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Revue de presse achats - Semaine du 4 novembre

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Revue de presse achats - Semaine du 4 novembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats et au management. A vous, quoi :-). Bonne lecture!

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Entre acheteurs et consultants, des relations en voie d'apaisement

Surtout, le passage par le service achats, devenu obligatoire dans 61 % des cas, selon les consultants, est aujourd'hui vécu plus positivement, grâce à un professionnalisme qui, de part et d'autre, se maintient, voire s'améliore, à en croire plus de 90 % des professionnels interrogés. "La tension est tout de même moins forte que par le passé. Les acheteurs sont intelligents et le passage par les achats est ressenti moins négativement qu'auparavant", abonde un dirigeant d'une société de conseil.Dans une relation qui est encore loin d'être idyllique, subsiste malgré tout quelques points de divergence et/ou de friction. "Pour les acheteurs, le principal levier d'évolution positive des relations acheteurs/consultants est à rechercher du côté de l'amélioration de la compréhension mutuelle (33 %), tandis que les consultants tablent plutôt sur l'accompagnement continu de la relation (35 %)", remarque l'étude. Eternel point d'achoppement, le référencement, en vigueur depuis le début des années 2000 reste largement incontournable notamment dans les grands groupes. Mais il tend, selon 61 % des acheteurs, à s'effacer au profit d'un sourcing plus ouvert, alors que 70 % des consultants considèrent toujours que la gestion du panel de prestataires de conseil est fermée (61 %) ou très fermée (9 %). << Lire l'article complet sur le site des Echos

Marketplaces B2B : La révolution digitale bat son plein

Sur le papier, le pari de l'utilisation de ce nouveau modèle par les acteurs professionnels était pourtant loin d'être gagné. Complexité des relations, importance des négociations, du conseil et de la contractualisation, cycle de décision, gestion des habilitations : les caractéristiques propres au B2B se sont très tôt révélées être des freins à la montée en puissance des marketplaces. Ce secteur a en effet toujours reposé sur les relations de confiance établies entre acheteurs et vendeurs, en raison du volume et de la complexité des produits et services échangés. Variant bien souvent en fonction de chaque vendeur, avec une part laissée à la négociation, le processus d'achat peut donc être complexe à répliquer en ligne. Mais ces variables semblent aujourd'hui maitrisées par les plateformes, tandis que les comportements des professionnels ne cessent de se digitaliser, tendant à se rapprocher de ceux du consommateur lambda dans ses achats du quotidien. Ainsi, 61% des acheteurs professionnels recherchent les produits sur leur mobile tandis que 91% optent pour un achat en ligne après avoir décidé ce qu'ils voulaient acheter. En d'autres termes, les professionnels, désormais bien plus matures face au digital, ont accès via ces nouvelles plateformes à une expérience client tout aussi intuitive que celle proposée aux particuliers par un Uber ou un Asos.>> Lire l'article complet sur le site de Forbes

Loi alimentation : "sortez-nous de là", implorent 22 dirigeants de PME françaises

La loi Egalim sur l'alimentation, dont on " fête " aujourd'hui le premier anniversaire de sa publication au Journal officiel, affaiblit les PME françaises au profit des marques multinationales. A vouloir manipuler les indicateurs de prix et de marché par des réglementations, on a fini par complètement dérégler le commerce. La première raison de cet affaiblissement des marques PME est le relèvement de 10 % du seuil de revente à perte qui donne de la rentabilité aux enseignes sur les marques à forte rotation. Ces dernières se retrouvent donc en position de force pour négocier plus de contreparties et plus de références, soit plus de mètres linéaires, aux dépens des PME françaises. Cette baisse de l'exposition au consommateur des PME a enrayé leur croissance avec une division par deux du nombre de nouvelles références au premier semestre 2019 : 900 en 2018 contre 531 en 2019, selon l'entreprise de prestation marketing Nielsen. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Ethique, environnement, traçabilité : un casse-tête pour les groupes miniers

Dans le monde des matières premières, les certifications éthiques et environnementales sont si nombreuses et diversifiées qu'elles virent au casse-tête pour l'industrie minière, pour les négociants et même pour les fabricants d'objets électroniques. Comment s'assurer que les composants des smartphones respectent les normes environnementales et sociales ? Comment être sûr que le lithium des batteries n'a pas entraîné la destruction d'un écosystème précieux, ou que le cobalt des téléphones n'a pas été extrait par un enfant au péril de sa vie ? >> Lire l'article complet sur le site des Echos

En Italie, entreprises et écologistes unis contre la "plastic tax"

Plus surprenant toutefois, la "plastic tax" semble aussi déplaire aux écologistes. Purement "linéaire", elle "n'aide pas à reconvertir le secteur du plastique vers des produits recyclables voire réutilisables, et ne frappe pas la consommation de plastiques non recyclables", observe dans La Repubblica le président national de l'association environnementale Legambiente, Stefano Ciafani. Pour qu'un tel impôt ait réellement un impact sur le problème du plastique, les recettes "doivent être destinées à la conversion écologique", et notamment au "développement de technologies garantissant le recyclage de tout le plastique", y compris celui qui coûte trop cher à recycler aujourd'hui, abonde Edoardo Ronchi, ministre de l'Environnement entre 1996 et 2000. Or, le projet de loi des finances ne prévoit pas que la taxe sur le plastique serve à financer le recyclage. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Klaus Richter, le directeur des achats d'Airbus, serait sur le départ

Selon des sources dans le secteur aérien, le personnel d'Airbus a été informé que Klaus Richter, responsable des achats du groupe, démissionnait de ses fonctions pour "relever d'autres défis professionnels". Klaus Richter, qui occupait auparavant les mêmes fonctions chez BMW, va être remplacé à titre provisoire par François Méry, patron opérationnel d'Airbus en Chine. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Supply chain

Packaging et écologie : vers l'avènement d'un emballage durable

Hier l'emballage plastique était le packaging le plus utilisé. Aujourd'hui l'emballage durable est le plus recherché tant par les consommateurs que par les distributeurs qui justement ont des obligations environnementales et souhaitent liquider rapidement leurs stocks. Peut-être un avenir pour l'emballage carton, mais des déforestations ne sont pas non plus la solution ! Un emballage pour l'environnement ? Un avantage concurrentiel conséquent à nos jours qui espérons, demain sera une normalité. Un emballage grâce à nos ressources renouvelables 100% recyclés, serait un réel point positif pour l'environnement. En effet l'e-commerce est en pleine expansion et pour une livraison correcte il est indispensable d'avoir un emballage responsable avec le moins de vide possible pour diminuer le volume. >> Lire l'article complet sur le site de Transport mag

Le recul du fret aérien mondial se confirme de mois en mois

Pour autant, les chiffres sont contrastés suivant les Régions du monde. Le Moyen-Orient s'est inscrit en baisse de 5,5 % en juillet, l'Asie-Pacifique ne faisant que guère mieux avec moins 4,9 %. Les chutes sont, en revanche, plus modérées en Europe (- 2 %) et en Amérique du Nord (- 2,1 %). Au chapitre des hausses, l'Afrique continue de bien se porter avec une croissance de près de 11 %. L'Amérique Latine a, pour sa part, enregistré une progression de ses tonnes/kilomètres transportées de 3 %. Ces deux continents sont d'ailleurs les seuls à progresser avec respectivement 4,9 % et 1,3 % au cours des sept premiers mois de l'année 2019. Au plan du trafic des principaux aéroports, tous sont en baisse à l'exception de Miami qui croit de 0,5 % sur la période étudiée. Paris-CDG recule, en revanche, de 2,2 % et Francfort de 1,9 %. Commentant ces résultats, le directeur général de l'IATA, Alexandre de Juniac, ne peut que déplorer que "les tensions commerciales continuent de peser fortement sur l'industrie du fret aérien toute entière.">> Lire l'article complet sur le site de Actu transport Logistique


RSE

Recyclage : pour que les entreprises agissent, il faut un "bâton financier"

Carlos de Los Llanos, directeur scientifique de Citeo se félicite que les entreprises participent, au moins financièrement, au recyclage. "Chaque année, elles contribuent à hauteur de 700 millions d'euros." Il admet que "rien n'est parfait", et que le circuit, malgré une grande traçabilité, peut comporter quelques failles dans lesquelles s'immisceraient des entreprises pas toujours réglos. "Le niveau de maturité est différent. Certaines boîtes sont très conscientes des enjeux, d'autres n'en font pas du tout une priorité. Ce qui est assez efficace, c'est le bâton financier. Selon leurs efforts d'écoconception, les entreprises paient plus ou moins cher le nombre d'emballages mis sur le marché." Ce système, mis en place en France depuis désormais 8 ans, impose à chaque société de payer un certain montant en fonction du nombre d'emballages vendus par catégorie. Le tarif varie en fonction du matériau utilisé, du poids, de la complexité à recycler... "Les entreprises ont tout intérêt à aller dans le sens du recyclage. On ne peut pas les convaincre uniquement par des discours, il était important d'avoir ce volet financier." >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Engagement écologique des entreprises : encore quelques efforts !

Pour 8 cadres sur 10 jugent, les entreprises restent trop timides dans leurs démarches écologiques. Ce ratio s'élève même à 91 % lorsque les managers jugeant leur organisation pas du tout engagée sur ces questions sont comptabilisés. Les entreprises n'ont plus d'autre choix que traduire leurs engagements par des actions concrètes. Les cadres n'ayant plus peur de démissionner , 78% d'entre eux ne s'en cachent pas : l'engagement environnemental est un critère de poids et de choix de leur future organisation. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


IT

Garnier-Thiebaut impose la "blockchain" à la filière textile

Élu à la présidence du Syndicat textile de l'Est, Paul de Montclos tente d'inscrire les autres acteurs de la filière dans une démarche collective de certification. "L'idée est de créer une AOC industrielle", propose-t-il. Les données numériques qui établissent la traçabilité de la chaîne de valeur locale (filature, tissage, ennoblissement, confection...) sont communes entre les industriels et partagées avec des auditeurs indépendants. "Nous avons créé la première blockchain dans la filière", se réjouit Paul de Montclos. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune


Fleet / Mobilité

Loi mobilités : le Sénat rejette le texte, retour à l'Assemblée

Examiné en deuxième lecture ce 5 novembre, le projet de loi d'orientation des mobilités a été rejeté par le Sénat dès le début. Des sénateurs ont présenté une motion préalable en ce sens, qui a été votée à main levée par une majorité de parlementaires. Une autre motion, qui devait être examinée juste après, proposait quant à elle d'arrêter les discussions et de passer directement au vote du texte sans se pencher sur les amendements déposés par les sénateurs. Les présidents de plusieurs groupes se sont succédé à la tribune pour manifester leur agacement face au refus du gouvernement de trouver une solution à leur seul désaccord majeur : la Lom donne aux communautés de communes et intercommunalités la compétence d'autorités organisatrices de mobilités, sans y ajouter de financements de ces nouvelles compétences. Résultats, ces petites collectivités n'auront jamais les moyens d'organiser une offre de mobilités sur leurs territoires, ont-ils argué en substance. >> Lire l'article complet sur le site du JDN

L'app qui traque pour vous la place de parking idéale!

La solution proposée par Yespark est simple, flexible et plutôt bon marché. Sur son smartphone ou sur la Toile, le conducteur peut trouver en moins d'une minute une place disponible près de chez lui. Après quelques clics, le contrat de location est validé électroniquement et l'application Yespark fait office de télécommande pour entrer dans le parking. Le numéro de place, les conditions d'accès et les factures PDF sont toutes disponibles sur l'app. Les paiements s'effectuent par carte bancaire et le locataire peut cesser de louer l'emplacement en un seul clic et sans aucun préavis. Il peut aussi changer de place quand il le souhaite s'il trouve un parking plus proche de chez lui. Ce prestataire affirme proposer des tarifs 30% inférieurs à ceux des prestataires traditionnels qui sont de surcroit moins flexibles. La location d'une place sur son application peut ainsi coûter de 16 à... 190 euros par mois. A Paris, de nombreux emplacements sont proposés pour moins de 100 euros alors que le tarif moyen des parkings dans la capitale atteint 145 euros. >> Lire l'article complet sur le site de Influencia

Gestion de flotte : "La data bien traitée et analysée est devenue l'outil incontournable du gestionnaire de parc"

Interview de Véronique Charbit, Directeur Générale de Sixt Mobility Consulting France - "La data bien traitée et analysée est devenue l'outil incontournable du gestionnaire de parc. Par exemple, en un clic le gestionnaire a accès à tous les entretiens mécaniques qui devraient être effectués et permet d'anticiper ses besoins. Bien monitorée, elle permet de suivre des indicateurs de performance tels que la consommation de carburant, l'accidentologie ou les PV et aide le gestionnaire à mettre en place, entre autre, une politique automobile plus écologique ou mieux adaptée à la stratégie de l'entreprise. Sans aucun doute l'analyse des données permet d'optimiser les coûts et la mobilité des conducteurs." >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Professionnels

Citroën convertit ses utilitaires à l'électrique

Un processus de verdissement débuté avec le Jumper Electric, présenté au Salon de Birmingham au printemps dernier, qui s'accentue sans plus tarder avec le Jumpy, dont la version 100 % électrique sortira courant 2020. Le fourgon compact, lancé en 2016, bénéficiera alors de trois nouvelles finitions (Worker, Driver et CityVan) visant à cibler principalement les experts du transport urbain ou des chantiers. En témoignent notamment sa charge utile majorée et ses nombreuses aides à la conduite promettant confort et sécurité. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise


Carrière / RH / Management... et autres!

Les 6 biais qui impactent le plus vos décisions

L'intuition est souvent perçue comme un soft skill qu'il est important de développer. Pourtant, les études montrent qu'elle peut être aussi mauvaise conseillère quand il s'agit de décisions stratégiques. Non qu'elle soit inutile mais l'intuition se doit d'être domestiquée. Gary Klein, un chercheur pionnier de "l'école naturaliste de la décision", a choisi d'observer des professionnels dans des situations réelles : des commandants d'armée, des joueurs d'échecs ou encore des recruteurs. Il a pris l'exemple d'un commandant d'escadron de pompiers qui, pressentant que la maison où il intervenait pour éteindre un incendie allait s'effondrer, fit évacuer ses hommes. Un instant plus tard, en effet, le plancher de la maison s'écroulait. En le questionnant sur ce qui avait motivé cette décision, le commandant semblait incapable de l'expliquer de manière logique, au point qu'il se décrivait lui-même comme doté d'une forme de perception hors du commun. Pour expliquer cela, Gary Klein parle de décision permise par l'expertise et la connaissance du terrain. Toutefois, en matière de recrutement, il arrive souvent que les dirigeants se fient trop à leur intuition pour évaluer l'adéquation d'un candidat à un poste, risquant ainsi de commettre de lourdes erreurs de casting et de mettre leur entreprise en difficulté. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

Il n'y a pas que les cadres qui ne portent plus de costards !

"Les millennials ont cassé tous les codes, résume Caroline Vilstrup, la cheffe styliste pour le marché français d'Outfittery , un service de personal shopper online spécialisé dans la mode homme lancé il y a tout juste un mois dans l'hexagone mais qui compte déjà plus de 1 million de clients en Allemagne, Autriche, Suisse, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Suède et Danemark. Ils ne veulent pas ressembler à leurs pères et ils nous demandent explicitement de ne pas leur mettre des costumes dans les sélections de vêtements que nous expédions à leur domicile. Quand leurs collègues plus âgés les voient arriver au bureau en jean et en baskets, ils ont envie d'être comme eux et adoptent un style plus "casual". Et les hommes qui ont abandonné le costume reviennent rarement en arrière car ils apprécient de pouvoir travailler dans des habits plus confortables". La Silicon Valley a montré l'exemple en la matière. >> Lire l'article complet sur le site de Influencia

Mal de dos, migraines et vision altérée: une étude alerte sur la santé future des employés

Pire, alerte l'étude réalisée cet été à partir d'un échantillon de 3 003 participants en France, en Allemagne et au Royaume-Uni: si rien n'est fait maintenant pour changer cette situation, les employés risquent de développer d'ici vingt ans des problèmes de santé graves et encore "jamais vus depuis la Révolution industrielle." Dos voûté, ventre bedonnant causé par un travail sédentaire, eczéma en raison du stress, varices, yeux rouges et secs... Le portrait que dresse "Emma", le modèle grandeur nature de la "collègue type du futur" créé pour illustrer les résultats de l'étude, a de quoi faire peur. Parmi les causes de cette dégradation physique, la sédentarité des travailleurs. Un tiers d'entre eux passent désormais jusqu'à neuf heures par jour assis derrière un bureau, une durée qui les inquiète d'ailleurs majoritairement (près d'une personne sur dix) concernant leur santé à long terme. Une crainte plus que fondée pour Fabienne Broucaret, contributrice du rapport et experte en bien-être au travail, qui souligne ainsi: "Avec le temps, rester assis à un bureau toute la journée va avoir un effet profond sur la santé physique et psychologique des employés de bureau." >> Lire l'article comlplet sur le site du Figaro

Walking Meeting : marcher pour mieux bosser

Telle une réunion classique, un walking meeting se pense et se prépare en amont. Comme pour toute activité en extérieur, prévoyez des chaussures adaptées et vérifiez la météo : en cas de forte chaleur, évitez les réunions marchées entre 12h et 16h et pensez à emporter une bouteille d'eau si vous n'avez pas la chance de croiser une fontaine Wallace sur votre itinéraire. En termes de durée, le côté sportif de la marche permet de respecter le temps imparti : si certains le comptent en minutes et préconisent une durée comprise entre 30 et 60 min, d'autres l'évaluent en distance et recommandent un parcours de 3 à 6 km. Les habitués de cet exercice conseillent généralement de ne pas être plus de trois afin de pouvoir marcher côte-à-côte et de préserver une bonne écoute, le risque d'une réunion plus nombreuse étant de se scinder en apartés de taille plus réduite au cours de la marche.>> Lire l'article complet sur le site de Influencia


 
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