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Des potelets à mémoire de forme pour le parc d'Autolib'

Publié par Marie-Amélie Fenoll le | Mis à jour le
Contrairement aux potelets en métal, les potelets à mémoire de forme se plient sous le poids des vélos, camions…
Contrairement aux potelets en métal, les potelets à mémoire de forme se plient sous le poids des vélos, camions…

Le groupe Bolloré vient de signer un contrat avec l'espagnol Sabacaucho, pour son parc de véhicules Autolib', pour la fourniture de 1 200 potelets à mémoire de forme. Une innovation urbaine permise grâce à l'appel à projets lancé par la ville de Paris en 2010 sur le mobilier urbain intelligent.

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Limiter la casse des pare-chocs des véhicules parisiens. C'est désormais possible avec les X-last, sortes de potelet-balise à mémoire de forme "LumArt " qui permettent d’accroître la visibilité de points dangereux (carrefours, pistes cyclables, etc.).

La société espagnole Sabacaucho, détentrice de cette innovation vient de signer un contrat avec le groupe Bolloré dans le cadre de ses activités Autolib pour la fourniture de 1 200 potelets. La principale caractéristique de ces potelets est de se plier sous le poids des vélos, camions, contrairement aux anciens potelets en métal et ainsi "éviter les coûts d’entretien élevés pour la voirie", explique Jean-Louis Missika, adjoint chargé de l’innovation, de la recherche et des universités à la Ville de Paris. 

Cette innovation urbaine s'inscrit dans le cadre de l'appel à projets sur du mobilier urbain intelligent lancé par la ville de Paris en 2010. Au final, 40 projets ont été mis en place dans les différents arrondissements de la Ville Lumière pour 6 mois à un an.

"Cet appel à projet dépasse le cadre rigide de la commande publique et permet aux concepteurs et designers de ce type de mobilier de faire preuve de créativité. Une façon pour la ville de Paris de développer une vision prospective des nouveaux concepts de mobilier urbain pour la ville du futur", explique Jean-Louis Missika. "C’est aussi l’occasion de réfléchir ensemble à la nouvelle façon d’offrir aux Parisiens des contenus et des services : via les écrans, les réseaux ou en lien avec le téléphone mobile, le mobilier urbain devient un point d’entrée vers des usages d’hyper proximité ou des informations de l’autre bout du monde".

Retrouvez un article consacré au mobilier urbain intelligent dans DA 161 du mois de février.

 
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