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Revue de presse achats - semaine du 13 décembre

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Revue de presse achats - semaine du 13 décembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car liés aux achats.

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En Alsace, la quête d'un lithium produit en France et durable

Chiffres à l'appui, Thierry Guelton, chef de projet lithium géothermal chez Eramet, vante un rendement élevé (90% du lithium est extrait de la saumure) et une consommation d'eau limitée puisque celle puisée est en grande partie restituée au sous-sol. En comparaison, dans les bassins d'évaporation d'Amérique du Sud, l'extraction d'une tonne de métal engloutit plusieurs centaines de milliers de litres d'eau. Le bilan carbone du procédé d'Eramet serait en outre "proche de zéro", affirme l'entreprise, contre 9 tonnes de CO2 par tonne de carbonate de lithium extrait des roches. Le défi, à présent, est économique. Evaluer la rentabilité de ce procédé dans le contexte alsacien - où la concentration de lithium, avoisinant les 180 mg/l, est deux à trois fois plus faible que celle que l'on trouve dans la concession argentine du groupe - est justement l'un des objectifs des tests menés cet automne. Cette fois, contrairement aux premiers essais, réalisés dans la centrale voisine de Rittershoffen au début de l'année, le pilote comporte non pas une mais trois colonnes d'extraction, capables d'absorber la saumure géothermale en continu et de fournir des chiffres de productivité. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Le prix du café flambe, les torréfacteurs broient du noir

Depuis janvier, le prix de la livre d'arabica, le grain de café le plus largement utilisé par les torréfacteurs, a doublé. Les raisons sont multiples et connues: fortes gelées, pluies diluviennes, flambée des prix du transport (jusqu'à dix fois plus cher) combinée à une pénurie de conteneurs qui bloque certains arrivages. S'ajoute à cela une demande mondiale en augmentation, conjuguée à une stagnation de l'offre. Un torréfacteur comme J.J. Looze a pu tenir le coup jusqu'ici grâce à son large éventail de clients, répartis entre entreprises, revendeurs, horeca et particuliers. (...) Chez Rombouts, un des gros torréfacteurs belges, la flambée actuelle des prix, à laquelle vient s'ajouter l'explosion des coûts énergétiques, se traduit par une hausse de 31 millions d'euros de la facture d'achat des grains de café. Celle-ci sera immanquablement répercutée sur les prix pratiqués par les torréfacteurs. Reste à voir dans quelle mesure, d'autant qu'il s'agira de faire avaler la pilule aux distributeurs. >> Lire l'article complet sur le site de lecho.be

Relocalisation : la galaxie Mulliez pousse un jeans plus cher mais made in France

Le premier jean "made in France" qui sortira en février-mars prochain de l'usine de la galaxie Mulliez à Neuville-en-Ferrain, dans la métropole lilloise, sera vendu chez Jules à partir du mois d'avril à 59,99 euros. "Ce sera le premier jean made in France à un prix si accessible", a affirmé la directrice de l'offre chez Jules, Erika Joffrin, jeudi à l'occasion de la visite du chantier. "Nous allons démontrer qu'il est possible de relocaliser les productions en France en permettant aux marques clientes du FashionCube Denim Center de rendre ces produits accessibles au grand public", a déclaré le chef du projet, Christian Kinnen, chez FashionCube , l'entité qui réunit six marques textiles détenues par l'Association familiale Mulliez (Jules, Pimkie, Orsay, Grain de Malice, Rouge Gorge et Bizzbee). >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le véhicule électrique accélère le transfert de la chaîne de valeur chez les constructeurs

Ce qui signifie que les fournisseurs automobiles perdraient de fait une partie de leur apport actuel dans la production automobile. Cette perte est estimée par le cabinet Alix Partners à 11% en moyenne, soit environ 1 500 euros en valeur par véhicule. "Cette volonté des constructeurs de garder la compétence industrielle est assez nouvelle et l'on voit bien que les constructeurs voient la batterie désormais comme un élément stratégique sur lequel ils doivent avoir le contrôle", explique Marc Mortureux, directeur général de la PFA. Le risque sur l'emploi pour les fournisseurs des rangs 2 et 3 est estimé, dans ce cas, à environ 20 000 postes (notamment dans les domaines des fonderies, du décolletage, du traitement des métaux ou encore de la forge). De leur côté, les constructeurs et les équipementiers de rang 1 verraient 32 000 emplois disparaître également. Potentiellement 11 000 emplois pourraient être créés dans ces nouvelles activités de batteries ou d'électronique. Mais le solde reste négatif avec une perte sèche de 41 000 postes. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de l'Automobile


RSE

Le groupe Bic va démonter ses briquets jetables pour les recycler

Pour gérer la fin de vie de ses objets, composés de plastiques et de divers métaux, le groupe a d'abord essayé de les broyer. "Mais le niveau de pureté de la matière récupérée ne permettait pas de la réutiliser correctement", souligne François Clément-Grandcourt. Les dirigeants ont alors opté pour un processus de démontage afin de mieux recycler les différents composants des briquets. Depuis quelques jours, plusieurs machines d'un nouveau genre se chargent ainsi de désosser les briquets Bic pièce par pièce sur le site de Redon. "Cela nous permet de collecter une matière vraiment pure qui peut être recyclée et revalorisée ailleurs", précise le directeur général. Les quantités traitées sont pour l'heure assez limitées. Prêt à monter en puissance, le groupe attend pour cela de définir le meilleur système de collecte possible, plusieurs options étant actuellement en test. D'ici peu, des petites boîtes en carton pourraient ainsi faire leur apparition chez les buralistes ou "dans des lieux de consommation" afin de récupérer les briquets usagers. >> Lire l'article complet sur le site de 20mn

Notpla remplace le plastique des emballages par des microalgues

Notpla tire parti des attributs naturels des algues marines afin de développer une gamme d'emballages. D'un sachet de thé au sachet de nouilles instantanées, les emballages peuvent être mélangés à de l'eau en toute sécurité, y ajoutant fibres et antioxydants, mais sans ajout de saveur. La startup londonienne utilise les phycophytes pour produire, par ailleurs, des contenants de détergents, de lessives ou encore de produits pour lave-vaisselle. En effet, ces derniers sont majoritairement faits de plastique PVA qui ne se dissout pas complètement et ils contribuent, en fin de vie, à la pollution des mers. Notpla, dont le premier produit fut une bouteille d'eau comestible et biodégradable utilisée lors du marathon de Londres et de festivals de musique, aspire à mettre en place une production à plus grande échelle. En effet, pour un impact écologique individuel, la marque souhaite développer des paquets de livraison en algues et intégrer une capsule de détergent du même matériau aux commandes de vêtements afin de faire profiter les clients d'un premier lavage écoresponsable. Au niveau industriel, Notpla compte fabriquer des rouleaux de film étirable qui pourrait se substituer au film plastique. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Juridique : L'intégration de matériaux recyclés dans la construction

Le secteur du BTP génère 230 Mt/an de déchets. Dans le bâtiment, plus de 90 % de ces déchets proviennent de la déconstruction et de la réhabilitation. Les enjeux de leur réutilisation sont l'économie de ressources limitées, le gain en compétitivité et la préservation de l'environnement. A ce titre, le tri des déchets à la source, avec valorisation et traçabilité, semble la solution la plus crédible. Un objectif de réutilisation ou recyclage de 70 % a d'ailleurs été fixé par le gouvernement. I - Traitement des déchets - La loi anti-gaspillage et relative à l'économie circulaire (Agec) du 10 février 2020 a précisé le "principe de responsabilité élargie du producteur (Rep1)", selon lequel tout producteur de déchets devient contraint, non plus simplement à gérer les déchets produits. Mais aussi à participer à l'éco-conception des produits, à favoriser l'allongement de leur durée de vie, et à contribuer au traitement et au recyclage de ses déchets. Ceci, notamment par la mise en place collective, par les producteurs, "d'éco-organismes agréés auxquels ils transfèrent leur obligation et versent en contrepartie une contribution financière". Il est ainsi fait obligation au fabricant d'un produit qui génère des déchets de financer sa fin de vie. La loi Agec soumettra les produits et matériaux de construction à ce principe de Rep au plus tard le 1er janvier 2023. Un décret en Conseil d'Etat va venir en définir les modalités d'application, ainsi que les conditions minimales du maillage des points de reprise. >> Lire l'article complet sur le site de Ac Presse

Entrepôts, livraisons : quand les grandes surfaces se mettent au vert

En Île-de-France, une nouvelle plateforme logistique a l'ambition zéro carbone. Sur le toit, 36 000 m² de panneaux photovoltaïques, une charpente toute en bois, des ampoules à faible consommation et un dispositif de chauffage intelligent construit sous la terre. "Sous nos pieds, on retrouve un système de géothermie. Une centaine de sondes sont enfuies à une centaine de mètres de profondeur et nous permettent de stocker le chaud l'été, de le mettre dans le sol et de le restituer l'hiver quand on a froid, et de faire l'inverse", explique Sébastien Lesait, directeur logistique de Monoprix. Ce système devrait fournir plus de la moitié de l'énergie nécessaire au fonctionnement de l'entrepôt de 100 000 m² que nous avons visité. "Ce sont toutes ces innovations, mises bout à bout, qui font qu'on arrive à réduire de 80% notre empreinte carbone sur ce bâtiment-là", ajoute-t-il. >> Lire l'article complet sur le site de LCI

Carrefour obtient la note "A" du Carbon Disclosure Project (CDP)

Les actions de Carrefour visant à réduire ses émissions de CO2 et à atténuer les risques climatiques ont été plébiscitées par le Carbon Disclosure Project, organisme international de référence, à but non lucratif, qui incite les entreprises et les gouvernements à réduire leurs émissions en rendant publiques les données environnementales liées à leur activité. >> Lire le sujet complet sur le site de Bourse Direct


Supply chain

La logistique durable, une question d'argent

La création d'un produit logistique durable nécessite de prendre en compte plusieurs éléments tels que les objectifs d'émissions, les mesures, la conception des offres, les stratégies de communication et, bien entendu, le pricing. "Même si presque tous les grands acteurs de logistique dans le monde ont fixé des objectifs clairs en matière d'émissions conformément à l'Accord de Paris, pratiquement aucun engagement monétaire n'a été pris pour les atteindre. Au bout du compte, on ne sait toujours pas qui va payer", lâche Franck Brault, senior partner et expert logistique au bureau de Paris de Simon-Kucher. "En raison des marges globalement faibles dans le secteur de la logistique, les coûts d'une plus grande durabilité devront être répercutés. De nombreux clients ne reconnaissent toujours pas la nécessité de limiter les émissions de gaz à effet de serre. La question cruciale est de savoir si les clients seront prêts à payer plus cher pour une logistique plus respectueuse de l'environnement à l'avenir. Dans le cas contraire, les gouvernements seront appelés à renforcer leurs réglementations. Quoi qu'il en soit, il ne sera pas possible pour les entreprises de logistique de se contenter de prendre en charge les coûts supplémentaires sans les répercuter sur les clients", déclare-t-il. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

La relance du ferroviaire suppose de conquérir de nouveaux chargeurs

Cette logistique multimodale a été évoquée le 17 novembre par Jean-Philippe Delmont, président de la commission ferroviaire de l'Union TLF, et Brice Devinoy, PDG de l'entreprise ferroviaire Régiorail, lors de la Journée du fret ferroviaire d'Objectif OFP. A lui seul, cet exemple a résumé quatre messages forts des débats. Le premier concerne le rôle des chargeurs dans la relance du fret ferroviaire et la nécessité pour le mode "d'en conquérir de nouveaux", insiste Jean-François Lagane de Nestlé Waters. Pour cette (re) conquête, le deuxième exprimé par Denis Choumert appelle les entreprises ferroviaires et le gestionnaire du réseau ferré, SNCF Réseau, à changer d'approche. Echo à l'avis rendu par le Conseil d'orientation des infrastructures sur la stratégie nationale de développement du fret ferroviaire, le président de l'AUTF estime "qu'il faut partir des besoins et de la demande des chargeurs". Pour Denis Choumert, les démarches RSE déclinées à l'organisation des transports incitent les chargeurs à recourir davantage aux modes alternatifs à la route. Les deux autres messages s'adressent tout autant aux chargeurs qu'à leurs partenaires logisticiens et commissionnaires de transport voire à l'Etat et aux collectivités locales. Au-delà des aides publiques pour soutenir le fret ferroviaire et les infrastructures ferrées, plusieurs intervenants de la Journée demandent à l'Etat, aux collectivités territoriales, aux logisticiens et aux acteurs de l'immobilier logistique "d'imposer un embranchement ferroviaire et/ou fluvial à tous les nouveaux projets d'aménagement logistiques".>> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistiques

Radioscopie des taux de fret en 2020 et 2021

Stop à l'escalade des taux de fret. Alerte à l'inflation des prix mondiaux à la consommation. Péril sur l'industrie manufacturière mondiale. C'est un plaidoyer en triptyque que livre la Cnuced dans sa dernière étude portant sur le transport maritime en 2020, intitulée Review of maritime transport. Les taux de fret y sont érigés au rang de points d'inflexion majeurs de nature à faire basculer la reprise économique d'un côté ou de l'autre. Un rôle qu'ils n'ont sans doute jamais endossé, plus assidus au plancher qu'au sommet. "La reprise de l'économie mondiale est menacée par les taux de fret élevés, qui devraient se maintenir dans les mois à venir. Si la flambée actuelle des taux de fret des conteneurs devait persister, elle pourrait augmenter les niveaux de prix des importations mondiales de 11% et les niveaux de prix à la consommation de 1,5 % d'ici 2023", indique l'agence de l'ONU. Alors que l'année se termine, les taux de fret culminent à des niveaux inédits et inattendus, témoignant d'une rupture dans la stratégie des capacités des transporteurs maritimes largement relatée. "Afin de maintenir les taux de fret pendant la période de faible demande, les transporteurs ont restreint leur capacité. Puis, lorsque la demande a repris, ils ont libéré davantage de capacité, mais à ce moment-là, l'offre a été limitée par d'autres facteurs, notamment la congestion portuaire et les pénuries d'équipement. Il en a résulté une aggravation des perturbations et de l'inefficacité portuaire", rappelle la Cnuced. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la Marine Marchande


Commande publique

"Quand c'est complexe, 23 114 euros : le prix du conseil à l'UGAP"

Edward Jossa, le président de l'UGAP était entendu par la commission d'enquête sur l'influence des cabinets de conseil auprès de l'État. Or la centrale d'achat arrive justement au terme du premier marché de conseil en stratégie qu'elle avait lancé en 2019 (relire notre article). Son renouvellement, en cours de route (relire notre article), prévoit un doublement du montant qui est alloué à ce segment de conseil en stratégie, qui sera porté à 25 millions d'euros. D'où les questions pressantes des quelques sénatrices et sénateurs présents sur la manière avec laquelle ces sommes sont allouées - en clair, le prix auquel les consultants sont payés par la centrale. Réponse d'Edward Jossa : "À l'UGAP, nous travaillons avec des unités d'oeuvres : ce sont des compétences, un livrable et un délai. Nous avons des unités d'oeuvre dans chacun de nos marchés. Elles sont classées entre "simples", "très simples", "moyens" et "complexes" en fonction de la difficulté du sujet. Une unité d'oeuvre du marché de conseil en stratégie, par exemple, s'appelle projets stratégiques de restructuration. Quand c'est très simple, son tarif est 1864 euros hors taxes ; quand c'est simple, 3821 euros ; moyen, 11 984 euros ; complexe, 23 114 euros. Les discussions portent sur le nombre d'unités d'oeuvres à mobiliser et le degré de complexité. Et notre mission de suivi consiste à s'assurer que les missions soient qualifiées avec un juste degré et que le nombre d'unités d'oeuvres est le bon. A la fin, cela fait un forfait." >> Lire ce sujet sur le site de Consultor

La flotte de la gendarmerie mobile renouvelée dès 2022

En 2021, 17 Leon Cupra et 1 263 Peugeot 5008 ont déjà été livrés aux patrouilles de la Police et de la Gendarmerie nationales. Dans le cadre du rajeunissement et du verdissement de sa flotte automobile, le ministère de l'Intérieur renouvellera aussi les moyens mobiles de 40 escadrons de Gendarmerie mobile sur un total de 109 unités en France, dès 2022. Chaque escadron recevra trois véhicules de mobilité équipe (VME) et six véhicules de mobilité groupe (VMG). Ces 140 VME et 240 VMG "plus confortables et mieux équipés" remplaceront les actuels Irisbus âgés en moyenne de 16 ans. Concernant les VME, la Gendarmerie mobile a annoncé que "des Iveco Daily d'un PTAC de 5,5 t transformés par Gruau seront commandés avant fin 2021 pour des livraisons au cours du troisième trimestre 2022." Chaque peloton d'intervention s'équipera donc de trois véhicules, d'une capacité de transport de six militaires et leurs équipements chacun. Après le résultat du marché public début 2022, le ministère de l'Intérieur révélera son choix de modèle de VMG pour le transport de neuf militaires et leur matériel, avant les premières livraisons dans le courant de l'année. >> Lire l'article complet sur le site de Flottes Autos

La déclaration des dépenses consacrées à l'achat de biens contenant des matières recyclées

Un arrêté du 3 décembre est pris en application de l'article 3 du décret n° 2021-254 du 9 mars 2021 relatif à l'obligation d'acquisition par la commande publique de biens issus du réemploi ou de la réutilisation ou intégrant des matières recyclées. Ce décret a lui-même été pris en application des dispositions de l'article 58 de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire. Il fixe les modalités de déclaration à l'observatoire économique de la commande publique (OECP) de la part de la dépense annuelle consacrée à l'achat des produits ou catégories de produits énumérés en annexe de ce décret. Pour effectuer cette déclaration, les services de l'Etat, ainsi que les collectivités territoriales et leurs groupements créent un compte (pour les entités concernées ne disposant pas déjà d'un compte), téléchargent le modèle de fichier sous forme de tableur, le complètent, puis le transmettent via l'application nommée "recensement économique des achats publics" (REAP), mise à disposition par l'OECP. Les dépenses doivent être déclarées, en une fois, dans les six mois suivant l'année civile concernée, et, pour l'année 2021, selon les conditions prévues à l'article 5 du décret. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes

Le dispositif "achats innovants" pérennisé

Le texte pérennise, au nouvel article R. 2122-9-1 du code de la commande publique, le dispositif mis en place à titre expérimental et pour une durée de trois ans par le décret n° 2018-1225 du 24 décembre 2018, permettant aux acheteurs de passer, sans publicité ni mise en concurrence préalables, des marchés de travaux, fournitures ou services innovants de moins de 100 000 euros HT. Cette dispense de procédure est en outre étendue aux lots dont le montant est inférieur à 80 000 euros HT pour des fournitures ou des services innovants ou à 100 000 euros HT pour des travaux innovants, à condition que la valeur de l'ensemble des lots concernés n'excède pas 20 % du montant total du marché. >> Lire l'article complet sur le site de economie.gouv.fr

IT

RPA : Comment l'approche collaborative d'Adobe contribue à sa productivité

Selon Gartner, les dépenses mondiales en logiciels RPA atteindront 1,58 milliard de dollars en 2021. L'analyste prévoit que 90 % des grandes organisations mondiales auront adopté la RPA sous une forme ou une autre d'ici 2022. Les employés peuvent utiliser cette technologie pour configurer des scripts, souvent appelés "bots", qui automatisent les processus commerciaux et informatiques, tels que la recherche de données, le déclenchement de réponses ou l'exécution de transactions. L'analyste Forrester estime que nous sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle phase de RPA et d'automatisation. Au cours de la prochaine décennie, nous assisterons à l'émergence d' "entreprises autonomes", c'est-à-dire d'organisations dont les modèles d'exploitation sont rendus possibles par une technologie numérique auto-consciente, auto-correctrice et auto-dirigée, avec l'IA et l'automatisation au coeur. >> Lire l'article complet sur le site de ZDNet


Fleet management

Fiscalité automobile 2022 : ce qui change pour les flottes !

Au 1er janvier prochain, le malus écologique voit encore son barème se durcir comme le prévoit la loi de finances 2021, qui fixe une trajectoire sur trois ans. Ainsi d'ici quelques jours, il ne s'appliquera non plus à partir de 133g de CO2/km mais à partir de 128g de CO2/km. Seuil qui passera à 123g en 2023. La taxe maximum s'élèvera quant à elle à 40 000 euros en 2022 pour les véhicules les plus polluants (> 223 g de CO2/km). Le malus sera aussi désormais plafonné à 50 % du prix TTC. Après avoir suscité de longs débats, le malus au poids va devenir une réalité à partir du 1er janvier prochain. Il vient s'ajouter au malus écologique pour les véhicules neufs de plus de 1 800 kg avec un tarif unitaire fixé à 10 euros par kilo excédentaire. >> Lire l'article complet sur le site de L'Automobile l'Entreprise


RH / Management et autres

L'empathie, une compétence de plus en plus recherchée chez les managers

Les managers ont pris conscience que la plupart des situations de tension viennent d'une mauvaise communication, soit parce que le message a été mal transmis, soit parce que la communication n'a pas été emphatique. Pour avoir une collaboration efficace et constructive, mieux vaut en effet s'assurer que les différents points de vue des collaborateurs ont été compris. Faire preuve d'empathie, c'est donc une valeur humaniste mais c'est aussi un gage de plus grande efficacité individuelle et collective. En temps de crise, comme en temps normal. "La sécurité psychologique est le secret des équipes créatives et performantes", expliquait récemment au quotidien français Les Echos Amy Edmondson, professeur de leadership et de management à la Harvard Business School. Et selon cette influente experte en ressources humaines, qui travaille sur ce sujet depuis de nombreuses années, pour créer cette sécurité psychologique, pour instaurer un climat de confiance et de sincérité au travail où chacun ose s'exprimer et proposer des idées, les leaders n'ont d'autres choix que d'être empathiques. >> Lire l'article complet sur le site de Le Temps


 
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