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Revue de presse achats - semaine du 1er novembre

Publié par Lisa Henry le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 1er novembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné pour vous des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser.

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Avec la pénurie de matières premières, aura-t-on une flambée des prix du chocolat ?

Malgré tout, il était difficile de prévoir cette pénurie mondiale de matières premières qui touche beaucoup de secteurs, à l'image du chocolat. "On avait essayé d'anticiper les choses. Ce qu'on n'avait pas imaginé, c'est que dans les ports, des bateaux qui veulent bien embarquer un container, prennent deux, trois, voire quatre semaines de retard. On ne fait pas nos chocolats en Asie, mais on y fait un certain nombre de nos emballages, et on est très tendu en flux", souligne Philippe Jambon. >> Lire l'article complet sur le site de Europe1

La fonte du prix des matières premières crispe les marchés

Il y a d'abord la flambée des prix de l'énergie qui rendent l'approvisionnement en métaux précieux plus onéreux. Il y a aussi la mise à l'arrêt de nombreux chantiers de construction en raison des déboires du colosse chinois du secteur, Evergrande, toujours asphyxié par sa dette. Et pour ne rien arranger, les autorités de Pékin ont décidé de poursuivre les restrictions de production imposées tout au long de l'année 2021, des restrictions qui passent par un rationnement de l'utilisation d'électricité. Elles sont désormais plus fréquentes, plus sévères et prolongées d'un trimestre... >> Lire l'article complet sur le site des Echos



RSE

Pourquoi l'essor de la "finance verte" n'a-t-il aucun effet sur la hausse des émissions de CO2 ?

Le constat est que les effets des financements verts ne sont pas notables sur les courbes des émissions de gaz à effet de serre, ni sur la perte des espaces naturels qui entraîne l'extinction accélérée des espèces animales et végétales. Le dernier rapport de l'IEA (International Energy Agency), produit conjointement avec la Banque mondiale et le World Economic Forum, est sans appel : les intentions positives ne se voient pas dans les faits. Bien qu'il n'y ait actuellement aucun problème de financement, seulement 150 milliards sont investis dans les renouvelables chaque année, quand la seule exploration pétrolière engloutit en moyenne 500 milliards par an. >> Lire l'article complet sur le site de The conversation

Mobilité : "Plus d'une vingtaine de villes sont en train de déployer des bus à hydrogène"

La mobilité lourde ou intensive à l'hydrogène renouvelable ou bas carbone figure parmi les trois priorités de la stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné en France. Présentée le 8 septembre 2020, cette stratégie prévoit un soutien public de 7,2 milliards d'euros sur dix ans. Notamment pour déployer une capacité 6,5 GW d'électrolyse à l'horizon 2030 et éviter ainsi l'émission de six millions de tonnes de CO2 par an. En tenant compte des réglementations actuelles ou à venir, le scénario "Ambition 2030" conduit les acteurs de la filière française à fixer le niveau de production à 680.000 tonnes de consommation d'hydrogène renouvelable ou bas carbone par an. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


Le Sénat adopte la loi pour réduire l'impact du numérique sur l'environnement

C'est fait. Le Sénat a adopté ce 2 novembre en deuxième lecture le projet de loi sur l'impact environnemental de tous les appareils qui organisent notre vie, smartphones, tablettes, ordinateurs...Car la fabrication de ces derniers pèse lourd dans l'environnement, jusqu'à 70% de l'empreinte carbone du numérique. Si rien n'est fait, relève une mission d'information du Sénat, le numérique serait à l'origine de 7% des émissions de gaz à effet de serre en 2040, contre 2% aujourd'hui. Parmi toutes les mesures avalisées, comme l'obligation pour les opérateurs de publier des indicateurs clés sur leur politique de réduction de leur empreinte environnementale ou la mise en place de collectes et de prime au retour pour les écouteurs par exemple, une mesure a mobilisé les acteurs des appareils reconditionnés : la taxe sur la copie privée. >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Commande publique

Police : 12 millions d'euros pour un logiciel finalement remplacé

Il y a un peu plus de 4 ans, il devait révolutionner le quotidien des policiers dans les commissariats. Qualifié, à ce moment-là, de "moderne" et "d'intuitif", le progiciel baptisé Scribe s'avère finalement être un échec, rapporte France Inter, dimanche 31 octobre. Estimé à près de 12 millions d'euros, l'argent avait pourtant été mis sur la table. C'est pourquoi son abandon programmé a provoqué ces dernières semaines l'ire des plus hauts responsables de la police nationale. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Opinion | Entre renationalisation des autoroutes et décarbonation, la France à l'heure des choix

La première d'entre elles est sémantique. Et c'est tout sauf anecdotique : qui dit "renationalisation" sous-entend que les autoroutes françaises ont été privatisées. Or, contrairement aux idées reçues, elles ne l'ont jamais été. Leur gestion a en revanche été concédée. "La mise en concession n'est pas une privatisation !", explique Xavier Bezançon, historien et auteur de plusieurs livres référence sur le sujet. Les autoroutes sont toujours la propriété de l'État, parler de "renationalisation" est donc une erreur. Même si la société concessionnaire déverse des milliards, les investissements entrent dans le domaine public et deviennent la propriété de l'État. Quand elle fait des travaux sur les autoroutes, tout l'argent investi arrive dans les caisses de l'État parce que le réseau lui appartient. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Achats innovants : Bercy souhaite pérenniser l'expérimentation malgré un bilan "un peu décevant"

Entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2021, 231 marchés ont été recensés au titre de cette procédure qui avait pour but de doper l'innovation et de faciliter l'accès des TPE et PME innovantes à la commande publique. "Nous n'avons pas eu les remontées que nous aurions espérées", a commenté la DAJ, lors d'une intervention à l'occasion de la conférence plénière de l'Observatoire économique de la commande publique qui s'est tenue à la mi-octobre. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes


Supply chain

Le nouveau port de Calais démarre ses activités

À côté des services dédiés au transport de voyageurs, le port de Calais propose aussi des solutions pour le transport de fret. Le projet d'extension a été voulu pour s'adapter aux évolutions du trafic transmanche, des navires, de la logistique et de l'industrie, ainsi que des normes environnementales. Avec un trafic poids lourds qui a presque doublé et un volume de fret transmanche qui a triplé sur les 20 dernières années, la capacité du port de Calais était atteinte et ses infrastructures n'offraient plus une bonne qualité de service. Disposant de trois nouveaux postes ferry, l'extension du port de Calais est désormais en mesure d'accueillir les super ferries de nouvelle génération (plus de 220 mètres de long). Grâce aux passerelles flottantes, il est possible de charger et décharger des véhicules de tourisme ainsi que des poids lourds sur quatre voies simultanément, contre deux auparavant, soit un gain de temps de 30% par escale d'après le port. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Jungheinrich fournit deux nouveaux chariots automatisés EKS 215a à Prelocentre

Prélocentre, un prestataire logistique de fruits et légumes pour l'enseigne Grand Frais, s'équipe de deux nouveaux chariots automatisés de stockage EKS 215a commercialisés par Jungheinrich, l'équipementier de l'intralogistique. Mis en service au premier trimestre 2022, ces AGV seront déployés dans un entrepôt du logisticien localisé sur le parc de La Saussaye à Saint-Cyr-en-Val, dans le Loiret. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Fleet

Automobile : pourquoi Hyundai et Kia surnagent dans le marasme français

La soupe à la grimace se poursuit sur le marché automobile français, mais pas pour tout le monde. Le nombre d'immatriculations de voitures neuves a plongé de 37,3% en octobre par rapport au même mois de 2019 (la comparaison avec 2020 étant biaisée par la crise sanitaire), mais deux constructeurs tirent leur épingle du jeu : l'ovni Tesla, dont les ventes partent de très bas, et le groupe Hyundai, qui fait preuve d'une résilience remarquable à la pénurie de semi-conducteurs. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Renault Kangoo Van E-Tech Electric, meilleur sous tous rapports

Renault met surtout l'accent sur la capacité offerte au conducteur d'optimiser la gestion de l'énergie de la fourgonnette. Outre un mode Eco limitant la puissance et la vitesse maximale, trois modes de freinage régénératif sont au programme : B1 (Sailing) pour un mode régénératif limité, B2 (Drive) pour obtenir "une sensation au lever de pied similaire à celle d'un véhicule à moteur thermique", et enfin B3 (Braking) pour un mode régénératif maximal conseillé dans les embouteillages et en montagne. A cela s'ajoute une climatisation régulée avec pompe à chaleur qui limite la consommation d'électricité. >> Lire l'article complet sur le site du Journal des flottes

Workplace

Le groupe immobilier Spart offre deux ans de loyer à une jeune entreprise

Le groupe familial brondillant, spécialisé en immobilier d'entreprise, a décidé d'offrir un coup de pouce à une jeune entreprise de la région en lui offrant deux ans de loyer dans un local de 170 m², dans son nouveau programme Actiparc implanté à Tignieu-Jameyzieu en Nord-Isère. >> Lire l'article complet sur le site Le progres

Carrière / management

Coronavirus: un retour plus contraignant au télétravail n'est "pas d'actualité" selon Borne

Depuis le 10 septembre dernier et la publication d'une version actualisée du protocole sanitaire, les règles en entreprise ont été assouplies, sans être levées, afin de garder la main sur la circulation du virus. Les employeurs sont ainsi libres de rappeler tous leurs salariés à travailler "sur site", sans télétravail obligatoire. Le port du masque reste en revanche la norme, et des mesures spécifiques doivent toujours être mises en oeuvre pour les salariés les plus vulnérables. Face au regain épidémique, la ministre du Travail Élisabeth Borne se veut cependant rassurante et indique qu'une adaptation des règles sanitaires dans l'entreprise n'est "pas d'actualité". Pas de massification du télétravail au programme, donc. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

 
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