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Revue de presse achats (semaine du 20 au 24 août)

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Revue de presse achats (semaine du 20 au 24 août)
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La rédaction vous propose une sélection d'articles parus cette semaine sur les sites de nos confrères qui vous intéresseront probablement car ayant trait aux achats privés et publics, à la supply, à la RSE, entre autres, mais aussi aux RH et au management. Bonne lecture!

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Nouvel objet social de l'entreprise : nouvel essor de la fonction achats ?

Une des ambitions du projet de loi PACTE est de redéfinir la place des entreprises dans la société en les incitant à prendre en compte les enjeux sociaux et environnementaux de leur activité auprès de leurs parties prenantes. Ce projet est débattu et anxiogène. Pour gérer ses impacts auprès des parties prenantes fournisseurs, une fonction achats repensée sera en première ligne. Jusqu'à présent, les déclarations RSE devant expliciter la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux, dans la politique achat et dans les relations fournisseurs, sont obligatoires pour les entreprises cotées et/ou de taille significative. Dans le projet de loi PACTE, cette responsabilité sociale et environnementale devra être prise en compte par toutes les entreprises indépendamment de leur taille. Pour les grandes entreprises, la redéfinition des missions achats va s'accélérer. La fonction achats va donc être largement sollicitée sur la gestion du risque RSE. S'agissant des impacts pour les PME, comme beaucoup ne disposent ni de moyens suffisants ni de fonction achats dédiée pour ces points, on peut légitimement penser que des fonctions achats externes et partagées vont se multiplier entre PME de même secteur. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Factures : pour les PME, c'est l'été de tous les impayés

L'été, son soleil, la plage, les vacances... et les factures au point mort ! Voilà la réalité de centaines de PME qui ne parviennent pas à se faire payer leurs factures par leurs clients l'été. Pas par mauvaise volonté mais tout simplement parce que les entreprises tournent au ralenti et que les services "achat" ou "comptabilité" sont déserts et ne peuvent pas honorer les factures envoyées par leur fournisseur au début de l'été. Chaque mois d'août les délais de paiement entre entreprises mettent à mal l'équilibre économique des plus fragiles qui sont souvent des PME, voire des TPE. >> Lire l'article complet sur le site de La Dépêche

Le crédit aux entreprises tourne toujours à plein régime

En France, le financement bancaire aux entreprises a connu une croissance de 6 % à fin juin, un rythme toujours très soutenu, malgré les appels à la retenue. Les opérations de fusions-acquisitions vont alimenter la demande de crédit ces prochains mois. A présent que l'activité économique est repartie en zone euro, c'est tout simplement la demande de nouveaux crédits qui est repartie de plus belle. Cela s'observe en particulier du côté des crédits d'équipements qui connaissent depuis le printemps une croissance annuelle "canon" de 7,7 % de leurs encours. Au cours du mois de juillet, une autre composante du crédit est venue alimenter le brasier : les entreprises, et en particulier les PME, ont davantage fait appel à leur banquier pour financer des opérations de fusions-acquisitions. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Nouvel épisode dans la guerre commerciale Etats-Unis / Chine

Les Etats-Unis et la Chine ont ouvert ce 23 août un nouveau chapitre de leur guerre commerciale avec la mise en place par les deux parties de droits de douane à 25% sur 16 milliards de dollars (13,8 milliards d'euros) de marchandises. Ces nouvelles mesures prises de part et d'autre portent à 50 milliards de dollars la valeur des importations de chacun des deux pays soumises aux droits de douane depuis le début de juillet. De nouvelles taxations sont en préparation. Les économistes estiment que chaque tranche de 100 milliards de dollars d'importations affectées par les droits de douane réduisent le commerce mondial d'environ 0,5%. Ils en estiment l'impact sur la croissance économique de la Chine à 0,1-0,3 point de pourcentage en 2018 et à un peu moins pour les États-Unis, mais l'impact sera plus important l'année prochaine. >>Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle


RSE

Comment le gouvernement compte imposer un bonus-malus sur les plastiques

Le projet du gouvernement consiste à permettre aux 15 éco-organismes existants de moduler très substantiellement la contribution que leur versent les entreprises. L'annonce d'un bonus-malus sur les produits à base de plastique a fait sensation, même si elle figurait déjà dans la feuille de route de l'économie circulaire, présentée au printemps par le gouvernement. Le bonus-malus s'appliquera à tous les emballages et à tous les produits (mobilier, appareils électriques et électroniques) utilisant un tant soit peu cette matière et relevant d'une filière à responsabilité élargie des producteurs (REP). Le projet du gouvernement consiste à moduler leur montant afin de pousser les entreprises à utiliser davantage de plastique recyclé et à produire des biens recyclables. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Les entreprises prennent le virage de l'énergie verte

Initiés par les géants américains de la tech, les contrats d'achats d'électricité verte sur vingt ans sont en plein boom en Europe. Pour alimenter leurs usines ou leurs bureaux en électricité, les entreprises signent de plus en plus de contrats de long terme directement avec des producteurs plutôt que de s'adresser à des fournisseurs d'énergie. En France, le coût de l'énergie renouvelable est encore un peu trop élevé par rapport au prix de l'électricité accessible sur le marché de gros. Mais la baisse des coûts du solaire et de l'éolien, qui préfigure la fin des subventions à moyen terme, incite des entreprises et des développeurs de projets à envisager ce type d'approvisionnement. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'économie circulaire, un modèle alternatif pour sauver le monde

Il n'est, bien entendu, pas envisageable de transformer radicalement nos habitudes de consommation pour passer à une décroissance dont personne ou presque ne veut. Mais il existe une alternative à ce modèle d'hyperconsommation : l'économie circulaire, qui vise à recycler ou réutiliser plutôt que jeter, à favoriser l'usage plutôt que l'achat, le partage plutôt que la possession, la consommation de produits locaux plutôt qu'importés de l'autre bout du monde. Bien sûr, remplacer l'économie linéaire par son alternative circulaire prendra du temps. Mais il faut commencer dès à présent. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune


Commande publique

Solaire en France: Engie grand gagnant du dernier appel d'offres gouvernemental

Sur les 103 projets lauréats du dernier appel d'offres pour le développement d'installations photovoltaïques, Engie remporte 25 projets soit près d'un tiers des installations solaires mises en appel d'offres. L'énergéticien poursuit ainsi sa stratégie qui consiste à développer des projets de toutes taille sur l'ensemble du territoire. ces 25 projets supplémentaires vont lui permettre de démontrer qu'il est possible de faire du solaire à grande échelle à la fois au sol, en ombrières ou en toitures, sur la base de foncier disponible, non utilisé parce qu'il est dégradé. Évidemment la mis en concurrence portait aussi sur la capacité des candidats à proposer des prix compétitifs. Engie a réussi à réduire le prix du solaire à 52 €/MWh et estime réalisable d'être d'ici les trois prochaines années au prix du nucléaire soit 42 €/MWh. >>Voir l'intégralité de la vidéo sur le site de BFM Business


IT

Amazon et Microsoft parlent d'une seule voix

"Alexa, ouvre Cortana." Cette phrase, apparemment sans queue ni tête, est une véritable petite révolution. Microsoft et Amazon ont décidé de pousser un peu plus loin leur collaboration dans le domaine des assistants vocaux. Celui d'Amazon (Alexa) sera bientôt disponible sur la plupart des PC équipés de Windows 10. Dans le même temps, Cortana, l'assistant vocal de Microsoft, sera accessible depuis les enceintes connectées Echo d'Amazon. Cette union permet aux deux entreprises de franchir une étape clef dans la vaste bataille de la reconnaissance vocale. Microsoft, Amazon, Google et Apple s'affrontent pour s'imposer dans ce domaine, en attendant l'entrée dans le jeu de Samsung avec Bixby. >> Lire l'article complet sur le site Le Figaro

Comment IBM se déploie dans la blockchain en France

Big Blue revendique désormais 400 projets clients dans ce domaine. Combien d'entre eux sont issus d'entreprises françaises ? Le groupe américain ne le précise pas mais la tendance est clairement positive dans l'Hexagone. Il suffit pour s'en persuader de suivre l'effectif de l'équipe d'IBM France centrée sur la blockchain. Encore naissante en 2016, elle emploie aujourd'hui plus de 30 personnes : des développeurs, des architectes mais aussi des experts métiers. Et d'ici la fin de l'année, elle devrait accueillir vingt nouveaux collaborateurs. "Nous sommes de plus en plus sollicités sur le sujet et il y a une vraie volonté de notre part de mettre un coup d'accélérateur", insiste Luca Comparini, blockchain leader chez IBM France. >> Lire l'article complet sur le site du JDN

Fleet management / Travel / mobilité

Automobile : le match du CO2 s'annonce plus que serré

Avec la chute du diesel et le boom des SUV, les constructeurs auront fort à faire pour respecter les objectifs d'émissions de CO2 instaurés par Bruxelles en 2020. Certains plus que d'autres... Comment faire pour respecter les objectifs CO2 fixés par Bruxelles à horizon 2020, et ainsi échapper aux amendes à neuf ou dix chiffres que risquent les contrevenants ? Dans cette bataille du C02, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne. Si Toyota, PSA et Renault-Nissan ne sont pas trop loin de leur cible assignée par Bruxelles (ils doivent faire un effort d'environ 3 % par an), les constructeurs allemands sont un cran derrière. BMW doit faire -4 % par an jusque 2021, Daimler-Mercedes -4,6 % et Volkswagen -4,8 %. En queue de peloton, on trouve Fiat-Chrysler, précédé par Ford. Dans ce décor, l'industrie n'a d'autre choix que de se lancer dans une course effrénée à l'électrification - seule manière de baisser drastiquement et rapidement les émissions. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Carburants : le calendrier des hausses de taxes et leur impact sur les prix à la pompe

Sacré coup de chaud pour les tarifs des carburants ! En un an, le prix du diesel s'est envolé de 21%, à 1,45 euro par litre, tandis que celui du SP95 a bondi de 15%, à 1,54 euro/l, selon les derniers relevés du ministère de la Transition écologique. La faute à la hausse des cours du pétrole mais aussi au relèvement des taxes. Le gouvernement a en effet prévu de relever progressivement la taxe carbone, ce prélèvement pesant sur les produits énergétiques en fonction de leur émission de CO2, jusqu'en 2022. Ainsi, si l'on prend l'hypothèse que les prix hors taxe restent inchangés, le tarif du diesel, actuellement de 1,45 euro le litre, grimperait à 1,52 euro en 2019, soit 4,5% de plus. En 2022, il atteindrait 1,68 euro, soit une hausse de 15,7% par rapport à 2018. L'essence SP95 verrait de son côté son prix augmenter de 1,9% en 2019, de 1,54 à 1,57 euro/l, et de 7,5% entre 2018 et 2022, à 1,66 euro/l. >>Lire l'article complet sur le site de Capital

Travel

Les compagnies américaines suppriment des vols en raison du coût du carburant

Les compagnies aériennes américaines réduisent la voilure. Confrontées à un prix des carburants supérieur à 30 % par rapport à l'an dernier, selon l'International Air Transport Association (Iata), plusieurs d'entre elles ont décidé de supprimer temporairement des liaisons internationales ou d'en limiter la fréquence, afin de réduire les coûts. American Airlines a notamment arrêté temporairement onze liaisons internationales, considérées comme moins rentables. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RH, management, carrière

3 conseils pour travailler efficacement en Europe centrale et orientale

Fruit de rencontres avec des collaborateurs locaux et des expatriés, le livre de Miroslava Hristova met en lumière les cultures professionnelles des différents pays d'Europe centrale et orientale (PECO). Leur point commun ? Une forte capacité d'adaptation. #1 Privilégier le relationnel... ou la logique. Dans les pays d'Europe orientale, la négociation est d'abord axée sur le sentiment. #2 Manifester du respect pour la hiérarchie... ou pas. Il existe en Europe centrale et orientale des organisations parfaitement verticales et d'autres, plus égalitaires, avec une distance hiérarchique minime. Dans les premières, les employés témoignent du respect envers leurs supérieurs en conservant une certaine distance. #3 Attention aux impairs dans la conversation ! " Chez vous, en Europe de l'Est... " : voici une phrase maladroite lorsque l'on s'adresse à un interlocuteur estonien, letton, lituanien, polonais, tchèque, slovaque, hongrois, roumain, voire slovène, croate, serbe ou albanais ! >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le bien-vivre au travail, premier défi de l'entreprise intelligente

Les managers devraient s'interroger davantage sur la qualité des emplois et sur la manière dont le travail peut apporter de la satisfaction à ceux qui l'accomplissent. Quelle que soit la position hiérarchique qu'il occupe, un travailleur a besoin de vérifier que ses efforts sont utiles et qu'en les accomplissant il rend un véritable service aux autres. Moins de contrôle, plus de confiance. Un emploi de qualité est un emploi dans lequel le salarié se sent libre de mobiliser ses compétences et son intelligence pour effectuer le travail de qualité. Troisième point, le travail n'est pas seulement un moyen de réalisation personnelle, il est aussi une activité sociale. A l'occasion d'un récent sondage, il était demandé à un panel de managers ce qui les motive pour aller travailler le matin : 46,5 % d'entre eux ont répondu " les relations avec les collègues " (3ème baromètre des managers CSP-Formation/Manageris, cité in Courrier Cadres, mars 2015). >> Lire l'article complet sur le site Harvard Business Review

Managers, de quelle couleur êtes-vous ?

Outil d'évaluation des comportements, la méthode DISC, définit les individus selon quatre couleurs. Elle permet d'appréhender avec finesse les comportements. Il ne s'agit pas d'un test destiné à mesurer les compétences, mais d'un questionnaire dont le résultat fournit une photographie à l'instant t d'un comportement. # Rouge : fonceur, indépendant et exigeant # Bleu : réfléchi, prudent et analytique # Vert : coopérant, modeste et fiable # Jaune : enthousiaste, sociable et tonique. Directeur associé du cabinet de conseil en management Meltis et coach certifié apte à l'utilisation de la méthode DISC, Arnaud Hautesserres insiste sur le fait que "cette théorie n'a aucune valeur prédictive quant à la capacité des individus à changer de comportement" et qu' "il est possible d'ajuster ses agissements pour s'orienter vers d'autres couleurs". >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Les nouveaux codes du management

Fini les managers ? Pas forcément. Mais ils doivent évoluer vers un rôle moins autoritaire et plus proche de celui de fournisseur d'information et de bien-être au travail. À l'heure du travail collaboratif, les jours du management pyramidal sont comptés. Pour attirer les jeunes talents et les fidéliser, les entreprises n'auront d'autre choix que de miser sur l'intelligence collective en laissant les individualités exprimer leur créativité, en toute autonomie. De quoi répondre aux attentes des générations Y (nées dans les années quatre-vingt et le milieu des années quatre-vingt-dix) et Z (nés entre la fin du précédent siècle et le début du xxie siècle). >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune


 
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