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Revue de presse achats (semaine du 19 au 23 novembre)

Publié par Aude Guesnon le - mis à jour à
Revue de presse achats (semaine du 19 au 23 novembre)
© tai111 - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. La rédaction a sélectionné pour vous des articles parus sur le Net et qui vous intéresseront car en lien avec les achats: relation fournisseurs, RSE, travel, fleet, IT, mais aussi carrière et management. Bonne lecture!

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"Pour une collaboration constructive avec fournisseurs, sous-traitants..."

En réduisant l'apport de nos fournisseurs à de la simple " commodité ", nous, grands groupes, prenons aussi un risque mortifère : celui d'encourager la dangereuse spirale de la baisse des prix qui, à la fin, profite essentiellement aux pays à bas coût comme la Chine. Les fournisseurs occidentaux, qui ont tenté de s'aligner en tirant les prix vers le bas, ont largement détruit leurs capacités d'investissements et laissé la qualité des produits baisser. Ne cherchons pas ailleurs les raisons du déclin de nos tissus industriels. Il n'est que temps d'inverser la tendance. La force d'un écosystème, c'est quand fournisseurs et clients se choisissent mutuellement. >> Lire la tribune complète de Elvire Régnier-Lussier (Avril) sur le site L'Opinion

L' "upcycling" donne une seconde vie aux vêtements

Une robe fabriquée à partir de foulards chinés, un bomber créé de chutes de tissu d'atelier, faire du neuf avec du vieux "upcyclé" n'a jamais été aussi tendance. Une démarche écoresponsable stimulante pour les créateurs. Le terme upcycling désigne l'action de récupérer des tissus ou des vêtements déjà existants, dont on n'a plus l'usage. L'idée est de les valoriser, en produisant au final des habits dont la qualité est supérieure à leur état d'origine. Initiative concrète adoptée par des créateurs talentueux qui en ont fait la philosophie de leur marque, l'upcycling est en plein boom. >> Lire l'article complet sur le site Le Monde

Groupe Omerin : des délocalisations pour maintenir l'investissement en France

Le groupe familial auvergnat Omerin, leader mondial des câbles électriques et gaines isolantes, investit en Tunisie dans une nouvelle usine dédiée à une de ses activités, la fabrication de dispositifs médicaux et emballages pharmaceutiques. Pour son dirigeant, cette délocalisation de produits à faible valeur ajoutée lui permet de maintenir sa compétitivité et son niveau d'investissement élevé en France. "Ces productions s'en vont pour laisser la place à des lignes destinées à de nouvelles innovations", indique Xavier Omerin, dirigeant du groupe familial. A horizon 2020, Xavier Omerin vise un chiffre d'affaires de 240 millions d'euros, soit 30 de plus que cette année. "Nous accroissons nos capacités de production", justifie le dirigeant. Qui indique également être en permanence en veille d'opportunités de croissance externe. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Innovation/investissement : les dépenses en R&D des entreprises dans le monde augmentent, selon PwC

Les dépenses des entreprises affectées à la recherche et développement (R&D) devraient atteindre, au niveau mondial, un record de 782 milliards de dollars cette année, soit une augmentation de l'investissement dans la R&D de 11,4 % par rapport à 2017. Avec des leaders comme Amazon, Microsoft ou Apple qui trustent les premières places du classement, les entreprises américaines dominent le Top 20 mondial des sociétés cotées qui investissent le plus dans la R&D. Le leader tricolore de la santé Sanofi intègre cette année le classement des 20 plus gros investisseurs mondiaux en R&D avec un montant d'investissement estimé à 6,57 milliards de dollars en 2018. Deuxième investisseur en R&D à l'échelle de la France, le constructeur Renault se classe à la 52ème place du classement mondial avec 3,11 milliards de dollars de dépenses dédiées à la R&D. >> Lire l'article complet sur le site Le Moci

Comment Roche Diabetes Care France cultive l'esprit start-up

Filiale de Roche, géant de l'industrie pharmaceutique, Roche Diabetes Care France fonctionne comme une start-up au sein d'un grand groupe. Il y a quelques mois, l'équipe commerciale sédentaire de Roche Diabetes Care France, qui travaillait jusqu'alors par téléphone, imagine un dispositif innovant pour réinventer la relation avec le client. En moins de six mois, le projet a germé dans l'esprit des équipes, il a fait l'objet d'un business case, a été développé en mode agile et enfin déployé au sein de l'entreprise. Voici un exemple, parmi d'autres, d'innovation rondement menée et, surtout, émanant des collaborateurs eux-mêmes. Pour arriver à ce niveau d'agilité, plusieurs ingrédients sont nécessaires : le décloisonnement entre les départements, le travail en mode projet, l'accessibilité du management, des circuits de décision courts, et l'encouragement à l'intrapreneuriat et à l'innovation, quel que soit le statut ou le niveau hiérarchique. Ainsi, récemment, c'est une intérimaire qui a porté un projet innovant au niveau du comité de direction. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos


RSE

Le palmarès des départements champions de l'achat de glyphosate

L'association Générations Futures remet mardi 20 novembre ses "GlyphAwards", des prix pour les départements qui utilisent le plus ce type de pesticide. Franceinfo vous révèle le palmarès, alors que le glyphosate doit être interdit d'ici trois ans. En tête, le Vaucluse, qui achète le plus de glyphosate par rapport à sa surface cultivée. Suivent la Réunion, la Martinique, puis la Gironde. Le classement montre également que la Lozère, la Corse du Sud et le Cantal sont les départements qui ont acheté le moins de glyphosate en 2017. L'association va donc, en guise de prix, envoyer un faux bidon marqué "1er prix" au président de la Chambre d'agriculture du Vaucluse entre autres. >> Lire l'article complet sur le site France Info

Le destin des gobelets en plastique jetables

Quatre milliards de gobelets en plastique consommés en France chaque année pour 2 % recyclés. Les gobelets en plastique jetables sont dans le collimateur de la législation française (Loi de transition énergétique et Egalim) et européenne. Seuls les gobelets utilisés en entreprise restent pour l'instant, épargnés. Depuis une dizaine d'années, trois ou quatre acteurs français oeuvrent pour leur recyclage. Parmi eux, Versoo collecte et produit en interne, des granulés régénérés de haute qualité. La société angevine veut désormais aller plus loin dans sa démarche. >> Lire 'article sur le site L'écho circulaire

Poujoulat va produire des bûches à partir de bois local

Le leader français du chauffage à bois Poujoulat se lance dans l'exploitation forestière. L'enjeu : utiliser la ressource locale issue des forêts ligériennes pour produire ses bûches de bois à haute performance énergétique. Le groupe Poujoulat (200 millions d'euros de chiffre d'affaires ; siège à Niort), vient de créer une nouvelle filiale baptisée SEF 42 à Noirétable (Loire) dotée d'un capital social de 100 000 euros. SEF 42 va donc, dès à présent, prospecter auprès des propriétaires forestiers pour leur acheter leur bois. Pas d'investissements au menu, Poujoulat n'ayant pas souhaité se mettre en concurrence avec les entreprises de travaux forestiers implantées sur le secteur. "Nous allons les faire travailler en sous-traitance. Cette décision devrait avoir des conséquences importantes sur l'emploi lié à la filière bois, dans le secteur", indique le pilote du projet. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune


Supply chain

Mode d'emploi sur les modalités de répercussion du prix du carburant (TRM)

Pour commencer, il faut savoir que l'indice du coût du carburant, hors TVA, tient compte des différents modes d'approvisionnement (pompe et cuve). A cela s'ajoute le remboursement partiel de la TICPE / base 100 = décembre 2000. De plus, l'indice gazole professionnel intègre le remboursement partiel forfaitaire de la TICPE. Ce remboursement est valable valable chaque semestre, sous réserve de confirmation par la Direction générale des douanes pour le semestre en cours. Depuis la loi n°2006-10 du 5 janvier 2006 les transporteurs routiers de marchandises peuvent ajuster leur prix de transport. Cela dépend des variations du coût du carburant et du poids de ce poste dans l'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site Le fret

Lidl réorganise ses bases régionales en France

Lidl poursuit le programme de rénovation de son réseau de bases logistiques régionales en France. L'inauguration, le 6 septembre, de la plateforme multi-température de Montchanin est emblématique d'une démarche qui met en place des outils adaptés au modèle de vente du distributeur. >> Lire l'article sur le site Stratégie logistique

L'avenir de la supply chain et du retail est écrit dans l'analyse des données [Tribune]

Optimisation des coûts, analyse intelligente des données, agilité et accélération du processus de prise de décisions stratégiques, Carlos Kuhl Nogueira, directeur général New Business / Data Platform d'InterSystems développe l'impact du Big Data sur le secteur du retail. Extrait : traditionnellement les professionnels de la supply chain et du retail ont dû choisir entre l'utilisation d'une approche multi-modèle et le déploiement d'un système de stockage de données en mémoire. En déployant une base de données en mémoire, les entreprises font cependant face à des défis d'harmonisation et d'exploitation des informations. D'autres options, comme les bases de données NoSQL et NewSQL ont leurs avantages, même si jongler avec plusieurs bases de données s'avère un exercice contraignant et couteux. >> Lire la tribune complète sur le site de LSA

Petit Bateau relocalise sa logistique GMS en France grâce à Acsep

Le spécialiste de la supply chain digitale a réalisé une étude pour la marque dans le cadre de la relocalisation dans l'Hexagone de sa logistique GMS. Un accompagnement ayant permis à Petit Bateau de mener en cinq mois son déménagement de Casablanca à sa plateforme de Buchères dans l'Aube. L'étude menée par Acsep visait à confirmer ou non les premières propositions ressorties d'une analyse réalisée en interne par Petit Bateau sur la réorganisation du site et les investissements nécessaires. À la place d'une implantation traditionnelle de picking, une zone de picking éphémère délimitée par une dalle au sol est dédiée aux produits des catalogues en rotation bimensuelle. Acsep a également défini le nombre d'emplacements par type de produit, en fonction de la profondeur de stock et a optimisé l'utilisation de l'espace et de l'approvisionnement de la zone de préparation de commandes, tout en réduisant les investissements en mobilier et en matériel. >> lire l'article complet sur le site Voxlog


Innovation

L'Oréal et Apple lancent un capteur contre les UV

Les deux géants de la beauté et de la high-tech ont annoncé le lancement par La Roche-Posay de "My Skin Track UV", un wearable sans pile mesurant l'exposition aux UV. Ce système électronique, en vente aux États-Unis sur le site apple.com et dans certains Apple stores au prix de 59,95 dollars, est le premier du genre. L'appareil s'appuie sur un capteur de haute précision activé par le soleil pour mesurer les rayons UVA et UVB. Associé à une application dédiée, il permet à son porteur de quantifier la pollution, les pollens et l'humidité auxquels il s'expose. >> Lire l'article complet sur le site Fashionnetwork


Commande publique

Métiers du droit. Acheteur public, une profession d'avenir

Le forum des métiers du droit a réuni une trentaine de professionnels, samedi matin, au pôle universitaire. Parmi eux, Guillaume Raguin, acheteur public. Le métier d'acheteur public est assez méconnu, pourtant les collectivités publiques, l'État ou encore la chambre de commerce où travaille Guillaume Raguin ont besoin des services de ces professionnels du droit pour assurer les achats soumis aux règles du Code du marché public. S'agissant des débouchés, le secteur est de plus en plus ouvert et la profession bénéficie de bonnes perspectives d'emploi. >> Lire l'article complet sur le site Le Télégramme

Choisi par l'Etat, le duo Keolis-RATP exploitera CDG Express avec des trains Alstom

Le groupement constitué par Keolis (groupe SNCF) et RATP Dev a remporté son duel franco-français face à Transdev. Il a été retenu lundi pour exploiter le futur train rapide CDG Express qui doit relier Paris à l'aéroport de Roissy en 20 minutes, à temps pour les jeux Olympiques de 2024. Qualifié de "titulaire pressenti", l'équivalent de "prefered bidder" sur les marchés internationaux, le groupement "Hello Paris" entre donc en négociations exclusives avec l'Etat pour définir les termes du contrat d'exploitation de cette ligne. Le contrat comprend une période de préparation de cinq ans (2019-2023), suivie d'une période d'exploitation de 15 ans (2024-2038). Il prévoit des départs tous les quarts d'heure et tous les jours de 05H00 du matin à minuit. Alors que Transdev comptait utiliser des trains du constructeur ferroviaire suisse Stadler, encore inconnu dans le pays, le duo Keolis-RATP Dev a joué la carte nationale en optant pour les trains Coradia Liner d'Alstom, déjà éprouvés. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune


Fleet / Mobilité

Le diesel moderne est meilleur que l'essence contre le réchauffement climatique

Alors que les gilets jaunes manifestent ce samedi, Challenges explique ici les niveaux de pollution comparés des diesels et des véhicules à essence. La vindicte anti-diesel des pouvoirs publics et la hausse des taxes prétendument écologiques sur le gazole n'est pas justifiée, d'un point de vue scientifique. Avec un meilleur rendement thermique, un diesel consomme 20 à 25% de moins qu'un moteur à essence, explique l'équipementier américain Delphi. Mieux : le carburant gazole lui-même apparaît plus efficace que le sans-plomb, car sa densité énergétique est supérieure à celle du carburant sans-plomb. Résultat: une Peugeot 308 diesel consomme à peine 4,9 litres aux cents, selon les mesures de PSA avec l'ONG Transport & Environment et validées par Bureau Veritas, contre... 6,6 litres pour l'essence ! Or, consommations et rejets de CO2 sont exactement corrélés. Le diesel émet donc 20 à 25% de gaz à effet de serre en moins. >> Lire l'article complet sur le site Challenges

Véhicules d'entreprises: les coûts d'usage continuent de grimper

Les véhicules de flotte coûtent de plus en cher. La hausse se confirme sur les derniers mois. Les modèles essence gagnent du terrain sur le diesel, quant aux voitures électriques, elles doivent encore faire leur preuve pour convaincre. En moyenne, le prix de revient kilométrique d'une voiture est de 0,351 €/km pour un coût moyen de 35 075 € (0,266 €/km pour un véhicule utilitaire, soit un coût global de 26 551 €). L'an passé, ce PRK moyen d'une voiture s'élevait à 0,340 €/km, mais malgré la hausse constatée sur l'année 2017, l'Observatoire du véhicule d'entreprise constate qu'entre 2012 et 2017, ce PRK moyen a reculé de 5,89 %.>> Lire l'article complet sur le site Déplacements Pros

Assurance automobile : les professionnels menacent d'augmenter (encore plus) leurs tarifs en 2019

Alors que le gouvernement envisage de mettre davantage les assurances à contribution pour financer les accidents de la route liés à des conducteurs non couverts, le président de la Fédération française de l'assurance met la pression. Interrogé par Capital, il assure que cette nouvelle contrainte obligera "nécessairement" à augmenter les cotisations auto au 1er janvier 2019. Dans le cadre du projet de loi de finances 2019, l'Assemblée nationale vient d'adopter un amendement du gouvernement visant à accroître le financement du Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires de dommages (FGAO) afin d'améliorer l'indemnisation les victimes d'accidents non couvertes par une assurance auto (estimées à environ 700.000 par an). Cette mesure, qui doit encore être confirmée par arrêté pour entrer en vigueur, vise à faire passer au 1er janvier 2019 la contribution des assureurs de 12 à 25% des charges supportées par le FGAO sur le poste auto.>> Lire l'article complet sur le site Capital


Travel

Voyages d'affaires: bons résultats en 2018 mais risque de ralentissement économique

L'année a été très bonne pour les voyages d'affaires en général, les chaînes hôtelières et les compagnies aériennes enregistrant toutes deux une forte croissance, les entreprises continuant d'envoyer leurs employés dans le monde entier. Lors de leurs annonces de résultats du troisième trimestre, les hauts dirigeants du secteur des voyages d'affaires aux Etats-Unis ont exprimé leur optimisme quant à l'avenir de la croissance continue de ce marché. Néanmoins, des signes indiquent qu'un ralentissement économique se profile à l'horizon. Les tarifs hôteliers sont élevés, ce qui exerce une pression sur les personnes qui planifient les réunions et les événements. Il y a aussi des préoccupations persistantes au sujet de l'effet que les guerres et les négociations commerciales en cours dans le monde entier auront sur les marchés boursiers mondiaux, ainsi que l'incertitude qui s'y glisse. >> Lire l'article complet sur le site Déplacements Pros


Carrière / RH / Management et... autres !

Comment repérer et éviter ses collègues les plus cons

Le livre Psychologie de la Connerie de Jean-François Marmion se penche sur une épidémie désespérante, qui ignore les frontières et les remèdes : la connerie. Une maladie qui sévit, hélas, aussi dans les bureaux... La connerie, explique Jean-François Marmion en préambule, "nous touche au quotidien. Nous en souffrons tous, que ce soit de notre propre connerie ou de celle des autres". Mais alors, qui sont les cons ? D'après une enquête publiée en 2008 par René Zazzo, un psychologue cognitiviste, "le con serait quelqu'un qui manque d'intelligence émotionnelle et reste abusé de lui-même tout en abusant des autres du fait de son égocentrisme." Pour Aaron James, la connerie est (encore ?) un domaine où les femmes n'ont pas atteint la parité avec les hommes. Et qui caractérise un individu "qui s'accorde des avantages particuliers dans la vie sociale en se sentant immunise´ contre les reproches. L'exemple typique est le connard qui ignore la file d'attente à` la poste [...]. >> Lire l'article complet sur le site Challenges

Le phénomène des salariés "boomerang" qui partent pour mieux revenir dans leur entreprise

Les entreprises en mal de recrutement explorent toutes les pistes, quitte à réintégrer d'anciens employés. Le phénomène des salariés "boomerang" n'est pas négligeable. Les deux tiers des manageurs y sont favorables. Quant aux salariés, 40 % seraient prêts à envisager cette possibilité, avec des différences notables selon les générations : 46 % chez les"millennials" (nés entre 1980 et 2000), mais seulement 29 % chez les baby-boomers (nés entre 1945 et 1960). Avec quelques années de recul, Valeo estime le bilan positif. "Si les gens reviennent, cela signifie que l'herbe n'est pas plus verte ailleurs et, de plus, ces retours minimisent les risques de décalages culturels." Même son de cloche chez MeilleursAgents : Florie Garnier, la DRH, apprécie le coût allégé de ces embauches par rapport à un recrutement externe (la société a réintégré douze anciens collaborateurs) et souligne : "Nous connaissons le salarié, nous savons déjà qu'il a du talent, et que son état d'esprit correspond à la culture d'entreprise. De plus, ayant vécu autre chose, il revient avec de nouvelles compétences." >> Lire l'article complet sur le site Le Monde

Combien de cafés peut-on boire au cours de la journée ?

Les recommandations nous viennent de l'Agence européenne de la sécurité sanitaire des aliments (Efsa), en 2015. Cette dernière s'est ainsi prononcée sur la dose maximale de caféine dont la population adulte (y compris les personnes âgées) peut s'abreuver en une fois, et durant toute la journée. Verdict : "Un(e) adulte en bonne santé ne doit pas dépasser 200 mg de caféine en une fois, et 400, tout au long de la journée. Autrement dit, un mug, un mug et demi de café en une fois, et quatre à cinq tout au long de la journée. Si l'on s'en tient à cette consommation modérée, l'ensemble de la littérature scientifique considère qu'il n'y a pas d'effets délétères sur la santé", informe Astrid Nehlig, directrice de recherche émérite à l'Inserm. Bien évidemment, ces recommandations concernent toutes les sources de caféine que l'on peut consommer, comme le thé (bien qu'il en contienne moins), les sodas, les boissons énergisantes... >> Lire l'article complet sur le site Le Figaro Madame



 
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