Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 23 mars

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 23 mars
© Paulista - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture!

Je m'abonne
  • Imprimer

Coronavirus : Bruno Le Maire "appelle tous les grands distributeurs" à acheter des "produits français"

"La grande distribution a été exemplaire dans cette crise pour garantir la sécurité d'approvisionnement des Français". Le ministre a confiance : "Je sais qu'elles [les grandes enseignes] le feront, elles sont solidaires dans cette crise". Il leur demande d'acheter "du lait, des fruits, des légumes, de la viande ou du poisson, de façon à ce que nos agriculteurs ne soient pas pénalisés." >> Lire l'article complet sur le site de France TV Info

Et...

Les supermarchés basculent vers 100 % de fruits et légumes français

Dans tous les hypers et supermarchés, l'origine France sera mise en avant. "Toutes les chaînes sont en train de passer à un approvisionnement français. Les produits étrangers qui sont présents en rayon seront écoulés mais après il n'y aura pas d'approvisionnement hors de France", résume la Fédération du commerce et de la distribution, qui souligne le maintien de prix accessibles. Pour les distributeurs, ce soutien va de pair avec l'appui à donner à d'autres filières qui seront touchées par la fermeture de nombreux marchés (des dérogations restent possibles) : la viande, la charcuterie, le poisson notamment. Carrefour a garanti des volumes et des prix d'achat aux mareyeurs, dont le leader Océalliance, en soutien de la pêche française privée de la moitié de ses débouchés avec les restaurateurs. Intermarché profite de sa filiale Scapêche, le premier armement tricolore... >> Lire l'article complet sur le site des Echos

"Les grandes entreprises doivent être solidaires des PME"

Depuis des décennies, la France perd de sa puissance en ayant recours, massivement, à l'importation de produits qu'elle cultive pourtant sur son territoire. Un récent rapport sénatorial notait ainsi, qu'aujourd'hui, près d'un fruit et légume sur deux consommés dans l'Hexagone est importé. Sur la volaille, le rapport évoque une augmentation de 34 % d'importation. Sur les produits laitiers, filière pourtant solide en France, la valeur des importations a été multipliée par deux entre 2005 et 2017. Même chose pour le porc, l'Hexagone importe 25 % de sa consommation. Cela a de multiples conséquences. D'abord, la sécurité alimentaire des Français est questionnée car les conditions sanitaires des pays d'importations ne sont pas aussi élevées que celles de l'Hexagone. Ensuite, cela est à l'origine de rudes concurrences pour les exploitations agricoles françaises qui doivent lutter contre des prix agricoles très bas. Enfin, ces produits qui sont transportés par avion sur des milliers de kilomètres, ont un impact écologique non négligeable.>> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Coronavirus : Bercy sonne l'alarme sur les délais de paiement

"Quelques entreprises ne comprennent pas ce qu'est la solidarité nationale", se plaint un haut fonctionnaire à Bercy. "Plusieurs multinationales cherchent à se constituer un matelas de liquidités alors qu'elles n'en ont pas besoin, elles ont accès au crédit bancaire", poursuit-il. Selon François Asselin, le patron de la CPME, "dans certains groupes et administrations, toute la chaîne administrative est partie au soleil ou en télétravail en interrompant la chaîne de décisions et donc la validation des paiements." En clair, les fournisseurs ne sont pas payés. Des PME risquent donc de souffrir sur le plan financier à cause du mauvais traitement de groupes plus importants. Ce qui pourrait entraîner potentiellement des faillites en cascade. Le crédit interentreprises représente un enjeu de 700 milliards d'euros. Le Printemps ou encore Vinci sont pointés du doigt, selon nos informations. Dans certains secteurs comme la grande distribution, mettre la pression sur les fournisseurs, établir avec eux un rapport de force, est une stratégie. Le problème, c'est qu'en ce moment, beaucoup d'entre eux sont fragilisés. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le cas de force majeure, joker ultime des entreprises pour survivre ?

Le cas de force majeure serait-il donc le joker ultime à dégainer pour qu'une entreprise puisse préserver sa trésorerie ? Pas si simple. D'une part parce qu'une certain nombre de contrats écartent le risque sanitaire de la liste des conditions relevant de la force majeure. D'autre part, parce que l'article 1218 du Code civil est particulièrement précis sur la définition de cette fameuse "force majeure" : "il y a force majeure en matière contractuelle lorsqu'un événement échappant au contrôle du débiteur, qui ne pouvait être raisonnablement prévu lors de la conclusion du contrat et dont les effets ne peuvent être évités par des mesures appropriées, empêche l'exécution de son obligation par le débiteur". Une jurisprudence restrictive. C'est donc la conjonction de ces trois facteurs qui permettra de déterminer si la non-application des termes du contrat relèvent effectivement de la force majeure.>> Lire l'article complet sur le site de Maddyness

Comment la crise tend les relations entre donneurs d'ordres et fournisseurs

La plupart des grands groupes communiquent actuellement sur leur réorganisation, à l'instar de Daniel Lalonde, patron de SMCP qui explique ce 25 mars qu'il a mis en place "l'adaptation de notre structure de coûts et le report de certains de nos investissements non essentiels". Cependant, quand les acteurs majeurs d'un secteur, comme les grands magasins dans la mode et le luxe, annulent toutes leurs commandes ou bloquent leurs factures, c'est l'ensemble de l'écosystème qui en subit les répercussions et nombre de TPE-PME s'en trouvent fragilisées. La fédération française du prêt-à-porter féminin, via son président Pierre-François Le Louët, met en garde contre cet impact dans une tribune publiée ce mercredi. "Nous savons que de nombreuses marques sont aujourd'hui victimes d'abus inacceptables de la part de certains partenaires qui utilisent cette crise comme un prétexte scandaleux, souligne le dirigeant dans son message aux marques du secteur. La Fédération a donc mis en place une cellule pour les aider dans des négociations souvent tendues. Nous sortirons ensemble de cette crise et il est important que nous puissions trouver collectivement des solutions qui nous permettent de surmonter ce difficile moment". >> Lire l'article complet sur le site de Fashion Network

Dropshipping : comment choisir un bon fournisseur ?

En dropshipping, le fournisseur joue un rôle très important, dans le sens où c'est lui qui prend en charge toute la chaîne logistique. A cet effet, c'est lui qui produit les marchandises (ou il les achète), et il les stocke dans un entrepôt ensuite. Par conséquent, c'est aussi le fournisseur qui gère la manutention et le personnel. Ensuite, lorsqu'une commande est passée sur le site de l'e-commerçant, c'est bien le grossiste qui prépare la commande, il assure l'emballage et l'expédition du colis au client final. Nous ne pouvons déduire que le fournisseur n'est pas juste un partenaire, il est bien plus que ça vu les tâches qu'il remplit. Le grossiste est celui qui garantit l'image de votre boutique en ligne, et qui dit image, dit e-reputation. Que vous le vouliez ou pas, vous êtes extrêmement dépendant de votre fournisseur. C'est pour cela que le choix d'un détaillant est une étape cruciale, où il faut absolument éviter les faux-pas, et les erreurs courantes que font pas mal de marchands par manque d'informations et d'expérience. >> Lire l'article complet sur le site de Repha.fr

H&M mobilise ses fournisseurs pour fournir du matériel de protection

H&M, deuxième plus importante enseigne de prêt-à-porter au monde, a déclaré dimanche qu'elle mobiliserait son vaste réseau de fournisseurs pour fournir du matériel médical de protection destiné aux hôpitaux de l'Union européenne afin de ralentir la propagation du coronavirus. H&M, qui a dit avoir proposé à l'Union européenne son aide, cherchait à savoir en ce moment ce que sa chaîne d'approvisionnement était en capacité de fournir, en fonction des besoins les plus urgents. "L'Union européenne nous a demandé d'utiliser nos forces logistiques et opérationnelles pour fournir du matériel. Etant donné l'urgence de la situation, nous donnerons ce matériel", a fait savoir un porte-parole de l'enseigne par communiqué. H&M, qui a fermé ses boutiques dans la plupart de ses marchés en raison de l'épidémie de coronavirus, détient des fournisseurs partout dans le monde, notamment en Chine et dans d'autres pays d'Asie comme l'Inde, le Bangladesh et le Vietnam. >> Lire l'article complet sur le site de Investir Les Echos

Coronavirus : Decathlon confirme travailler avec des centres de recherche

Une porte-parole de Decathlon a néanmoins confirmé à BFM Eco que l'entreprise travaillait actuellement avec "certains centres de recherche pour les aider à voir si des modifications du masque sont possibles, et si ces modifications sont viables", notamment pour que le masque puisse être utilisé par le personnel médical. Une entreprise italienne d'impression 3D affirme avoir contacté Decathlon pour transformer les masques Easybreath en masque de ventilation, notamment en imprimant des valves en 3D. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


Matières premières

Le marché du riz suspendu à la décision du Vietnam sur ses exportations

Une sécheresse qui devrait aussi provoquer une bien moindre récolte secondaire en Thaïlande, le deuxième exportateur mondial. Ces mauvaises nouvelles ont déjà fait grimper les prix du riz de 10% en provenance de ces deux pays en un mois. Le coronavirus rajoute un stress de plus sur les approvisionnements, les Vietnamiens commençant à stocker du riz. Si le Vietnam, troisième exportateur mondial, décidait d'un embargo, "ce serait l'étincelle" qui pourrait mener à une nouvelle flambée des prix mondiaux, estime un négociant suisse joint par Rfi. "La consigne était déjà ces derniers jours de charger le maximum de riz sur les bateaux, au vu des difficultés de l'Inde à acheminer ses marchandises vers les ports". Ce pays premier exportateur mondial de riz est désorganisé par la pandémie. Le danger serait que ce pays et la Thaïlande stoppent leurs exportations à leur tour. >> Lire l'article complet sur le site de RFI


Supply chain

Face la gronde des industriels, Stef et STG suspendent leur hausse de tarif

Le groupe STG a aussi annoncé à ses clients qu'il suspendait "la contribution exceptionnelle" présentée la veille de 8,75% ""pour prendre en compte les incompréhensions". "Nous reconnaissance notre maladresse", écrit Bastien Thirion, directeur commercial de STG dans un courrier, indiquant toutefois que le groupe "doit prendre en compte des contraintes additionnelles multiples qui accroissent son prix de revient : temps d'attente augmenté, kilomètres à vide, bouleversement des plans de distribution, exposition de nos collaborateurs". >> Lire l'article complet sur le site de Réussir

La chaîne logistique alimentaire mise à rude épreuve


Covid-19 : l'ONU veut assurer la continuité du transport des marchandises

Avec la problématique "de la fermeture de certaines frontières par certains pays", l'urgence pour la Commission économique régionale onusienne est la continuité des transports et des échanges de marchandises entre les différents pays. Un devoir pour cette agence onusienne, "dépositaire" de nombreux accords internationaux sur le transport de marchandises, notamment celui des biens dangereux tels que les produits chimiques, le carburant ou les explosifs. "On est en train de voir comment aider les pays à faire face dans plusieurs domaines, notamment le transport, dans les procédures de franchissement de frontières, au vu des fermetures ici et là", a fait valoir le porte-parole de l'UNECE, Jean Rodriguez. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo


Commande publique

COVID-19 : actions des acheteurs de l'Etat et des établissements publics en soutien des entreprises

La direction des achats de l'État a diffusé aux principaux acheteurs de l'Etat et de ses établissements publics des recommandations pour soutenir l'activité de nos entreprises, et tout particulièrement de nos PME, dans la crise sanitaire majeure actuelle. Les principales recommandations sont les suivantes : dialoguer avec les titulaires de nos marchés afin d'identifier conjointement les mesures utiles pour permettre, dans la mesure du possible, la poursuite de l'exécution du contrat ; accorder une prolongation des délais d'exécution aux titulaires des marchés empêchés du fait de l'épidémie d'exécuter le contrat ; renoncer aux pénalités de retard, lorsque celui-ci résulte des mesures de restrictions imposées par le Gouvernement ; mettre en oeuvre toutes les actions nécessaires au respect des délais de paiement des factures et utiliser les facultés liées aux avances et aux acomptes, afin de soutenir les entreprises confrontées à de sérieuses difficultés de trésorerie, en priorité les PME ; ne pas sanctionner par une résiliation certaines inexécutions contractuelles dues à la crise actuelle, la résiliation ne devant être utilisée qu'en dernier recours... >> Lire toutes les recommandations sur le site economie.gouv.fr

Commande publique : les départements franciliens assouplissent les règles

En Seine-Saint-Denis, à l'exception de celles nécessaires à la continuité des services publics, "les entreprises en marché avec nous décident librement de continuer ou non leur activité, au regard des conditions dans lesquelles elles peuvent le faire, et notamment de la sécurité qu'elles peuvent garantir à leurs employés" fait-on savoir à La Tribune. Pour celles qui décident de stopper leur activité, le département dit "suspendre" toute pénalité et "assurer" leur paiement pour ne pas les "fragiliser davantage". Comme le 78, le 91 et le 92, le 93 repousse également les délais de réponse aux appels d'offres en cours "selon des durées qui varient au cas par cas". >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Environnement de travail

Dix astuces pour télétravailler (à peu près) dans la joie et l'harmonie

Cela peut paraître anodin, mais le télétravail s'accompagne naturellement de la disparition de tout le langage paraverbal : votre plaisanterie, tout le monde n'en saisira pas forcément l'ironie par écrit, sans voir vos petits yeux plissés derrière l'écran. Or l'un des principaux risques de la communication textuelle est celui du malentendu. N'hésitez donc jamais à expliciter vos propos, relancer pour obtenir une validation claire, et décorer autant de fois que nécessaire vos messages de smileys ou émojis pour mieux faire passer les messages - tout en manifestant le plus de bienveillance possible. Pour en terminer avec la question de la communication, il convient de faire rapidement connaître à votre manageur les problèmes engendrés par le télétravail. Il ne peut pas tout deviner. >> Lire l'article complet sur le site du Monde


Fleet management

Covid-19 : allongement de 3 mois accordé pour les contrôles techniques

Le Conseil national des professions de l'Automobile (CNPA) représentant aussi les professionnels du contrôle technique a mené d'âpres discussions avec les ministères concernés. L'objectif : obtenir une certaine tolérance vis-à-vis des activités de contrôle technique. Ces négociations ont donc mené à un report de la validité des contrôles techniques de 15 jours pour les poids lourds, et de 3 mois pour les véhicules légers et les véhicules utilitaires. Une décision entérinée par une circulaire diffusée aux préfets mais aussi un arrêté publié dès ce 24 mars au Journal Officiel. "Conformément à l'article R. 323-22 du code de la route, les véhicules légers doivent faire l'objet d'un contrôle technique dans les six mois précédant l'expiration d'un délai de quatre ans à compter de la date de leur première mise en circulation puis tous les deux ans", rappelle la ministre Élisabeth Borne dans un courrier actant ces nouvelles dispositions. Or, en période de confinement lié au Covid-19 et "afin de réduire les déplacements du grand public [ainsi que] l'exposition du personnel de ces centres, une tolérance de trois mois est accordée pour les délais du contrôle technique des véhicules légers." >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprises


Travel management

Le business travel, dévasté par le coronavirus

Les voyages d'affaires ont cessé dans le monde entier. Les entreprises annulent ou suspendent presque tous les voyages d'affaires en raison du coronavirus, quel que soit le pays ou la région. Les membres de la GBTA indiquent que leurs entreprises ont annulé ou suspendu " tous " ou " la plupart " des voyages d'affaires. (...) De nombreuses entreprises membres de la GBTA ont instauré une annulation/suspension générale des voyages d'affaires, quels que soient le lieu, la durée ou le but du voyage. Quatre entreprises sur dix (41 %) déclarent que leur entreprise a annulé ou suspendu tous les voyages d'affaires, tandis que la moitié (53 %) déclarent que leur entreprise a annulé ou suspendu tous les voyages non essentiels mais autorise certains voyages essentiels. >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros


RH / Management / Carrière et autres

Travail, management : "Il y aura un avant et un après confinement"

Avec l'épidémie actuelle de coronavirus et le confinement de la population, certains verrous qui freinaient le développement du télétravail sont levés par la force des choses : la question des outils, les craintes vis-à-vis de la cybersécurité... Quand la crise sanitaire et le confinement prendront fin, il y a fort à parier que nous ne reviendront pas en arrière. Les salariés retourneront au bureau, mais tout le monde sera habitué au travail à distance, qui deviendra la norme. Le Covid-19 a créé un véritable "saut" du télétravail, qui nous fait gagner entre 5 et 10 ans. Après l'épidémie, nous aurons mis en place des méthodes, et les verrous culturels auront également sauté. Les managers qui aimaient garder leurs employés sous les yeux, et qui étaient jusqu'ici réticents, ne pourront plus l'être. Nous nous dirigeons d'ici quelques mois vers un changement radical de culture, plus globalement par rapport à l'espace de travail. L'on assistait déjà récemment à un éclatement de cet espace, le bureau devenant la simple composante d'un ensemble plus vaste, aux côtés du co-working, du travail mobile et du télétravail. Désormais, le bureau devrait avoir un poids beaucoup plus faible. Nous y retournerons, mais il aura moins d'importance. >> Lire l'article complet sur le site de Courrier cadres

Le coronavirus force les managers à devenir de vrais communicants

Le malentendu est le plus fréquent des conflits, et le plus facile à résoudre pour un manager, car il résulte toujours d'une erreur d'interprétation. Le malentendu naît de l'ignorance du point de vue de l'autre. En l'absence d'information claire, nous inventons les détails qui nous manquent et imaginons le pire. Nous attribuons à l'autre des reproches que nous nous faisons déjà à nous-mêmes, ou que nous craignons de subir. Et finalement, cette interprétation biaisée n'est que l'expression de notre propre vulnérabilité. Plus toxiques pour la bonne santé d'un groupe : les non-dits ! Parce qu'ils créent une zone de flou sur les attentes réciproques et les rôles de chacun, ils représentent une source importante d'incompréhension, d'agacement et de conflits. On croit que les choses vont de soi, mais ce n'est pas le cas. L'entreprise, on le sait, est traditionnellement dans cette culture du non-dit. Mais dans un management à distance, ce mal du silence grimpe de manière exponentielle. Et ses conséquences peuvent être désastreuses, allant jusqu'à paralyser les projets ou nuire à l'esprit d'équipe. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle


 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page