Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 3 janvier

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 3 janvier
© lassedesignen - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" ces jours-ci ? La rédaction a sélectionné pour vous, et rien que pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser.

Je m'abonne
  • Imprimer

Au coeur de la tempête... la fonction achats devient hautement stratégique

"La participation à l'innovation au sens large (Business développement, RSE, veille, digitalisation...) reste encore marginale pour les services achats, soit 12 à 21% pour l'une de ces missions, mais quand ils le sont, c'est d'une manière qualitative, en étant associés dès l'amont des projets, souligne Romaric Servajean-Hilst. Plus tôt ils sont impliqués, plus ils peuvent peser sur les coûts engagés et aider dans le choix des partenaires qui sauront le mieux exploiter l'innovation. L'acheteur se trouve d'abord au service de la performance financière, la crise COVID est venue renforcer ce rôle et celui de gestionnaire des risques en termes de continuité des approvisionnements. La focalisation sur les sujets urgents impacte les opportunités de développer l'innovation avec et par les achats, notamment en matière de RSE." La crise a joué un rôle important de catalyseur. Elle a d'abord mis en exergue des lacunes sur la chaîne de valeur des entreprises. Dans certains secteurs, jusqu'à 70 % d'entre elles ne connaissent pas leurs fournisseurs de rang 2 ou 3 et les risques inhérents. Plus de la moitié reconnaissent que les plus gros problèmes de la Supply Chain, ruptures ou pénuries se sont produits au-delà du fournisseur de rang 1 et que leur management des risques est insuffisant. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Métaux critiques : le défi de l'approvisionnement

Tribune de Thierry Breton (Commissaire européen au Marché intérieur) et Agnès Pannier-Runacher (ministre déléguée chargée de l'Industrie) - "Le moment est décisif. Parvenir à la neutralité carbone en 2050 suppose d'investir massivement pour construire une Europe qui ne dépende plus d'importations carbonées. Or, l'essentiel des technologies clés de la décarbonation requiert des métaux et autres matières premières critiques en quantité toujours plus importantes. Cela risque de créer des tensions d'approvisionnement du fait soit de leur rareté au niveau mondial, soit de la concentration des principaux gisements ou des moyens de raffinage hors d'Europe. Il s'agit, en particulier, du lithium, du nickel, du graphite ou du cobalt pour les batteries des véhicules électriques , ou encore des terres rares pour les aimants permanents des moteurs électriques ou des alternateurs dans les éoliennes. Pour donner un ordre de grandeur, l'Union européenne aura besoin de 60 fois plus de lithium et 15 fois plus de cobalt en 2050 pour les batteries électriques et 10 fois plus de terres rares pour gérer sa transition énergétique. Il existe ainsi un risque réel de substituer à la dépendance aux énergies fossiles importées de nouvelles vulnérabilités à ces métaux critiques. L'Europe ne doit pas passer d'une dépendance à une autre. Elle doit, au contraire, profiter de cette période de transition pour bâtir son autonomie stratégique pour l'avenir. C'est la clef pour se prémunir d'un risque économique majeur. >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site des Echos

Chine: naissance d'un géant des terres rares

Comme son nom l'indique, le groupe des terres rares chinoises - China Rare Earth Group - est une fusion des principaux acteurs du secteur : Chinalco, la China Minmetals Corporation et les mines de terres rares de Ganzhou. Ce regroupement vise à contrôler plus du tiers de l'industrie minière des terres rares de Chine continentale avec près de 70% des terres lourdes, les plus rares dans le sud de la Chine, tel que le dysprosium utilisé dans les réacteurs nucléaires. Pour les minerais plus légers, comme le praséodyme et le néodyme utilisés dans la fabrication des véhicules électriques, ou pour les éoliennes magnétiques, les terres rares ne sont en réalité pas si rares que cela. Et la Chine fait face à une augmentation des capacités de production des concurrents, avec notamment une augmentation de 36% l'année dernière chez le rival américain. On note également une hausse de la production dans d'autres pays comme la Birmanie et Madagascar. La part chinoise dans la production mondiale des terres rares est aujourd'hui tombée en dessous de la barre des 60%. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

Etats-Unis : L'achat de produits issus du travail forcé des Ouïghours, désormais interdit

Joe Biden a signé jeudi une loi interdisant l'achat de produits qui seraient issus du travail forcé des Ouïghours en Chine, et la Maison Blanche a déjà mis en garde les entreprises américaines tentées de fléchir face à Pékin. Le texte signé par le président américain prévoit le bannissement de produits fabriqués en totalité ou en partie dans cette province chinoise, à moins que les entreprises ne soient en mesure d'apporter la preuve que les produits n'ont pas été fabriqués avec du travail forcé. (...) Est-ce la fin des importations de coton et de tomates du Xinjiang aux Etats-Unis ? La loi demande de porter une attention particulière aux importations de trois produits : le coton, dont le Xinjiang est l'un des grands producteurs mondiaux ; les tomates, également produites en masse dans la région ; et le polysilicium, un matériau utilisé dans la production de panneaux photovoltaïques. Cette loi donne au gouvernement "de nouveaux outils pour empêcher l'entrée sur le territoire de produits fabriqués avec du travail forcé au Xinjiang et pour tenir responsables les personnes et entités derrière ces abus", a indiqué jeudi le secrétaire d'Etat Antony Blinken dans un communiqué, appelant le gouvernement chinois à mettre fin "au génocide et aux crimes contre l'humanité". >> Lire l'article complet sur le site de 20minutes

Comment le confinement de la ville chinoise de Xi'an menace la production mondiale de mémoire

La ville de Xi'An, ancienne capitale de l'Empire du Milieu sous plusieurs dynasties chinoises, subit de plein fouet une résurgence de contamination au Covid-19, qui a conduit les autorités à la confiner. Le problème étant que la ville est un haut lieu de production de modules mémoire. Micron y produit une grande quantité de sa DRAM (mémoire vive), et Samsung pas moins de 42,5% de sa mémoire NAND (mémoire flash des SSD) ! Samsung étant leader de ce segment, cela représente 15,3% de la production mondiale de cette précieuse mémoire que l'on retrouve aussi bien dans les smartphones que les ordinateurs, les tablettes ou les voitures. >> Lire l'article complet sur le site de 01Net

Déploiement de la fibre optique : avec le recours à une cascade de sous-traitants, "il ne faut pas s'étonner qu'il y ait des problèmes de qualité"

Une installation sur cinq de fibre optique souffre de problèmes. La plupart du temps, ce sont de simples coupures Internet, de quelques heures voire quelques jours. Mais il y a parfois des soucis plus importants. Comme cette mésaventure arrivée à deux habitants des Hauts-de-Seine, au moment de brancher leur box Internet. "Un des techniciens avait une échelle téléscopique et il n'a pas su l'ouvrir", raconte l'un d'eux. "Alors il a utilisé sa boîte à outils en guise d'échelle. Il est monté dessus. Ca a mis de la colle partout par terre, ça coulait." Puis il a "percé un tuyau de gaz. Il aurait dû avoir un détecteur de métaux, afin de voir s'il y avait un tuyau derrière le mur qu'il allait percer." L'immeuble de 16 étages a dû être évacué. Cet amateurisme s'explique notamment par un manque de formation, lié au recours massif à la sous-traitance. Les lettres de plaintes s'entassent ainsi sur le bureau de la présidente de l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms. Par exemple, le maire d'une commune d'Île-de-France, racontant à Laure de la Raudière, présidente l'Arcep, que plus de 1 000 habitants se sont signalés en mairie pour des pannes longues et répétitives. >> Lire l'article complet sur France TVInfo

En Asie, quelle est la situation économique des pays producteurs de textiles ?

La Chine, de loin le premier fournisseur de l'Union européenne en textile-habillement. Sur les trois premiers trimestres, les revenus des 12.557 plus grosses sociétés textiles montrent une progression de 9% des chiffres d'affaires, à 163,9 milliards de dollars. Le ministère de l'Industrie précise en outre que ces entreprises ont renforcé de 5,8% leurs profits. Sur la période janvier-août, l'empire du Milieu avait exporté pour 105,6 milliards de dollars d'habillement, en progression de 28,10%. Premier challenger de la Chine, le Bangladesh a connu une reprise complexe du fait de nouvelles flambées de contaminations. Le pays est néanmoins parvenu à renforcer ses exportations de textile-habillement de 20,78% sur la période juillet-octobre, à 12,6 milliards de dollars. Des signes encourageants qui n'empêchent pas une vive inquiétude vis-à-vis de la situation européenne. "Nous sommes principalement inquiets devant la possibilité de voir les acheteurs mettre leurs commandes en suspens", indique Shahidullah Azim, vice-président de la fédération des fabricants et exportateurs (BMGEA). "Ces derniers mois, marques et acheteurs nous ont mis la pression pour expédier rapidement, mais maintenant ils nous demandent de ralentir les productions." Des craintes que l'on retrouve en Inde, quatrième fournisseur de l'Europe derrière la Turquie. D'autant que le sous-continent avait vu son activité particulièrement touchée en 2020. >> Lire l'article complet sur le site de Fashionetwork

L'industrie textile française peut-elle être relocalisée ?

Le retour à la production locale, incarnée par des PME de 10 à 250 salariés organisées en groupe, est certes soutenu par le secteur du luxe et de l'innovation, mais aussi par les enseignes de distribution qui, elles aussi, passent de nouveau des commandes aux entreprises françaises. La pandémie, avec les difficultés d'approvisionnements qui l'accompagnent, semble fortifier ce mouvement. " On sent une vague de retour du made in France, indique au micro d'Europe 1, le chef d'entreprise Arnaud de Belabre qui a repris avec un associé l'ancienne manufacture Marcoux Lafay située dans la petite commune rurale de Sainte-Agathe-la-Bouteresse, en region Auvergne-Rhône-Alpes. La manufacture produit de la layette mais aussi des pulls qui sont livrés chez Leclerc ou Carrefour. Cette tendance est confirmée dans l'ensemble du bassin textile de Roanne, indique par ailleurs Eric Boel, qui dirige les Tissages de Charlieu. La PME a signé un contrat sur cinq ans avec Auchan. Une tendance qui ne se limite pas à la Loire. >> Lire l'article complet sur le site de Fashionetwork

Les tendances pour les dépenses publicitaires en 2022

En 2022, cette tendance ne devrait pas faiblir : 64,4% des dépenses publicitaires se feront sur des annonces numériques. C'est une augmentation par rapport à 2020 (52,1%) et également par rapport à 2021 (60,5%). Ce phénomène est la preuve que les spécialistes du marketing ne sont pas capables de se défaire des grandes plateformes web pour communiquer... Même s'il disent ne pas vouloir dépendre d'elles, il apparaît qu'il est très difficile de les abandonner en raison des résultats qu'elles produisent. Les dépenses sur les réseaux sociaux (156 milliards d'euros) vont même dépasser celles de la télévision en 2022 (153 milliards d'euros). Les marketeurs vont là où les utilisateurs concentrent leur attention. En 2021, les adultes américains ont passé 60,4% de leur temps consacré au web, sur Facebook et Instagram. Selon Vincent Letang, associé chez Magna d'IPG, " les dépenses publicitaires totales dans leur ensemble sont de moins en moins corrélées aux fluctuations économiques, simplement en raison des énormes facteurs de croissance organique qui stimulent, en particulier, les formats numériques ". Bref, on constate que l'incertitude économique n'influence plus autant les décisions d'investissement publicitaire. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

Les défis de l'économie circulaire

La marque au losange n'est pas la seule à s'emparer des fameux "trois R" (réutilisation, recyclage, réduction) de l'économie circulaire. Depuis quelque temps, ce concept né dans les années 1970, dans le sillage du rapport Meadows sur les limites de la croissance, fait fureur chez les industriels. Automobile, agroalimentaire, textile, électroménager, et même BTP, tous les secteurs ou presque s'en revendiquent, avec plus ou moins d'ambition. Pour ne citer que quelques exemples parmi les plus récents : IKEA vient d'annoncer une offre 100 % circulaire à l'horizon 2030, Danone, Carrefour, Pernod Ricard ou encore L'Oréal visent 100 % d'emballages recyclables d'ici à 2025, et même Apple, souvent dénoncé comme un spécialiste de l'obsolescence programmée, a annoncé que, d'ici à 2030, il n'aurait plus besoin d'extraire de matière vierge pour fabriquer ses iPhone... >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Alimentation : comment créer un système de notation environnemental scientifiquement fiable et facilement compréhensible ?

Une étude menée par l'Iddri montre en outre que chaque méthode de notation reflète des choix sur les systèmes agroalimentaires qu'elle souhaite promouvoir. Si toutes les formes d'affichage environnemental proposées incitent à la réduction des protéines animales au profit des protéines végétales, elles préconisent toutefois des hiérarchies entre produits d'origine animale différentes. "Par exemple, la proposition du Planet-score , qui s'inscrit dans une vision agroécologique de la transition, incite plus à la consommation de viande bovine issue de pratiques d'élevage extensif que ne le fait l'Eco-score. L'agroécologie vise en effet à s'affranchir le plus possible des engrais azotés - d'où la contrainte de maintenir un élevage bovin extensif pour les apports en engrais organiques qu'il permet - et accorde une place importante à la préservation de la biodiversité issue des prairies permanentes (paysage qui là encore, dépend de l'élevage extensif)", explique l'Iddri sur son site. "La discussion méthodologique sur l'AE reflète l'un des principaux débats sur la transition agricole: d'un côté, une bifurcation vers un modèle agroécologique plus extensif, qui privilégie notamment la complémentarité entre les cultures animales et végétales pour s'affranchir des engrais azotés; de l'autre, une relative continuité avec le système intensif actuel", continue l'Iddri. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune


Commande publique

Délais de paiement: les détails de l'avant-projet de loi soumis au Secrétariat général du gouvernement

La grande nouveauté de ce texte, librement consultable sur le site du Sgg pour 29 jours encore, réside dans l'introduction d'un dispositif de sanctions pécuniaires à l'encontre des entreprises dépassant les délais de paiement légaux. Très concrètement, le texte propose d'instaurer une amende pécuniaire fixée à 3% pour le premier mois de retard de paiement augmentée de 1% par mois ou fraction de mois de retard supplémentaire, applicable au montant des factures libellées en dirhams, dont le montant hors TVA est supérieur à 10.000 dirhams, non payées dans les délais règlementaires ou payées hors délai. A noter que cette amende est payée au profit de la Trésorerie générale du Royaume (TGR). >> Lire ce sujet en entier sur le site de Le 360.ma

L'expérimentation "achat public innovant" pérennisée

A l'instar de ce qui est prévu pour les marchés négociés en raison de leur montant (valeur inférieure à 40 000 euros hors taxe conformément à l'article R. 2122-8), l'article R. 2122-9-1 impose à l'acheteur de veiller à choisir une offre pertinente, à faire une bonne utilisation des deniers publics et à ne pas contracter systématiquement avec un même opérateur. Désormais, toute entreprise commercialisant une solution innovante - d'après les critères ci-dessus - peut conclure directement auprès d'un acheteur public un marché sans publicité ni mise en concurrence préalables. Les avantages sont nombreux, notamment : - Possibilité de négocier librement avec l'acheteur les conditions du contrat; - Absence de mise en concurrence pouvant décourager les petits opérateurs économiques, très souvent désavantagés au stade de l'analyse des candidatures (chiffre d'affaires insuffisant, absence de références, etc.) ; - Signature rapide du contrat de par l'absence de délais légaux imposés pour la procédure. Ces marchés innovants vont donc intéresser tout particulièrement les start-ups, TPE, PME, en leur permettant de vendre leurs solutions aux donneurs d'ordre public sans avoir à candidater à l'obtention d'un marché public. >> Lire ce sujet sur France Marchés


Supply chain

Et si...

Tribune de Philippe-Pierre Dornier, professeur à l'Essec et président de Newton.Vaureal Consulting -"Et si l'impossible se produisait, si l'impensable devenait réalité. Et si les goulots d'étranglement actuels, loin de se résorber, se transformaient en un formidable blocage. Imaginait-on fin 2019, les conséquences de la pandémie et le scénario de l'année 2020 ? Et si... Et si la situation géostratégique venait à transformer durablement le champ des contraintes sur la circulation des marchandises. Taïwan : 23 millions d'habitants. La Chine : 1,4 milliard. 16 pays de l'ONU reconnaissent Taïwan (la République de Chine) comme les Îles Marshall, les Tuvalu, Haïti ou le Saint-Siège... Aucun des grands pays développés n'a reconnu Taïwan. Certains, au cours des 70 dernières années, ont retiré leur reconnaissance pour la donner à la Chine. Realpolitik ! Qui ira se battre longuement pour un pays qui n'est pas même reconnu aujourd'hui par les grandes puissances ? Il y aura de la gesticulation, c'est certain. Et elle sera à portée logistique, c'est sûr. Et si donc la région asiatique venait à se figer suite à une réunification volontariste de la Chine et de Taïwan. Le sujet ici n'est pas de mesurer les scénarios politiques possibles, mais de prendre cette hypothèse pour en évaluer les conséquences sur la supply chain." >> Loire l'article complet sur le site de VoxLog

Supply chain : les entreprises doivent faire un effort de transparence

En France, le groupe Decathlon travaille depuis une quinzaine d'années sur la traçabilité de ses marchandises. L'enseigne peut aujourd'hui se targuer de distribuer 100% de produits traçables de l'usine à la caisse. Cela vaut pour les marques propriétaires (Quechua, B'Twin, Tarmak, etc.), mais aussi pour les marques tierces distribuées en ligne ou dans les points de vente physiques. Pour parvenir à ce résultat, Decathlon a fait le choix du source tagging : dès leur mise en production, les articles reçoivent un inlay RFID et un identifiant digital unique. Ce dispositif donne accès à des informations sur la composition, le lieu de fabrication ou encore la date de péremption, qui sont ensuite enrichies tout au long de la chaîne d'approvisionnement. Grâce à ce procédé, l'entreprise maîtrise parfaitement l'ensemble de ses événements logistiques. Si de plus en plus de distributeurs et de marques font le choix de la RFID, ce n'est pas un hasard. Parce qu'elle attribue un identifiant digital à chaque produit, cette technologie permet d'obtenir un suivi automatisé et beaucoup plus précis tout au long de la chaîne de valeur. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Les coûts d'expédition et de logistique devraient encore augmenter en 2022

Les géants de la livraison FedEx Corp. et United Parcel Service Inc. ont tous deux déclaré que les tarifs augmenteraient en moyenne de 5,9% l'année prochaine dans la plupart des services. C'est la première fois en huit ans que l'une ou l'autre société enregistrait des augmentations annuelles supérieures à 4,9%. Xeneta, un spécialiste des données de transport et des achats basé en Norvège, estime que le prix au comptant pour expédier un conteneur de 40 pieds de Shanghai à Los Angeles plus tôt ce mois-ci était 75 % plus élevé qu'à la même période l'an dernier. Seko Logistics, un transitaire basé à Itasca, dans l'Illinois, a déclaré que son tarif contractuel pour expédier un conteneur de 40 pieds d'Asie vers la côte ouest des États-Unis pourrait doubler l'année prochaine pour atteindre entre 6 500 et 7 000 dollars. En 2019, l'entreprise a payé aux transporteurs maritimes environ 1 500 $ pour le même service. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

La différence des prix entre le spot et le long terme approcherait les 20 000 $ selon Sea-Intelligence

Si les arguments des armateurs n'ont pas convaincu, eux qui encouragent vivement les chargeurs à se désintoxiquer du spot pour contracter à plus long terme (finalité recherchée de CMA CGM et de Hapag-Lloyd en bloquant les taux de fret, mais aussi de Maersk mais différemment...), la force du marché va les contraindre. C'est ce que voudrait signifier Sea-Intelligence avec une estimation qui paraît, elle, complètement hors marché. Selon le cabinet danois, l'écart de prix entre les petits chargeurs contractant sur le spot et ceux sous contrat à long terme continue de s'accroître, indique Sea-Intelligence, qui ne détaille pas vraiment comme il parvient à ce calcul. Il était de 10 000 $ il y a quatre mois. Il approcherait désormais les 20 000 $. Dans des circonstances "normales", la différence de prix est généralement de 2 000 $, avec un écart moyen de 400 $. Le consultant s'appuie en fait sur la part que représentent les coûts de fret par rapport à la valeur de la cargaison. Pour un chargeur ayant des contrats fixes, les coûts de fret représenteront jusqu'à 18 % de la valeur de la cargaison contenue dans un conteneur par exemple, contre 5 % avant la pandémie. En revanche, le chargeur, exposé au marché spot, voit ses coûts de fret exploser, passant de 7 à 62 %. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la Marine Marchande

Entrée en vigueur du RCEP : le poumon de l'économie mondiale constitue sa propre zone de libre-échange

Trois grandes puissances asiatiques, la Chine, le Japon et la Corée du Sud, se sont associées aux dix pays membres de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN) ainsi qu'à l'Australie et à la Nouvelle-Zélande. Sous l'impulsion de la Chine, le RCEP constitue désormais la plus grande zone de libre-échange au monde. Le RCEP prévoit d'abolir progressivement jusqu'à 90% des droits de douane ainsi que la suppression de quotas sur 65% des produits échangés entre ses membres. Les pays partenaires se sont entendus sur l'harmonisation de règles commerciales communes, dans un marché qui représente 2 milliards de consommateurs et 30% du PIB mondial. Au-delà de ces règles, l'accord porte sur des domaines sensibles tels que les investissements, le commerce électronique, la concurrence aux petites et moyennes entreprises et la propriété intellectuelle. >> Lire ce sujet sur le site Portail de l'IE


Fleet management

Villeneuve-lès-Maguelone : Enedis confie l'entretien de ses véhicules électriques à l'ESAT Peyreficade

Pour Dominique Charzat, directeur régional d'Enedis, ce partenariat s'inscrit dans une logique durable : "Au-delà de notre métier de distributeur d'électricité, nous sommes un acteur impliqué au coeur même du territoire. Notre politique de développement durable se construit avec des partenaires comme l'ESAT de Peyreficade. Nous sommes très satisfaits de leur réactivité et de leurs compétences pour l'entretien de nos voitures de service de Montpellier". Ses équipes et lui imaginent déjà l'avenir de cette entente. "20% de notre flotte régionale est composée de véhicules électriques et nous avons l'ambition d'atteindre 30% dès 2023. Nous allons confier à l'ESAT Peyreficade un nombre croissant de véhicules électriques à réviser. C'est une compétence nouvelle du métier de mécanicien, que chacun pourra acquérir à son rythme en révisant nos voitures d'entreprise", se réjouit le responsable. >> Lire l'article complet sur le site de Hérault Tribune

IT

Las Vegas lance un jumeau numérique pour décarboner la ville

Concrètement, Cityzenith a modélisé cette partie de la ville en 3D et utilise les données compilées et contextualisées de Terbine pour mesurer et analyser les émissions en temps réel. Ces informations, associées avec le module de système d'exploitation pour les bâtiments de Cityzenith (la couche logicielle qui rend les immeubles "intelligents" en centralisant toutes les données des bâtiments), pourront être utilisées par les différents opérateurs pour améliorer la mobilité, la qualité de l'air, la gestion de l'eau, la pollution sonore, et bien sûr les émissions de CO2. La prochaine étape consistera à embarquer les propriétaires immobiliers, les agences publiques, les chercheurs, les architectes et les gestionnaires de casinos dans le projet, et à modéliser progressivement le reste de la ville. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale


Carrière / RH / Management

Le leadership sage, socle de l'entreprise du 21e siècle

Les dirigeants sages ont une perspective holistique, ils voient le monde comme un réseau de vie interdépendant et interconnecté. Ils s'efforcent de surmonter les divisions, de résoudre les polarités et les paradoxes avec la pensée intégrative ("à la fois... et" par opposition à "soit... soit"). Ils sont profondément alignés avec leur "étoile polaire", qui confère à leur vie un sens profond et un objectif qui transcende leur ego. Les dirigeants sages s'efforcent de changer et d'élargir la perspective de leurs employés et des parties prenantes, en expliquant comment la survie à long terme de l'entreprise dépend de l'utilisation de toutes ses ressources pour résoudre de manière créative des problèmes mondiaux tels que les inégalités sociales, le changement climatique et les urgences sanitaires. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page