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Revue de presse achats - semaine du 6 décembre

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Revue de presse achats - semaine du 6 décembre

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web qui sont susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture

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La voie étroite des relocalisations d'activités en France

Malgré les appels répétés des politiques, ce sont surtout les PME qui rapatrient des activités en France. "Les grands groupes sont, eux, dans une logique d'optimisation industrielle et relocalisent très peu", explique Gwénaël Guillemot, directeur de l'Institut de la réindustrialisation. Et loin des grandes usines qui employaient des milliers d'ouvriers, ces relocalisations ne représentent qu'une infime part du tissu industriel et créent peu d'emplois. Depuis 2009, moins de 9.000 emplois ont été rapatriés, soit 0,5% de l'emploi créé, selon Trendeo. "Une relocalisation génère une trentaine d'emplois quand une délocalisation en détruit 80", note son fondateur, David Cousquer. Les 84 activités de retour dans l'Hexagone en 2021 feront travailler à peine plus de 2.300 salariés. Seule une quinzaine tourneront avec plus de 50 personnes. "La France ne sait pas répondre à un besoin d'implantation rapide pour des grands projets", pointe David Cousquer. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

5 acteurs majeurs de la filière nucléaire s'engagent pour des achats responsables

C'est lors du Salon World Nuclear Exhibition, organisé à Villepinte, que 5 acteurs majeurs de la filière du nucléaire civil (EDF, Framatome, CEA, Andra et Orano) ont signé la charte Relations fournisseurs et achats responsables. En présence de Mme Agnès Pannier Runacher, ministre déléguée en charge de l'industrie, Pierre Pelouzet, médiateur des entreprises a réuni ces 5 opérateurs en marge de la réunion du Comité Stratégique de la filière nucléaire afin d'organiser cette cérémonie de signature. Les signataires : EDF : Jean-Bernard Lévy; Framatome : Bernard Fontana ; CEA : François Jacq; Andra : Pierre-Marie Abadie ; Orano : Philippe Knoche. >> Lire ce sujet sur le site du ministère e l'Economie

Première liquidation d'un fournisseur d'électricité

La flambée des prix de l'électricité a fait sa première victime. Hydroption, un des fournisseurs jusqu'à il y a peu de l'État, de l'armée et de la mairie de Paris, a été liquidé jeudi après-midi par le tribunal de commerce de Toulon. La société était en redressement judiciaire depuis le 21 octobre et en procédure de sauvegarde depuis 2018. Sauver l'entreprise aux dépens de ses plus gros clients: le plan de survie élaboré ces derniers mois par la société a échoué. Ces dernières années, Hydroption a remporté de gigantesques contrats avec l'État, l'armée et la mairie de Paris à tarifs imbattables. De quoi exaspérer les concurrents. "Nous nous sommes tous demandé comment ils faisaient, si on avait raté un truc qu'ils auraient vu et pas nous pour rogner sur les prix", se rappelle le responsable d'un fournisseur adossé à un grand groupe étranger. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Fibre optique : la pénurie de main d'oeuvre inquiète

Avant de pouvoir brancher sa box à ce fil de verre fin comme un cheveu, un travail herculéen doit être réalisé par les opérateurs de réseaux. Il faut creuser des tranchées. Tirer le câble optique sur des milliers de kilomètres à travers la France. Négocier l'accès aux poteaux électriques. Réaliser les épissures - sorte de soudures sur la fibre optique - aux points de rupture et de connexion. Parlementer avec les propriétaires et les conseils syndicaux... Les 12.000 salariés de la filière ne chôment pas. Par endroits, les bras manquent déjà. "La main-d'oeuvre qualifiée est rare. Je n'ai jamais refusé autant de contrats que ces deux dernières années", souffle le patron d'une des nombreuses entreprises qui déploient la fibre. Ce n'est que le début. La fibre a mis dix ans à pénétrer dans 10 millions de foyers. Le plan gouvernemental prévoit que, dans cinq ans, 20 millions d'entreprises et de particuliers supplémentaires seront à portée de fibre. L'usine à recrutement tourne à plein régime. "En 2018, nous prévoyons 3.500 emplois supplémentaires. Et le pic sera atteint en 2022, avec 28.000 emplois", estimait mi-juin Pierre-Michel Attali, de l'Idate, lors de la présentation de l'observatoire du THD (très haut débit). Soit 16.000 recrutements en perspective. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Red Electric relocalise sa production de scooters électriques au Mans, chez l'équipementier Chastagner

Red Electric va relocaliser sa production de scooters électriques en France, en l'occurrence au Mans dans la Sarthe chez l'industriel Chastagner. L'objectif, à terme, est une production de 10 000 unités par an. "Car, selon nous, un scooter français ne peut être produit qu'en France", indique Bertrand de La Tour d'Auvergne, directeur général délégué de l'entreprise qui faisait, jusqu'à présent, fabriquer ses scooters en Chine. Chastagner réserve à cette fin une usine existante de 4 000 m². Cet équipementier, présent dans l'automobile et l'aéronautique, va affecter une partie de ses 140 salariés à la production de Red Electric. "Mais il y aura des recrutements par la suite", assure Bertrand de La Tour d'Auvergne. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle


RSE

Comment Michelin se met au vert

L'eau risquant de se raréfier, l'ambition à terme du groupe est de n'avoir aucun impact sur la disponibilité de l'eau destinée à la consommation humaine. Dans ce but, le site pilote de Chennai, en Indes, a mis en place un système de collecte des eaux de pluie qui couvre déjà 45 % de ses besoins. Quant aux eaux usées, l'usine recycle 100 % de ses effluents pour un rejet zéro polluant dans la nature. En matière de d'énergie le but est de réduire la consommation des énergies fossiles. Pour ce faire, les presses de cuissons à vapeur, très énergivores, ont été remplacées par des machines 100 % électriques qui ont nécessité 10 ans de Recherches. Dans un autre registre, Michelin réutilise l'énergie. Ainsi, les sites de Monceaux-les-Mines et de Clermont-Ferrand, déjà en pointe sur ce sujet, ont été dotés de pompes à chaleur qui récupèrent l'énergie des machines pour chauffer les bâtiments. Depuis 15 ans, Michelin s'est résolument tourné vers l'utilisation des énergies renouvelables comme la biomasse, l'éolien ou le solaire. >> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac


Supply chain

La supply chain figure parmi les préoccupations des entreprises d'après HSBC

Les entreprises françaises craignent des perturbations de leur chaîne d'approvisionnement : 79% prévoient une interruption en 2022, contre 23 % des entreprises du reste du monde. Dans leur esprit, ces perturbations seraient liées à une accélération de la demande suite à la crise sanitaire, à une pénurie de conteneurs, mais aussi à une pénurie de main d'oeuvre. Ainsi, 62 % des entreprises françaises s'attendent à ce que le commerce international se complexifie durant les 12 prochains mois. Pour s'y préparer, elles prévoient d'investir davantage dans leurs chaînes d'approvisionnement. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Omicron affole les indices de fret et les cours des matières premières

La résurgence épidémique pourrait à nouveau donner un coup de fouet à des taux de fret, dont le mouvement baissier était de nature à accréditer la thèse des analystes selon laquelle un plateau a bel et bien été atteint avant une descente progressive. Alors que le Shanghai Containerized Freight Index, qui suit les tarifs au comptant du fret conteneurisé (prix négociés sur une base quotidienne avec une validité de moins de 30 jours) au départ de Shanghai vers une vingtaine de destinations, s'était dégonflé en octobre, il est reparti à la hausse dans la semaine du 29 novembre, enregistrant sa plus forte progression en dix semaines, s'établissant à 4601,97 points. Cela fait plus d'un an que la flambée des prix du transport est entretenue par les perturbations actuelles dans la ligne régulière - congestion portuaire, pénurie de navires, déficit de conteneurs... -, consécutives à une reprise économique forte, rapide et subite, de surcroît stimulée par les plans de relance publique. Tout ce qui peut réanimer la surchauffe de ce marché, à peine calmé, est là aussi connu. À commencer par les fermetures de terminaux portuaires, surtout en Chine, où la "stratégie zéro Covid" appliquée avec fermeté par Pékin fait planer une menace permanente. >> Lire l'article complet sur le site de Journal de la Marine Marchande

Comment réduire l'impact écologique du milliard de colis livrés chaque année en France

Qui n'a jamais reçu un carton cinq fois plus grand que l'objet qu'il contient ? Ces paquets sont autant de vide inutilement transporté par les camions. De nouveaux robots, des emballeuses 3D, ont donc fait leur apparition dans les entrepôts : concrètement, le produit est déposé sur un tapis roulant et scanné, avant que la machine taille son emballage sur mesure. Cdiscount assure avoir été le premier e-commerçant à s'équiper, en 2016, d'un tel robot, qui coûte près de 1 million d'euros. Il en détient désormais six, et estime réduire grâce à eux, en moyenne, 30 % du vide. Cela évite de "caler les produits avec du plastique ou du papier bulle", ajoute-t-on chez Snowleader, un site isérois d'articles de montagne qui a également investi. La conscience écologique des e-commerçants n'est toutefois peut-être pas l'unique raison de cette cure d'amaigrissement. En 2017, La Poste a ainsi décidé d'inclure un critère volume dans le calcul de ses prix. "Les commerçants et les autres transporteurs ont été invités à réduire le vide", précise Olivier Storch, responsable notamment de la logistique urbaine du groupe. Amazon assure, de son côté, avoir diminué de 36% le poids moyen d'un emballage depuis 2015 en privilégiant les pochettes souples - plus fines que les cartons - et promet, d'ici à la fin de l'année, la disparition des contenants en plastique à usage unique. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Transport maritime : Amazon affrète des cargos privés et fabrique ses propres conteneurs

"Pour gagner du temps, Amazon est capable de faire entrer de la marchandise dans un obscur port de Washington, puis de la transporter par camion jusqu'à Los Angeles. Qui d'autre aurait l'idée de faire cela ?" explique Steve Ferreira, analyste du fret maritime. En effet, la plupart des transporteurs se disent qu'il suffit d'amener le bateau à Los Angeles, malgré les deux ou trois semaines d'attente. Amazon a donc réellement tiré parti de cette stratégie pour être compétitif sur le marché du transport maritime. Pour y parvenir, l'entreprise a dépensé sans compter... En effet, Amazon a dépensé plus de 61 milliards de dollars pour l'expédition en 2020, contre un peu moins de 38 milliards de dollars en 2019. Désormais, Amazon expédie 72% de ses propres colis, contre moins de 47% en 2019. En Chine, Amazon fabrique même ses propres conteneurs. Un élément indispensable au transport des marchandises, dont le prix augmente considérablement aujourd'hui. Cette stratégie n'a pas empêché le géant américain de subir une hausse de 14% des articles en rupture de stock et une augmentation moyenne des prix de 25% depuis janvier 2021. Les augmentations des coûts du transport se répercutent toujours sur le consommateur. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

La congestion des ports n'est pas la seule raison des perturbations de la supply chain mondiale

Les départs à vide impactent les roulements de conteneurs : "Les départs à vide sont un facteur clé de la perturbation du réseau. Le nombre de conteneurs restant dans les ports de transbordement sur des navires "balayeurs" a faussé l'équilibre du réseau mondial", explique Josh Brazil. Pour Project44, une navigation est à vide lorsqu'un navire qui doit faire escale dans un port spécifique ne s'y arrête finalement pas. La plateforme observe une augmentation du nombre de navires qui ne font pas escale dans les ports prévus, laissant derrière eux des centaines de milliers de conteneurs et des millions d'expéditions, ce qui accroît la pression non seulement sur les consommateurs, mais aussi sur les terminaux à conteneurs et sur le personnel. Tanjung Pelepas, en Malaisie, a enregistré le plus grand nombre de navigations à blanc en 2021, à savoir 31, soit une légère amélioration par rapport aux 35 de 2020, mais ce chiffre demeure élevé car il correspond à une moyenne d'environ trois navires par mois qui quittent le port. Toutefois, la plus forte augmentation du nombre de départs sans escale été relevée à Port Klang (Malaisie), avec 13,5 départs sans escale en 2021, contre 1,25 en moyenne en 2020 pour les mêmes services. Il s'agit d'une très forte hausse de 980% par rapport à 2020. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog


Commande publique

Achats hospitaliers, horizon 2030

Les résultats de cette étude, menée à la demande du Resah, ont été dévoilés lors de la première journée de l'achat hospitalier à Montrouge ce 2 décembre. Avant de chercher à cerner l'avenir, le quatuor s'est penché sur le présent. Premier constat, la communauté considère que les achats, qui avaient connu une accélération de la professionnalisation sans commune mesure depuis une décennie, sont encore montés d'un cran depuis l'apparition des GHT. Des demandes et des exigences accrues. Et par ricochet une montée rapide en compétence. Pour preuve, 85 % des professionnels estiment que leurs avis sont toujours ou souvent pris en compte par la DG. Néanmoins, remarquent les auteurs de l'enquête, la métamorphose s'est parfois construit "dans la douleur", en parallèle de la construction des groupements, sans avoir toujours une vision claire des objectifs et des missions. De même, ce "rôle pivot" accepté ne s'est pas forcément accompagné des moyens humains ou techniques nécessaires. >> Lire l'article complet sur le site de Sante-achat.info

La France vend 80 Rafale aux Emirats Arabes Unis

A l'occasion de la viste à Dubaï d'Emmanuel Macron, la France et les Emirats Arabes Unis ont signé ce vendredi un contrat portant sur l'achat de 80 avions Rafale F4 de Dassault Aviation, a annoncé l'Elysée. Ce chiffre est très supérieur à celui de l'appel d'offre de départ qui évoquait un besoin de 63 appareils. Cette commande est la plus importante obtenue à l'international pour l'avion de chasse depuis son entrée en service en 2004. Outre les Rafale, les Emirats ont également signé un accord pour l'achat de 12 hélicoptères Caracal. "Il s'agit d'un aboutissement majeur du partenariat stratégique entre les deux pays", s'est félicitée la présidence française dans un communiqué. La ministre des Armées, Florence Parly, a quant à elle évoquer "un contrat historique". >> Lire l'article complet sur le site de BFM

Doute sur l'impartialité, marché annulé

Les magistrats considèrent "eu égard au niveau et à la nature des responsabilités confiées" de l'agent, aussi bien au sein de la société attributaire que dans la collectivité, et "au caractère très récent de son appartenance à cette société, sa participation à la procédure de sélection des candidatures et des offres pouvait légitimement faire naître un doute sur la persistance d'intérêts le liant à son ancien employeur et " par voie de conséquence sur l'impartialité de la procédure suivie par la collectivité". La CAA estime que la personne publique aurait dû "lever ce doute légitime", par exemple en écartant son agent de la procédure d'analyse des offres. Le litige se poursuit devant le Conseil d'État. Les Sages du Palais Royal considèrent que la CAA n'a pas commis d'erreur de droit en jugeant que la participation de l'agent en question à la procédure de sélection des candidatures et des offres pouvait légitimement faire naître un doute, et que "la méconnaissance de ce principe d'impartialité était par elle-même constitutive d'un vice d'une particulière gravité justifiant l'annulation du contrat à l'exclusion de toute autre mesure." Le pourvoi de la collectivité est donc rejeté. >> Lire l'article complet sur le site de sante-achats.info


IT

L'analyse de données au service d'une communication impactante

Ces nouveaux outils, ce sont des plateformes intégrées, des SaaS, qui permettent aux dirigeants et responsables de suivre et de piloter leurs investissements en communication. Ces plateformes utilisent des "trackers" qui pistent l'activité des prospects face à une campagne marketing : lecture des emails, taux de clic, temps passé, niveau d'attention... Les données sont ensuite remontées sous forme de tableaux de bord visuels pour faciliter l'analyse et la prise de décision. L'analyse peut ensuite être directement réalisée par l'industriel, l'entreprise, ou bien par une agence spécialisée. Le support de données chiffrées permet de justifier les dépenses en communication et de calculer le retour sur investissement en direct parmi tous les canaux déployés. Ce type de solutions est particulièrement intéressant pour les structures qui n'ont pas toujours le temps, les équipes, ou les moyens nécessaires pour piloter une démarche marketing complète et réellement efficace. Elles proposent une approche rassurante de la communication, avec une visibilité renforcée du retour sur investissement en fonction de chaque action ou décision. >> Lire ce sujet sur le site de Tech In Fab


Fleet management

500 millions d'euros en plus pour déployer des bornes de recharge

La stratégie du gouvernement passera notamment par un investissement complémentaire aux dispositifs actuels à hauteur de 500 millions d'euros. Concrètement, l'État lancera le programme Advenir + avec 200 millions d'euros supplémentaires. Dans cette somme, une enveloppe de 30 millions d'euros financera un plan spécifique lancé pour aider les entreprises de la distribution et des services de l'automobile à accélérer l'installation d'IRVE. Co-piloté par l'Avere et le CNPA, ce plan nommé "AXLR" contribuerait ainsi au déploiement de "50 000 bornes de recharge", estime le gouvernement. En parallèle, l'État investira 300 millions d'euros dans des appels à projets pour l'installation de bornes de recharge ultra-rapide sur l'ensemble du territoire, dans le cadre du plan France 2030. >> Lire l'article complet sur le site de Flotauto

Voiture électrique: Carlos Tavares ressort la sulfateuse

Carlos Tavares déplore ainsi que la transition vers la voiture propre "dépasse les limites" de ce que l'industrie peut supporter : "Ce qui a été décidé, c'est d'imposer à l'industrie automobile une électrification qui ajoute 50% de coûts additionnels à un véhicule conventionnel. Il est impossible que nous répercutions 50% de coûts additionnels au consommateur final, parce que la majeure partie de la classe moyenne ne sera pas capable de payer." Selon le dirigeant, cela risque d'entraîner "toutes sortes de problèmes", et notamment concernant l'emploi. Pour réduire les coûts, les industriels pourraient être tentés de réduire leurs effectifs : "Au cours de cinq prochaines années, nous devons digérer 10% de productivité par an (...) dans une industrie habituée à délivrer (des gains de) 2 à 3% de productivité" Et celui-ci d'avertir : "L'avenir nous dira qui sera en mesure de digérer cela, et qui n'y parviendra pas." >> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac

Le TCO des hybrides rechargeables Citroën sous haute surveillance

Obligées d'accélérer leur transition énergétique, les flottes automobiles d'entreprise sont friandes des véhicules hybrides rechargeables. Ainsi, à fin novembre, ce ne sont pas moins de 59 500 modèles PHEV qui ont été mis à la route dans les parcs (+ 720,7%). Toutefois, attention à l'utilisation de ces véhicules qui, s'ils ne sont pas rechargés régulièrement, peuvent coûter très cher en carburant. Ainsi, pour aider les gestionnaires de flottes a mieux en maîtriser les coûts et à agir sur le comportement du conducteur, Citroën a développé un nouveau service connecté baptisé PHEV Connect. Ce dernier s'appuie sur le boîtier télématique Citroën Connect Box pour transmettre les informations du véhicule dans un tableau de bord. >> Lire l'article complet sur le site de l'Automobile l'Entreprise


Travel management

Aviation : décollage climatique imminent, les retardataires resteront cloué·es au sol !

Si l'on se concentre sur le sujet des SAF, on constate que les annonces s'accélèrent. L'utilisation de SAF a longtemps été cantonnée à des vols démonstrateurs, ou à quelques vols bien définis (ex : vol Los Angeles-Amsterdam de KLM), et à ce titre représente moins de 0,1% du carburant utilisé. En juillet dernier, la Commission Européenne a proposé de faire monter l'ambition climatique d'un cran avec le Paquet Climat "Fit for 55", comprenant un mandat d'incorporation de SAF de 2% en 2025 et de 5% en 2030, reprenant la feuille de route française à ce sujet. Cependant, avec l'engagement récent de 60 acteurs du secteur à viser 10% de SAF en 2030, dont certaines grosses compagnies européennes (British Airways, Iberia, KLM, DHL), le paquet "Fit for 55" n'a pas encore été adopté qu'il commence déjà à être dépassé ! Ainsi, le Royaume-Uni vient d'annoncer dans son plan de décarbonation Net Zero Strategy un mandat d'incorporation de 10% de SAF pour 2030. Peut-être faudrait-il rehausser les ambitions de la France et de l'UE en conséquence ? Cet engouement n'est pas qu'européen : parmi les acteurs de l'annonce, on peut noter les 3 majors américaines (American Airlines, Delta Airlines, United Airlines). Cette participation n'est pas anodine et témoigne d'une réelle transformation des mentalités. >> Lire ce sujet sur le site de Carbone 4


Carrière, RH, Management... et autres

Du contrôle de l'innovation à l'innovation dans le contrôle

La conception du contrôle interorganisationnel tend à se complexifier davantage dans un contexte d'innovation. Force est de constater que le contrôle a été pendant longtemps considéré comme préjudiciable à l'innovation. En effet, les exigences de l'innovation peuvent recouvrir des problématiques en apparence contradictoires avec les contraintes du contrôle et ainsi susciter une dialectique ou un paradoxe managérial. Si le contrôle nécessite le recours à la planification pour répondre aux besoins de cohérence et de coordination, l'innovation requiert une certaine flexibilité pour répondre aux besoins d'adaptation et d'ajustement face à l'incertitude technologique. Il apparaît dès lors nécessaire de repenser le dispositif de contrôle de l'innovation de manière à répondre aux tensions qui peuvent découler de la mobilisation simultanée de ces différents éléments. Dans cette optique, un contrôle managérial axé sur la surveillance des comportements (congruence des objectifs et des actions) apparaît plus efficace que les contrôles fondés sur un système d'information alimenté par des indicateurs comptables, budgétaires ou de contrôle de gestion. La spécificité d'une collaboration réticulaire réside dans la mise en commun de ressources ou d'actifs (territoire pour un cluster, plateforme pour un réseau, etc) sans qu'il ne soit possible à chacun des membres d'en disposer à titre individuel ou de les évaluer. >> Lire l'article complet sur le site de HBR


 
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