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Revue de presse achats (semaine du 8 au 12 janvier)

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Revue de presse achats (semaine du 8 au 12 janvier)

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. Voici une compilation d'articles (très intéressants!) parus sur le Net, qui ont trait aux achats et à leur écosystème, ou à votre fonction de manager et carrière.

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Rappel de produits : un coût moyen de 12 millions de dollars

En plein scandale Lactalis, le risque de rappel de produits apparaît aujourd'hui en pleine lumière. Dans une récente étude, Allianz Global Corporate & Specialty (AGCS) estime qu'il constitue une menace croissante pour les entreprises. "Nous assistons à une progression constante des rappels de produits ces dix dernières années. Le durcissement des réglementations et des sanctions, le développement des grandes multinationales et la complexification des chaînes d'approvisionnement, la sensibilisation croissante des consommateurs, l'impact des pressions économiques sur la R & D et sur la production, et l'influence grandissante des réseaux sociaux ne sont que quelques-uns des facteurs sous-jacents. Aujourd'hui, les rappels de produits atteignent des niveaux records en termes d'ampleur et de coûts", constate Christof Bentele, responsable monde de la gestion de crise chez AGCS. Avec une perte financière qui peut être considérable. Au total, les incidents liés à des produits défectueux auraient causé des pertes assurées supérieures à 2 milliards de dollars au cours des cinq dernières années. Cela en fait le premier facteur de pertes liées à la responsabilité civile. AGCS estime que le coût moyen d'un rappel de produits conséquent s'élève à 12 millions de dollars.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

La Cnil inflige une amende de 100 000 euros à Darty

Cette faille provenait en fait d'un logiciel de service après-vente proposé par un sous-traitant. Mais la Cnil a considéré "que le simple fait que la société fasse appel à un prestataire sous-traitant ne la décharge pas de son l'obligation de préserver la sécurité des données traitées pour son compte, en sa qualité de responsable du traitement". Un porte-parole du groupe Fnac Darty s'est exprimé peu après l'annonce de la Cnil. Il a expliqué que "le prestataire a mis en oeuvre, à l'insu de Darty, une fonctionnalité de l'application que Darty n'avait pas sollicitée et n'a donc pas utilisée". "La potentielle faille de sécurité" que comportait cette fonctionnalité, a depuis été "corrigée par le prestataire", a-t-il encore affirmé. "Dans ces conditions et alors que la Cnil n'a constaté aucune fuite de données, nous nous étonnons de cette décision et nous réservons nos droits au titre d'un éventuel recours" devant le conseil d'Etat.
>> Lire l'article complet sur le site de MSN

Comment Sergine Dupuy, fondatrice de Redpill, crée des start-up pour les entreprises

"Redpill est un start-up studio. Nous ne sommes pas un incubateur ou un investisseur : nous créons des entreprises pour nous-mêmes, si elles répondent à une problématique commune à plusieurs organisations, ou pour les autres. En deux ans, nous en avons lancé six. Avec les grands groupes, nous montons une entreprise dont nous sommes coactionnaires, ce qui nous engage sur le long terme. Ensuite, nous apportons nos ressources pour constituer une équipe que nous hébergeons dans nos locaux, dans le XVIIe arrondissement de Paris. Marco ou moi sommes aux manettes. Une fois la maturité atteinte, l'entreprise a vocation à réintégrer la maison mère. Dans l'univers de la grande distribution, avec Casino, nous avons lancé RelevanC. Ce groupe était assis sur un trésor, les données, mais ne savait pas comment l'exploiter."
>> Lire l'article complet sur le site de Challenges

7 tendances de l'approvisionnement à surveiller en 2018

Qu'est ce que fera le le buzz en 2018? La rédaction de procurious.com a identifié tous les sujets d'actualité qui intéressera / excitera / préoccupera le monde de l'approvisionnement: la technologie galopante (blockchain, impression 3D, robots mobiles autonomes, Internet des Objets, apprentissage automatique et les technologies associées) - Le Brexit qui va causer des perturbations ("Les dirigeants de la chaîne d'approvisionnement expriment des inquiétudes concernant les changements de tarifs et de quotas, espérant maintenir le commerce ouvert et fluide comme il le fait aujourd'hui. Pour que le secteur manufacturier reste solide, les importations de matières premières en provenance d'Asie doivent rester exemptes de droits et de droits, car elles font actuellement partie de l'union douanière. Les coûts pourraient augmenter sans les avantages commerciaux, ce qui entraînerait des coûts d'exportation plus élevés au Royaume-Uni. ") - le cognitif règnera en maître - transparence - cyberscurité, etc...
>> Lire l'article complet sur le site de Procurious

L'intelligence au coeur de la fonction achats en 2018

Les technologies intelligentes comme l'apprentissage automatique, l'intelligence artificielle et les capacités cognitives sont à même de rendre les achats plus intelligents et faciles que jamais. En les adoptant, les services achats peuvent réaliser leurs tâches transactionnelles bien plus vite, à moindre coût et de manière plus précise. Et surtout ils peuvent mieux fonder leurs décisions et adopter un mode de fonctionnement plus efficace, faisant une large place à la collaboration, reposant plus sur les données et qui crée de la valeur pour l'entreprise au-delà de la simple réduction des coûts.
>>Lire l'article complet sur le site de Alliancy

Internet n'est pas encore un vrai canal d'achat pour les entreprises du bâtiment, mais ...

70% des entreprises du bâtiment déclarent utiliser de temps en temps ou souvent les sites des industriels et fabricants. Elles sont encore presque 60% à le faire pour les sites des distributeurs. Mais elles ne sont plus que 20% à la faire sur les sites internet des spécialistes de distribution en ligne. Et lorsqu'elles y vont c'est d'abord à 91% pour trouver des informations sur les produits, à 52% sur les prix, à 38% pour des informations pratiques (horaires, localisation) et seulement à 27% pour des commandes et de la relation client. Et dans ce dernier cas, il s'agit souvent de préparation ou de suivi de commande, de " click and collect " ou de S.A.V. On le voit, pas encore de vague massive d'achats en ligne. Mais L.E.K. Consulting souligne "qu'il existe une très forte corrélation pour une entreprise du bâtiment entre le fait d'acheter aujourd'hui en ligne et son appétence potentielle pour une offre Amazon sur des produits de construction."
>> Lire l'article complet sur le site de Batiweb

Brexit : la viande et le lait seraient les plus gros perdants d'un accord dur

En attendant d'y voir plus clair, Coop de France recommande aux entreprises de se préparer, en demandant leur agrément auprès des instances douanières pour s'assurer de relations commerciales fluides le moment venu. "Demain, les livraisons en flux tendus seront sans doute très difficiles. Nous recommandons aussi aux opérateurs de faire dès maintenant l'acquisition d'entrepôts au Royaume-Uni, d'autant que les prix de l'immobilier ont déjà augmenté", détaille Coop de France.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Figeac Aero obtient son premier contrat en direct avec Boeing

Le sous-traitant aéronautique Figeac Aero vient de remporter son premier contrat en direct avec Boeing, dont le montant reste confidentiel. " C'est une affaire relativement modeste qui fera travailler moins de 20 personnes, m ais elle est importante car elle nous ouvrira les portes de l'énorme marché de sous-traitance de Boeing ", s'est félicité lundi le PDG Jean-Claude Maillard. Ce premier contrat porte sur la fabrication de grandes pièces de structure en aluminium, de 4 mètres de long, des ailes du futur B777X. Le nouveau gros biréacteur de Boeing de 350 à 420 passagers sera mis en service en 2020 et est commandé à 340 exemplaires. Figeac Aero réalisera l'industrialisation à Figeac (Lot) et la fabrication dans son usine américaine de Wichita (Kansas), la seule du groupe à être qualifiée par Boeing pour le traitement de surface. Il a obtenu ce contrat grâce à son investissement dans des machines d'usinage 5 axes à grande vitesse pour des pièces de grande dimension, qui en réduisent les coûts.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

ADP, La Poste, Dassault Systèmes... : pourquoi les grands groupes vont au CES

Une vingtaine de grands groupes français font le déplacement au CES de Las Vegas. Le plus grand salon technologique au monde est devenu une vitrine à ne pas manquer autant qu'une opportunité de business pour les champions hexagonaux.
>> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Portage salarial: le mystère des "marges arrières"

Sur le jeune marché du portage salarial, la bataille pour capter les consultants se concentre sur les frais de gestion, qui focalisent l'attention les candidats. A tort, car ils ne résument pas tous les prélèvements que peut effectuer une société de portage. Responsabilité civile professionnelle de la société, contribution à l'Agefip, médecine du travail, versement transport, CFE-CVAE et C3S sont facturés par certaines sociétés. D'aucuns appellent cela des "marges arrières". Une expression empruntée à la grande distribution.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'avenir du chef des achats ... est déjà là

Le CPO d'IBM, Bob Murphy dit que, pour mener à bien son rôle de CPO, il est crucial d'évoluer dans un écosystème en constante évolution. "Je suis à la recherche de moyens pour continuer à améliorer et continuer à ajouter de la valeur. Je passe 25% de mon temps à parler avec d'autres CPO, leaders de l'industrie et des entreprises technologiques, pour savoir comment ils pensent à ces défis et comment ils motivent leurs équipes ", a affirmé Murphy (Procurement Leaders 2017). Intégrer l'intérêt des autres responsables de l'approvisionnement est une méthode courante pour devancer les tendances à venir, en brisant les frontières entre les partis. Les technologies d'approvisionnement actuelles et à venir ont le potentiel de réorganiser les achats stratégiques et opérationnels.
>> Lire l'article complet sur le site de Medium

RSE / devoir de vigilance

Travail des enfants: des associations françaises déposent plainte contre Samsung

Deux associations ont annoncé qu'elles déposaient ce jeudi une plainte à Paris pour pratiques commerciales trompeuses contre Samsung et sa filiale française. Elles dénoncent "des violations des droits humains" dans les usines chinoises du leader mondial des smartphones. Les ONG Peuples Solidaires et Sherpa avaient déjà déposé une première plainte à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, en 2013, contre la seule filiale française. Elle avait été classée sans suite en 2014. Cette fois, les deux ONG affirment avoir de nouveaux éléments démontrant le recours au travail des enfants ainsi que des conditions de travail indignes et dangereuses au sein des usines en Chine du géant de l'électronique sud-coréen.
>> Lire l'article complet sur le site de L'Express


JD. com, le géant chinois qui veut faire plus de "made in France"

La promesse du géant chinois de la vente en ligne, JD. com, est plutôt audacieuse. Il s'est engagé, ce mardi, à vendre pendant les deux prochaines années sur ses plateformes 2 milliards d'euros de produits français à ses millions de clients. Tout en disant prêt à s'implanter en France. Pour atteindre cet objectif d'ici fin 2019, JD. com a indiqué avoir conclu " un accord ambitieux " avec Business France, l'organisme public chargé de promouvoir le développement international des entreprises françaises. Bien moins connu à l'étranger que son rival Alibaba, fondé par l'emblématique multimilliardaire Jack Ma, JD. com n'en est pas à son coup d'essai. En novembre, il avait déjà fait une annonce similaire à l'occasion d'une visite du président américain Donald Trump à Pékin, s'engageant à acheter sur trois ans pour 2 milliards de dollars de produits américains.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Les trois principaux producteurs de viande polluent autant que Shell, BP et Exxon

C'est l'un des secteurs les plus polluants mais aussi les plus discrets sur le sujet. Les industriels de la viande et des produits laitiers émettent pourtant plus de gaz à effet de serre que les transports et selon une récente étude, les trois premiers producteurs au monde polluent autant que les principaux pétroliers.
>> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Déchets : Suez se renforce dans la production de chaleur et d'électricité verts

Le fonds d'investissement du groupe, Corporate Suez Ventures, vient de prendre une participation dans Etia et sa filiale Cogebio, qui ont développé des technologies de conversion thermique de biomasse et de plastique en gaz et combustibles solides. Une solution alternative aux énergies fossiles pour la production décentralisée de chaleur et d'électricité, avec un bilan environnemental avantageux.
>> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Supply

Alibaba projette d'installer un centre logistique en France

Le PDG du géant chinois Alibaba, Jack Ma, a déclaré mardi qu'il signerait prochainement avec Paris un accord prévoyant d'installer en France un centre logistique et d'accroître la vente de produits français sur ses plateformes de commerce en ligne. Jack Ma a rencontré Emmanuel Macron mardi matin avec également Richard Liu, patron de JD.com, numéro deux chinois du commerce électronique, qui a également annoncé vouloir s'implanter en France et promis de vendre pour 2 milliards d'euros de produits français sur ses plateformes d'ici deux ans. "Je me rendrai en France très bientôt pour signer un protocole d'accord sur un partenariat d'Alibaba, comprenant la logistique, les solutions de paiement et l'e-commerce", a précisé Jack Ma. L'accord prévoirait de mettre davantage en valeur les entreprises françaises dans son catalogue, a-t-il laissé entendre. "L'an dernier, plus de 1 700 marques françaises ont rejoint Alibaba et leur croissance moyenne a été de 53 %".
>> Lire l'article complet sur le site du Point

Commande publique

La gestion catastrophique des achats dans les hôpitaux de Marseille

Les achats constituent pour les hôpitaux de Marseille 30 % du montant total des charges de fonctionnement de l'établissement, soit 405M€. Et si des tentatives d'économies ont bien été testées, force est de constater qu'elles ont été insuffisamment suivies, à cause notamment de la gestion chaotique des deux institutions censées se partager l'achat des médicaments.
>> Lire l'article complet sur le site de Décider & Entreprendre

Le chemin de croix de l'innovation dans les travaux publics

Les travaux publics, mastodonte de 35 milliards d'euros, dont 60 % consacrés à l'entretien des ouvrages, évoluent. Mais pas assez vite : "seulement un millième de ce chiffre d'affaires est consacré à la R & D", explique Jean-Marc Cornut, président sortant de la Fédération régionale des travaux publics de Rhône-Alpes. Exemple : le recyclage des enrobés de chaussée. "On plafonne à 30 % alors que, techniquement, on saurait monter à 70 %", dit-il. C'est la double peine pour un secteur déjà pas réputé très créatif, et dépendant à 70 % de l'investissement public. Les collectivités sont rétives à la prise de risques, tant financiers que juridiques. Il faut renverser la logique, proposait Michel Grevoul, directeur des achats de l'Etat, aux Assises de la mobilité en décembre dernier, en "stimulant la R & D via l'achat public pour faire émerger des solutions nouvelles, plus performantes et porteuses de gains de coût".
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Dématérialisation des marchés publics : la feuille de route 2017-2022 est dévoilée

Tenant sur une quarantaine de pages, le plan est décliné en cinq axes d'intervention - gouvernance, simplification, interopérabilité, transparence et archivage - pour répondre aux cinq enjeux de la démarche nationale. A savoir : l'accompagnement des acteurs, la diminution de la charge administrative grâce au numérique, la circulation des données tout au long de la vie du contrat, la transparence de la commande publique et l'archivage électronique...
>> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

Mutualisation de l'achat public et nouveaux enjeux de la commande publique européenne : quel modèle adopter pour les centrales d'achats ?

S'interroger en ce début d'année 2018 sur ce sujet c'est avant tout s'interroger sur la pertinence et pérennité du modèle de centralisation des achats couramment rencontré en Europe et choisi par toutes les centrales d'achat qui fleurissent actuellement en France, celui de la centrale d'achat dite " intermédiaire " ou plus couramment connu sous le terme de centrale mettant à disposition de ses bénéficiaires des cadres contractuels. En effet si la concentration de l'achat public semble acquise, la question cruciale de la pertinence, de la performance et de la valeur ajoutée apportée par les centrales d'achat en Europe doit être posée au regard des 2 000 Mds € que représente la commande publique de l'ensemble des États-Membres ; 200 Mds € pour la France.
>> Lire l'article complet sur le site de Weka

Marchés publics sans procédure formalisée : les seuils pour 2018

Depuis le 1er janvier 2018 (et jusqu'au 31 décembre 2019), les seuils à compter desquels la procédure formalisée doit être suivie sont portés : pour les marchés de fournitures et de services commandés par l'État, de 135 000 € HT à 144 000 € HT ; pour les marchés de fournitures et de services commandés par les collectivités territoriales, de 209 000 € HT à 221 000 € HT ; pour les marchés de fournitures et de services commandés par les opérateurs de réseaux (production, transport ou distribution d'électricité, gaz, eau, etc.), de 418 000 € HT à 443 000 € HT ; pour les marchés publics de travaux, de 5 225 000 € HT à 5 448 000 € HT. Un décret devrait rapidement intervenir pour intégrer ces nouveaux seuils à la législation française.
>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Qu'est-ce qu'un plan de progrès dans un marché public ?

Le plan de progrès est une démarche contractuelle qui vise à améliorer la performance, la qualité et en définitive les coûts dans un marché. Il s'agit de déterminer des objectifs partagés avec le titulaire portant sur les points clés d'amélioration et d'établir un plan d'actions à court, moyen ou long terme. Le plan de progrès peut encore se définir comme la contractualisation d'objectifs permettant à l'acheteur et au fournisseur de capitaliser sur l'expérience acquise en vue d'améliorer leur performance respective. Les actions qui peuvent être recensées sont : la réduction des emballages, l'amélioration de la qualité du service, l'augmentation du niveau de satisfaction des utilisateurs, la réduction du nombre de SAV, etc.
>> Lire l'article complet sur le site de Francemarchés

Fleet

Bilan marché entreprise 2017 : une nouvelle année record

Malgré deux jours ouvrés de moins en 2017 par rapport à 2016 (251 contre 253), le marché du véhicule d'entreprise a signé une nouvelle année record. Selon les statistiques de l'Observatoire du Véhicule d'Entreprise, les immatriculations de VP et de VUL ont progressé de 1,5 % sur un an, à 801 828 unités. Voici en 5 chiffres, ce qu'il faut retenir de cette année : 801 828 : C'est le nombre total des immatriculations de VP (véhicules particuliers) et VUL (véhicules utilitaires légers). Sur un an, la croissance est de 1,5 %, soit un rythme moins soutenu que les exercices précédents, puisque le marché avait progressé de 8,1 % en 2016 (789 783 unités) et de 6,3 % en 2015 (730 763 unités). C'est sur la seconde partie de l'année que l'activité s'est redressée, puisqu'au premier semestre, il affichait un recul de 1,3 %. Le marché entreprise suivi par l'OVE (il inclut les administrations, les loueurs longue durée et les sociétés hors automobiles) représentait 31,79 % du marché automobile national en 2017, contre 32,56 % en 2016 et 31,85 % en 2015.
>> Lire l'article complet sur le site de l'OVE

Carrière/ Management ... et autres!

Tinder lance une application de rencontres pour les professionnels

En apparence, Ripple ressemble à Tinder. Pour ajouter une personne à son réseau professionnel, il faut "swiper" son profil à droite. Les similarités s'arrêtent là. Ripple a davantage d'options que Tinder. On peut par exemple y participer à des groupes privés ou publics pour échanger sur certains sujets en rapport avec sa profession. Ripple se repose beaucoup sur l'analyse de données pour améliorer l'expérience de ses utilisateurs, et les mettre en relation avec des personnes adéquates. Par exemple, pour ajouter le profil d'une personne rencontrée à l'occasion d'un événement professionnel, il suffit de la prendre en photo. Si elle est présente sur l'application, son profil sera automatiquement proposé à l'utilisateur. Ryan Ogle compare cette fonctionnalité au fait de s'échanger des cartes de visite. Ripple peut aussi signaler si un article évoque un sujet qui pourrait intéresser un utilisateur et l'un de ses contacts. Elle utilise enfin la géolocalisation du smartphone pour signaler si un contact professionnel se trouve à proximité, par exemple pour lui proposer un déjeuner.
>> Lire l'article complet sur le site du Figaro

 
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