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Revue de presses achats - semaine du 26 août

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Revue de presses achats - semaine du 26 août

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Net ces derniers jours? La rédaction a pensé à vous et a sélectionné des articles susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !

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Amazon accusé de vendre des milliers de produits dangereux et contrefaits

Amazon n'est pas responsable des produits vendus par ses les marchands tiers, mais est en charge de la sélection des vendeurs qui doivent lors de leur arrivée sur la plate-forme satisfaire à certains critères de qualité. Le WSJ évoque le cas d'un client du Missouri ayant trouvé la mort dans un accident de la route alors qu'il portait un casque acheté sur Amazon. Ce dernier présentait des anomalies et était non conforme à la réglementation du ministère des transports des Etats-Unis. La cour de Philadelphie a estimé pour sa part qu'Amazon a la "pleine capacité, à sa seule discrétion, de supprimer tous les produits dangereux de son site". Une vision que tente également d'imposer le gouvernement de Pékin vis-à-vis de grandes plateformes e-commerce chinoises, fréquemment accusées de ne pas véritablement lutter contre les produits contrefaits. Depuis le 1er janvier 2019, les plateformes sont responsables de produits qu'elles vendent. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Timberland, North Face, Vans : ces grandes marques qui boycottent le cuir brésilien

VF Corp, un géant américain propriétaire d'une vingtaine de marques dont Timberland, The North Face ou Napapijri, a suspendu ses achats de cuir en raison de ses doutes sur le respect de l'environnement par ses fournisseurs locaux. "Nous ne sommes plus en mesure de nous assurer de manière satisfaisante que notre [...] cuir acheté auprès de fournisseurs brésiliens respecte cet engagement", a déclaré le groupe américain dans un communiqué transmis à Reuters. Il a également fait savoir qu'il recommencerait à se fournir au Brésil s'il obtient "la conviction et l'assurance que les matériaux utilisés dans ses produits ne contribuent pas à la dégradation de l'environnement dans le pays". L'élevage bovin, destiné à produire du boeuf mais aussi du cuir, est l'une des principales causes de la déforestation : les terres déboisées servent aux pâturages. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Améliorer la performance extra-financière par la fonction achats

Par Natacha Tréhan - "Si les entreprises veulent améliorer leur performance extra-financière, elles doivent redéfinir les missions de leur fonction Achats. Elles doivent arrêter de la cantonner à de la pure réduction des coûts et à de la conformité fournisseurs (audits RSE fournisseurs en particulier). Elles doivent renforcer sa participation aux instances internes de décisions stratégiques. Elles doivent augmenter les interfaces entre leurs directions Achats et RSE. Sous ces conditions, les entreprises seront plus à même d'améliorer leur performance extra-financière, a fortiori, leur rating par les agences de notation extra-financières." >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Une filière du houblon français pour étancher la soif des brasseurs

Aujourd'hui, le marché français est marqué par un paradoxe. 70 % de la production hexagonale - qui ne représente que 1 % de la production mondiale - sont exportés alors que les brasseurs français importent 85 % de leur houblon des États-Unis ou d'Allemagne. Certaines variétés protégées par des brevets ne sont disponibles qu'à l'étranger, explique Francis Heitz, responsable export chez Hop France. "Il faut mettre en adéquation la demande des micro-brasseurs avec la production" des nouveaux producteurs français, souligne-t-il. L'interprofession devra également répondre à une demande en houblon bio qui explose. Les surfaces cultivées en bio doivent passer de 20 à 60 hectares d'ici 2021. >> Lire l'article complet sur le site de Terre-net

Cameroun : le poivre de Penja, de réputation mondiale, est menacé par des bio-agresseurs qui détruisent les plantations

En 2018, l'Agence française de développement (AFD) a financé un programme de recherche, afin d'éviter le péril qui menace le poivre de Penja. L'on se souvient que c'est ce même bailleur de fonds qui avait contribué à la labélisation du poivre de Penja par l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dans le cadre d'un programme sur les indications géographiques. À la faveur de sa labélisation, le prix du kilogramme du poivre de Penja, épice prisée par les meilleurs cuisiniers à travers le monde, est passé de 2500 à 14 000 FCFA. Cette aubaine pour les producteurs de Penja et ses environs semble progressivement se muer en cauchemar, à cause de bio-agresseurs qui ont pris possession des terres de la localité de Penja, située dans la région du Littoral du Cameroun. >> Lire l'article complet sur le site de Agro Agenceecofin

Le Brésil vise le marché chinois de l'éthanol, mais des volumes élevés sont peu probables

La Chine souhaite ajouter 10% d'éthanol à l'essence utilisée dans le pays d'ici 2020, une politique qui pourrait renforcer considérablement le marché de l'éthanol du pays et potentiellement augmenter les importations, la capacité de production locale étant trop petite pour atteindre l'objectif visé. Des représentants de l'industrie brésilienne de l'éthanol ont participé à une mission commerciale organisée par le gouvernement de l'État de Sao Paulo qui s'est rendu en Chine ce mois-ci. L'ordre du jour de la mission comprenait des réunions avec les autorités chinoises et une visite au siège du négociant en matières premières COFCO, qui possède quatre usines de production d'éthanol au Brésil. L'état de Sao Paulo est le plus grand producteur d'éthanol au Brésil. Le secrétaire d'Etat à l'agriculture, Gustavo Junqueira, qui a accompagné la visite de ce mois-ci en Chine, a déclaré que l'ouverture du marché chinois de l'éthanol était discutée. >> Lire l'article complet sur le site de Reuters


Nominations

Un nouveau directeur général pour Eurelec, la centrale d'achat commune E.Leclerc/Rewe

Jérémie Vilain est le nouveau directeur général d'Eurelec Trading depuis le début du mois d'août. Le dirigeant, qui a oeuvré au sein des deux distributeurs, est aux commandes de leur centrale d'achat commune, qui vise un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros cette année. >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Alfonso Sancha, nouveau responsable des achats de Seat

A compter du 1er septembre 2019, Alfonso Sancha occupera le poste de vice-président exécutif des achats de Seat. Il remplace Klaus Ziegler qui devient responsable des achats pour les systèmes de connectivité, d'e-mobilité et d'aide à la conduite du groupe VW. Luca de Meo, le patron de Seat, l'a d'ailleurs salué : "Klaus Ziegler a joué un rôle primordial dans la gestion du réseau de fournisseurs pour l'offensive produits que nous avons lancée à partir de 2016. Il a contribué avec succès à la réalisation de projets clés tels que la gestion des achats généraux dans la péninsule ibérique et le leadership en Afrique du Nord." Durant son parcours, Alfonso Sancha a occupé des postes internationaux d'importance au sein du groupe VW en Allemagne, au Mexique ou en Chine ou il était vice-président des achats de Volkswagen Group China. Jusqu'à cette nomination chez Seat, il était responsable des achats de pièces métalliques au sein du groupe allemand. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de l'Automobile

Commande publique

Les Armées forment leurs acheteurs avec le "Jeu de la commande publique"

Apprendre en s'amusant... Bon, avant de s'amuser, avouons-le, il faudra transpirer un peu, pour s'approprier les règles fort complexes du Jeu de la commande publique. Mais l'initiative de la Mission achats du ministère des Armées est à saluer. Ses agents ont créé de toutes pièces un jeu de plateau qui constitue, avec son vade-mecum, une méthode de formation complète pour les trois fonctions publiques (Etat, territoriale et hospitalière) - et pourquoi pas pour les opérateurs privés. Le but d'une partie, qui se joue avec 3 à 6 joueurs et dure une heure environ, est d'être le premier à notifier un marché et à l'exécuter. "Pour cela, ils doivent franchir les différentes étapes de la procédure d'achat public [sourcing, stratégie d'achat, attribution, paiement...] en regroupant les agents ayant les compétences requises, c'est-à-dire en formant des combinaisons de cartes répondant aux critères de l'étape à franchir", explique la règle. >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

Une offre inférieure à près de 30 % de l'estimation de l'administration n'est pas forcément anormalement basse

Une offre variante, qui présente une différence de - 29 % par rapport à l'estimation confidentielle de l'acheteur, n'est pas anormalement basse, s'il n'est pas démontré que l'offre retenue serait susceptible de rendre difficile l'exécution du marché. Par suite, en ne rejetant pas l'offre retenue comme anormalement basse, le pouvoir adjudicateur n'a pas entaché sa décision d'une erreur manifeste d'appréciation ni, dès lors, méconnu le principe d'égalité entre les candidats et manqué à ses obligations de mise en concurrence. >> Voir l'article sur le site de Weka

Marchés publics : que faut-il savoir sur les clauses abusives ?

Dans l'établissement des contrats de la commande publique, les acteurs se doivent de fixer des règles qui garantissent l'équité et servent la transparence dans les marchés publics. Pourtant, force est de constater qu'il est des acteurs qui cherchent à briser cet équilibre en usant de subterfuges au nombre desquels les clauses abusives. Ces clauses sont, au sens de l'article L132-1 du Code de la consommation, définies comme celles "qui ont pour objet ou pour effet de créer, au détriment du non-professionnel ou du consommateur, un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties du contrat." Pour qu'une clause soit réputée abusive, le concours de deux conditions est nécessaire : la conclusion d'un contrat entre un professionnel et un non professionnel ou un consommateur et l'existence effective d'un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat.>> Lire l'article complet sur le site de MarchéspublicsPME.com

RSE

Electricité : l'imposture des "offres vertes"

Mais derrière les arguments commerciaux prétendument écologistes des fournisseurs se cache une réalité très simple : en France, plus de 72 % de la production d'électricité est d'origine nucléaire, qui n'est pas incluse dans les offres vertes. Alors comment peuvent-ils tous vendre du "vert" ?? Concrètement, l'électricité arrivant au consommateur qui a souscrit à l'une de ces offres n'est pas produite directement par des éoliennes, des barrages ou des panneaux solaires. Le fournisseur achète l'électricité à des producteurs (en France, principalement EDF), puis compense l'équivalent en achetant des certificats de garantie d'origine à des producteurs d'énergie renouvelable - le plus souvent des barrages hydroélectriques. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Énergie : le groupe coopératif agricole Maïsadour verdit son approvisionnement

Le groupe coopératif agricole Maïsadour (5 000 adhérents, 1,3 Md € de chiffre d'affaires, siège social à Mont-de-Marsan dans les Landes) a signé le 27 août, dans l'Aude, un Power Purchase Agreement (PPA), contrat d'achat d'électricité innovant afin de "verdir" son approvisionnement en énergie, avec deux filiales du groupe EDF, Agregio (agrégateur au service des producteurs d'électricité et des entreprises industrielles et tertiaires, créé en 2017) et EDF Renouvelables. Le PPA est un contrat d'achat direct d'énergie de long terme, signé de gré à gré entre un producteur d'énergies renouvelables et un consommateur professionnel. Pour les producteurs, c'est une des alternatives possibles à la sortie progressive des installations de production d'électricités renouvelables (15 ans pour les parcs éoliens) du mécanisme d'obligation d'achat, dans le cadre d'une vente directe sur les marchés. >> Lire l'article complet sur le site de Objectif Languedoc-Roussillon

Il fabrique des pailles naturelles et 100% biodégradables avec des d'herbes sauvages

C'est un vietnamien, Tran Minh qui propose des pailles biodégradables fabriquées à partir d'herbes sauvages. De la matière première à foison pour un résultat étonnant et 100% écologique. Une nouvelle alternative aux pailles plastiques disponible uniquement au Vietnam pour le moment. Selon les informations du site theepochtimes.com, ces pailles sont fabriquées à partir d'une herbe particulière appelée Lepironia Articulata, très présente dans le delta du Mékong. Cette herbe ne contient aucun produit chimique puisqu'elle pousse de manière sauvage. Avant de confectionner les pailles, les tiges sont ramassées puis débarrassées de toute pollution externe. >> Voir l'article sur le site de Neozone

De l'hydrogène sera produit à partir de bois à Strasbourg

La biomasse est la matière organique issue du bois et de déchets agricoles et forestiers. Pour commencer, le procédé utilisera des plaquettes forestières, qui sont les bois laissés en forêt après la récolte, a précisé Mme Mack. Le procédé, développé et breveté par Haffner Energy, une PME de Vitry-le-François (Marne), diffère des deux techniques actuelles : la transformation d'énergie fossile (méthane) et l'électrolyse de l'eau. "Unique au monde, il repose sur la thermolyse (chauffage) de la biomasse et la gazéification, de façon à obtenir " l'hydrogène renouvelable le plus compétitif qui soit", "pur à 99,97 %", a exposé Philippe Haffner, président de Haffner Energy. A la différence de l'hydrogène d'origine fossile, il ne rejette pas durablement de C02 dans l'atmosphère car celui-ci est immédiatement piégé, et son coût -5 euros pour 1 kg d'hydrogène au stade actuel de mise au point-, est moindre que l'électrolyse, a-t-il ajouté. La technologie présente aussi l'intérêt de pouvoir produire un gaz utilisable en chaleur, si la demande en hydrogène pour véhicules était insuffisante, a relevé Mme Mack. Son efficacité, prouvée sur un prototype dans les locaux d'Haffner Energy, doit à présent être confirmée à "échelle industrielle", a rappelé Mme Mack. >> Lire l'article complet sur le site de Techniques de l'ingénieur

Supply chain

Zalando et Adidas partenaires sur un pilote multicanal à Paris

Le partenariat entre Zalando et Adidas prend de l'ampleur avec la mise en place d'un nouveau process logistique permettant de commander sur le site de la marque de sport et de se faire livrer directement par Zalando. Une phase pilote sur ce modèle a été développée début août amenant ainsi la plateforme e-commerce à délivrer les colis d'acheteurs parisiens en partant de son centre logistique situé à Moissy-Cramayel (77), avec une livraison le jour même ou le jour suivant. "Nous sommes ravis de nous associer de nouveau avec Adidas, notre partenaire de longue date, pour tester ce modèle prometteur et créer des synergies pour le plus grand bénéfice de nos clients. Les clients d'Adidas, mais aussi nos propres clients, tirent bénéfice du regroupement des commandes, car cela nous permet d'étendre les zones de livraison le même jour par Zalando", indique Jan Bartels, vice-président en charge de la logistique client chez Zalando. De quoi offrir la possibilité pour les clients d'Adidas vivant à Paris de bénéficier d'une livraison plus rapide. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Baromètre FNTR : les transporteurs routiers inquiets

Une baisse d'activité qui s'accompagne d'une inquiétude croissante liée à un contexte politique et économique déstabilisant. Recensant un pourcentage en chute de 10 % de dirigeants estimant que la situation est plutôt satisfaisante, la FNTR tire la sonnette d'alarme : "les mesures annoncées vont être autant de bâtons dans les roues des entreprises françaises. Quand le gouvernement explique vouloir soutenir la croissance et la compétitivité française que, en même temps, il prend des mesures fiscales et sociales qui les dégradent, il y a incohérence", estime Jean-Christophe Pic, président de la FNTR, dans un communiqué de presse. Notamment en cause : des mesures fiscales et sociales des PLF et PLFSS 2020 présentées à l'ensemble des organisations professionnelles du secteur début juillet "sans concertation et sans négociation". >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Au G7, Emmanuel Macron veut engager les transporteurs maritimes pour l'environnement

Samedi 24 août, lors de son allocution télévisée, le président français a annoncé plusieurs engagements dans le secteur du transport maritime pour diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre. Les porte-conteneurs, qui naviguent au fioul lourd, représentent quelques 3% des émissions mondiales de CO2 pour 90% du transit du commerce mondial qui passe. "Nous allons agir pour l'océan de manière très solennelle, a déclaré Emmanuel Macron, sans toutefois préciser de mesures contraignantes. Nous allons nous engager avec les transporteurs maritimes pour réduire la vitesse, ce qui est l'un des moyens les plus efficaces pour réduire les émissions, c'est la première fois qu'on le fait." Selon des chiffres du ministère de la Transition écologique et solidaire, diminuer la vitesse d'un pétrolier de 12 à 11 noeuds permettrait déjà de réduire de 18% sa consommation de carburant. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Doc & IT

La transformation numérique peut permettre aux organisations achats de réduire leurs coûts de 45%

L'étude du groupe Hackett a conclu que les organisations achat peuvent tirer des avantages importants en adoptant une approche plus simple. En déployant des technologies d'automatisation intelligentes telles que l'automatisation des processus robotiques, la capture de données intelligente et l'automatisation cognitive, une organisation d'approvisionnement typique devrait s'attendre à une réduction de 17% des coûts, tandis que les organisations achats de classe mondiale peuvent réduire de 21% une structure de coûts déjà compétitive. >> Lire l'article complet sur le site de Supplu chain management review

Le coût des fuites de données va quasi doubler en 5 ans

Le coût des failles de sécurité affectant les données des entreprises est en train d'exploser. En croissance de 70% sur 5 ans, ce coût va passer de 3000 milliards de dollars à 5000 milliards en 2024. C'est une augmentation moyenne de 11% par an. Ces évaluations sont calculées par le cabinet d'études Juniper Research. L'accroissement des coûts des fuites de données sera tiré principalement par l'augmentation des amendes infligées aux entreprises au fur et à mesure que les textes réglementaires, du type RGPD, deviennent plus contraignants et de que plus en plus d'entreprises sont présentes sur internet. Dans le même temps, les attaques informatiques deviennent plus sophistiquées. Les hackers vont employer l'intelligence artificielle afin d'apprendre le fonctionnement des systèmes de sécurité. >> Lire l'article complet sur le site de la Revue du Digital

Travel

Le top des lignes aériennes les plus lucratives du monde selon OAG

Comme on pouvait s'y attendre, c'est British Airways sur l'axe Londres Heathrow-New York JFK qui opère la ligne la plus lucrative du monde, la seule qui d'ailleurs dépasse le milliard de dollars en 2018/2019. Selon OAG, plus de 30% des sièges vendus par British Airways sur cette liaison sont en classe affaires et Première Classe. Londres Heathrow est d'ailleurs la destination qui fait figure de jackpot pour les compagnies aériennes puisque cinq lignes du top 10 incluent l'aéroport britannique. Si l'on se base uniquement sur les lignes les plus lucratives au départ d'Europe, neuf tronçons sur dix ont pour origine ou pour aboutissement Londres Heathrow. >> Lire l'article complet sur le site Voyages d'Affaires


Fleet management

WLTP, le retour... pour les camionnettes, cette fois !

Tout comme pour les voitures, une mesure transitoire a été prise : jusqu'à fin 2020, des valeurs NEDC 2.0 (ou NEDC corrélé) sont extrapolées des valeurs WLTP. L'augmentation de CO2 en NEDC 2.0 est estimée à environ 20 grammes. Les valeurs WLTP devraient quant à elles être supérieures de quelque 50 grammes. Contrairement à ce qui se faisait jusqu'ici, le test WLTP impose une mise au banc d'essai de chaque version de véhicules (dimensions, charge utile, etc.). Les versions carrossées doivent donc être, elles aussi, testées selon la procédure WLTP, avec à la clé des valeurs CO2 différentes de la version de base de l'utilitaire. Les constructeurs doivent informer les carrossiers de l'impact de leurs aménagements sur les valeurs CO2 du véhicule transformé. Les carrossiers devront alors en tenir compte lors de l'homologation finale. Il devront également modifier les consommations et émissions de CO2 lors de l'obtention du certificat de conformité. >> Lire l'article complet sur le site de Fleet

Carrière / RH / Management... et autres!

Le blues post vacances, c'est grave docteur ?

Est-ce grave d'avoir envie de tout plaquer après deux semaines à la plage ? Relax. "C'est comme quand vous étiez étudiant, vous n'aviez pas envie de retourner en cours. Et finalement au bout de quelques jours vous étiez très content de retrouver vos camarades", relativise Alexia de Bernardy, coach fondatrice de La Webox, une plateforme spécialisée dans la mobilité professionnelle. Préparer le retour est une bonne astuce pour pallier le manque de motivation post-vacances ! Pour reprendre en douceur, vous pouvez commencer par organiser votre to-do list avec des priorités bien définies. "Pas besoin de lire vos 200 mails dès la première journée", ironise Priscilla Chazot-Magdelaine, fondatrice de Akeen, une plateforme spécialisée en mobilité externe. Elle conseille de prolonger l'ambiance des vacances avec des pauses déjeuner à l'extérieur, des apéros le soir, des nouvelles activités sportives et culturelles. "C'est aussi le bon moment pour rencontrer vos collègues et (idéalement !) se créer de nouvelles opportunités professionnelles", indique la coach. >> Lire l'article complet sur Les Echos Start


 
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