions par des prix d'achat encore en-dessous des coûts de revient. Résultat, le lait de vache est acheté 15% en dessous du prix de production et la viande 14%. L'UFC-Que Choisir et la Confédération paysanne demandent au gouvernement l'abandon immédiat du relèvement du seuil de revente à perte ; une transparence totale sur les marges des industriels et des enseignes de la grande distribution ; la mise en oeuvre effective du rééquilibrage des négociations commerciales et un dispositif pour déterminer des prix agricoles rémunérateurs. >> Lire l'article complet surle site de FranceTvInfo

Vent de panique chez les fournisseurs de Conforama

Pour les milliers de salariés des entreprises de sous-traitance liées au numéro trois de l'ameublement en France, la suppression de 1 905 postes et la fermeture de 42 magasins Conforama l'an prochain n'est pas seulement un énième sujet d'actualité. Un plan social, d'une ampleur sans précédent, en cours de négociation, lancé par les créanciers de Conforama qui ont pris le contrôle de l'enseigne en avril dernier. Ces dernières semaines, la situation financière de plusieurs fournisseurs de Conforama s'est fortement dégradée. Ils redoutent l'effet domino d'une restructuration dont les contours restent encore flous, comme le déplore Mouloud Hammour, secrétaire du comité central de FO Conforama : "Nous avons demandé des clarifications à la direction sur le plan social qui pourrait aller bien au-delà des 1 905 suppressions annoncées et atteindre au total 2 800 licenciements. Les réponses apportées jeudi 10 octobre ne nous ont ni convaincus ni rassurés. Et les négociations se passent mal." >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Un financement responsable pour un partenariat durable !

Par Pierre Pelouzet - Mais l'affacturage c'est quoi ? Vous êtes fournisseur, vous envoyez votre facture à votre client et si vous souhaitez être payé tout de suite, vous démarchez votre banquier ou factor. Lequel vous avancera l'argent mais avec un taux d'intérêt assez important pour couvrir le risque. Depuis quelques années, les donneurs d'ordres prennent conscience de l'impact des fournisseurs dans leur performance et notamment sur l'importance de sécuriser leur approvisionnement. Pour répondre à cet enjeu crucial, certains donneurs d'ordre ont souhaité s'engager dans une démarche de financement plus responsable et plus durable en proposant une solution de financement rapide à des taux plus avantageux. >> Lire la tribune sur le site de EcoRéseau

Prospérité Fermière - Ingredia audite son lait en temps réel

Prospérité Fermière Ingredia a présenté le 8 octobre 2019 la première bouteille de lait UHT écoresponsable tracée et auditée en temps réel grâce à la technologie blockchain de Connecting Food. Il s'agit d'un pas de plus dans la démarche RSE baptisée Via Lacta et initiée en 2017. L'ambition du groupe était alors de proposer un lait répondant à un cahier des charges favorisant le bien-être animal, la qualité du lait, la préservation de l'environnement et un juste revenu aux agriculteurs. >> Lire l'article complet sur le site de ProcessAlimentaire

Bourg-en-Bresse. La sous-traitance en passe de sauver les ex-Lejaby

Les ex-Lejaby sont donc devenues... sous-traitantes. En cette fin avril, elles travaillent notamment pour une créatrice. Caroline Juvin qui a créé sa propre ligne, "Fleurs Pois & Cie", a mis la barre haut. Elle donne dans le soutien-gorge sans armatures avec un coton non élastique, pas des plus simples à travailler. Mais chaque commande est ici un défi que l'on aime relever. "On a affaire à des corsetières, pas des couturières, ne l'oublions pas!", lance Caroline qui est dans cet atelier "comme chez elle". Pourtant c'est une cliente, mais elle se sent partenaire. >> Lire l'article complet sur le site de France3 région

Après la taxe soda, un député MoDem favorable à une "taxe charcuterie"

Richard Ramos, un député MoDem, a déposé un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale. L'objectif ? Pénaliser les entreprises ayant recours aux nitrites dans leurs jambons, rillettes ou encore saucisses sous vide, explique Europe 1. Les nitrites ? C'est ce qui permet à votre jambon d'avoir cette couleur rose si alléchante. Mais elle n'est pas naturelle. Loin de là. Les industriels les utilisent pour rendre les produits plus attractifs visuellement et leur permettre de se conserver plus longtemps. Mais dans le même temps, c'est aussi un composé jugé très dangereux par l'Organisation mondiale de la santé. Des études scientifiques ont en effet permis de montrer leur lien avec les cancers colorectaux. Richard Ramos souhaite donc inciter les entreprises à changer leurs habitudes en les frappant au portefeuille. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Alstom Tarbes veut convertir ses fournisseurs à l'hydrogène

Alstom Tarbes a entrepris sa conversion à l'hydrogène avec déjà deux trains livrés en Allemagne. "Si matériellement il s'agit d'ajouter une pile à combustible et une batterie aux chaînes de traction, c'est toute une filière hydrogène à penser. Même si ce n'est pas la seule technologie pour atteindre la décarbonisation des énergies pour le ferroviaire d'ici 2040, précise Franck Terrillon. On réfléchit sur une chaîne logistique globale avec la région Occitanie. Ça implique de repenser les gares. Une quinzaine de trains sont en discussions avancées, avec quatre régions dont l'Occitanie. On adapte notre gamme." Et si pour l'heure, les piles à combustible proviennent du Canada, l'intérêt suscité par le sujet laisse augurer d'une solution plus locale à moyen terme. "Nous devons accompagner nos fournisseurs autour de cette technologie nouvelle", rappelle Franck Terrillon. >> Lire l'article complet sur le site de La Depêche



Commande publique

Les achats et la conduite du changement

Si la professionnalisation de la fonction achat recouvre une dimension technique certaine et fait appel à la maîtrise de savoir-faire spécifiques abordés dans les précédents articles, elle constitue peut-être et avant tout un formidable mais périlleux chantier de modernisation de nos administrations. Contrairement à d'autres fonctions supports, son inscription dans le paysage institutionnel des structures publiques est assez récente et son plein déploiement emporte des modifications structurelles des habitudes de travail. C'est la raison pour laquelle il faut bien en mesurer toute la portée en termes de changement avant de s'y engage. >> Lire l'article complet sur le site de La Gazette des communes

Marchés publics - La Commission dévoile les prochains seuils européens

La Commission européenne a communiqué aux États membres ses projets de règlements européens fixant les seuils de procédure formalisée qui seront applicables à compter du 1er janvier 2020 pour deux ans. Pour la première fois depuis 2010 les seuils proposés sont en baisse (- 3,5 % environ par rapport à 2018-2019) : 139 000 euros pour les marchés de fournitures et services des pouvoirs adjudicateurs centraux ; 214 000 euros pour les marchés de fournitures et services des autres pouvoirs adjudicateurs et pour les pour les marchés de fournitures et services des pouvoirs adjudicateurs centraux dans le domaine de la défense ; 428 000 euros pour les marchés de fournitures et services des entités adjudicatrices et pour les marchés de fournitures et services de défense ou de sécurité ; 5 350 000 euros pour les marchés de travaux et les contrats de concessions. Ces seuils, qui traduisent les engagements internationaux de l'Union européenne dans le cadre de l'Accord sur les marchés publics de l'OMC, sont révisés tous les deux compte tenu de l'évolution du taux de change entre l'euro et les droits de tirage spéciaux (DTS) calculés à partir d'un panier de monnaies (euro, dollar américain, livre sterling, yen et yuan). >> Lire l'article complet sur le site de economie.gouv.fr


RSE

Paris et 13 autres villes s'engagent à réduire leur consommation de viande

14 villes - dont Paris - se sont engagées sur une thématique cruciale : l'alimentation. Au programme : agriculture durable et biologique, diminution du gaspillage alimentaire et... la réduction de la consommation de viande. La déclaration des signataires prévoit une consommation de produits carnés - non transformés - qui n'excède pas 16 kilos par an et par habitant. En France, la consommation de viande dépassait les 49 kilos par an et par habitant en 2018. (...) Milan, Barcelone, Copenhague, Guadalajara, Lima, Londres, Los Angeles, Oslo, Paris, Quezon City, Seoul, Stockholm, Tokyo et Toronto se sont donc engagées pour une alimentation soutenable à l'échelle planétaire. Ok, mais comment vont-elles faire ? On imagine mal un décret municipal interdisant la consommation de bidoche et autres charcuteries. Pour répondre à cette question, chaque ville a présenté ses propres mesures en fonction de sa situation démographique, de ses citoyens et de sa culture. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Les petits gestes "verts" qu'on peut faire au bureau

Interview de Cyril Hergott (Riposte Verte) - "On produit environ 125 kilos de déchets par an et par collaborateur, les trois-quarts étant du papier, mais on ne recycle que 20% de nos papiers contre 50% à la maison. Il faut aussi garder un ordinateur ou un téléphone plus longtemps, c'est là que le gain va se faire. Les trois-quarts de l'impact d'un ordinateur proviennent de sa production. (...) Un courriel que vous envoyez à un collègue en face de vous va parcourir en moyenne 15.000 kilomètres. Il faut essayer de diminuer ces envois. Il ne faut pas répondre à tout le monde. Quand vous avez des pièces à envoyer, vous pouvez les remettre sur une clé USB si le collègue est proche de vous. Vous pouvez aussi mettre des liens en ligne au lieu de mettre une pièce jointe." >> Lire l'interview complète sur le site de FranceTVInfo


Doc & IT

L'Internet des objets au service du smart-building, une révolution pour la gestion des bâtiments

Tribune de Christophe Fouillé, Objenious -"L'IoT dans le Smart-Building permet de connecter tous types de capteurs de façon simple et à moindre coût. Pour optimiser les consommations énergétiques d'un bâtiment, il est nécessaire de mesurer la consommation de façon précise afin d'identifier les axes d'amélioration. Le Smart-Building, dans ce cas, se matérialise par des capteurs spécifiques, positionnés à différents endroits du bâtiment en fonction des données à collecter. En les connectant, il est possible d'analyser la consommation en eau, en gaz et en électricité du bâtiment, de relever des températures ou des indicateurs de qualité d'air. Cette première étape permet d'optimiser la consommation et d'assurer le confort des usagers. Ainsi, une donnée indiquant une température trop élevée par rapport aux paramètres prédéfinis déclenchera des actions correctives pour réduire la chaleur. Idem pour une qualité de l'air dégradée qui nuit à la performance au travail." >> Lire la tribune complète sur le site de l'Usine Nouvelle

Comment Safran choisit et investit dans des pépites technologiques

Très clairement, Safran Corporate Ventures n'investit que dans des sociétés qui amènent de nouvelles technologies pour le groupe dans cinq domaines : environnement, aviation connectée et autonome, nouveaux usages, expérience passager et industrie 4.0. "Safran ne pouvait pas être absent dans ce domaine-là", estime Bernard Delpit. Le principe de base de ce fonds, qui n'a pas d'objectif de retour sur investissement sur le court terme mais qui est rentable, est d'investir dans la R&T. "On regarde si on peut capturer des technologies uniques", confirme Florent Illat.Toutefois, le fonds de Safran, qui ne souhaite pas étouffer les startup sélectionnées, participe à des tours de table à hauteur de montants compris entre un et cinq millions d'euros. Pas plus, car "la bonne hygiène est d'investir avec d'autres partenaires dans ce domaine", estime le directeur général de Safran Corporate Ventures. Soit des participations qui n'excèdent pas 15% du capital d'une startup. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Pourquoi la moitié des projets IA échouent ...

La moitié des projets menés sur le front de l'intelligence artificielle sont voués à l'échec. C'est là l'un des principaux enseignements tiré d'une étude réalisée début 2019 par IDC auprès de quelque 2 500 organisations à travers le monde. Les décideurs IT consultés évoquent le plus souvent des attentes irréalistes et un manque de main-d'oeuvre parmi les causes de ces revers. Autres raisons invoquées : le coût des solutions d'IA et les potentiels biais présents dans les jeux de données d'entrainement. Le constat est loin d'être étonnant. Comme ce peut être le cas dans d'autres champs de l'informatique, les projets échafaudés dans l'IA se heurtent à des problématiques liées aux dépenses à engager ou aux compétences à acquérir. Rien de plus commun. Mais dans l'intelligence artificielle, il est une barrière qui demeure impossible à franchir. "Pas de data, pas d'IA", résume Didier Gaultier, directeur datascience & intelligence artificielle chez Business & Decision, une ESN filiale d'Orange. Pour éviter de se retrouver dans le mur, un état des lieux des données disponibles et exploitables doit par conséquent précéder tout chantier. >> Lire l'article complet sur le site du JDN

Fleet management

Quels sont les risques du covoiturage avec un véhicule de fonction ?

Si vous réalisez du covoiturage durant votre temps de travail, et que, de surcroît, vous effectuez des bénéfices avec les compensations pécuniaires reçues des passagers, alors cette pratique est répréhensible et votre employeur serait alors susceptible de vous licencier. Il est donc vivement conseillé aux entreprises de réglementer les éventuelles règles de covoiturage avec les véhicules professionnels. Aussi, des règles d'utilisation et de remboursement de frais pourront être fixées dans le règlement intérieur, les contrats de travail ou dans la politique voyages. Bien entendu, une voiture de fonction, peut également avoir été octroyée pour un usage mixte, professionnel et privé, et dans ce cas être utilisée à des fins personnelles par le salarié pour transporter qui il veut, le cas échéant en covoiturage, hors du temps de travail bien sûr. >> Lire l'article complet sur le site de DéplacementsPros


Environnement de travail

"Les open spaces altèrent notre concentration mais aussi la qualité de nos interactions"

Tribune du neuroscientifique Gaëtan de Lavilléon - "Pire, et c'est pour le moins contre-intuitif, deux chercheurs de la Harvard Business School ont montré qu'en passant de bureaux fermés à des espaces ouverts, les salariés de plusieurs entreprises ont vu leurs échanges en face à face chuter de près de... 70 % ! Voilà donc une triple peine pour les salariés comme pour les organisations : les open spaces provoquent davantage de nuisances, altèrent notre concentration, mais aussi la qualité de nos interactions. L'ambition originelle était pourtant louable : favoriser les échanges et la collaboration en décloisonnant l'espace. Malheureusement, cette transformation a été effectuée au détriment de la concentration des individus. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Carrière / RH / Management

L'intelligence émotionnelle, une compétence désormais incontournable

Les changements technologiques qui bouleversent le monde du travail font désormais de l'intelligence émotionnelle une compétence indispensable pour tous les salariés, notamment pour ceux qui n'occupent pas des postes managériaux. La montée en puissance de l'intelligence artificielle qui permet de remplacer les salariés sur des tâches répétitives à faible valeur ajoutée suppose une transformation du contenu des postes de travail. Les salariés, à tous les niveaux de l'entreprise, vont progressivement devoir faire preuve d'intelligence émotionnelle pour répondre à la mutation de leurs rôles, désormais plus axés sur le relationnel et moins de technicité. >> Lire l'article complet sur le site des Echos Executives

Le marché de l'emploi cadre est toujours aussi dynamique

Pour le 4e trimestre, les perspectives de recrutement sont davantage prometteuses. 57 % des entreprises de 100 salariés et plus interrogées en septembre 2019 prévoient ainsi de recruter au moins un cadre. Les entreprises prévoyant de recruter au moins un cadre sont 61 % dans l'industrie, 64 % dans la construction (+ 5 points par rapport au 3e trimestre 2019), 46 % dans le commerce-transports (+ 6 points), 69 % dans la banque-assurance (- 10 points), 89 % dans l'ingénierie-R&D (+ 4 points), 92 % dans l'informatique (+ 5 points), 49 % dans les services aux entreprises (- 3 points), et 56 % dans le médico-social (+ 5 points). >> Lire l'article complet sur le site de CourrierCadres

 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page