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Revue de presse achats - semaine du 23 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 23 septembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats, à la RSE, à la supply chain, etc. Bonne lecture !

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Grande distribution : les propositions de la commission d'enquête

Six mois d'enquête, et un an après l'adoption de la loi Égalim, les députés de la commission d'enquête sur "les pratiques de la grande distribution" avec leurs fournisseurs ont rendu mercredi leur rapport. 40 propositions, avec un seul objectif, mettre fin à "la destruction de valeur" due à la "guerre des prix" et à des "prix prédateurs" de certaines enseignes de la grande distribution. Un rééquilibrage des relations commerciales qui passerait, comme pour la fraude fiscale, par la dénonciation des mauvaises pratiques. (...) Un portail Internet garantissant "l'anonymat des fournisseurs ou des distributeurs dénonçant des pratiques manifestement illégales" serait créé par Bercy.

De même, pour lutter contre des "déréférencements abusifs" les députés prônent une "obligation de signalement à l'administration de déréférencements abusifs pour le fournisseur, à travers un portail Internet qui garantirait l'anonymat de la procédure". (...) La grande distribution, premier employeur privé de France avec ses 800 000 salariés, verrait apparaître - si le gouvernement reprend la proposition - un nouveau délit : "l'abus de position d'achat caractérisée par une relation d'achat particulièrement favorable à l'acheteur" inscrit au code du commerce. Les députés proposent également d'encadrer "la création de centrales d'achat ou de services et d'alliances à l'achat" dès lors que la concentration peut "porter atteinte à la libre concurrence et à l'équilibre des relations commerciales". La commission d'enquête s'est particulièrement intéressée aux centrales d'achats basées à l'étranger, la Belgique pour Leclerc avec Eurelec ou la Suisse pour Carrefour World Trade, qui peuvent s'affranchir de certaines règles françaises tout en négociant pourtant sur le marché français. >> Lire l'article complet sur le site de LCP

Réforme du régime de la rupture brutale des relations commerciales établies

Alors que l'article L.442-6, I, 5° du Code de commerce s'appliquait à "tout producteur, commerçant, industriel ou personne immatriculée au registre du commerce", le champ d'application de la responsabilité pour rupture brutale des relations commerciales établies tel que reformulé à l'article L. 442-1, II a été élargi à "toute personne exerçant une activité de production, de distribution ou de services". Il s'agit de la consécration d'une jurisprudence constante qui avait déjà élargi le champ d'application rationae personae du dispositif. La nouvelle rédaction de l'article L.442-1, II du code de commerce prévoit que le délai de préavis écrit doit tenir "compte notamment de la durée de la relation commerciale, en référence aux usages du commerce ou aux accords interprofessionnels". En ajoutant le terme "notamment", le législateur confirme à droit constant, que la durée de la relation commerciale n'est pas l'unique critère à prendre en compte pour apprécier le caractère raisonnable de la durée de préavis. >>Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Bel dit vouloir créer "un modèle plus juste, plus inclusif pour se doter d'une nouvelle identité"

La relation avec les éleveurs a été profondément revue. Bel les rémunère plus généreusement que les autres industriels laitiers, de 370 à 400 euros la tonne, moyennant des efforts sur l'empreinte carbone, le bien-être animal et le zéro OGM dans la nourriture du bétail. L'offre aux consommateurs aussi a été adaptée. Le groupe crée une nouvelle marque 100 % Bio, le fromage à tartiner, Margot. Il fait un effort sur ses marges pour proposer la boîte de Vache qui rit BIO à moins de 2 euros. Une expérimentation est en cours chez Monoprix. (...) Le portionnable qui a fait la richesse de Bel depuis 1921 y trouvera toute sa place, surtout si, parallèlement, le groupe trouve une solution pour collecter les emballages en aluminium. "Ils seront à 100 % recyclables d'ici à 2025. Nous avons engagé une réflexion avec Nestlé pour en assurer la collecte", précise Antoine Fievet. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


Commande publique

Refonte des CCAG marchés publics, que peut-on en attendre ?

Le droit de la commande publique a longtemps conduit à une approche très juridique de l'achat public conduisant à une contractualisation " à outrance " parfois à sens unique et souvent dans l'intérêt unique de l'acheteur public. La professionnalisation accélérée de l'achat public associée à la montée en puissance d'opérateurs de mutualisation a permis de démontrer tout l'intérêt d'une relation plus équilibrée notamment d'un point de vue performance achat. Une relation que nous pourrions désormais qualifiée de gagnant-gagnant. Dans ce contexte, la réforme entreprise vise, et ce de manière tout à fait pertinente, à introduire davantage de contradictoire dans la prise de décision des acheteurs dans l'exécution des marchés publics. L'exemple pris est notamment celui d'un recours plus important à la mise en demeure avant toute "sanction" administrative ou financière. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

L'État débloque 43 millions d'euros pour des pistes cyclables

Une première série de 111 territoires recevront un financement de l'État pour construire et prolonger des pistes cyclables, dans le cadre d'un appel à projet destiné à encourager la circulation à vélo, a annoncé ce samedi 14 septembre le ministère de la Transition écologique. Quelque 152 projets ont été retenus pour ce premier appel lancé fin 2018, avec à la clé 43,7 millions d'euros de subventions. Cette annonce entre dans le cadre du "plan vélo", détaillé par le gouvernement il y a un an, qui inclut la création d'un fonds de 350 millions d'euros sur sept ans destiné à développer le réseau cyclable: chaque année, 50 millions seront débloqués pour cofinancer avec les collectivités des infrastructures assurant la continuité des pistes. "Avec 275 dossiers déposés par 170 collectivités ou sociétés, le résultat de cet appel à projets confirme l'engagement fort des territoires dans la mise en place d'infrastructures pour le vélo" relève le ministère. Pour les communes il s'agit de résoudre les discontinuités d'itinéraires (franchissements de gares, d'autoroutes, etc.), qui freinent la sécurité et l'usage de ce mode de transport. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Le GHT du Var harmonise son plateau technique de laboratoire

Afin d'optimiser l'organisation de ses laboratoires, le GHT du Var a privilégié la recherche d'équipements communs, capables de faciliter la rationalisation de l'activité à l'échelle territoriale, et a retenu l'offre de la société Roche, titulaire d'un marché du Resah. Un nouveau dossier stratégique qui démontre l'apport d'une fonction achat structurée dans le développement d'une stratégie centrée sur la convergence des pratiques professionnelles et l'optimisation des ressources. Dans la suite logique d'une opération remarquée d'harmonisation des systèmes d'information de laboratoire à l'échelle de son territoire, la direction des achats du GHT du Var poursuit ses actions d'innovation et accompagne ses établissements dans leurs démarches de rationalisation. "Notre ambition, c'est d'optimiser la biologie de territoire, l'une des premières recommandations de la DGOS", explique d'emblée Hervé Signoret, adjoint au directeur des achats du GHT Var (9 établissements avec 5 laboratoires). En septembre 2018, un besoin émerge, celui de renouveler les chaines de traitement automatiques des prélèvements et certains automates de biologie, alors que la date butoir d'accréditation ISO 15189 (norme relative aux exigences de qualité et de compétence obligatoire à laquelle tous les laboratoires de biologie médicale devront être accrédités) approche à grands pas (2020). La direction des achats territoriale saisit l'opportunité d'étudier la possibilité de s'équiper d'une solution modulaire commune pour le pré-analytique et la biochimie-immunoanalyse.>> Lire l'article complet sur le site du Resah

Au Mexique, un "arbre artificiel" utilise des algues pour absorber autant de pollution que 368 arbres

Aujourd'hui, le Mexique est le pays où les pics de pollution sont régulièrement les plus atteints. Afin de réagir au plus vite, la société BioMiTech a choisi de s'inspirer de la nature, en concevant cet arbre, capable de libérer une quantité d'oxygène équivalente à 368 arbres ! Comment ça marche ? Le "BioUrban" va absorber la pollution, grâce à des algues situées à l'intérieur, qui lui permettront de purifier l'air que nous respirons. Cette grande structure métallique, haute de 4 mètres, est réalisée à partir de cylindres empilés ; recréant ainsi le phénomène de photosynthèse d'un véritable arbre. Le premier "BioUrban" a été installé à Puebla, une des principales villes du Mexique. Néanmoins, comptez 50 000 dollars pour chaque arbre artificiel. L'espoir est en marche : les villes de Monterrey et de Mexico vont prochainement s'en équiper. Alors, même si les "BioUrban" ne peuvent pas résoudre le problème à eux seuls, c'est déjà une avancée majeure en terme de nettoyage de l'air. >> Lire l'article complet sur le site de Creapills

Ces entreprises françaises qui ont tiré leur épingle du jeu pour le nouvel aéroport de Pékin

"La compétition a été longue, d'environ trois ans, avec huit concurrents au départ", se souvient le directeur général d'ADP Chine, Jean Yves Coulot. La filiale ingénierie du groupe a remporté le concours pour la conception architecturale, avant d'assister pendant trois ans le bureau de design de Pékin (...). Pour ADP Ingénierie, l'aéroport de Pékin-Daxing est une carte de visite exceptionnelle dans un pays où ces infrastructures poussent comme des champignons : la Chine, qui compte 235 aéroports civils, prévoit d'en avoir 450 d'ici à 2035 ! De quoi faire saliver d'autres acteurs du secteur, également présent à l'aéroport de Pékin-Daxing. Thales a, par exemple, fourni des systèmes de gestion du trafic aérien, tandis qu'Airbus Defense & Aerospace a remporté l'appel d'offres pour les télécommunications sécurisées. Le constructeur français d'engins d'élévation Haulotte a, lui, livré 16 machines tandis que la petite société Acoem s'est fait une place dans la surveillance des nuisances sonores. Enfin, JC Decaux a obtenu une concession de trois ans sur une partie de l'affichage publicitaire, mais sans exclusivité. Les concurrents ? Tous chinois. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RSE

Amazon veut respecter l'Accord de Paris sur le climat

Amazon et Global Optimism ont lancé "The Climate Pledge" (L'engagement climatique), un engagement à respecter l'accord de Paris. "The Climate Pledge" appelle les signataires à réduire leurs émissions de CO2 sur l'ensemble de leurs activités d'ici à 2040, soit une décennie avant l'objectif de 2050 fixés par l'Accord de Paris.(...) "Nous avons décidé d'utiliser notre taille et notre envergure pour faire la différence", a déclaré Jeff Bezos, fondateur et p-dg d'Amazon. "Si une entreprise possédant autant d'infrastructures physiques qu'Amazon, qui fournit plus de 10 milliards d'articles par an, peut respecter l'accord de Paris 10 ans plus tôt, toute entreprise le peut. Je discute avec d'autres dirigeants de sociétés internationales et j'intéresse beaucoup de participer à cette promesse. Les grandes entreprises signant The Climate Pledge enverront un message important au marché: il est temps d'investir dans les produits et services dont les signataires auront besoin pour respecter leurs engagements." "Les mesures audacieuses prises par les grandes entreprises auront un impact considérable sur le développement de nouvelles technologies et industries visant à soutenir une économie sobre en carbone", a déclaré Christiana Figueres, ancienne responsable des changements climatiques à l'ONU et partenaire fondateur de Global Optimism. "Grâce à cette étape, Amazon aide également de nombreuses autres entreprises à accélérer leur propre décarbonisation. Si Amazon peut se fixer de tels objectifs ambitieux et apporter des modifications significatives à son échelle, nous pensons que de nombreuses autres sociétés devraient pouvoir faire de même et accepteront le défi".>> Lire l'article complet sur le site de Electrics Cars Report

Les Français veulent vraiment limiter l'impact de leur consommation

Dans cette prise de conscience globale, les entreprises se retrouvent sur la sellette. Très majoritairement, les personnes interrogées jugent qu'elles incitent à la surconsommation. La mode ou la high tech se trouvent particulièrement dans la ligne de mire. "Le regard se fait aussi plus acéré sur l'offre durable. n'est plus une réponse magique. La plupart des Français jugent que tous les produits ne se valent pas et qu'il vaut mieux acheter des fruits et légumes locaux de saison que du bio venu de loin", relève Stéphane Petitjean. Les signes des évolutions sont déjà dans les paniers des consommateurs. 3W.relevanC, entité du groupe Casino spécialisée dans les données, relève ainsi que 40 % du marché de l'oeuf est désormais bio, qu'un consommateur sur dix opte pour le lait équitable pour les producteurs, que les produits végétariens ont progressé de 23 % en un an à fin juin, que 20 % des foyers achètent des lessives au positionnement écologique ou que les ventes de couches écologiques ont fait un bond de 50 % en un an. Mais si les intentions du côté du public sont là, les habitudes ne se changent pas forcément en un jour. Chez Carrefour, le passage à un emballage en carton pour les tomates bio vendues par lots ne s'est pas encore traduit par une hausse des ventes. Et les acheteurs doivent s'habituer aux durées de vie des légumes comme les concombres ou les brocolis à qui on enlève complètement la protection en plastique. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'entreprise qui voulait changer l'économie... avec des jus de fruits

Avec l'objectif de proposer de réelles alternatives aux produits industriels, Sofia de Meyer repense par exemple la recette de la limonade. "Nous y intégrons 40% de jus de pommes pour valoriser celles-ci, réduire les déchets, et réduire la quantité de sucre ajouté", se félicite-t-elle. Moins de déchets, c'est par exemple utiliser la pulpe des fruits pour la transformer en biogaz. Par ailleurs, toute la ligne de production d'Opaline fonctionne à l'énergie solaire. "J'ai vécu à Londres, pour une entreprise taillée pour le modèle d'économie mondialisée, reposant sur l'optimisation des profits, se souvient-elle. Dans cette quête d'optimisation, on a tendance à standardiser les processus pour atteindre une économie d'échelle. Puis on finit par se standardiser soi-même." Selon elle, c'est l'origine d'une perte de sens généralisée, mais pas que. "On perd conscience de notre rôle, mais aussi de notre lien à la nature. Or ce lien à la nature contient tout ce qu'il faut pour repenser nos modèles économiques", analyse-t-elle. Avec l'idée que dans la nature, chaque organisme vivant a sa place et peut être valorisé, Sofia de Meyer s'assure qu'il en soit de même chez Opaline. La marge est équitable, afin que chaque agriculteur qui participe au projet soit justement rémunéré, et que chaque épicier partenaire puisse vendre un produit qui a du sens. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Le patron de Danone, s'engage pour promouvoir une agriculture alternative

Danone, le géant du chocolat Barry Callebaut, le fabricant de céréales pour le petit-déjeuner Kellog, Mars, McCain Foods, Nestlé, Unilever, mais également des entreprises comme Google, Balbo Group, DSM, Firmenich, Kering, Livelihoods Funds, L'Oréal, Loblaws, Migros Tigaret, Symrise et Yara. Ensemble, elles forment une coalition baptisée "One Planet Business for Biodiversity " (OP2B), qui va collaborer avec World Business Council for Sustainable Development (WBCSD), qui regroupe plus de 200 entreprises dont BP, ExxonMobil ou Shell (...) Les entreprises qui composent cette nouvelle coalition s'engagent à "protéger et restaurer la biodiversité au sein de leurs chaînes d'approvisionnement et de leurs portefeuilles de produits".(...) et à élaborer d'ici juin 2020 "un recueil de solutions pertinentes et dont l'impact est mesurable, qui peuvent être adoptées par les membres de OP2B dans leurs chaînes de valeur". >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Climat, le bilan mitigé du CAC 40

Quelle est la performance des 40 plus grandes entreprises françaises en matière de lutte contre le réchauffement climatique ? Quatre ans après la signature de l'accord de Paris par lequel la communauté internationale s'engageait à maintenir la hausse des températures globales en deçà de 2 °C, et si possible à 1,5 °C, le cabinet conseil EcoAct a cherché à savoir si la stratégie et les pratiques des entreprises du CAC 40 étaient bien alignées sur cette cible. Et une conclusion s'impose d'emblée : " En 2019, ces entreprises sont de plus en plus ambitieuses dans leur engagement en faveur du climat et leurs actions se multiplient, mais les résultats ne sont pas encore à la hauteur des objectifs et de l'urgence climatique ". >> Lire l'article complet sur le site de La Croix


Supply chain

DHL Express augmente ses prix en France aussi

Le 20 septembre, DHL Express a annoncé une hausse de ses tarifs d'en moyenne 4,9 % sur l'ensemble de la gamme de produits à compter du 1er janvier 2020. "DHL Express procède chaque année à une révision de ses prix, en tenant compte de l'inflation, de la dynamique des taux de change et d'autres augmentations de coût, comme les dépenses liées aux nouvelles réglementations en matière de sûreté, dans chacun des 220 pays et territoires que dessert l'entreprise", explique l'expressiste dans un communiqué de presse. En coulisses, cette augmentation vise à permettre au groupe d'investir dans son infrastructure et recourir à des technologies novatrices. Par exemple, pour accompagner la hausse du nombre de colis sur le marché du e-commerce, il a significativement investi dans de nouveaux avions, dans son réseau mondial de hubs et de centres de tri. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Fludis, vers une logistique urbaine décarbonée

Ce projet de logistique urbaine durable se pose en solution aux difficultés rencontrées par les acteurs du transport de marchandises en ville, en proposant ce bateau entrepôt en mesure d'assurer à la fois les étapes de préparation de tournées, d'accueillir les équipes logistiques, ainsi que le transport de 30 vélos-cargos utilisés pour le dernier kilomètre. Lancé en 2016, le programme Fludis doit entrer en service en septembre 2019 entre le port de Gennevilliers et Paris avec 7 tonnes de marchandises à chaque voyage. Le principe est à la fois la massification de l'acheminement et de la sortie de ville grâce au bateau-entrepôt et la livraison ou la collecte en "milk-run", c'est-à-dire une tournée réalisée en boucle avec plusieurs points de déchargement et de chargement, grâce aux vélos-cargo. L'entrepôt flottant Fludis devrait traiter environ 3 000 colis par jour grâce à une surface logistique de 700?m², soit l'équivalent d'une agence classique de 1800 m². Cette solution est adaptée à toutes les villes traversées par un cours d'eau. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo

Incoterms 2020 : "Une nouvelle règle et des innovations au 1er janvier"

"Il y aura également une évolution pour l'incoterm FCA (Free carrier). La version 2020 prévoit une règle FCA avec l'option "Connaissement à bord". Dans cette règle, c'est l'acheteur qui gère toujours le transport mais s'il y a un crédit-documentaire, le vendeur ne peut pas récupérer le document de transport maritime. Dans les Incoterms 2020, il existe donc une innovation avec le connaissement à bord. L'acheteur et le vendeur pourront se mettre d'accord pour que le vendeur puisse obtenir le connaissement. Mais c'est un changement qui sera probablement une source de difficultés.>> Lire l'article complet sur le site de l'Antenne

Pièces détachées et de rechange : les enjeux d'une logistique stratégique

Aujourd'hui, de par sa complexité, sa diversité et ses zones géographiques, la logistique des pièces détachées engendre de forts enjeux sur les stocks. Auparavant disséminées sur le territoire, les zones d'entreposage de pièces détachées se centralisent en un seul point pour réduire les stocks et trouver le juste équilibre entre valeur de stock et service rendu au client : "L'e-commerce a permis de réaliser de tels progrès en matière de rapidité de livraison et de maillage de territoire, que la distribution de pièces détachées est aujourd'hui très différente et plus performante qu'auparavant. En logistique, plus on a de stock, plus on multiplie le risque de ruptures et les problèmes. Mieux vaut donc avoir un seul stock avec une excellente gestion et un maillage important derrière", introduit Éric Sarrat, président de GT Logistics. Généralement pourvoyeuse d'un large panel de références de pièces à faible ou moyenne rotation et susceptible d'évoluer dans un contexte de supply chain mondiales, la logistique des pièces détachées pousse les industriels et les distributeurs à se questionner sur le déploiement optimal des stocks. >> Lire le dossier complet sur le site de VoxLog


Fleet management / Mobilité

Les camions roulant au gaz polluent jusqu'à cinq fois plus que les diesels

Mais une étude, publiée jeudi 19 septembre, écorne sérieusement l'image du GNL "propre". Menée par l'ONG européenne Transport & Environment (T & E), elle montre non seulement que les camions roulant au GNL ne font pas mieux que les diesels en matière d'émissions de GES, mais qu'ils rejettent aussi davantage de gaz toxiques. T & E s'est procuré les essais sur route réalisés par l'organisme de recherche indépendant TNO à la demande du gouvernement néerlandais pour comparer les émissions provenant de camions circulant au GNL et au diesel. Six modèles diesel Euro VI (la norme la plus récente) fabriqués en 2013 et trois GNL Euro VI conçus en 2017 (de la marque Scania et Iveco) et 2018 (Volvo) ont été éprouvés dans des conditions de conduite en ville, sur nationale et sur autoroute. Conclusion ? Les camions carburant au GNL recrachent jusqu'à cinq fois plus d'oxydes d'azote (NOx), gaz très toxique rendu célèbre par le "dieselgate", que le diesel le moins polluant. Le même écart est constaté avec l'utilisation de biométhane, également appelé biogaz ou biocarburant, dont le gouvernement français soutient la production. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Loi montagne et pneus hiver : le décret ne sera pas publié cette année

La Sécurité routière a démenti une rumeur selon laquelle "les pneus hiver seront obligatoires dans 48 départements à partir du 1er novembre 2019 et jusqu'au 31 mars sous peine de contravention." La rumeur fait référence à l'article 27 de la loi n° 2016-1888 du 28 décembre 2016 de modernisation, de développement et de protection des territoires de montagne (dire loi montagne II) qui a créé un nouvel article au Code de la route. Celui-ci doit en effet permettre aux préfets de plusieurs massifs montagneux français de rendre obligatoires les équipements spéciaux (pneus hiver, pneus quatre-saisons, chaînes ou chaussettes) pour les VL et VUL, dans les communes de leur choix et sur la totalité d'une période allant du 1er novembre au 31 mars. Cependant, le décret précisant les modalités d'application de cet article, qui était attendu au 1er semestre 2019, n'est toujours pas paru. La Sécurité routière vient donc de confirmer qu' "aucune obligation nouvelle n'entrera en vigueur cet hiver sur ce sujet." Elle rappelle toutefois que "la réglementation prévoit qu'un équipement spécifique des véhicules type chaînes est obligatoire sur les routes où est implanté le panneau "B 26", et lorsque les routes sont enneigées." >> Lire l'article complet sur le site Flottes Automobiles

Les entreprises sont invitées à "verdir" un peu plus les déplacements professionnels

La loi prévoit la mise en place - facultative - par les employeurs d'un "forfait mobilité" de 400 euros au maximum pour inciter les salariés à opter pour le vélo, l'autopartage ou le covoiturage. Les flottes d'entreprise devront aussi comporter une part de véhicules dits "à faible émission" d'au moins 20 % d'ici à 2021. Surtout, la LOM obligera toutes les entreprises de plus de cinquante salariés à inclure des mesures concernant la mobilité dans leurs négociations annuelles obligatoires (NAO). Un pas de plus par rapport à la loi pour la transition énergétique de 2015, qui obligeait les entreprises de plus de 100 salariés à mettre en place un plan de mobilité dès 2018 pour favoriser les usages alternatifs à la voiture individuelle. Néanmoins, seulement 8 % des entreprises assujetties étaient en conformité avec la loi en janvier 2019, selon l'Ademe. La plupart du temps, la mise en place d'un plan de mobilité est vécue comme une contrainte : "Les entreprises renvoient souvent la balle aux collectivités en pointant des problèmes d'accessibilité, comme l'absence de pistes cyclables sécurisées", regrette Jean-Christophe Giannesini, directeur associé de la société de conseil Ekodev. >> Lire l'article complet sur le site du Monde


Environnement de travail

Poste de travail : Quand plus rien ne dépasse

Quid des bureaux sur lesquels rien de dépasse ? "Cela traduit tout de même que les salariés ne sont pas maîtres chez eux. Ces espaces de travail rappellent qu'ils sont à la disposition de l'entreprise", révèle Danièle Linhart. (...) Alors que certains spécialistes crient à l'efficacité d'un bureau rangé sur la productivité, Danièle Linhart nuance : "Pour être efficace, il faut être dans sa zone de confort, se sentir chez soi et ne pas être inquiété. Je dirais que la productivité est plus coûteuse psychologiquement de la part des salariés. C'est plutôt stressant de se dire qu'on ne sera pas au bon endroit." Pas facile de s'approprier l'espace quand tout doit être dépersonnalisé justement. >> Lire l'article complet sur le site de CourrierCadres

Doc & IT

Le suisse Glencore Agriculture veut moderniser son négoce agricole grâce à la blockchain

Le géant suisse du négoce agricole Glencore Agriculture ne compte pas rester en marge des nouvelles dynamiques en cours dans le négoce mondial. Le groupe envisage en effet de moderniser ses activités grâce à la blockchain qui offre un fort potentiel de transparence et de sécurité dans la chaîne logistique. (...) Selon Bloomberg, le groupe envisage d'utiliser ladite technologie dès le second trimestre 2020 sous réserve de l'approbation des autorités réglementaires. Il compte en outre, lancer prochainement un essai couvrant la livraison internationale de cargaisons de soja du Brésil à la Chine et finalise actuellement la sélection des fournisseurs de solutions technologiques. >> Lire l'article complet sur le site de Agenceecofin



RH / Management / Carrière

Dans les grands groupes, l'IA prend en main la gestion RH

D'après une étude réalisée en France par le cabinet de recrutement Robert Walters, l'IA est synonyme de gain de temps pour 39% des candidats et 41% des recruteurs. Pour autant, seuls 14% des recruteurs sondés affirment recourir à des outils de sourcing à base d'intelligence artificielle. "Cette pratique se développe principalement dans les grands groupes qui font face des volumes importants de demandes d'emploi", constate Coralie Rachet, directrice France Robert Walters." Parmi les early adopter de cette approche, on retrouve au premier chef des acteurs du consulting et des services aux organisations. Des prestataires pour lesquelles identifier rapidement des compétences représentent un enjeu stratégique. Le cabinet Mazars, l'un des grands noms français de l'audit, de l'expertise comptable et du conseil aux entreprises, est de ceux-là. De stature internationale, il réalise environ un millier de recrutements chaque année. En vue d'optimiser sa relation candidats, il s'est équipé d'un chatbot. >> Lire l'article complet sur le site du Journal du Net


 
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