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Revue de presse achats - semaine du 16 décembre

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Revue de presse achats - semaine du 16 décembre

Cette revue de presse achats est la dernière de l'année 2019. Nous reprendrons début janvier 2020. En attendant, toute la rédaction de Décision Achats vous souhaite de très heureuses fêtes de fin d'année... loin du travail!!

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Boeing 737 Max : une catastrophe industrielle inédite

L'arrêt, même temporaire, de la production est une catastrophe industrielle inédite aux impacts mondiaux. L'arrêt ne sera toutefois pas brutal mais progressif pour écouler une grande partie des sous-ensembles déjà réalisés. Cela affectera les lignes d'assemblages de Renton entièrement réservées aux seuls B737. Quelque 12 000 salariés travaillent dans cette usine, sans compter les nombreux sous-traitants à proximité. D'autres sites sont touchés aux États-Unis comme l'usine de Spirit AeroSystems à Whichita qui livre, entre autres, les fuselages du B737. Ceux-ci traversent la moitié des États-Unis en train du Kansas à l'État de Washington. Les deux moteurs CFM-Leap 1B qui représentent au moins un quart de la valeur de l'avion sont coproduits exclusivement par l'américain General Electric et le français Safran Aircraft Engines. Ce dernier est en charge de la soufflante, du corps basse pression ainsi que de la tuyère d'éjection des gaz. Une ligne d'assemblage fonctionne à Melun-Villaroche, près de Paris. Si le moteur Leap du B737 Max fait appel aux mêmes technologies que celui de l'Airbus 320neo, un report de production n'est pas possible, le diamètre des deux moteurs n'étant pas le même et les pièces donc différentes. L'impact pour Safran pourrait atteindre 800 millions d'euros en 2019. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Concurrence : le cartel de la compote et celui des émetteurs de titres restaurant, sanctionnés

L'Autorité de la concurrence a infligé 414,7 millions d'euros d'amende pour entente aux quatre émetteurs historiques de titres restaurant que sont Edenred (Ticket Restaurant), Sodexo Pass France (Chèque Restaurant), UP (Chèque Déjeuner) et Natixis Intertitres (Chèque de Table). Il leur est reproché deux types de pratiques d'entente, l'une leur permettant de se partager le marché, l'autre de le verrouiller. (..) L'Autorité de la concurrence a par ailleurs sanctionné les principaux fabricants de compote à hauteur de 58,3 millions d'euros "pour entente sur les prix et répartition de marché". L'amende concerne six industriels - Andros, Materne, Charles Faraud/Charles & Alice, Conserves France (Saint Mamet), Valade et Délis/Vergers de Châteaubourg (groupe Lactalis) -, le septième participant, Coroos, ayant bénéficié de l'exonération pécuniaire de la procédure de clémence. Les acteurs auraient décidé, à partir de 2010, d' "augmenter les prix de vente des compotes" de manière coordonnée, de s'accorder "sur un discours commun justifiant ces hausses de prix" et "de se répartir les volumes et les clients", justifiant ce dispositif "par une conjoncture peu favorable, due à l'augmentation du coût des matières premières et des emballages, et à la pression croissante exercée par les acheteurs" de la grande distribution et de la restauration. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

CPO Survey France 2019 - La digitalisation des directions achats

Pour atteindre leurs objectifs, 40% de directions achats mettent en place en 2019 des stratégies centrées sur l'intensification de la collaboration fournisseurs. Ceci représente une rupture avec l'année passée où la consolidation de la dépense et la mise en concurrence étaient les stratégies privilégiées. Pour améliorer le niveau d'innovation, 72% des directeurs achats veulent créer des relations de confiance avec les fournisseurs. À cette fin, l'identification de partenaires stratégiques est une priorité pour 56% des directions des achats. La recherche d'efficacité incite les directeurs achats à se tourner davantage vers le digital. De plus en plus de directeurs achats pensent qu'une stratégie digitale les aide à atteindre leurs objectifs et à créer de la valeur pour l'entreprise: 28% en sont convaincus en 2019 contre seulement 7% l'année dernière. 60% des directions achats ayant une stratégie digitale voient comment celle-ci impactera les processus spécifiques dans lesquels des technologies seront déployées mais seulement 30% ont une vision globale sur le modèle opératoire cible. >> Lire l'article complet sur le site de Deloitte

Pour Alstom, le Père Noël est australien

Entre l'Australie, l'Europe et la France, Alstom vient de gagner plusieurs contrats qui vont encore garnir sa hotte de commandes qui s'élevaient déjà sur le dernier exercice 2018-19 à 12,1 milliards d'euros pour un chiffre d'affaires de 8,1 milliards d'euros. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

La couture, dernière étape vers l'industrie textile 4 .0 ?

A l'heure de l'industrie 4.0, le remplacement de l'opérateur par un robot deviendra sans doute réalité dans l'usine du futur, et ce pour un grand nombre d'étapes de fabrication d'un produit. Ainsi, à pas feutrés, se prépare doucement une petite révolution dans le monde du textile habillement : l'automatisation complète de l'étape de la couture à l'échelle industrielle. Car si aujourd'hui des robots de couture existent et fonctionnent chez les fournisseurs de grandes marques comme Zara ou The North Face, l'étape est souvent semi-automatique et nécessite souvent l'intervention d'un opérateur. >> Lire l'article complet sur le site de Mode in Textile

Matières premières

Sucre: deuxième année de pertes pour les betteraviers français

Les betteraviers français sont à nouveau dans le rouge en 2019. Avec des cours mondiaux du sucre qui ont plongé à 300 euros la tonne en Europe, les surfaces ont reculé de 7%. Les rendements ont en outre été faibles, du fait de la sécheresse ou, inversement, des pluies trop abondantes. Les betteraviers devraient produire encore moins de sucre cette année, 5 millions de tonnes. Dans le même temps les coûts de production ont augmenté, avec le remplacement des néonicotinoïdes interdits en France, par des insecticides moins efficaces et plus chers... À l'arrivée les planteurs perdent 300 à 500 euros à l'hectare. Avec la fermeture annoncée de quatre sucreries sur le territoire français, 1 500 betteraviers n'ont plus de débouché et doivent abandonner cette culture. Alors que l'Europe est devenue importatrice nette de sucre. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

Pas de cadeau de Noël dans la filière cacao

L'industrie du chocolat n'est pas prête à faire de cadeau de Noël aux pays producteurs en cette fin d'année. Les acheteurs de fèves négocient au contraire des concessions de la part de la Côte d'Ivoire et du Ghana. Ils aimeraient que les deux principaux fournisseurs mondiaux acceptent de baisser de nouveau la prime d'origine de leur cacao. Sans succès pour le moment, selon un trader. Les géants du chocolat et les négociants tentent de récupérer au moins en partie d'une main ce qu'ils ont donné de l'autre aux deux géants du cacao. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

L'Indonésie dépose une plainte qui concerne l'huile de palme à l'OMC, alors que les tensions avec l'UE s'intensifient

L'UE a déposé une plainte auprès de l'OMC fin novembre au sujet des restrictions indonésiennes sur les exportations de minerai de nickel et a frappé le biodiesel indonésien avec des tarifs la semaine dernière. Les deux cherchent entre-temps à forger un accord de libre-échange. La Commission européenne a conclu cette année que la culture de l'huile de palme entraîne une déforestation excessive et ne devrait pas compter dans les objectifs d'énergies renouvelables. Il en résulte que le diesel à base d'huile de palme ne serait pas considéré comme un biocarburant et que son utilisation dans le carburant de transport serait effectivement supprimée entre 2023 et 2030. L'Indonésie, le plus grand producteur mondial d'huile de palme, a déclaré à plusieurs reprises qu'elle contesterait la directive de l'UE sur les énergies renouvelables devant l'organe de règlement des différends de l'OMC. >> Lire l'article complet sur le site de Reuters

RSE

Apple et Google nommés dans le procès américain concernant la mort de mineurs congolais de mines de cobalt

Une enquête judiciaire historique a été lancée contre les plus grandes entreprises technologiques du monde par des familles congolaises qui disent que leurs enfants ont été tués ou mutilés lors de l'extraction de cobalt utilisé pour alimenter les smartphones, les ordinateurs portables et les voitures électriques, révèle le Guardian. Apple, Google, Dell, Microsoft et Tesla ont été mis en cause dans une action en justice déposée à Washington DC par le cabinet de défense des droits humains International Rights Advocates au nom de 14 parents et enfants de la République démocratique du Congo (RDC). Le procès accuse les entreprises d'avoir aidé et encouragé la mort et les blessures graves d'enfants qui, selon eux, travaillaient dans les mines de cobalt de leur chaîne d'approvisionnement. Les familles et les enfants blessés demandent des dommages-intérêts pour travaux forcés et une indemnisation supplémentaire pour enrichissement sans cause, surveillance négligente, etc.. C'est la première fois que l'une des entreprises technologiques est confrontée à un tel défi juridique. Le cobalt est essentiel pour alimenter les batteries au lithium rechargeables utilisées dans des millions de produits vendus par Apple, Google, Dell, Microsoft et Tesla chaque année. >> Lire l'article complet sur le site de The Guardian

Achats durables - Comment ils deviennent une priorité en termes d'approvisionnement

EcoVadis (qui fournit des notes de durabilité et des outils d'amélioration des performances pour les chaînes d'approvisionnement mondiales) a publié son rapport biennal intitulé "Sustainable Procurement Barometer", qui présente les résultats de son étude conjointe avec le NYU Stern Center for Sustainable Business. L'étude 2019 analyse les données de 210 organisations d'achat dans toutes les industries du monde sur la façon dont la durabilité évolue en tant que priorité d'approvisionnement pour elles et les outils et processus qu'elles utilisent pour générer des améliorations tangibles (ce qui est supérieur aux données analysées dans l'étude précédente de 120 professionnels de la chaîne d'approvisionnement). Les résultats sont à nouveau complétés par une étude indépendante auprès de 399 fournisseurs. L'enquête de cette année a inclus plus d'entreprises "plus petites" qu'auparavant (auparavant, les entreprises investissaient massivement pour assurer la durabilité et les rendements importants étaient les Fortune 500) et les entreprises qui sont beaucoup moins matures dans leurs pratiques d'approvisionnement durable. Il est donc intéressant de voir que dans ce qui semble être un test plus large, l'engagement envers les achats durables a augmenté chez la grande majorité des organisations d'achat (81%), montrant une prise de conscience et une volonté croissantes de faire quelque chose. >> Lire l'article complet sur le site de SpendMatters

Trois solutions pour passer à l'économie circulaire

Selon des sources de l'Union européenne, "la moitié" des réductions d'émissions de carbone attendues dans le cadre du "Green deal" sera engendrée par le nouveau plan d'action pour l'économie circulaire. On l'attend pour mars 2020. D'ici là, la France peut déjà compter sur plusieurs initiatives repérées au Circular Challenge de Citeo 2019 qui lui permettront peut-être de devenir le premier pays européen "zéro carbone" - Qui a dit que les PME anciennes pouvaient difficilement innover ? L'imprimerie Malengé, créée en 1908, pourrait bien nous permettre de dire adieu au plastique non recyclable. Son invention ? Malengé Packaging a développé un emballage 100 % recyclable en papier, sans film plastique et sans aluminium. Destiné aux secteurs de la cosmétique, de l'alimentaire ou encore de la jardinerie, cet emballage a l'avantage d'être 15 à 40 % plus léger qu'un autre emballage avec un bilan carbone réduit de 15 à 60 %. Il se dit que tout serait parti d'une demande d'un client qui regrettait d'emballer ses produits bio avec de l'aluminium qui finira par être enfoui. Malengé Packaging a bien fait d'y répondre puisque l'entreprise a remporté le Grand Prix Innovation de Circular Challenge de Citeo. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

4 marques de mode françaises qui font du recyclage autrement

Elles sont petites mais ça ne les empêche pas d'être ingénieuses. Ces 4 marques françaises inventent de nouveaux modèles pour être éco-responsables, à leur façon. Elles font des bijoux, des t-shirts, des chemises... Oui mais pas que. Dans une démarche d'éco-responsabilité, ces marques françaises ajoutent une - ou plusieurs cordes - à leur arc pour proposer de nouveaux produits ou services. Objectif : recycler, réutiliser et surtout ne rien gâcher. (...) À l'origine, Hast propose des chemises pour homme "haut de gamme à prix honnêtes, directement des ateliers aux vestiaires". Dès sa création en 2012, la marque avait à coeur de proposer des produits responsables. Mais on ne fabrique pas de vêtements sans faire de chutes. Et plutôt que de les jeter, Hast a eu l'idée de les réemployer. La marque s'est donc lancée dans la production de caleçons entièrement issus des chutes de tissus des chemises. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Face aux scandales à répétition, Uber doit muscler sa RSE pour éviter la sortie de route

La montée des risques ESG (environnement, social et gouvernance) commence pourtant à se matérialiser via leurs impacts réglementaires, judiciaires ou réputationnels. "Les investisseurs responsables se sont exclus d'eux-mêmes. Ceux qui ont investi malgré tout sont certainement les moins sensibles à ce type d'arguments, avance Frédéric Fréry. "La question selon moi est jusqu'où accepteront-ils ce non-sens économique ?" >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Supply chain

La période de Noël donne du fil à retordre aux transporteurs

Bien sûr, les expressistes, messagers et autres acteurs du dernier kilomètre, ainsi que les transporteurs chargés de livrer les plateformes de distribution ont anticipé avec leurs clients ces semaines de surchauffe. Se pose néanmoins la question de la grève illimitée qui va jouer les trouble-fête. "Ce mouvement va avoir des répercussions sur les conditions de circulation car ceux qui travaillent voudront se déplacer en voiture", soulève Augustin Gueldry, consultant en logistique chez Colicoach, un cabinet de conseil en transport et logistique. Autre conséquence de cette grève, les consommateurs se sont concentrés sur leurs problèmes du quotidien et ont reporté leurs achats de Noël. "Ce report vaugmente davantage la pression sur les transporteurs, qui devront peut-être composer aussi avec les phénomènes climatiques", prévient le consultant. Nombre d'entre eux ont anticipé cette période de surchauffe en collaboration avec leurs donneurs d'ordres.>> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Logistique : le digital réorganise les flux

Le chantier prioritaire, c'est la data. Ingrédient de base, cette donnée doit circuler entre les partenaires de la chaîne (fournisseurs, transporteurs, entreposeurs, clients). Vient ensuite le End2end planning (synchronisation des flux), la traçabilité de ces données, le RPA (Robotic Process Automation, des programmes qui effectuent les tâches répétitives à la place des opérateurs) et la gestion de la relation client. Qui dit data dit IA (intelligence artificielle). Un ensemble de techniques qui commence juste à gagner cet univers de la logistique avec 12 % des entreprises qui déclarent posséder des capacités d'IA opérationnelles. "Le domaine de prédilection de l'IA, c'est l'anticipation des flux. Mais il faut posséder de la data fiable, qu'elle soit interne ou issue d'autres sources", précise William Zanotti. Les API (interfaces de programmation), qui facilitent les échanges de données avec les fournisseurs, séduisent 46 % des sociétés qui ont répondu à l'étude de l'Aslog, et près de la moitié des répondants réfléchissent à un projet blockchain (système de certification décentralisé). >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

La Supply Chain est morte, vive la Smart Supply

Parlons Smart City, Smart Building, Smart Vehicule, Smart Energy. Le "Smart" permet la création d'interactions entre les différents écosystèmes. La Supply Chain déjà transversale par nature, puis intégrée à d'autres écosystèmes dits "Smart", va mécaniquement permettre la connexion entre les écosystèmes de la ville, du bâtiment, des véhicules et des énergies. C'est la fin de la Supply Chain en autarcie et la naissance des échanges métiers, de la data intersectorielle. La Smart Supply est une Supply Chain connectée qui permettra demain, une meilleure efficacité de la chaine de valeur. Imaginez donc des bâtiments connectés, des connexions avec les entreprises de transport et une meilleure communication avec les villes pour optimiser les approvisionnements. >> Lire l'article complet sur le site de Hub Institute

Pics d'activité en logistique : quelles solutions pour des flux décuplés ?

L'intégration de nouvelles équipes n'est pas la seule stratégie utilisée par les logisticiens pour répondre aux variations de leurs activités. Pour certains, il s'agit également de mettre en place de meilleures conditions de flexibilité. Chez Staci, cela réside dans la mutualisation des activités au sein d'entrepôts multisecteurs. "Cela nous permet d'éviter d'avoir sur un même site des acteurs ayant des saisonnalités similaires. Au contraire, en travaillant sur plusieurs segments, nous compensons les pics des uns avec les périodes plus calmes des autres. Cet équilibrage est permis par la mutualisation de notre système d'information mais aussi grâce à la polyvalence de nos équipes", explique Thomas Mortier. Pour cela, Staci s'appuie sur des clusters de plusieurs entrepôts, permettant de délocaliser temporairement ses activités d'un site voisin à l'autre. Pour permettre cette flexibilité organisationnelle, l'entreprise s'est équipée d'une solution de business intelligence, Qlik Sense, qui "centralise l'ensemble des flux et donne une vision à la fois globale et de chaque site. Une tour de contrôle qui nous permet de mettre en place l'ordonnancement, grâce aux prévisions et à notre connaissance des clients. Nous avons aussi des remontées des taux d'occupation pour réallouer nos surfaces d'une mission à l'autre en fonction des besoins", détaille Thomas Mortier. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Les navires CMA CGM navigueront avec du biofuel Shell

Après avoir signé avec Total pour la fourniture de GNL destiné à la propulsion de ses futurs porte-conteneurs de 15 000 EVP, c'est avec Shell que l'armateur vient de conclure un partenariat, cette fois pour plusieurs dizaines de milliers de tonnes de biocarburant marin de seconde génération. Ce combustible a la particularité d'ëtre composé à 80 % de carburant à faible teneur en soufre et à 20 % d'un biofuel à base d'huiles de cuisson recyclées. Son utilisation permet une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 80 % et d'éliminer en grosse partie les émissions d'oxydes de soufre. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Commande publique

Diminution de 4% du coût des achats publics de l'Etat

Annoncé le 20 juin 2019 par le gouvernement, le processus de réduction d'au minimum 1 milliard d'euros d'achats publics d'ici la fin 2022 est lancé, et doit avancer à grands pas. En moins de 6 mois, la Direction des achats de l'État (DAE) doit élaborer et démarrer ce plan d'économies budgétaires, accompagné par un cabinet conseil, bientôt désigné, pour un montant d'environ 35/40 millions d'euros. Après une hausse de plus de 10% en valeur des contrats de travaux publics, notamment grâce au Grand Paris Express et à Paris 2024; l'objectif désormais est de réaliser plus de 4% d'économies sur 24 milliard d'achats publics répartis en 10 domaines, l'immobilier (incluant les baux) et les travaux d'infrastructures représentant le premier poste avec 42%. Par ailleurs, les 30 principaux fournisseurs représentent 29% de ces dépenses. Or, la tendance du montant total des commandes de l'État et de ses opérateurs est en progression de près de 20%. >> Lire l'article complet sur le site de J360 info

Un refus de paiement de factures n'est pas synonyme d'un différend entre acheteur et titulaire

Selon le Conseil d'État, l'apparition d'un différend entre le titulaire du marché et l'acheteur, résulte, en principe, d'une prise de position écrite, explicite et non équivoque émanant de l'acheteur et faisant apparaître le désaccord. Elle peut également résulter du silence gardé par l'acheteur à la suite d'une mise en demeure adressée par le titulaire du marché l'invitant à prendre position sur le désaccord dans un certain délai. En revanche, en l'absence d'une telle mise en demeure, la seule circonstance qu'une personne publique ne s'acquitte pas, en temps utile, des factures qui lui sont adressées, sans refuser explicitement de les honorer, ne suffit pas à caractériser l'existence d'un différend au sens des stipulations du CCAG. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Paiement direct du sous-traitant et dépassement du plafond : la responsabilité de l'acheteur peut être engagée

Selon le Conseil d'État, il incombe au maître d'ouvrage, lorsqu'il a connaissance de l'exécution, par le sous-traitant, de prestations excédant celles prévues par l'acte spécial et conduisant au dépassement du montant maximum des sommes à lui verser par paiement direct, de mettre en demeure le titulaire du marché ou le sous-traitant de prendre toute mesure utile pour mettre fin à cette situation ou pour la régulariser. Dans ce cas, il appartient au titulaire du marché de solliciter la modification de l'exemplaire unique ou du certificat de cessibilité et celle de l'acte spécial afin de tenir compte d'une nouvelle répartition des prestations avec le sous-traitant. >> Lire l'article complet sur le site de Weka


IT

Adoption de l'IA dans les opérations industrielles : l'Europe en tête selon une étude de Capgemini...

51% des plus grands groupes industriels mondiaux implantés en Europe mettent en oeuvre au moins un cas d'usage de l'IA. L'analyse de 22 cas d'usage révèle que la maintenance intelligente, le contrôle qualité des produits et la planification de la demande sont les trois principaux usages qui permettent aux industriels de se lancer dans l'aventure de l'IA. (...) L'étude montre que l'IA offre un potentiel significatif pour les industriels en termes de réduction des coûts d'exploitation, d'augmentation de la productivité et d'amélioration de la qualité. Toujours d'après cette étude, les grands fabricants mondiaux basés en Allemagne (69%), en France (47%) et au Royaume-Uni (33%) sont les chefs de file en matière de déploiement de l'IA dans leurs activités de production. >> Lire l'article complet sur le site de Actu IA

... Les entreprises peinent à déployer efficacement les modèles d'IA

Si l'étude fait part des réductions de coût attribuées aux algorithmes ML, un aspect est laissé de côté toutefois. Le machine learning peut en effet être très séduisant, l'automatisation permet d'obtenir des retours plus facilement, et la fidélisation de la clientèle passe en réalité par un ensemble de données propre à chacun, traités par les systèmes mis en place, alors capables de proposer des ajustements aux clients, et quelques offres au passage. Néanmoins, il semblerait que machine learning, IA et chatbots confondus, soient encore un peu faibles pour permettre, non pas la fidélisation, mais la satisfaction de la clientèle. Aussi dans le secteur de l'après-vente, les algorithmes ne suffisent pas, et les clients ne voient encore leur problèmes se résoudre qu'après l'intervention d'une personne spécialisée. Enfin, si la pénurie du personnel est évoquée, il convient donc de prendre le problème au sérieux. Ainsi quand des gouvernements, la France en premier, souhaitent investir dans des startups dites spécialisées dans ce secteur, prétendant même attendre en retour le développement de plusieurs licornes, il conviendrait d'investir en parallèle dans la formation à ces métiers. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

Fleet management

Un aspirateur de poussière de frein pour réduire la pollution !

Le système a donc été mis au point par le fondateur de la start-up Tallano qui fait des recherches sur le sujet depuis 2012. L'objectif est de réduire cette source de pollution. On apprend en effet dans la présentation du produit que les émissions de particules fines dues au freinage sont 6 fois plus élevées que celles liées aux émissions des pots catalytiques d'échappement. Ce qui est considérable ! L'aspirateur fonctionne de façon très classique et le sac devra être vidé tous les 30 000 kilomètres environ. Ce dispositif permettrait d'aspirer 85 % des particules fines émises par les freins d'une voiture. Actuellement, le test est également réalisé sur certaines rames de RER à Paris. Les résultats sont attendus en 2020. >> Lire l'article complet sur le site de Hellobiz

Le "supermalus" anti-SUV de 20.000 euros est bien sur des rails

Jusqu'ici plafonnée à 12.500 euros au-delà d'un niveau d'émission de 172 grammes, la pénalité sur les achats de voitures polluantes ira jusqu'à 20.000 euros, pour les modèles émettant plus de 184 grammes de CO2 par kilomètre. Entre ces deux bornes, le malus augmentera progressivement. "Je ne vois pas pourquoi le malus automobile serait progressif jusqu'à 172 grammes, et serait ensuite plafonné", a justifié le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, dans l'hémicycle. Le nouveau barème sera voté dans le cadre d'un amendement au projet de loi de finances, dont l'examen s'achève jeudi à l'Assemblée nationale. Son adoption s'inscrit dans la continuité des annonces début décembre concernant un plan de soutien à l'industrie automobile , inquiète des répercussions de l'évolution réglementaire. Bruno Le Maire a confirmé que le montant des recettes de ce "supermalus" était estimé à 50 millions d'euros. Cette somme devrait financer un fonds pour la transformation écologique et un autre fonds dédié à soutenir la trésorerie des sous-traitants de la filière. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le bonus pour les voitures électriques réduit en 2021 et 2022

Pénalisées par leur onéreuse batterie lithium-ion, les voitures 100 % électriques restent encore beaucoup plus chères que leurs homologues thermiques. Un handicap d'autant plus criant qu'elles ne peuvent proposer la même polyvalence, avec leur autonomie inférieure et leur recharge plus complexe. Alors, pour les aider à percer, l'Etat leur offre un bonus très généreux, qui a très peu changé ces dernières années : 27 % du prix, avec un plafond fixé à 6 000 €... qui est atteint par la quasi-totalité du marché, hormis les très abordables Skoda Citigo e iV et et Seat Mii Electric. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Magazine


Management / Carrière ... et autres!

Les 9 caractéristiques des personnes qui évoluent (plus vite, plus haut et plus fort que les autres)

Il est crucial de bien comprendre que la performance brute n'est pas le seul critère qui commande (qui devrait commander...) le fait qu'une personne va gravir les échelons dans la boite ! Aujourd'hui, de nombreuses études en psychologie ont mis en évidence l'importance capitale de "l'attitude" que les individus adoptent au quotidien dans leur succès personnel et professionnel. Voici les 9 attitudes qui permettent à certaines personnes de se hisser au sommet (si vous êtes le/la boss, traquez donc ces attitudes chez vos collaborateur/trices pour identifier celles et ceux que vous devez faire évoluer...) : #1 - Elles sont humbles, pas arrogantes. #2 - Elles cherchent à servir avant d'être servies. #4 - Elles ne passent pas tout le temps à planifier. #5 - Elles n'arrêtent jamais de penser. #6 - Elles sont volontaires, elles se bougent avant les autres. #7 - Elles évoluent en pleine concience. #8 - Elles bossent leur souplesse #9 - Elles partagent avec les autres. >> Lire l'article complet sur le site de HR Voice

Mieux communiquer au bureau : ce qu'il faut faire

L'analyse des interactions humaines dans les organisations, qu'elles soient verbales ou non, permet d'identifier des phénomènes de leadership, d'influence et de réseaux, formels ou informels. "Sans oublier qu'une bonne communication est un facteur important de performance de l'entreprise", complète Thierry Lannoy, coach professionnel, fondateur de TL Consult. A l'heure triomphante des "soft skills", la capacité à échanger, en réunion de groupe ou en entretien individuel, avec ses pairs, des collaborateurs ou ses supérieurs hiérarchiques est perçue comme une ressource fondamentale . Communiquer n'est cependant pas si naturel qu'il y paraît. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La tech nous force à inventer de nouvelles règles de politesse pour communiquer

Au bureau, les règles de politesse sont intimement liées à l'usage des mails. Et il y a certains faux-pas à ne pas commettre. Journaliste pour Wired, Victoria Turk a même écrit Kill All Reply, un manuel de savoir-vivre digital en entreprise. Ses meilleurs conseils : ne jamais mettre le boss de quelqu'un en CC, éviter d'écrire URGENT dans un objet de mail alors que le sujet ne l'est pas, et arrêter de conclure par "merci d'avance". (...) Pour les mails pro, la signature fait débat. En ce qui concerne la messagerie instantanée, elle est tout bonnement obsolète. À chaque message, la photo et le nom de l'expéditeur s'affiche. Plus rapide et efficace. Et c'est ce qui caractérise la communication d'aujourd'hui : la simplicité. On se déleste des formules de politesse pour aller à l'essentiel. Sur Messenger, on peut même se contenter de répondre avec un simple pouce bleu. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


 
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