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[Faire-part] Frédéric Thielen donne naissance à AristaQ, cabinet de conseil en stratégie

Publié par Aude Guesnon le - mis à jour à
[Faire-part] Frédéric Thielen donne naissance à AristaQ, cabinet de conseil en stratégie

ArtistaQ est une société de conseil dédiée à la résolution de sujets complexes dans le domaine de la stratégie et des opérations : achats, supply chain et manufacturing. Son nom vient d'Aristarque de Samos qui fut le premier astronome à découvrir que la Terre tournait autour du Soleil, et pas l'inverse. Une promesse de révolution?

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Frédéric, vous venez donc de donner naissance à AristaQ. Pouvez-vous nous présenter votre bébé?

Un bébé en pleine forme, grâce à nos clients que je remercie au passage ! AristaQ est une société dédiée à la résolution de sujets complexes dans le domaine de la stratégie et des opérations : achats, supply chain et manufacturing. Nous intervenons aussi dans le domaine de la transition énergétique. Nous travaillons avec un réseau de partenaires experts et de confiance, ce qui nous permet d'avoir un mode d'intervention très profond, du conseil jusqu'à la mise en place opérationnelle et rapide. En résumé : donnez-nous vos soucis, on vous met en place ensemble une solution adaptée... et une solution qui marche dans le temps, pas un simple coup d'épée dans l'eau.

Vous avez longtemps été directeur achats et supply chain, avant de passer côté conseil, pourquoi ce choix ?

J'ai en fait alterné des postes de direction achats et supply chain (et de comité exécutif) avec des passages dans le conseil pour de grands cabinets bien connus. Fondamentalement, je pense que les directions achats et supply chain ou les directions générales gagneraient à se faire conseiller par des personnes ayant ce double profil, finalement assez rare. Nous apportons, je pense, une vision originale et experte du métier, à la fois stratégique, agile et pragmatique. Tant les dirigeants d'entreprises que les acheteurs peuvent s'y retrouver dans un langage commun. C'est très bénéfique, au vu des premières réactions.

Quelles sont, selon vous, les difficultés que rencontrent aujourd'hui les entreprises et auxquelles les achats doivent s'atteler ?

L'alignement stratégique est sans doute une des difficultés les plus récurrentes, sous forme d'allers-retours entre ce que la fonction peut fournir et comment s'organiser à cet effet, et ce que sont les attentes des dirigeants. Les enjeux de valorisation d'une entreprise sont multiples. On peut citer à la volée la rentabilité économique, bien sûr, mais aussi l'innovation, l'agilité ou la contribution à la conquête de nouveaux marchés. La crise sanitaire, par exemple, n'est pas qu'un sujet d'approvisionnements et de risques. Elle a aussi amené des valorisations d'entreprises historiquement élevées, du fait de la reflation monétaire, avec une question en creux des méthodes et outils pour maintenir ces niveaux dans le triptyque employés-actionnaires-clients.

Comment envisagez-vous la fonction achats aujourd'hui ?

Elle a de nouveau une opportunité historique, avec pour autant une difficulté à capitaliser sur un certain nombre d'occasions manquées par le passé dans sa perception, son rôle et ses attributions. Un observateur avisé ne manquera pas de comparer les évolutions et positionnements des fonctions achats et supply chain dans les 20 dernières années. Pour autant, c'est sans doute un faux débat, car les deux fonctions gagneraient aussi à mieux collaborer en général et en profondeur. Et d'ailleurs, le débat doit être élargi au-delà de ces deux seules fonctions, prises en exemple.

 
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