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Revue de presse achats - semaine du 21 juin

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Revue de presse achats - semaine du 21 juin

C'est pour vous, et rien que pour vous, qui n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine que la rédaction a sélectionné des articles parus sur le Web, susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats.

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Pénurie de matériaux : la FFB en appelle à la théorie de l'imprévision

Olivier Salleron, président de la fédération, explique que certaines entreprises dénoncent des contrats signés car la perte qu'elles subiraient en réalisant le chantier sans révision de prix s'avèrerait plus forte que la pénalité qu'elles encourent en y renonçant. "Pour passer cette crise, nous demandons la mise en oeuvre de la théorie de l'imprévision ainsi que la réactivation de l'ordonnance qui avait gelé les pénalités de retard sur tous les marchés et tout au long de la filière au printemps 2020." >> Lire l'article complet sur le site de Achat public.info

Chine: la plus forte hausse des prix à la production depuis fin 2008

L'indice PPI, qui mesure le coût des marchandises sorties d'usine, a connu une augmentation de 9% sur un an le mois dernier, d'après le Bureau national des statistiques (BNS). Il s'agit de sa plus forte hausse depuis septembre 2008. Ce résultat, largement supérieur à celui d'avril (6,8%), dépasse la prévision moyenne d'analystes interrogés par l'agence financière Bloomberg (8,5%). Le coût des matières premières sur les marchés mondiaux (pétrole, métaux) combiné à la "reprise robuste" de l'activité en Chine qui tire les prix vers le haut, expliquent en partie ce niveau, a relevé Dong Lijuan, un statisticien du BNS. Les prix de l'extraction de pétrole et de gaz naturel ont ainsi doublé en un an (+99,1%), selon le BNS. >> Lire l'article complet sur le site de Le Temps

Mystère sur le marché du porc chinois

La thèse d'une surabondance, liée à des élevages qui se seraient totalement repeuplés, est contredite par les volumes d'importation : les achats de porc européens ont atteint des niveaux records au premier trimestre alors qu'ils auraient dû baisser, si la production locale n'était plus une préoccupation. Il est donc trop tôt, résume Jean-Paul Simier, pour parler d'un retournement du marché chinois. Seuls les achats à venir pourraient permettre d'y voir plus clair: si les Chinois continuent à importer massivement, c'est qu'ils font des stocks démesurés, ou qu'ils anticipent une baisse et que la surabondance dont il est question aujourd'hui n'aura été qu'éphémère. >> Lire l'article comlplet sur le site de RFI

Entre la Chine et la Nouvelle-Zélande, la guerre du kiwi est déclarée

Mais faute de soutien du côté des autorités chinoises, les vergers de Sungold continuent à s'étendre en toute impunité dans le Sichuan. Selon Zespri, les superficies cultivées illicitement ont même doublé entre 2019 et 2021 et attendraient aujourd'hui plus de 5 200 hectares - au point que la production chinoise serait déjà au moins égale au volume exporté en Chine par les producteurs néo-zélandais. Pour la Nouvelle-Zélande, la portée du conflit dépasse de loin le seul secteur des fruits et légumes : la Chine est le premier partenaire commercial du pays.(..) Conscient des risques - et sous la pression discrète du gouvernement néo-zélandais -, Zespri pencherait plutôt pour la négociation. En échange de l'abandon de poursuites dont l'issue est plus qu'incertaine, la coopérative propose un deal aux producteurs chinois : elle serait prête à acheter les kiwis chinois pour les revendre dans le monde entier sous sa marque Sungold. >> Lire l'article complet sur le site de Courrier International

Pourquoi le prix du gaz s'envole en Europe

Pour les industriels gros consommateurs (chimie, sidérurgie, agroalimentaire...), la facture est plus lourde dès aujourd'hui. "Certaines entreprises ne parviendront pas à répercuter la hausse des coûts sur leurs prix de vente qui sont négociés longtemps à l'avance, explique Thérèse Sliva-Marion, du Clee, une association de grands consommateurs français. C'est le cas en particulier dans l'agroalimentaire." La flambée des cours renchérit aussi le prix de l'électricité produite par les centrales à gaz. Une conjonction de facteurs explique cette inflation inattendue. D'abord, les prix du carbone , ces "droits à polluer" qui s'échangent sur le marché européen, ont bondi. Ensuite, l'hiver dernier a été relativement froid et surtout plus long que d'habitude. En France, la consommation des cinq premiers mois de l'année a été 15 % supérieure à celle de 2020, selon GRTgaz.>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le marché mondial du cajou se redessine au profit de l'Afrique de l'Ouest

L'Afrique de l'Ouest est le premier fournisseur de noix de cajou avec une production qui a grimpé entre 2016 et 2020 de près de 500 000 tonnes, soit le montant de la production actuelle du Vietnam, pour atteindre 2,046 Mt, selon les chiffres compilés par le spécialiste n'kalô. Le premier producteur africain, la Côte d'Ivoire, performe pour atteindre 910 000 tonnes en 2020, en hausse de 24%, mais plusieurs pays enregistrent, sur des volumes moins importants, des résultats remarquables. C'est le cas par exemple du Bénin (+84% entre 2016 et 2020), du Ghana (+87%), du Nigeria (+65%) ou encore du Togo ou du Mali. En revanche en Afrique de l'Est, la production est au mieux stagnante voir plutôt baissière. Une production ouest-africaine dont le principal débouché est le Vietnam et dans une moindre mesure l'Inde. Si la production de noix de cajou stagne en Inde ces cinq dernières années ce n'est pas le cas de celle du Vietnam, qui est passée de 425 000 tonnes en 2016 à 500 000 tonnes en 2020. Mais surtout celle du Cambodge qui a été multiplié par près de 3. Mais à 230 000 tonnes, on est encore loin des niveaux africains. >> Lire l'article complet sur le site de CommodAfrica

Porsche va fabriquer ses batteries à recharge ultrarapide en Allemagne

Porsche va se lancer dans la production de ce nouveau type de cellules de batteries dans le cadre d'une coentreprise avec la société allemande spécialisée Customcells, dans laquelle la marque allemande de voitures de sport investit près de 100 millions d'euros. Porsche détiendra près de 84 % de cette nouvelle entité, baptisée "Cellforce". >> Lire l'article complet sur le site du Point

Avion à hydrogène : Airbus, Air Liquide et groupe ADP s'associent pour imaginer les aéroports de demain

Lundi 21 juin, Air Liquide, Airbus et Aéroports de Paris ont annoncé le lancement d'études d'ingénierie, par le biais d'un communiqué, dans l'optique d'adapter les infrastructures aéroportuaires à l'arrivée d'avions à hydrogène d'ici à 2035. (...) Ce type d'étude s'avère indispensable, compte tenu des défis technologiques propres à l'hydrogène liquide. Comme ce carburant entre en ébullition dès que la température dépasse - 253°C, des technos cryogéniques sont requises pour stocker ou transporter l'hydrogène sous forme liquide. Et toute fuite, facilitée par la petite taille de la molécule, est à prévenir absolument : elle risque en effet de provoquer une explosion. En termes d'infrastructures, le transport de l'hydrogène cryogénique depuis les installations de l'aéroport vers les réservoirs des avions représente d'ailleurs l'une des plus grosses difficultés. "Transporter de l'hydrogène à - 253°C dans des tuyaux est un sacré défi technologique... ", soulevait récemment Thierry Poinsot, du Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (Cerfacs). >> Lire l'article complet sur le site de Industrie Techno

Action : pourquoi les produits vendus dans leurs magasins sont-ils si peu cher ?

"Comme pour les autres grands discounters comme Lidl ou GiFi, l'ensemble de la chaîne de valeur est optimisée pour maîtriser les coûts : conception de l'offre, approvisionnement, logistique, etc.", explique Yves Marin. Un constat que confirme le Directeur général d'Action France. "Nos frais généraux sont assez faibles car on fait les choses de manière économique", détaille Wouter De Backer. "Vous n'entendrez jamais de musique dans nos magasins pour ne pas payer la redevance, par exemple. Nos camions à double ponts peuvent aussi transporter 60% de marchandises en plus", précise-t-il, permettant ainsi de réduire au maximum les coûts logistique de l'enseigne. Les dépenses de communication et de marketing sont aussi réduites à leur strict minimum chez Action : "Nous avons la chance d'avoir des clients qui font beaucoup de publicité pour nous sur les réseaux sociaux", explique le Directeur général. Et bénévolement, toujours selon lui, puisqu'il confirme que l'enseigne n'en rémunère aucun. "Les magasins Action ont été conçus dès le départ pour être faciles à déployer et peu chers : le mobilier est frustre, il n'y a pas de fioritures dans le point de vente et peu de personnel", détaille également Yves Marin. >> Lire l'article complet sur le site Business Insider

L'étiquetage de l'origine France des produits agroalimentaires est menacé

Censé renforcer la loi EGalim de 2018, l'article 4 se penche sur la question de l'étiquetage. Initialement, il affirmait que, "par principe, l'indication du pays d'origine est obligatoire pour les produits agricoles et alimentaires pour lesquels il existe un lien avéré entre certaines de leurs propriétés et leur origine". Une rédaction qui laisse très perplexe Olivier Andrault, membre de l'association de consommateurs UFC-Que choisir : "L'article décrète une obligation en trompe-l'oeil. On introduit de manière très habile l'obligation de l'indication du pays d'origine, mais on ajoute une condition impossible à remplir. C'est un retour en arrière par rapport au texte actuel." La PPL retranscrit en fait le règlement européen actuellement en vigueur. M. Besson-Moreau le revendique d'ailleurs : "L'étiquetage est une compétence de l'UE. Ce n'est pas du droit français. Nous sommes dans un marché commun. Un produit doit avoir une spécificité, une qualité pour se voir imposer l'origine France. Vous n'avez pas la possibilité de le faire sur un produit de base." >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Dans le Nord, le lin file de nouveau sa toile

Aberration liée à la mondialisation, la France a perdu, ces vingt dernières années, toutes ses filatures de lin, parties principalement en Chine, alors que l'essentiel de la production mondiale s'effectue dans cette zone. "C'est une fibre qui pousse en France mais qui n'est pas encore transformée à 100 % sur notre territoire, confirme le président de Safilin, Olivier Guillaume. Or, on a la volonté de produire au plus proche des bassins de production." Jusqu'ici, Safilin proposait, du champ au produit fini, une production 100 % européenne avec l'aide de ses deux sites en Pologne. Dans les années 1990, en pleine crise du textile, le groupe familial y a en effet délocalisé ses filatures. Dans le Pas-de-Calais, les machines à filer le lin se sont, pour leur part, tues en 2005. Seule restait au siège de Sailly-sur-la-Lys une équipe chargée de la commercialisation des produits et du soutien aux usines polonaises. Il y a vingt ans, cette délocalisation permettait à Safilin de ne pas mettre définitivement la clef sous la porte et de produire à un coût 30% inférieur. Désormais, l'heure est à la relocalisation. >> Lire l'article complet sur le site du Monde


Supply chain

L'Union Internationale des Transports Routiers planche sur la pénurie de conducteurs

A l'évidence, les personnalités invitées sont venues rappeler qu'une gestion proactive des talents était la condition pour combler les lacunes en matière de compétences dans les entreprises. Les pénuries de conducteurs devraient encore augmenter en 2021. L'IRU estime dans une étude récente que 17 % des offres d'emplois ne pourraient être pourvues dans 23 pays européens . Résultat, les opérateurs de transport et les expéditeurs tous secteurs économiques confondus citent les pénuries de compétences comme cause principale de la carence en main d'oeuvre. C'est un cercle vicieux : les pénuries entraînent une augmentation des coûts, des difficultés opérationnelles et une incapacité à satisfaire la demande des clients. >> Lire l'article complet sur le site de Radio Supply chain


RSE

Achat durable : le Sénat met son grain de sel

Les locataires du Palais du Luxembourg ont aussi adopté, contre l'avis du gouvernement, deux mesures. Ils ont ainsi ajouté un article obligeant l'État à fournir aux acheteurs, au plus tard le 1er janvier 2022, des "outils opérationnels de définition et d'analyse du coût du cycle de vie des biens pour chaque segment d'achat", en intégrant le coût global (acquisition, utilisation, maintenance, fin de vie des biens) ainsi que les coûts externes supportés par l'ensemble de la société : pollution atmosphérique, émissions de gaz à effet de serre, dégradation de la biodiversité, déforestation... Cet amendement, déjà déposé au Palais-Bourbon, avait été rejeté par les députés. Estimant que l'initiative relevait du domaine réglementaire, le gouvernement s'est de nouveau prononcé défavorablement. Mais les sénateurs ont estimé, pour leur part, que les pouvoirs adjudicateurs devaient, pour s'engager dans des démarches vertueuses, avoir des outils pratiques sous la main. >> Lire l'article complet sur Sante achat.info

Deux champions du recyclage textile post-consommation unissent leurs forces

La coopération implique le transfert de connaissances entre les deux entreprises, qui ont été proactivement à l'avant-garde de la problématique de l'économie circulaire depuis de nombreuses années, et un développement de processus conjoint suivi d'une extension de capacité pour la pâte issue des déchets post-consommation. L'objectif est de traiter 25 000 tonnes de déchets textiles par an d'ici 2025. L'industrie de la mode est l'une des industries les plus polluantes au monde. Des millions de tonnes de déchets textiles sont créés chaque année, la plupart finissent dans les décharges. Dans l'esprit de la transition vers l'économie circulaire, Lenzing et Södra ont jusqu'à présent abordé le problème de manière indépendante et développé des options de solutions appropriées. >> Lire l'article complet sur le site de Mode in Textile

"Écocide" : vers la reconnaissance d'un crime international

Le comité a préféré s'en tenir à "une définition qui englobe les actes les plus flagrants", explique Philippe Sands, plutôt qu'une mention explicite du changement climatique souhaité par certains. Les accidents nucléaires transfrontaliers, les grandes marées noires et la déforestation amazonienne sont des exemples potentiels d'écocide, de même que, à une plus petite échelle géographique, l'abattage illégal d'une importante espèce protégée. L'objectif est de rallier le soutien nécessaire d'un nombre suffisant d'États pour amender le statut de la CPI. Quatre conditions doivent, en effet, être réunies pour faire de l'écocide un crime international. Un des 123 États ayant ratifié le Statut de Rome doit proposer un amendement en ce sens. Ensuite, une majorité doit se dégager à l'assemblée annuelle de la CPI pour accepter que cet amendement soit pris en considération. Enfin, une majorité des deux tiers des États parties à la CPI doit voter en faveur de l'amendement, chaque pays devant ensuite ratifier le statut amendé. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix


Commande publique

Le modèle de marché public de maîtrise d'oeuvre à jour du CCAG-MOE

En éditant, enfin, ces clauses générales qui ont vocation à "chapeauter" tous les marchés publics de maitrise d'oeuvre, la DAJ a introduit quelques ajouts et nouveautés qui nous ont obligés à mettre à jour, à la marge dans la plupart des cas, le travail réalisé en 2020. Avec cette parution, c'est désormais une suite contractuelle complète et cohérente qui est mise à la disposition des maîtres d'ouvrage publics et des maitres d'oeuvre ; la pyramide est désormais finalisée et s'égrène comme suit : CCAG / Acte d'engagement / CCAP / CCTP / Convention de groupement. En parallèle, concernant la passation des marchés, il faut également rappeler que le CNOA met à disposition un modèle de règlement de concours qui sera bientôt complété par un modèle de règlement de consultation. Une convention type de groupement de maîtrise d'oeuvre viendra parachever ces outils.>> Lire l'article complet sur le site de Architectes.org

L'Indonésie signe une lettre d'intention pour l'acquisition de 36 Rafale

L'achat du Rafale se traduirait par l'irruption locale d'un troisième acteur, avec les contraintes inhérentes à la formation, la chaine logistique et l'achat d'armements. Sans compter que l'Indonésie s'est également engagée en 2011 et à hauteur de 20% dans le programme KF-X sud-coréen. Pas certain toutefois que ce programme aille à son terme, les Américains, qui doivent en fournir la motorisation, pourraient bien choisir de couper les ailes de l'avion après avoir laissé les Coréens se fatiguer quelques années dessus. >> Lire l'article complet sur le site de Aerobuzz

Nouveau règlement sur les attributions de marchés publics au Vatican

Le texte précise que les opérateurs économiques faisant l'objet d'une enquête pour des délits, qu'ils soient tentés ou accomplis, sont exclus "de la participation à une procédure, de la passation directe de marchés et de l'inscription au registre". La sous-traitance est autorisée "jusqu'à un maximum de 30% de la valeur du contrat". En ce qui concerne le choix du type d'offre, les évaluations des offres techniques "s'expriment toujours par l'attribution d'une note dans une proportion prédéterminée", tandis que l'évaluation des offres économiques, à l'exception des "marchés portant sur des produits ou services innovants", "s'exprime par l'attribution d'une note à la réduction proposée par l'opérateur économique par rapport à la base d'enchères". En cas d'interventions urgentes, le pouvoir adjudicateur peut agir sans aucune formalité, sauf celle de documenter dans les meilleurs délais les circonstances de l'urgence et les actes accomplis. >> Lire l'article complet sur Vatican News

La CJUE impose la transparence sur l'étendue des accords-cadres

La CJUE dans son arrêt du 17 juin 2021, n° C-23/20, précise son arrêt antitrust sur la détermination par le pouvoir adjudicateur de la quantité et/ou la valeur estimée dans un accord-cadre. L'avis de marché - et / ou le cahier des charges - doit indiquer la quantité et/ou la valeur estimée ainsi qu'une quantité et/ou une valeur maximale des produits à fournir en vertu d'un accord-cadre et qu'une fois que cette limite aura été atteinte, ledit accord-cadre aura épuisé ses effets.(...) L'avis de marché doit indiquer la quantité et/ou la valeur estimée ainsi qu'une quantité et/ou une valeur maximale des produits à fournir en vertu d'un accord-cadre et qu'une fois que cette limite aura été atteinte, ledit accord-cadre aura épuisé ses effets. >> Lire l'article complet sur le site de Code: Commande Publique


IT

En 2021, les dépenses IoT des entreprises vont augmenter de 24%

En 2020, les investissements dans les solutions IoT d'entreprise ont enregistré une croissance de 12,1% soit 128,9 milliards de dollars. En effet, la pandémie de COVID-19 a eu des impacts très différents sur plusieurs segments du marché de l'IoT. Par exemple, les dépenses en matériel IoT ont augmenté de 5,4% en 2020, tandis que les dépenses en services cloud/infrastructure IoT ont augmenté de 34,7% au cours de la même période. Bien que la pandémie continue d'avoir un impact négatif sur les budgets IoT, IoT Analytics estime que les dépenses dans ce secteur en 2021 devraient augmenter de 24,0%. En conséquence, le marché global va atteindre 159,8 milliards de dollars à la fin de cette année. >> Lire l'article complet sur le site de Objet connecté


Travel management

Paris Air Forum : les patrons de l'aérien font le point sur le voyage d'affaires

Thomas Juin, le président de l'UAF (Union des Aéroports Français), a rappelé que le secteur était dans une phase de profonde transformation. "Et l'on ne re-voyagera pas de la même façon une fois terminée la crise sanitaire". La visioconférence est notamment entrée dans les moeurs. "Quand on voit des analyses prospectives qui vous annoncent une baisse de 40% des déplacements d'affaires à moyen-terme, cela pose question !", a-t-il indiqué. Arnaud Vaissié, PDG d'International SOS et président d'AOK pass, préfère parler de confiance plutôt que de changement de comportement. Et il se montre convaincu de la reprise des déplacements professionnels une fois cette confiance revenue. "Cette relance va être lente et progressive. Sur le plan sanitaire, les entreprises sont en effet très exigeantes. Aujourd'hui, nous avons sept fois plus d'appels par voyage d'affaires qu'avant la crise. Il y a une attente extrêmement forte des entreprises et des collaborateurs pour une reprise des déplacements mais d'une façon sûre". >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros

Fleet management

Gestion de flotte : une organisation à (re)-construire

"L'organisation des flottes ? Quel bazar !" Quand cet expert en management décrit les organisations qui prévalent avec les flottes, il ne peut s'empêcher de soupirer. "Je préfère garder l'anonymat sur ce sujet, poursuit-il. Mais la gestion de flotte souffre d'un manque clair de gouvernance. En matière de voitures, chacun à son "idée" et beaucoup veulent s'en occuper. Le service RH car cela touche à la rémunération des salariés. Les achats et la finance puisqu'un véhicule coûte 12 000 euros par an. L'informatique avec les logiciels embarqués veut aussi mettre son grain de sel, tout comme les services généraux ", déplore cet expert. Conclusion : les responsables de parc, seuls vrais spécialistes de la question, sont ballotés entre différents dirigeants. "Avec un corollaire : tout le monde s'occupe de gestion de flotte, personne n'en est vraiment responsable", conclut-il. >> Lire l'article complet sur le site de Flotauto

Réglementation : de la LOM à la loi Climat-Résilience

Selon le projet de loi Climat-Résilience, le taux de 50% pourrait passer, pour l'État et ses établissements publics, à 70% à partir du 1er janvier 2027. Pareillement, un taux de 30% s'appliquera dès le 1er juillet 2021 pour les collectivités territoriales et leurs groupements, ainsi que les entreprises nationales, taux qui passera à 40 % en 2025 et 70 % en 2030. La loi Climat-Résilience devrait également fixer l'interdiction de la vente des voitures émettant plus de 95 g/km de CO2 en NEDC ou 123 g/km en WLTP dès 2030. Des exceptions sont prévues, notamment pour certains véhicules à usages spécifiques, mais sans que ces dérogations ne puissent excéder 5% des ventes annuelles de voitures neuves. Et ce, avant une fin de la vente de VP et VUL neufs carburant aux énergies fossiles prévue pour 2040. L'objectif prévu dans le texte de la loi Climat-Résilience est de tendre, d'ici au 1er janvier 2030, vers une part minimale de 95% de véhicules propres pour les ventes de voitures neuves. >> Lire l'article complet sur le site de Flotauto


RH / Management / Carrière

Entreprises, dites adieu à l'organisation pyramidale !

C'est probablement l'une des principales leçons de cette crise. Elle nous confirme que le monde est définitivement "VICA" : Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu. Pourtant, les organisations tayloristes, pyramidales, sont organisées afin de supprimer le flou et l'incertitude de leur quotidien. Au contraire, agir dans l'incertitude, c'est fonctionner et évoluer dans et avec le flou, apprendre à en faire son allié. Et face à cet enjeu, le management ne recherche pas l'adaptabilité, il poursuit au contraire le renforcement des processus et du contrôle : les études de la DARES*, nous apprennent que depuis les années 90, l'autonomie opérationnelle des salariés n'a cessé de se réduire. Or face au flou et à l'incertitude, cette logique de rigidité et de verticalité est une réponse inadaptée. La digitalisation de l'économie nous a appris que ce n'étaient plus les plus gros qui mangeaient les plus petits, mais les plus rapides qui dépassaient les plus lents. Aujourd'hui, la rapidité n'est plus suffisante. Ce sont les systèmes les plus distribués, organiques, qui vont s'en sortir, alors que les plus verticaux vont péricliter ou disparaître. En effet, la verticalité est une contrainte à plusieurs niveaux lorsqu'il faut réagir avec efficience et justesse. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

 
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