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Revue de presse achats (semaine du 22 au 26 janvier)

Publié par Marie-Amélie Fenoll le - mis à jour à
Revue de presse achats (semaine du 22 au 26 janvier)

Voici une compilation d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

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En crise existentielle, la filière diesel s'organise pour sauver sa peau

La glissade du diesel ne fait pas que des heureux. En France, l'un des pays de cocagne de cette technologie de propulsion, les industriels qui vivent du gazole sont nombreux. "C'est 12.000 emplois directs en France, c'est absolument considérable", constatait la semaine dernière Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie. En première ligne, le site Bosch de Rodez, qui a vu ses investissements gelés face à la chute des commandes. La direction travaille sur des pistes de diversification. Il y a aussi le site Delphi dans le Cher, et celui d'Honeywell dans les Vosges. Sans omettre tout le tissu de petits fournisseurs... Tissu qui fait en ce moment l'objet d'un recensement précis par les services de Bercy, faute de données disponibles. Selon la Fédération des équipementiers automobile (Fiev), quelque 10 % des effectifs hexagonaux de ses adhérents usinent des équipements pour les moteurs gazole, soit 7.000 personnes. Depuis l'automne dernier, le ministère se préoccupe du sujet. Une réunion s'est tenue début décembre, pour établir une sorte de "task-force" réunissant des industriels (PSA, Renault, Bosch, Delphi, la PFA) et des administrations. Elle doit mener une réflexion sur la manière de reconvertir en partie ou totalement les sites menacés - et sur le soutien que pourrait apporter l'Etat ou les collectivités.
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La distribution, une industrie qui se fissure

L'annonce de 2.400 suppressions de postes chez Carrefour sonne comme une alerte pour les champions des supers et hypermarchés. Auchan va supprimer plusieurs centaines de postes dans ses fonctions supports. Et la fermeture de 21 sites de bureaux. Une excellence française se délite. A activité égale, Amazon et consorts emploient quatre à cinq fois moins d'employés. La structure de coûts des magasins est devenue trop élevée. La vérité est que les distributeurs classiques gagnent peu ou pas d'argent. Le plan Bompard donne des indices pour s'en convaincre. Les deux milliards d'économies promis viendront surtout des achats, dit le PDG. Difficile dans un secteur dont les acteurs pressent chaque année leurs fournisseurs depuis plusieurs décennies.
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Ces métiers méconnus qui paient bien en 2018 - Directeur achats matières premières : vue sur cours

Le JDN fait un focus sur "les métiers méconnus qui paient bien en 2018" et s'intéresse au directeur achats matières premières qu'il explique ainsi: L'approvisionnement en matière première s'impose comme un nouveau poste stratégique depuis quelques années. Bien négocier les matières premières permet à l'entreprise d'augmenter sa marge. Le but du directeur achats de matières premières est de trouverd e nouveaux fournisseurs, souvent à l'étranger, puis de négocier les meilleurs prix, dans un contexte défavorable à la demande. Le métier de directeur achats de matières premières tient une place de premier ordre et les recruteurs n'hésitent pas à les payer 20 à 25% de plus qu'un directeur achats d'un autre secteur
>> Lire l'article complet sur le site du JDN

Achat de formation en entreprise : quelles tendances pour 2018 ?

Quand les entreprises achètent, elles préfèrent ne pas passer par des intermédiaires, si ce n'est leur OPCA. Le gré à gré reste en effet la modalité d'achat prioritaire (pour 83 %). Ainsi, 76 % n'ont jamais recours ou rarement à une procédure d'appel d'offres. Courtiers discounters et centrales d'achat n'ont pas forcément les faveurs des responsables RH et formation. Ces derniers préfèrent rester fidèles à leurs prestataires. Pour preuve : seuls 24 % sont dans une approche de renouvellement. Cependant, lorsqu'elles optent pour un nouveau, leur choix se détermine avant tout en fonction des retours d'expérience des apprenants (74 %), mais aussi grâce aux réseaux professionnels (65 %). La recherche sur Internet demeure une valeur sûre alors que l'approche commerciale des prestataires est en perte de vitesse. C'est évidemment la qualité des actions de formations qui s'impose comme le critère n°1 dans le choix du prestataire. 54 % des entreprises accordent une importance toute particulière à ce que leur partenaire respecte les exigences du décret qualité créé en 2015.
>> Lire l'article complet sur le site de FocusRH


Le marché français du dernier kilomètre

Complexe, coûteux, mais facteur clé de succès de toute stratégie de distribution, le dernier kilomètre est, aujourd'hui plus que jamais, au centre de toutes les attentions. Peu de marchés peuvent, en effet, se prévaloir d'une croissance de 10 % par an en moyenne avec une taille qui devrait être multipliée par 1,5 d'ici à 3 ans. Un potentiel attractif, qui trouve plusieurs territoires de croissance : le e-commerce bien sûr, porté par le dynamisme des places de marché, mais aussi l'offensive des Retailers qui, grâce au développement des stratégies web-to-store et click & collect, ont réussi à regagner des parts de marché sur les Pure Players. Le secteur de la Restauration connaît également une révolution avec l'essor des "Food Tech". Mais au-delà de son potentiel, la livraison au client final voit aujourd'hui son offre se transformer et son modèle économique évoluer. Après une période marquée par un taux de qualité de service aléatoire (respect insuffisant des engagements, offre limitée de modalités de livraison, ...), les promesses H+, J+1, choix de l'heure et du lieu de livraison s'imposent peu à peu comme les standards du marché.
>> Lire l'article complet sur le site de Les Echos Etudes

Livraison du dernier kilomètre : Carrefour mise sur La Poste et sa filiale Stuart

Carrefour et La Poste vont déployer le service Carrefour Livraison Express dans 10 nouvelles villes en 2018 : Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Lille, Nancy, Nantes, Nice, Reims, Rennes et Strasbourg. Ce service de livraison de courses en 1 heure est opéré, depuis sa création en 2016, par Stuart, filiale de La Poste spécialisée dans la course urbaine urgente, et qui emploie des travailleurs en contrat de micro entrepreneurs. Satisfaits de leur collaboration dans Carrefour Livraison Express, les deux groupes testeront cette année un nouveau service de livraison des courses à domicile à partir des Drive Carrefour, situés sur des hypermarchés et des supermarchés. Ce service sera testé courant 2018 dans deux villes pilotes. La distribution des courses sera également opérée par Stuart.
>> Lire l'article complet sur le site de La Revue du digital

Comment le Toulousain Delair domine le marché des drones professionnels

La PME basée à Labège, au sud de Toulouse, s'est spécialisé dans le drone civil professionnel, de longue distance, le "hors vue". Les appareils Delair peuvent cartographier, sécuriser, inspecter, surveiller. Ils digitalisent les activités de leurs clients grâce aux données aériennes dans des domaines aussi divers que l'agriculture, la construction, l'énergie, le transport, ou encore la sécurité.
Leader français sur le marché, il est devancé au niveau mondial par les Suisses de Sense Fly. Delair emploie en tout 120 personnes, dont 70 sur le site toulousain où résident la Recherche et le Développement (R&D) et la production de sa gamme la plus sophistiquée, les DT. Delair a aussi un site de production en Belgique, à Gand. où est produite l'autre gamme, les UX. Elle dispose aussi d'un bureau d'études en Gironde et de bureaux commerciaux à Paris, Los Angeles et Singapour. Il faut dire que près de deux-tiers de son chiffre d'affaires est réalisé à l'étranger, ses solutions sont distribuées dans 70 pays. La Chine est son premier client. "EDF et RTE par exemple, utilisent d'habitude des hélicos pour inspecter leurs lignes haute-tension. Avec des drones, on diminue les risques, les coûts et la pollution", explique Thomas Nicholls, directeur marketing de Delair
>> Lire l'article complet sur le site de FranceBleu

Commande publique

Marchés publics : à chaque entreprise ses obligations...

Dans un arrêt du 22 janvier 2018, le Conseil d'Etat a tranché un litige concernant les conditions de traitement des candidatures et des offres dans le cadre d'une procédure adaptée. La haute juridiction administrative a précisé que l'obligation de production de certificat attestant de la régularité de la situation d'une entreprise au regard de l'emploi des travailleurs handicapés ne s'impose pas aux entreprises de moins de vingt employés. Elle rappelle également qu'il incombe au pouvoir adjudicateur de vérifier le caractère anormalement bas d'une offre.
>> Lire l'article complet sur le site de la Caisse des dépôts et des territoires


Notre-Dame-des-Landes : un casse-tête pour Vinci?

INTERVIEW. Comment résilier une complexe délégation de service public conclue pour 55 ans ? L'avocat Laurent Frölich se penche sur ce délicat cas d'école... dans un article du Point

RSE

Les entreprises n'innovent pas assez en matière de transition énergétique

La plupart des entreprises se disent prêtes pour un futur de l'énergie décentralisé, décarboné et numérisé, mais nombre d'entre elles ne prennent pas les mesures nécessaires pour mieux intégrer et développer leurs programmes énergétiques et de développement durable. Voici ce que révèle une étude réalisée par Schneider Electric, leader de la transformation numérique de la gestion de l'énergie et des automatismes. Parmi les 236 entreprises (du monde entier) interrogées, 81% ont mis en oeuvre des actions d'amélioration et de l'efficacité énergétique ou prévoient de le faire dans les deux ans à venir. Et 75% travaillent à réduire leur consommation d'eau et leur production de déchets. L'étude note cependant, que "peu d'entreprises déclarent mettre en oeuvre des stratégies et des technologies plus évoluées en matière de gestion de l'énergie et d'émissions carbone".
>> Lire l'article complet sur le site de Batiweb

Mobilité

L'Ile-de-France lance un appel d'offre pour 250 à 1000 bus électriques

La RATP et Île-de-France Mobilités ont annoncé ce mercredi le lancement d'un appel d'offres pour l'achat de 250 à 1.000 bus électriques destinés au réseau de transport en commun de la région parisienne. Il s'agit du plus important appel d'offres d'Europe pour l'achat de bus électriques. Paris et sa région visent 100% de bus propres d'ici 2025.
>> Lire l'article complet sur le site de Bfmbusiness

Radars: ce qui vous attend en 2018

Les automobilistes peuvent s'attendre à une intensification du nombre de flashs en 2018. C'est en effet ce que laisse entrevoir la nouvelle loi de finances, sur fond d'enjeux sécuritaires importants... L'augmentation des contrôles automatiques vise à atteindre les objectifs fixés par le comité interministériel de la sécurité routière pour 2020. Les " zones où les accidents sont particulièrement fréquents " sont donc prioritaires pour parvenir à faire baisser la mortalité routière. Ainsi, le nombre de radars en France sera porté à 4 700 cabines au total, soit 100 de plus qu'en 2017. Côté budget, une grande partie des dépenses de l'État sera allouée à la modernisation des équipements existants.
>> Lire l'article complet sur le site de ProMoove

CES de Las Vegas 2018 : A quoi ressemblera le véhicule de demain?

Chaque début d'année, juste avant Détroit, le grand rendez-vous high-tech du CES se transforme un salon de l'auto bis. Un hall mais aussi une esplanade d'essais (plus les rues de la ville...) sont consacrés aux neuf constructeurs, onze démonstrations de voitures autonomes et 172 exposants. De quoi établir un état des lieux de l'automobile de demain qui misera sur l'autonomie.
>> Lire l'article complet sur le site de Flottes Automobiles

Environnement de travail

Quand le Street Art entre au bureau

Faire entrer de l'art au bureau : une bonne idée pour rompre avec la monotonie des espaces de travail et des benchs alignés. Interview de Bea Toa, artiste. "Un espace de travail peut-il être inspirant ?Il faut avant tout s'imprégner de l'ambiance des lieux et de ceux qui y évoluent au quotidien. Derrière chaque communauté, il y a un but, une idée, un rêve. Réaliser une fresque dans un espace de travail, c'est visualiser cet idéal. Notre responsabilité en tant qu'artiste est dès lors de le représenter, de l'incarner afin de lui donner vie".
>> Lire l'article complet sur les Echos Week-end

Quand les millennials poussent les entreprises à repenser les lieux de travail

Et si demain les bureaux occupaient moins de place dans la ville ? On connaissait l'open space, voici maintenant le "flex office". Cette organisation qui prône la disparition des bureaux attitrés au profit d'espaces diversifiés a le vent en poupe. De plus en plus de sociétés, telles Danone, L'Oréal, Sanofi, pour ne citer qu'elles, conçoivent leurs bureaux sur ce modèle. Objectif ? S'adapter à la digitalisation de l'entreprise, favoriser les modes de travail collaboratifs, réduire les coûts immobiliers... Et surtout séduire une nouvelle génération de diplômés, ces millennials "digital natives" que l'on dit hyperconnectés, et très soucieux de leur bien être au travail. "De plus en plus, l'environnement de travail devient un élément clé dans le choix d'un stage et d'un premier emploi. Les jeunes diplômés aujourd'hui veulent savoir si cet environnement leur permettra d'être le plus productif possible, et s'ils seront bien évalués, non pas tant sur leurs heures de présence dans l'entreprise, mais sur leur contribution", observe Guillaume Saintagne, chargée du recrutement et de la marque employeur chez Ubisoft en France.
>> Lire l'article complet sur le site du Monde

Le télétravail, un système gagnant-gagnant pour salariés et employeurs ?

Pour les pratiquants, le fait de télétravailler présenterait plusieurs avantages : une meilleure autonomie pour 90% des salariés interrogés, une plus grande efficacité pour 87% d'entre eux mais aussi un meilleur équilibre vie professionnelle / vie personnelle, pour 87%. Il irait de pair avec une diminution de la fatigue, une meilleure santé et un plus grand épanouissement dans le travail. Du côté des employeurs aussi, le télétravail présente bien des avantages. Les bénéfices seraient multiples: engagement des salariés pour 82% des interrogés, responsabilisation et autonomie pour 80% d'entre eux. Cela permettrait également de redorer une " image employeur " pour 68% des interrogés et une baisse de l'absentéisme.
>> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Carrière/ Management... et autres

Plus de sept Français sur dix sont prêts à écraser leurs collègues pour décrocher le job de leurs rêves

Vous pensez être apprécié de vos collègues? Vous êtes certain d'avoir leur soutien en cas de coup dur, et leurs félicitations si vous décrochez une promotion? Vous faites fausse route. Car ceux qui vous entourent sont insatisfaits de leur situation et sont dévorés par l'ambition, à en croire les réponses d'un sondage réalisé par Qapa. En effet, seulement 6% des femmes et 3% des hommes déclarent avoir actuellement le travail dont ils rêvaient. Pour la grande majorité de ceux pour qui ce n'est pas le cas, si jamais une opportunité d'enfin l'obtenir se présentait à eux, une bonne moitié serait prête à tout. Plus précisément, ce sont les hommes qui ont les dents les plus affutées puisqu'ils sont 52% à ne pas se donner de limite pour décrocher le job de leurs rêves. Les femmes ne sont "que" 44% à être dans les mêmes dispositions.
>> Lire l'article complet sur le site de BFM

Management : quand la simplification mène à la stupidité

Un management crétinisant ? Les auteurs britanniques s'en font l'écho à travers quelques explications : la première est que nous vivons une époque où l'information est un sujet avec lequel il devient difficile de traiter -ce n'est donc pas qu'INfluencia qui vous le dit. L'environnement informationnel est brouillardeux et il n'a jamais été autant question de le discerner. Autre élément de réponse dans la phrase suivante : "Les travailleurs intelligents ont vite appris à ne plus poser de questions et à ne pas trop réfléchir car le fait d'utiliser leur intelligence entraînait des questionnements délicats (...)". On préfère par exemple donner la sensation d'une situation positive plutôt que de s'attaquer aux problèmes. Au pays de cette stupidité, d'autres points ont leur passeport. Parmi eux, la confiance excessive placée dans l'image et le jargon. Dans le premier cas, c'est la part du symbolique qui prend littéralement le pas sur la substance. Le "talking rubbish" (ou le "parler réducteur") traduit, quant à lui, la volonté de simplification de la pensée, jusqu'à faire advenir des comportements du même acabit.
>> Lire l'article complet sur le site de Influencia

 
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