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"À court terme, il est évident que les tensions sur les céréales vont augmenter"

Le Kremlin qui formule des attentes irréalistes, la Turquie qui souhaite se rapprocher du Vieux Continent, et un repli des prix de l'énergie. Tels sont les trois faits saillants sur les achats de matières premières et l'énergie avec une interview exclusive d'Olivier Lechevalier, cofondateur de DeftHedge.

Publié par Geoffroy Framery le - mis à jour à
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Ukraine, EU and Russia conflict. Country flags on chess pawns on a chess board.
© Feydzhet Shabanov - stock.adobe.
Ukraine, EU and Russia conflict. Country flags on chess pawns on a chess board.

Qu'observe-t-on sur les marchés ?

Comme souvent l'été, la géopolitique fait son retour sur les marchés financiers. En début de semaine, la Russie a décidé de ne pas reconduire l'accord de corridor céréalier permettant à l'Ukraine d'exporter ses céréales via la mer Noire. Ce n'était en rien une surprise. En revanche, la menace formulée par le ministère de la défense russe de considérer tout navire transportant des céréales en mer Noire comme une cible militaire a provoqué de nouveaux remous sur les marchés. Les céréales se sont envolées en milieu de semaine, avec une hausse de près de 9 % sur la seule séance de mercredi du cours du blé. Il est peu probable que la Russie mette à exécution sa menace.

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