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Revue de presse achats : (semaine du 19 au 23 février)

Publié par Marie-Amélie Fenoll le - mis à jour à
Revue de presse achats : (semaine du 19 au 23 février)

Voici une compilation d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

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Des détaillants européens boycottent Nestlé

Plusieurs détaillants européens ont décidé de boycotter certains produits Nestlé en raison des prix trop élevés. Ainsi, l'alliance européenne de détaillants Agecore (dont Coop, Edeka en Allemagne et Intermarché en France), qui représente deux milliards de francs de chiffre d'affaires de Nestlé, a décrété un boycott de 150 produits du géant veveysan. Coop réclame de Nestlé des "prix d'achat corrects à des conditions de partenariat". L'action Nestlé commence déjà à en ressentir le contrecoup.

>> Lire l'article en détail sur le site de Bilan


Training : la nouvelle plate-forme de L'Oréal Campus pour ses fournisseurs

Le patron de la Dinsic détaille l'affectation de l'enveloppe de 50 millions d'euros tirée du Fonds pour la transformation de l'action publique qui devrait servir à financer des projets risqués de type start-up d'État. Henri Verdier souligne le rôle renforcé d'organisation et de vigie qui incombe à la direction interministérielle des systèmes d'information et de communication de l'État. Et pointe l'importance de recourir à des profils aguerris "sur des compétences d'émergence récente" : "Nous aurons besoin d'autodidactes, de free-lance, d'entrepreneurs", souligne-t-il.

>> Retrouvez l'article sur le site d'acteurs publics.



Managers : ayez la culture du feedback

En France, les feedbacks restent souvent cantonnés à l'entretien annuel d'évaluation. Et 53% des salariés déclarent ne jamais bénéficier de feedbacks leur permettant de progresser. Comment les managers et l'ensemble des collaborateurs peuvent-ils s'approprier la culture du feedback ? Cela implique un changement de posture managériale et du courage. Car donner du feedback et le recevoir est un exercice délicat. Ainsi, certains peuvent le prendre trop personnellement et le percevoir comme une "agression". Il est donc nécessaire de rester factuel. Le feedback est aussi synonyme de développement professionnel. En étant positif, il valorise le collaborateur et doit permettre le développement ou le renforcement de compétences. Correctif, il peut aider à rectifier des pratiques ou comportements inadéquats. Le feedback doit être étayé ; les commentaires superficiels ne sont d'aucune utilité ! Autre conseil : le feedback s'appuie sur les soft skills. Il est donc nécessaire de les personnaliser. Enfin, faire des retours à ses collaborateurs permet de booster l'engagement de ces derniers. Dans d'autres types d'entreprises, certains managers peuvent contribuer à la diffusion de la culture du feedback en se mettant " à disposition ". Pourquoi ne pas proposer de relire une présentation afin d'aider un collaborateur à la finaliser ? Organiser un retour d'expérience collectif suite à une production spécifique ? Mais surtout n'ayez crainte : il existe des formations dédiées à l'art du feedback.

>> Lire l'intégralité de l'article "Culture du feedback : un axe de management qui favorise l'engagement" sur le site de docendi.com.


Chez Valeo, les robots investissent les usines

Dans son usine d'Etaples-sur-Mer, l'équipementier automobile Valeo développe sans cesse l'automatisation, avec à la clé d'importants gains de productivité. L'usine compte aujourd'hui 485 robots. Un nombre en hausse de 10 % chaque année. Valeo exploite deux types de robots à Etaples-sur-Mer?: les uns, des robots, de couleur verte, assistent des humains pour des tâches pénibles?; les autres, jaunes, sont autonomes. Cette robotisation a été entamée il y a une trentaine d'années. Grâce à celle-ci, 225 000 pièces sortent chaque jour avec 1500 salariés contre quelques milliers de pièces par jour avec 1 200 personnes il y a 30 ans. Un virage de l'automatisation que n'auraient pas pris certaines autres usines du groupe comme l'usine "soeur" d'Etaples-sur-Mer à l'Isle-d'Abeau, près de Lyon. Pour Valeo, les bienfaits de l'automatisation se résument en termes de productivité, précision, qualité et sécurité, en supprimant des tâches répétitives et souvent pénibles. Une automatisation qui n'engendrerait pas de suppression d'emplois toujours selon l'équipementier automobile.

>> Reportage dans l'usine d'Etaples-sur-Mer à lire sur Liberation. fr : Robots industriels : chez Valeo, le collègue a le bras long


Cartel : l'UE sanctionne lourdement plusieurs entreprises de transports

La Commission européenne a sanctionné mercredi, pour avoir participé à un cartel, des équipementiers automobiles, notamment Bosch et Continental, et quatre armateurs transportant des véhicules, pour avoir participé à un cartel. Parmi elles, Bosch et Continental. Pendant près de six ans, d'octobre 2006 à septembre 2012, ces cinq entreprises de transport ont constitué une entente sur le marché du transport en haute mer de voitures neuves et de véhicules neufs de grande taille comme des camions, des moissonneuses-batteuses et des tracteurs, sur différentes liaisons entre l'Europe et d'autres continents

>> Lire l'article sur les Echos : Cartel : l'UE sanctionne lourdement plusieurs entreprises de transports

Commande publique


Du bio dans les cantines

Les cantines publiques devront offrir au moins 20% de produits bio en 2022. C'est l'objectif annoncé par le gouvernement qui devrait être confirmé par décret. En effet, le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert avait annoncé fin 2017 la volonté du gouvernement de proposer plus de produits bio et de produits sous signes de qualité dans les cantines publiques. Une intention précisée dans le projet de Loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et une alimentation saine et durable, rédigé à l'issue des Etats généraux de l'alimentation du deuxième semestre 2017, et qui sera examiné en procédure accélérée par les parlementaires. En le présentant fin janvier à l'Assemblée nationale, le ministre a précisé davantage les pourcentages qu'il souhaite voir appliqués : 50% de produits sous signes de qualité, mentions valorisantes ou équivalents, et au moins 20% de produits issus de l'agriculture biologique. Il a annoncé que ces dispositions seraient reprises dans l'article 11 du projet de loi.

>> Lire l'article sur Bioaddict.fr : Le gouvernement veut au moins 20% de bio dans les cantines en 2022


Dématérialisation des marchés publics : les élus s'organisent

Pour faire face à l'échéance du 1er octobre 2018, date à laquelle la dématérialisation va s'imposer dans les procédures de passation des marchés, de nombreuses collectivités ont pris les devants. Parmi eux, l'Ile-de-France où le GIP Maximilien qui réunit une centaine de collectivités, propose une plate-forme avec des outils clefs en main et du coaching. On peut citer également la ville de Draguignan qui s'est engagée avec succès depuis trois ans dans la dématérialisation, ou encore la ville de Poitiers où les entreprises doivent déjà répondre de manière systématique.

>> Retrouvez l'article sur le site des Echos.


Inquiétude pour les PME sur la dématérialisation de la commande publique

Les procédures de passation des marchés publics seront obligatoirement dématérialisées au 1 er octobre 2018. Les entreprises seront-elles prêtes pour l'échéance ? " Ce n'est pas le cas pour l'instant, surtout pour celles qui répondent de façon épisodique aux marchés. Le risque, c'est qu'elles se retrouvent exclues de la procédure faute d'avoir su comment procéder ", prévient Francoise Vergriete-Matringes, présidente de la commission commande publique au Medef. Pour éviter d'être hors jeu, les entreprises doivent anticiper, tester à blanc les plates-formes de leurs donneurs d'ordre et acquérir une signature électronique.

>> Retrouvez l'article sur le site des Echos.

RSE


L'entreprise de demain doit être responsable

Les travaux des chercheurs francophones en sciences humaines et sociales ont changé la vision de l'entreprise, souvent réduite à la recherche du profit. Et la RSE devient un nouvel axe de réflexion. C'est pourquoi, les auteurs de l'article considèrent les articles 1832 et 1833 du code civil de 1804 obsolètes car ils restreignent la configuration de la société à ses associés et n'envisagent aucune autre finalité que la satisfaction de leurs propres objectifs, constituant leur " intérêt commun ". Ces articles doivent donc être réécrits.

En parallèle, en s'inspirant d'exemples américains, des propositions ont déjà été formulées afin de créer un nouveau statut ou une nouvelle forme juridique de société destinée à intégrer, aux côtés des objectifs économiques, des objectifs sociaux et environnementaux. Il y a donc bien, en débat, deux sujets différents qui ne doivent pas être confondus. D'une part, le projet de révision du code civil et d'autre part, l'éventuelle création d'une forme nouvelle de société.

>> Lire l'intégralité de la réflexion collective menée par les membres engagés dans le CA du Réseau Interdisciplinaire sur les Organisations et le Développement Durable (RIODD) sur le site de The Conversation.





 
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