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Revue de presse achats - semaine du 10 au 14 décembre

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Revue de presse achats - semaine du 10 au 14 décembre
© Sergej Khackimullin - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. La rédaction a sélectionné pour vous des articles parus sur le Net et qui vous intéresseront car en lien avec les achats: relation fournisseurs, RSE, travel, fleet, IT, mais aussi carrière et management. Bonne lecture!

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La révolution des achats sera numérisée

Une fois numérisés, les programmes de gestion de la relation fournisseurs des équipes achats, par exemple, ne se concentreront plus uniquement sur les plus gros fournisseurs, mais sur l'ensemble de leur écosystème. C'est le coeur de la numérisation. Il ne s'agit pas d'acquérir un outil ou un logiciel; il représente plutôt une opportunité de générer de la valeur commerciale en utilisant des actifs numérisés pour permettre la transformation des processus métiers. Par exemple, l'utilisation de systèmes de planification des ressources d'entreprise et de la sous-traitance en ligne pour permettre à un écosystème collaboratif numérisé de fournisseurs - de résoudre et de créer en masse une nouvelle propriété intellectuelle. (...) Prendre le contrôle de la numérisation ne consiste pas à se laisser distraire par l'élaboration d'une feuille de route quinquennale menant à une panacée numérique; il s'agit de planifier les résultats que vous pourrez obtenir au cours des 12 à 24 prochains mois. En vous concentrant sur le résultat, vous vous concentrerez sur les résultats. Ceci, à son tour, aidera les achats à prouver le retour sur investissement et sa valeur pour l'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de ProcurementLeaders

Le colombien Avianca menace Airbus de diviser par deux sa commande de 100 A320neo

En mai 2015, la compagnie aérienne colombienne Avianca avait commandé 100 A320neo, pour un montant estimé alors à près de 10 milliards de dollars, afin de moderniser sa flotte. Trois ans et demi plus tard, elle vient d'annoncer qu'elle allait entamer des négociations avec Airbus en vue de diviser par deux la commande passée avec le constructeur européen. Les représentants d'Avianca se rendront en France dans les jours qui viennent pour renégocier avec Airbus, a annoncé le directeur général du groupe, Hernan Rincon, le 9 décembre au soir. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Améliorer sa stratégie de sourcing et de standardisation grâce à l'IA

Dans un contexte de complexité croissante, nous considérons qu'un enjeu clé du positionnement stratégique de la direction des achats consiste à intervenir sur les décisions du design et de l'ingénierie le plus en amont possible. Ce que l'on entend ici par intelligence artificielle consiste en des algorithmes de machine learning, placés au coeur des métiers de l'ingénierie, mais guidés par les achats. Ces algorithmes rendent possible le dialogue entre les deux, ouvrant une nouvelle voie de performance et de réduction des coûts. Par exemple, dans l'aéronautique, cette intelligence est utilisée pour croiser les pièces existantes entre les différents programmes et sites de production. Elle aide les achats à définir des standards contextualisés, vérifier leur mise en oeuvre et optimiser le sourcing à l'échelle mondiale. >> Lire l'article complet sur le blog de Dassault Systèmes

"Le cadeau d'un fournisseur, c'est comme un spot publicitaire" : ce que cache le mug de Noël qui trône sur votre bureau

Il existe un très grand nombre d'objets pièges qui semblent être de bonnes idées, mais ne le sont pas du tout. Par exemple, un modèle qui se vend par centaines de milliers chaque année et qui est dans doute le pire objet de communication : un petit coffret qui permet de glisser sa carte de crédit et dispose d'une clé USB à l'intérieur. Cette clé, c'est la plus basique sur le marché. Celui qui va la recevoir ne l'utilisera sans doute jamais. D'abord parce qu'il en possède déjà une, souvent plus pratique, plus jolie, avec une plus grande capacité de mémoire. Le piège pour l'acheteur est que cette clé basique est forcément la moins chère. Il est donc tenté d'aller vers ce produit, en se disant qu'il disposera ensuite un maximum d'objets dans le cadre de son enveloppe budgétaire. Problème : au final, il n'aura aucun retour sur investissement puisque le produit ne sera pas utilisé. >> Lire l'article complet sur le site de LCI

Comment les achats sauveront le monde

En août, Microsoft a fait la une des journaux en obligeant ses fournisseurs à mettre en oeuvre des politiques de congé parental payé. Toute entreprise souhaitant vendre des biens et des services à Microsoft doit offrir à ses employés un minimum de 12 semaines de congés payés à cette date de l'année prochaine. C'est un exemple de grande entreprise qui pousse les fournisseurs sur plus que le prix, mais au-delà des coûts financiers, elle prend également en compte les coûts sociaux et environnementaux. Lors du récent Forum mondial des entreprises sociales (événement conçu pour encourager la croissance des entreprises sociales), les participants ont expliqué comment des exigences en matière d'approvisionnement plus durables adoptées par les grandes entreprises pouvaient avoir un impact positif sur les bénéfices, les individus et la planète. "Nous essayons de rendre le monde plus sain, une personne à la fois, et nous le faisons en partie grâce à notre stratégie d'approvisionnement", a commenté Julian Hooks, responsable des achats chez Johnson & Johnson. Pour tenir cette promesse, Johnson & Johnson donne la priorité à l'achat de fournisseurs de sexe féminin ou minoritaire. entreprises détenues. Selon Hooks, l'entreprise a dépensé 1,45 milliard de dollars en 2017 pour des entreprises appartenant à des femmes ou à des personnes de couleur. Il estime que "pour changer le visage des soins de santé, il faut changer le visage de la chaîne d'approvisionnement". >> Lire la tribune SAP sur Forbes


Commande publique

Soupçons de favoritisme sur la Société du Grand Paris : la justice va être saisie par la Cour des comptes

Selon les informations de Marianne, le parquet national financier a été saisi pour des soupçons de délit de favoritisme concernant la Société du Grand Paris (SGP). (...) Au début de l'année dernière, la Cour des comptes avait réalisé un rapport au vitriol à son sujet. Pas seulement pour les dérapages financiers déjà observés : la facture prévisionnelle est ainsi passée de 19 milliards à 38 milliards d'euros, et les frais financiers sont astronomiques, de 32 à 134 milliards d'euros, avec un risque de les voir exploser à 924 milliards dans un scénario catastrophe. Mais les magistrats avaient également pointé la façon dont ces juteux marchés avaient été attribués. Ils avaient identifié des marchés "pour lesquels les procédures et les grands principes de mise en concurrence n'avaient pas été respectés, soit attribuant un marché à une entreprise dont l'offre aurait dû être rejetée pour irrecevabilité, soit en modifiant en cours de procédure les modalités de calcul des offres financières, ce qui a eu pour effet de modifier l'ordre de sélection des candidats". Autrement dit : des faits constitutifs d'un possible délit de favoritisme. Il reviendra donc à la justice de se pencher sur ces marchés, remportés par des géants du BTP tels que Vinci, Eiffage et Bouygues, et de vérifier si la responsabilité des bureaux d'étude en tant qu'assistants à la maîtrise d'ouvrage (AMO), au premier rang desquels Artelia, peut également être en cause, comme le suggèrent les magistrats. >> Lire l'article complet sur Marianne

Le Japon sur le point d'exclure ZTE et Huawei des marchés publics

Les géants chinois des télécommunications Huawei et ZTE bientôt exclus des marchés publics japonais. Selon la presse locale du vendredi 7 décembre, qui cite des sources gouvernementales, les règles entourant ces marchés seront modifiées, lundi 10 décembre. A celles encadrant les coûts, les ministères et agences gouvernementales ajouteront une mention sur la prise en compte des aspects de sécurité. Sans entrer dans les détails, le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga, a souligné "l'importance grandissante d'assurer la sécurité informatique des administrations" et déclaré vouloir travailler sur ce point "en actionnant différents leviers". Le ministre de la Défense, Takeshi Iwaya, a lui aussi évoqué la question de la cybersécurité, expliquant que son administration n'utilisait pas de produits Huawei ou ZTE par crainte de leurs relations avec le renseignement chinois. Huawei est très présent dans le secteur privé au Japon : elle est devenue, en 2011, la première entreprise chinoise à rejoindre la puissante confédération patronale, le Keidanren. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Opendata : liste des documents pouvant être publiés sans faire l'objet d'une anonymisation

Un décret du 10 décembre précise, pour les documents administratifs communicables ou accessibles à toute personne, les catégories de documents pouvant être rendus publics par les administrations sans faire l'objet d'un traitement rendant impossible l'identification des personnes. On retrouve notamment dans cette liste : les documents nécessaires à l'information du public relatifs aux conditions d'organisation de l'administration, notamment les organigrammes, les annuaires des administrations et la liste des personnes inscrites à un tableau d'avancement ou sur une liste d'aptitude pour l'accès à un échelon, un grade ou un corps ou cadre d'emplois de la fonction publique ; les documents nécessaires à l'information du public relatifs aux conditions d'organisation de la vie économique, associative et culturelle, notamment le répertoire national des associations et le répertoire des entreprises et de leurs établissements... >> Voir la liste complète publiée par la Gazette des communes

La ville de Toulon primée pour son dispositif anti-gaspillage

"Traditionnellement, dans la commande publique, on bâtit les marchés publics en s'appuyant sur ce qui se faisait jusque-là", résume Chantal Saichi, directrice de la commande publique, à la mairie de Toulon. Avec ce nouveaux comité, composé d'agents des différents services concernés et d'un contrôleur de gestion, une réflexion s'engage en amont, sur les besoins réels de la commune. "Par exemple, pour une commande de photocopieurs, avant de relancer un marché, on regarde ce qu'on utilise ou pas", décrypte Hubert Falco. "Un certain nombre de secteurs ont été ciblés, où il peut y avoir des dépenses toxiques et inutiles. Des économies peuvent être réalisées, précise Chantal Saichi. Ça a été le cas, par exemple, pour les illuminations de Noël, où le recours à des prestataires s'avère plus intéressant pour les finances de la Ville." >> Lire l'article complet sur le site de Var Matin

Ces maires qui gèrent leur ville comme une entreprise

Certains élus n'hésitent pas à adopter des méthodes du privé pour faire face aux contraintes budgétaires. Avec comme objectif : dépenser mieux. Aymar de Germay, le maire (DVD) de Marmagne (2 000 hab., Cher), en a fait son credo : " Le temps de l'élu bâtisseur qui dépensait pour construire est terminé. Avec les contraintes budgétaires, l'élu est d'abord un gestionnaire. Il doit réformer, rationaliser, dépenser moins et mieux pour assurer les missions de service public. Pour cela, il s'inspire des méthodes du privé. C'est une révolution en termes de management public ". Comme Aymar de Germay, formé à Sciences-po et à l'Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales, de plus en plus d'édiles revendiquent un positionnement de maire chef d'entreprise. Conduite de projet, rationalisation des achats, management par objectif, comptabilité analytique, guichet de départ... Le vocable du monde de l'entreprise franchit la porte de l'hôtel de ville. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes

À quelle étape de la procédure l'acheteur peut-il faire régulariser les offres irrégulières ?

La réponse ministérielle revient sur le champ de ce qui est régularisable de ce qui ne l'est pas. La régularisation de l'offre ne peut en aucun cas avoir pour effet de modifier ses caractéristiques substantielles c'est-à-dire permettre au soumissionnaire de présenter une nouvelle offre ou de changer les termes de celle-ci de telle sorte que son économie générale soit bouleversée. Lorsque les irrégularités constatées sont manifestement trop importantes pour être régularisées sans entraîner une modification significative de l'offre dépassant ainsi ce qui peut être raisonnablement accepté, la régularisation ne saurait être autorisée. À titre d'exemples, pourraient être régularisées l'offre qui présente une simple erreur matérielle, l'offre dont le bordereau des prix unitaires est incomplet ou mal renseigné ou encore l'offre dont l'annexe à l'acte d'engagement n'indique pas, contrairement à ce qui était demandé dans les documents de la consultation, les délais d'exécution du marché alors que ceux-ci figurent dans le planning d'exécution joint au dossier. En revanche, ne pourraient être régularisées l'offre qui ne comprend pas un document important requis dans les pièces de la consultation tel que le mémoire technique. Le caractère régularisable d'une offre doit ainsi faire l'objet d'une appréciation au cas par cas, au regard notamment du principe d'égalité de traitement des candidats. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

RSE

Les déchets de matériaux composites de Boeing recyclés en biens de consommation

Les sociétés Boeing et ELG Carbon Fiber ont annoncé un partenariat visant à recycler les matériaux composites de qualité aérospatiale en excès, qui seront utilisés par d'autres sociétés pour fabriquer des produits tels que des accessoires électroniques et équipement automobile. Cet accord, le premier du genre dans l'industrie aérospatiale, couvre les fibres de carbone en excès provenant de 11 sites de fabrication d'avions Boeing et permettra de réduire les déchets solides de plus d'un million de livres par an. Le matériau renforcé de fibres de carbone est extrêmement résistant et léger, ce qui le rend attrayant pour une variété d'utilisations, y compris pour la construction du très efficace 787 Dreamliner et du tout nouvel avion 777X. En tant que principal utilisateur de composites de qualité aérospatiale issus de ses programmes commerciaux et de défense, Boeing travaille depuis plusieurs années à la création d'une industrie de réutilisation de la fibre de carbone économiquement viable. La société a amélioré ses méthodes de production afin de minimiser les excès et a développé un modèle de collecte des déchets. >> Lire l'article complet sur le site de ModeInTextile

On a lu pour vous... L'économie circulaire : stratégie pour un monde durable

"Comment un produit peut-il être recyclé de façon performante s'il n'a pas été conçu en vue de son recyclage, assemblé en vue de son démontage ou distribué en vue de sa collecte ?" demande l'auteur. Si l'opération de recyclage est si peu performante, c'est qu'elle est traitée comme une solution en bout de chaîne. C'est l'approche dite cradle to cradle. Les matériaux doivent pouvoir retourner au sol (composants biologiques) ou servir à la fabrication de nouveaux produits industriels (composants techniques). Remanufacturer ou remettre en état un produit usagé est une opération rentable. C'est ce que fait le manufacturier américain d'équipement minier et de construction Caterpillar, qui réusine 7000 types de composants et de pièces détachées pour une performance égale et un coût de production de 40 à 60 % moindre. En ce qui concerne l'appareillage coûteux, la réparation est donc une bonne affaire. Et pour les produits du cycle biologique, l'économie circulaire prévoit diverses transformations avant qu'ils soient retournés à la terre : compostage, méthanisation, extraction des composés chimiques, etc. Optimiser l'utilisation des ressources est une stratégie gagnante. >> Lire l'article complet sur le site de Revue Gestion

Kering et le Savory Institute lancent le premier approvisionnement écologique certifié au sein de l'industrie de la mode

Kering et le Savory Institute ont noué un partenariat afin de promouvoir l'impact positif de l'agriculture régénérative dans le secteur de la mode. Ainsi, Kering est le premier acteur du secteur de la mode et du luxe à rejoindre le rang des Frontier Founders du programme Land to Market(TM) du Savory Institute, dont le but est d'encourager la mise en oeuvre de solutions d'approvisionnement régénératives et certifiées. L'objectif de cette collaboration est de démocratiser le modèle d'agriculture régénérative au sein des chaînes d'approvisionnement mondiales du secteur de la mode. >> Lire l'article complet sur ModeInTextile

Comment Engie transforme des valeurs sociétales en sujets business

Les sujets sont vastes et vont du très concret (comment rendre attractives les filières énergétiques ?) à l'ultra social (comment permettre aux jeunes filles dans certains pays d'aller à l'école en sécurisant leur trajet ?). Au total, les équipes d'Engie ont mené 5 People's Lab sur différents thèmes : le climat, l'éducation, l'intelligence artificielle éthique, les femmes en 2030 et le campus de demain, et ont identifié cinq grandes tendances : Le lien entre l'humain et la technologie. Le triomphe du bien commun. L'accès à l'énergie sera un nouveau droit de l'Homme. Adopter des approches plus collaboratives. L'amélioration continue par l'apprentissage. "Le monde actuel connaît des ruptures technologiques fortes. On a besoin d'apprendre à apprendre, et c'est un véritable enjeu pour les entreprises." >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Samsonite fait des valises avec des bouteilles en plastique recyclées

Dans le cadre du développement des collections Eco, Samsonite a recours à deux nouveaux matériaux "responsables" : le polypropylène recyclé et le tissu Recyclex. Ce dernier est obtenu à partir de bouteilles en plastique PET recyclé à 100% post-consommation. La marque assure "ce tissu a été spécialement conçu pour être durable, flexible et respectueux de l'environnement". En plus d'être verte, la collection Spark SNG Eco mise sur le volume et la légèreté. Elle propose une grande variété de formats allant de la trousse de toilette au très grand modèle. >> Lire l'article complet sur le site de DéplacementsPros

La guerre des métaux rares : le vrai coût écologique et géopolitique du numérique

Bismuth, Cobalt, Germanium, Silicium, Tantale, Prométhéum...les noms sont exotiques, et les propriétés de ces métaux enthousiasmantes. C'est par exemple l'Indium qui rend les écrans de nos téléphones tactiles. Pourtant, le même écran nécessite que l'on associe 13 autres métaux rares pour être performant. Au global, plus d'une quarantaine d'entre eux sont nécessaire à la composition d'un seul téléphone. C'est en enquêtant sur ces métaux rares, si indispensables à notre futur vert, que Guillaume Pitron a mis le doigt sur un problème de taille : un seul de nos smartphones nécessite l'extraction de 60 kg de matière, qui sera ensuite raffinée puis acheminée à l'endroit où elle sera transformée. Idem pour les panneaux solaires, les puces électroniques, ou les aimants présents dans de nombreuses applications industrielles. En fait, le simple fait d'extraire ces métaux en grande quantité a un coût environnemental colossal, qui surpasse de loin les bénéfices futurs. Des mines clandestines de Chine, aux déserts de sel d'Amérique du Sud, en passant par la Rust Belt américaine, Guillaume Pitron a suivi leur trace. Et ce qu'il a constaté fait froid dans le dos. En Chine comme en Mongolie intérieure, les turbines et autres instruments de forage tournent à plein régime, parfois même dans la clandestinité. Des milliers de tonnes de ces précieux métaux sont extraites chaque jour. Et les conséquences sur l'écosystème local sont désastreuses. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


Supply chain

La supply chain, compatible avec un avenir sans déchets d'activités économiques?

(...) par où les entreprises doivent-elles commencer pour établir une supply chain exempte de plastiques à usage unique et de déchets de manière générale ? Tout repose initialement sur les données. Grâce à un logiciel dédié au design de leur supply chain, les entreprises peuvent disposer d'une vue d'ensemble sur cette dernière, leur offrant dans le même temps des informations détaillées concernant notamment les spécificités d'emballage de leurs produits. De cette façon, on peut étendre cette veille des déchets à toutes les industries où les déchets tels que les solvants ou accumulateurs seraient repérés. Les fournisseurs d'emballages alternatifs qui répondent à ces attentes, à l'instar de ceux qui fourniront Carrefour en papier, peuvent ainsi être ajoutés au modèle de supply chain, directement au sein du logiciel, aux côtés d'un indicateur ou d'un indice relatif à leurs caractéristiques tarifaires et à leur positionnement au sein du réseau. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Les trois défis de la supply chain de demain

Le deuxième défi qui conditionnera les performances de la supply chain concerne l'interactivité entre ses différents acteurs. Traditionnellement, celle-ci s'organise de manière linéaire, depuis la centrale jusqu'au client final, en passant par les fournisseurs, les transporteurs, etc. Désormais, celle-ci doit être abordée de manière multi-connectée, pour partager instantanément les informations entre tous ses intervenants, afin de la rendre plus collaborative, réactive et agile. D'un point de vue technologique, cela se traduit par la multiplication des API exposées dans les systèmes d'information pour que les mêmes data soient accessibles à tout moment et par tous. Ces API accessibles à l'extérieur de l'entreprise favoriseront l'émergence d'écosystèmes logistiques interconnectés. Pour parvenir à gérer une supply chain en réseau, deux éléments essentiels devront donc émerger. D'abord les gestionnaires devront pouvoir s'appuyer sur des services connectés au moyen d'API leur fournissant l'accès à l'intégralité des données de leur SI et à l'ensemble des processus décisionnels. Ensuite, derrière les API, des moteurs de calcul scalables, basés sur l'IA et l'optimisation à très grande échelle, seront à même de leur proposer des décisions quasi-optimales en temps réel, rendant possible la flexibilité souhaitée.>> Lire l'article complet sur le site du JDN

Transport routier de marchandises européen : hausse des capacités, faible baisse des prix

Selon la 37e édition du Transport Market Monitor publié par Transporeon et Tim Consult, la capacité du transport routier européen de marchandises a de nouveau progressé au cours du troisième trimestre de + 15,8 % (+ 20,4 % par rapport au troisième trimestre 2017). Pourtant, si au cours de la même période, les prix ont bien diminué, leur baisse est loin d'être proportionnelle à l'augmentation des capacités. Selon cet indice trimestriel, le prix des transports en Europe n'a reculé que de 2,8 % au troisième trimestre. Il a même augmenté de 3 % par rapport au troisième trimestre 2017. La hausse du prix du diesel (+ 4 % entre le second et le troisième trimestres 2018), explique en partie cet écart. "La tendance à la hausse des capacités se poursuit", explique Jan Rzehak, directeur business Consulting de Transporeon. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

6 entreprises sur 10 incapables de digitaliser la supply chain

Pour les entreprises qui ne réussissent pas à digitaliser la supply chain, c'est parce qu'elles auraient "trop tendance à trop se disperser, sans se concentrer suffisamment sur les priorités stratégiques". En effet, les organisations qui ont réussi à digitaliser leur chaîne logistique à grande échelle géraient en moyenne 6 projets en phase de proof-of-concept, contre 11 pour celles qui ont échoué. "Si la plupart des grandes entreprises ont bien compris l'importance de la digitalisation de la chaîne logistique, peu d'entre elles ont mis en place les mécanismes et les procédures nécessaires à sa concrétisation. Les organisations mènent trop de projets en même temps, sans disposer d'infrastructures suffisantes ni adopter le type d'approche ciblée et sur le long terme qui a fait le succès des leaders du marché dans ce domaine", explique Dharmendra Patwardhan, en charge de la pratique digital supply chain des activités business services de Capgemini. "La digitalisation de la chaîne logistique passe par la rationalisation des investissements en cours, la poursuite des projets rentables, ainsi que l'implication des fournisseurs et des distributeurs dans le processus du changement". >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique


Fleet / Mobilité

"Un véhicule essence émet autant de particules fines que dix vilains diesel !"

Voilà que les travaux de recherche les plus sérieux, dont ceux du très respecté IFP-Energies Nouvelles, ont montré que ces progrès plaçaient les véhicules diesels à un niveau d'émission de particules fines et nocives sensiblement inférieur à celui d'un moteur à essence à injection directe. Le régulateur européen a donc imposé aux véhicules concernés (qui deviennent majoritaires dans la production à essence en Europe) la même limite d'émission en masse que pour un diesel dès 2011 (Euro 5). Il a été moins sévère pour la contrainte du nombre qui concerne les particules les plus fines puisqu'il a autorisé jusqu'en 2017 une émission dix fois supérieure à celle d'un moteur diesel (6000 milliards par km). Il est cependant prévu que pour les moteurs en cours d'homologation, l'alignement sur le diesel sera assuré. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Le marché du véhicule électrique tiré par les flottes d'entreprise

Du côté des flottes, le bilan de l'électrique affiche une hausse surprenante des immatriculations de +138,2 % (VP + VUL), à 2 363 unités. Sur le segment des VP, le rythme des immatriculations est encore plus élevé avec une progression de +187,9 % à 1 589 unités. Au total, 33 817 véhicules légers électriques depuis janvier, soit une progression de 22,6 % par rapport 2017. Le segment représente aujourd'hui 1,39 % du total des immatriculations alors que sa part de marché dans les flottes d'entreprise à dépasser les 2% à fin novembre.Les immatriculations enregistrent une croissance de +45,1 % à 15 124 unités (VP + VUL). La croissance de cette énergie est due à la fois aux VP (+ 53,6 % à 8 761 unités) et aux VUL (+ 34,9 % à 6 363 unités). >> Lire l'article complet sur le site de L'Automobile l'Entreprise


Travel

Profession travel manager : aucune place à l'improvisation

Le poste de travel manager pâtit encore d'un manque de visibilité. Constance Huckendubler, directrice contenus de ESCAET, l'école de commerce qui forme les travel managers de demain, le confirme : "C'est toute l'ambiguïté de ce secteur. Il y a un fort besoin du côté des entreprises, mais la filière est méconnue des étudiants. Ils n'imaginent pas tous les métiers qui peuvent s'ouvrir à eux. C'est pourtant porteur en matière d'insertion, d'embauche, mais aussi d'épanouissement professionnel et intellectuel, car c'est une profession qui évolue tous les ans et qui touche à de plus en plus de problématiques, des sujets très transverses." Lentement mais sûrement, le métier de travel manager gagne cependant ses lettres de noblesse. Il a fallu attendre le mois d'avril 2014 pour que soit officiellement créé le poste de travel manager sur le site de l'APEC grâce aux efforts de l'AFTM.>> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'Affaires

TOTEC 2018 : "L'élément disrupteur sur le marché du voyage d'affaires sera la norme NDC"

Pour Charles Petruccelli, l'élément disrupteur aujourd'hui est sans conteste la norme NDC car, "sous prétexte de vouloir donner accès à plus d'offres, cela n'est qu'un moyen de prendre le contrôle de la distribution". Les conséquences pour le client ? Des tarifs plus élevés et opaques. Le risque majeur lui, concerne le cyber crime. "Désormais la data est partout et les entreprises récoltent chaque année un nombre impressionnant de données. La protection de ces données aura un coût, et pas des moindres". Un risque qui ira en s'accélérant avec le développement de l'intelligence artificielle et de la data science. "Les entreprises n'ont pas pris en considération l'ampleur des investissements liés à la cybersécurité. Ils seront très importants en plus d'être constants". assure-t-il. Pour l'ex-président AMEX GBT, l'avenir du marché du voyage d'affaires réside dans les TPE/PME, "celui qui arrivera à se positionner sur ces marchés aura gagné". L'objectif est notamment d'acquérir de nouveaux clients prêt à payer pour les services proposés, à leur juste valeur. >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros


Carrière / RH / Management... et autres !

Restez dans votre zone de confort, c'est la science qui le dit !

Si les zones de confort existent, c'est pour permettre de "chercher refuge lorsque notre état de stress devient trop important". Plutôt que de chercher à les dépasser ou en sortir, il faudrait, au contraire, faire les choses en douceur et se rapprocher progressivement de sa "zone proximale de développement". "Cet espace conceptuel, proche de la zone de confort, permet une croissance saine et progressive". Un concept qui va à rebours de l'idée selon laquelle plus de douleur conduit à plus d'apprentissage. "Les scientifiques étudient la motivation depuis des décennies. Bien qu'il reste encore beaucoup à apprendre, l'une des conclusions les plus cohérentes est que le meilleur moyen de rester motivé est peut-être de travailler sur des tâches de difficulté gérable à la fois". Un phénomène également appelé "règle de Goldilocks". Cette dernière stipule que les humains sont motivés lorsque les tâches qu'ils ont à réaliser sont à la limite de leurs capacités actuelles : pas trop difficiles, pas trop faciles. >> Lire l'article complet sur le site de Cadreo

Pourquoi la domination masculine est (aussi) problématique pour les hommes

Plutôt que d'opposer les genres et les sexes, Jerry Hyde, thérapeute anglais et invité sur Vlan propose une solution : celle de célébrer la puissance féminine qui est en chacun de nous. Selon lui, les hommes doivent absolument travailler sur eux afin de comprendre et d'accéder à leur part de féminin. Du côté de la société, il s'agit d'accepter ce paradigme d'un homme plus complet et aligné avec lui-même. Ça passe aussi par la révision des critères de beauté plébiscités, notamment en publicité, avec des hommes hyper virilisés (barbe, muscles...).Il y a débat sur la part de féminité et de masculinité acquise ou innée. Jerry Hyde maintient l'idée que chaque cas est unique - et c'est tant mieux. Il n'est ici question ni de supériorité, ni de domination. Mais d'un besoin d'acceptation : tout le monde possède une dose de masculin et de féminin, à des niveaux différents. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Ces méthodes imparables qui luttent contre la multiplication des réunions en entreprise

L'épidémie est grave: elle frappe aujourd'hui toutes les entreprises. Mais encore davantage les grandes sociétés et leurs cadres sup'. Selon une enquête Ifop réalisée en septembre dernier, un cadre "normal" y passe en moyenne un mois par an, à raison de 3,5 réunions par semaine! Pour un cadre supérieur, dans une grande entreprise, c'est pire: un mois et demi par an, à raison de 4,5 réunions par semaines. Bien sûr, toutes ces discussions, ces exposés et ces points d'étapes ne sont pas inutiles. Mais seuls 12% des cadres estiment qu'elles sont "réellement productives et efficaces". Ce n'est pas un mal français: selon une étude publiée par la Harvard Business Review il y a quelques mois, 7 cadres sur dix estiment que les réunions sont "improductives et inefficaces". Selon Jammy, une startup spécialisée dans la réduction du temps de réunion, le coût annuel de ces réunions peut être évalué à 20.000 euros par an. Et par cadre! Toutes les entreprises sont conscientes du temps perdu en réunions. Mais comment faire pour le diminuer ou mieux, le faire disparaître? >> Lire l'article complet sur Challenges

 
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