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Revue de presse achats - semaine du 30 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 30 septembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné pour vous, des articles publiés sur le Web qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture !

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L'industrie laitière frappée par l'incendie de l'usine Lubrizol

Aujourd'hui, "des milliers de palettes de produits finis sont consignées dans la France entière. Nous avons collecté du lait dont nous ne savons que faire puisqu'il nous est interdit de le commercialiser", déplore Jehan Moreau. La FNIL a monté des cellules de crise. En fait, tous les produits laitiers en provenance des Hauts de France sont considérés comme potentiellement dangereux tant que l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) et la direction générale de l'Alimentation du ministère de l'Agriculture (DGAL) n'ont pas prouvé le contraire. Des prélèvements sont en cours d'analyse. Les résultats devraient être connus ce mercredi soir tard ou jeudi matin. Les éleveurs sont les premières victimes. Les entreprises ne collectant plus leur lait, potentiellement impropre, ils n'ont pas d'autre choix que de le jeter. (...) Le groupe Lactalis a bloqué depuis cette date les laits provenant des zones concernées. Des analyses sont en cours "afin de qualifier chaque lot", affirme encore le leader mondial. "Les produits déjà conditionnés ont été isolés et consignés dans les sites de production dans l'attente des résultats d'analyses et des décisions des autorités référentes", ajoute-t-il. Suite aux arrêtés préfectoraux de la Seine Maritime du 28 septembre, de l'Oise, de l'Aisne, de la Somme et du Nord le lendemain, Lactalis a "stoppé la collecte de lait auprès de ses 141 partenaires locaux". Mêmes mesures chez Danone, qui ne collecte plus le lait de 150 éleveurs de la région et qui a bloqué les yaourts produits depuis l'incendie. "On envisage tous les scénarios y compris la destruction des fabrications, car les capacités de stockage de l'ultrafrais sont limitées", dit Danone France. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Espionnage via des sous-traitants : Airbus dit prendre "toutes les mesures nécessaires"

Airbus a été ces derniers mois la cible de plusieurs attaques informatiques lancées en passant par des sous-traitants du constructeur, a appris l'AFP en enquêtant auprès de plusieurs sources sécuritaires, qui soupçonnent ces opérations d'espionnage industriel d'être pilotées depuis la Chine. Les tentatives d'intrusion informatique à des fins d'espionnage sont "une réalité", a convenu Christian Scherer, se refusant à désigner l'identité des auteurs des attaques. "Nous prenons toutes les mesures nécessaires", a-t-il ajouté. >> Lire l'article complet sur le site de Solutions numériques

Gestion des risques : les entreprises anticipent mal ceux provoqués par des tiers

A l'échelle mondiale, seules 1 % des entreprises interrogées estiment avoir une maîtrise "optimisée" des problématiques majeures de gestion des risques liés aux tiers. "Deux aspects majeurs de la gestion des risques de tiers ne sont pas convenablement traités : les sous-traitants et les entités affiliées", résume Deloitte. De fait, seules 2 % des entreprises identifient et suivent tous les sous-traitants auxquels font appel leurs tiers et seules 8 % le font auprès de leurs partenaires les plus cruciaux. Les 90 % restants ? Elles "n'en voient pas la nécessité ou n'ont pas les connaissances, la visibilité ou les ressources requises pour assurer le suivi de la sous-traitance". Les défaillances sont de tous ordres : mauvaise connaissance des conditions contractuelles, mauvais suivi des différents risques liés aux tiers, pas d'actualisation du risque de concentration ou des plans de sortie face à des tiers critiques. Enfin, rares sont les entreprises qui investissent suffisamment le risque géopolitique.

L'un des problèmes tient au manque de coordination des démarches engagées. "Aujourd'hui, la gestion du risque de tiers est souvent assurée, de façon "silotée", par différents services au sein de l'entreprise. Par exemple, pour un même fournisseur, le service achat va analyser le risque de solidité financière, pendant que la DSI regarde la continuité d'activité, le département RSE les impacts sur le social, l'environnemental et la réputation, et que la direction juridique se penche sur la conformité et la lutte anti-blanchiment. Une telle approche est non seulement anti-productive, mais elle ne permet pas de se garantir contre un trou dans la raquette : on peut passer à côté de risques importants", prévient Sonia Cabanis. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Achats : comment garder ses talents ?

Par Emmanuelle Nello, directrice des ressources humaines chez Ivalua - "La qualité de la mission est le premier critère mentionné par les acheteurs pour l'acceptation ou le refus d'un poste. Dans un secteur qui demande un grand nombre de traitements de commandes, il est alors recommandé de soulager les équipes de leurs tâches administratives via une automatisation des process ; il est de plus en plus important également de s'assurer que les collaborateurs bénéficient du meilleur équilibre vie privée/vie professionnelle. De même, il est clé d'allouer des plages de temps permettant aux collaborateurs de développer des projets plus stratégiques. Aujourd'hui, cette vision reste un idéal encore peu mis en place : presque un acheteur sur deux regrette que son entreprise n'ait pas encore implémenté d'outils digitaux pour automatiser les activités transactionnelles." >> Lire la tribune sur le site de Entreprendre

Produire en France, est-ce si compliqué ? Le cas du Slip Français

Interview de Guillaume Gibault, dirigeant du Slip Français - " Concrètement, si le produit coûte quatre fois plus cher à la production, il faut donc être rentable en faisant quatre fois moins de marge. Cela oblige à être plus précis, à mieux anticiper les choses qui vont marcher. Au début, il est difficile de trouver les bons ateliers. Souvent, on a en face de nous des entreprises familiales, parfois fragiles, car elles ont vu la plupart de leurs collègues mettre la clé sous la porte. Mais lorsque l'on arrive à tisser de vrais liens avec ces partenaires, on entre dans un processus de collaboration extrêmement fructueux. Nous travaillons par exemple avec les ateliers Lemahieu à Lille, pour toutes les étapes de la fabrication de nos sous-vêtements. Ils nous ont conseillé dans la fabrication des produits, ils nous ont même prêté de l'argent au lancement de la boîte. Outre la dimension d'innovation et d'impact social, il y a évidemment la question de l'impact environnemental. On ne fait pas venir nos volumes en cargo ou en avion, donc on réduit notre empreinte carbone, mais derrière il faut mesurer l'impact environnemental de la fabrication des fibres : depuis la production du coton à la source jusqu'au transport de la matière première. La piste du coton recyclé reste d'ailleurs à approfondir. Le coton ne pousse pas en France, donc pour éviter de l'importer on pourrait s'appuyer sur les énormes gisements de matière textile disponibles. Il faudrait inventer la recette circulaire pour refaire une nouvelle fibre de coton à partir de cette matière première." >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

"La Face cachée du cacao", le goût saumâtre du chocolat

Au terme d'une enquête, en partie en caméra cachée, dans le principal pays exportateur, la Côte d'Ivoire, menée par Paul Moreira, deux maux sous-tendent ce marché opaque?: travail des enfants et déforestation. Officiellement interdit, le trafic des enfants, vendus ou fuyant la sécheresse et la famine du Burkina Faso voisin, persiste. Il a même un tarif?: 300 euros pour trois ans de labeur, privé de parents, d'école et de soins. Dans la profondeur des forêts où sont implantées les plantations clandestines, avec milices armées qui prélèvent un octroi illégal à l'entrée, forme locale de racket, un travailleur sur trois est un enfant, jamais payé. Les intermédiaires s'enrichissent et les multinationales, qui se sont engagées solennellement, avec des termes ronflants, la main sur le coeur, à ne plus avoir recours à ce type de pratiques, feignent d'ignorer cette sordide exploitation. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix


Commande publique

La Cour des comptes donne un satisfecit à la politique d'achat de la présidence de la République

La couverture des dépenses par des marchés a connu une nouvelle amélioration en 2018. Ainsi, pour les six services supports de la présidence de la République, la couverture des dépenses par des marchés publics a atteint 83 % des dépenses de la présidence en 2018 contre 82 % en 2017, soit 13,59 M€ TTC (12,86 M€TTC en 2017) sur un montant total de 16,34 M€ TTC (15,66 M€ TTC en 2017) grâce à la conclusion de nouveaux marchés. Il en est ainsi notamment pour les marchés notifiés en 2018 concernant les articles jetables et produits d'entretien, les dépenses vestimentaires, les cabines de traduction ou encore d'un marché pour la blanchisserie ou de renouvellement de certains marchés concernant l'acquisition de mobiliers. L'analyse de la passation des marchés analysés a montré une bonne maîtrise des procédures. Cependant, la présidence a eu recours à deux procédures hors marché pour des raisons de sécurité (marché de conseil relatif à la transformation de l'organisation des services de la présidence et de celui relatif à la réalisation de la piscine démontable du fort de Brégançon) qui aurait pu donner lieu au recours à un appel d'offres restreint permettant de concilier les préoccupations de sécurité avec une meilleure ouverture à la concurrence. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Marchés publics : la tentation d'une "exception alimentaire" pour manger bio et local dans les cantines

Gilles Pérole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux (Alpes maritimes) et président de la commission restauration scolaire de l'Association des maires de France (AMF), a mis les pieds dans le plat en préconisant une solution radicale: modifier les règles de la commande publique pour créer une "exception alimentaire" qui permettra d'accélérer sur le sujet. "Si on veut avancer en restauration collective en approvisionnement local et bio, il faut absolument changer le code des marchés publics", dit-il. Les deux freins, explique-t-il, sont le coût, et les approvisionnements. Sur ce point, le code de la commande publique "empêche de conclure des marchés de gré à gré. Or c'est la seule façon de travailler avec des petits producteurs locaux qui ne répondront jamais à un marché public", ajoute l'élu, qui est aussi président de l'association Un plus Bio, premier réseau national des cantines bio. "Acheter des aliments, ce n'est pas comme des stylos, cela ne s'anticipe pas un à trois ans à l'avance. Quand il y a une forte production et des prix intéressants par exemple, on ne peut pas en profiter, à la différence d'un prestataire privé en délégation de service public. Il faut donc mettre de la souplesse dans le système !" >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes

Supply chain

Un pilote mariant blockchain et logistique sur l'axe Méditerranée-Rhône-Saône

Durant le premier semestre 2019, les entreprises MGI, BuyCo et KeeeX ont expérimenté avec succès la dématérialisation de processus export complets entre Lyon et le grand port maritime de Marseille via l'utilisation de la technologie blockchain (...) L'objectif : optimiser la fluidité, la sureté et la compétitivité de la chaîne logistique et de l'acheminement intermodal de marchandises sur l'axe Rhône/Saône. Les trois sociétés ont testé avec succès, en partenariat avec les sociétés KemOne, Alteo, Transcausse, ainsi que des entreprises de transport routier et fluvial, la dématérialisation de processus export complets entre Lyon et le GPMM, à travers l'utilisation de la technologie blockchain KeeeX Stories leur permettant de consigner les séquences authentifiées et vérifiables de l'ensemble de la chaîne logistique pour le transport de conteneurs sur l'axe Rhône-Saône-Méditerranée. Le dispositif a su montrer ses bénéfices, le partage anticipé de documents, de photographies authentifiées, d'événements caractéristiques et d'informations prévisionnelles offrant la possibilité d'optimiser les process logistiques et de traçabilité notamment via l'exploitation des données issues des navires (mesures de pollution ou CO2, certificats...) tout en faisant le lien avec des besoins de traçabilité pour la logistique urbaine du dernier kilomètre. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

LVMH teste un programme d'optimisation de livraison grâce à l'unification des stocks

Le groupe mondial du luxe mène un programme pilote aux Etats-Unis avec la société toulousaine OneStock pour améliorer les délais de livraison grâce à l'unification des stocks en temps réel. Un atout pour LVMH, qui a intégré la jeune pousse dans la 3e promotion de son programme d'accélération, la Maison des Start-up, en septembre.(...) OneStock a mis au point un OMS (Order Management System), dont l'une des dernières fonctionnalités, baptisée Delivery Promise, permet aux marques d'interroger les stocks d'articles disponibles en temps réel. Si OneStock a déjà éprouvé sa technologie - elle travaille avec des enseignes comme Intersport, Camaïeu, Truffaut, Jules, Brice, Orchestra, Pimkie ou encore Ted Baker - c'est la première fois que son outil est utilisé par une marque de luxe. La problématique de la gestion des stocks prend une autre dimension dans l'industrie du luxe, car il faut gérer la rareté. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

UPS est la première entreprise de livraison autorisée officiellement à utiliser des drones

Le célèbre transporteur est la première entreprise commerciale à être certifiée par la Federal Aviation Administration (FAA) pour son service de livraison par drones, UPS Flight Forward. Durant les six derniers mois, UPS a effectué plus de 1 000 vols de test en collaboration avec le centre hospitalier Wakemed, situé à Raleigh, en Caroline du Nord. La firme a notamment pu livrer des poches de sang ou des fournitures pharmaceutiques. UPS préfère lier des partenariats avec des hôpitaux pour le moment car les produits livrés sont de petite taille et parfaitement adaptés aux capacités des drones. >> Lire l'article complet sur le site de Clubic

La loi sur le devoir de vigilance s'invite dans le transport routier

Pour réveiller les consciences et relancer le débat en Europe et au-delà que la Fédération internationale des ouvriers du transport (ITF) associé à l'ETF (Fédération européenne des travailleurs des transports) ont décidé de lancer une offensive contre XPO Logistics car l'entreprise de niveau mondial est "un géant du transport routier" (...) Le directeur juridique de l'ITF, Ruwan Subasinghe, souligne l'importance de cette première action dans le secteur du transport routier de marchandises : "Il s'agit d'une démarche historique. C'est la première fois que des syndicats du monde entier s'unissent pour mettre en demeure une multinationale et ainsi l'obliger à respecter ses obligations légales en matière de droits humains et de devoir de diligence. Notre action aura des répercussions non seulement en France, mais aussi dans les relations de l'entreprise avec ses fournisseurs et sous-traitants tout au long de la chaîne d'approvisionnement, où qu'ils se trouvent dans le monde." En fait, nous comprenons que les fédérations de salariés souhaitent s'attaquer à la sous-traitance à outrance qui est une variable d'ajustement très utile pour tous les transporteurs routiers sans exception. Alors, prendre XPO pour cible est évidemment pratique et donne de la visibilité à une action de ce type. Cela aurait pu être, par exemple, l'une des grandes entreprises allemandes de transport et logistique de taille mondiale ... et bien non, c'est tombé sur XPO Logistics ! >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo

RSE

Les Laitiers responsables étendent leur territoire

Sodiaal (Candia) décline sa marque de lait équitable Les Laitiers responsables au rayon crémerie (...) À travers cette démarche, Sodiaal a pour objectif de mieux rémunérer les membres de la coopérative qui représentent un éleveur laitier sur cinq en France. Pour chaque litre de lait collecté, 40 centimes reviennent aux éleveurs, une garantie qui s'affiche sur les packs aux couleurs très repérables en rayon. L'élargissement de la gamme permettra de transformer davantage de volumes de lait et donc de moins diluer les bénéfices. >> Lire l'article complet sur le site de Linéaires

De grandes marques s'associent pour aider à mieux rémunérer les travailleurs des usines de confection

Mastercard et ses partenaires coordonnent des projets pilotes en Égypte et au Cambodge avec une solution de paiement hybride numérique. Les usines participantes auront la possibilité de déposer les salaires directement sur les comptes des travailleurs. Les travailleurs peuvent ensuite activer des cartes de débit ou des cartes prépayées - ou des portefeuilles numériques - leur permettant de payer leurs factures ou d'envoyer de l'argent directement à leur famille et à leurs amis. Une formation pratique entre pairs sur les services financiers numériques, la planification et la gestion financières et la manière de discuter des finances avec les membres de la famille peut aider les travailleurs à se sentir à l'aise et en confiance pour effectuer des transactions numériques. En s'associant avec des entreprises qui utilisent des chaînes d'approvisionnement à forte intensité de main-d'oeuvre, y compris la fabrication de vêtements, Mastercard crée des solutions numériques et offre un soutien à la formation pour donner aux travailleurs davantage de contrôle et de transparence sur leurs gains et leurs économies. La possibilité de recevoir des paiements salariaux réguliers donne aux travailleurs d'usine les moyens de pénétrer dans l'économie formelle du monde et peut améliorer leur qualité de vie et celle de leurs familles. Le programme pourrait également profiter spécifiquement aux femmes, qui représentent 68% du secteur de l'habillement, mais qui sont souvent les plus vulnérables sur le plan financier. >> Lire l'article complet sur le site de ModeinTextile


Travel

Pollution : Air France va "compenser 100% des émissions de CO2" de ses vols intérieurs

Interview de Anne Rigail, directrice générale de la compagnie française - "Nous avons déjà de nombreuses actions pour limiter nos émissions de CO2. D'abord, le renouvellement à 50 % de notre flotte par des avions de nouvelle génération qui consomment entre 20 % et 25 % de fioul en moins. Il y a aussi l'éco-pilotage, la gestion des mouvements d'avion au sol avec l'utilisation d'engins électriques. Nous avons aussi des compensations des émissions de CO2 sur les vols européens dans le cadre de l'ETS (Système d'échange de quotas d'émission) et sur les vols internationaux avec le programme Corsia (Compensation et réduction de carbone pour l'aviation internationale). Entre 2011 et 2018, nous avons déjà réduit de 20 % nos émissions de CO2. Mais nous voulons réduire davantage notre empreinte carbone. À partir du 1er janvier 2020, nous allons compenser 100 % des émissions de CO2 de nos vols domestiques. Cela représente 500 vols par jour. Air France le fait volontairement sans y être contraint. C'est un investissement de plusieurs millions d'euros. Nous allons financer des projets de plantation d'arbres, de protection de forêts, de transition énergétique ou encore de sauvegarde de la biodiversité. Cela pourrait correspondre, par exemple, à planter l'équivalent de 70 millions d'arbres. Nous avons aussi décidé de supprimer en janvier prochain tous les plastiques à usage unique à bord. Et dès octobre, nous allons commencer à trier et recycler les déchets comme on le fait chez soi." >> Lire l'interview sur le site du Parisien

IT

Achats IT : les entreprises prêtes à dépenser plus

Globalement, 33% des dépenses IT concernent l'achat de matériel, 29% le logiciel, 22% les services hébergés/cloud et 15% les services gérés. Il s'agit, dans plus de 6 cas sur 10, de mettre à niveau des infrastructures devenues obsolètes. Les enjeux de sécurité et de conformité (RGPD...) motivent également de nouveaux investissements. Les entreprises de taille intermédiaire (ETI) sont les plus susceptibles d'élever leur budget IT en 2020. Ainsi, 51% des entreprises de 500 à 999 personnes et 55% des sociétés de 1000 à 4999 employés déclarent vouloir investir davantage l'an prochain. >> Lire l'article complet sur le site de Silicon

Ces technologies qui font peur aux salariés !

Le dernier baromètre Cegos est assez inquiétant sur l'état d'esprit des salariés au regard des nouvelles technologies qui font désormais partie intégrante de leur entreprise. Près de 31 % des personnes interrogées ont le sentiment d'être dépassées par la technologie. Au-delà de ces chiffres, le spécialiste de la formation continue révèle que 51 % des salariés français craignent de voir leur emploi disparaître avec la transformation digitale. Soit douze points de plus que l'année dernière. Les salariés sont 43 % à avoir le sentiment de bientôt ne plus être totalement compétent dans leur métier. Un sentiment d'inquiétude renforcé par les directions des ressources humaines qui estiment que près de 39 % des emplois dans leur entreprise présentent un risque d'obsolescence des compétences dans les trois ans à venir. >> Lire l'article complet sur le site de CourrierCadres

Fleet management

Ces constructeurs automobiles plébiscités en flottes

Président de l'Arval Mobility Observatory, François Piot rappelle que le marché du véhicule d'entreprise est complexe car composé de véhicules particuliers et de véhicules utilitaires légers. Globalement, dit-il, "les marques françaises ont des positions très fortes sur les segments des citadines et des berlines moyennes, tandis que les marques allemandes et Volvo dominent le segment du premium". Cela s'explique essentiellement par le fait que "les voitures françaises sont très bonnes, quoi qu'on en dise. La fiabilité et les réseaux sont là. Mieux, le marché de l'occasion est très dynamique, donc les valeurs résiduelles des véhicules sont fortes", analyse-t-il. Au chapitre des véhicules utilitaires, la lecture est différente. " Dans les véhicules utilitaires, les marques françaises ont historiquement une position très établie, rappelle François Piot. Les constructeurs ont fortement investi pour offrir aux entreprises des produits et des services différenciants. " Les trois grandes familles d'utilitaires français sont conçues avec d'autres partenaires, ce qui permet de produire davantage et de réduire les coûts. Les Citroën Jumpy et Peugeot Expert sont par exemple aussi badgés Opel Vivaro et Toyota ProAce. Au même niveau de gamme, un Renault Trafic peut être estampillé Nissan NV300, Fiat Talento ou, pour quelque temps encore, Opel Vivaro. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise

Flotte d'entreprise : une gestion en pleine mutation

54 % des entreprises interrogées assurent prendre des mesures pour réduire les émissions de leur parc. Sous l'influence conjuguée du "dieselgate", des études qui pointent sa nocivité et du rééquilibrage de la fiscalité, la domination du diesel s'est largement fissurée. Encore hégémonique en 2012 avec un taux de pénétration de 90 %, il n'équipait plus que 57% des véhicules particuliers en août dernier, mais toujours 92 % des véhicules utilitaires. Surtout, 48 % des entreprises françaises envisagent de réduire encore la part du diesel pour le remplacer par l'essence (12 %), mais aussi pour y substituer des énergies alternatives (33%). "Même si seulement 30 % des entreprises ont satisfait à l'obligation légale, depuis le 1er janvier 2018, de se doter d'un plan de mobilité, la plupart commencent à réfléchir en matière d'usages, assure le président de l'Arval Mobility Observatory. Résultat : elles se posent la question de l'utilité des déplacements et de leur nature. Si un commercial qui fait plusieurs milliers de kilomètres par mois a toujours intérêt à posséder un diesel, le cadre qui habite à 15 ou 20 kilomètres de son lieu de travail peut avoir recours à un véhicule hybride rechargeable, et le petit fourgon chargé du courrier interne rouler à l'électrique." 51 % des sociétés françaises ont déjà, ou pensent intégrer dans les trois prochaines années, au moins un véhicule hybride (41%), hybride rechargeable (29%) ou électrique (34%) dans leur flotte. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Véhicules de fonction : redistribution des cartes

Quand les entreprises se posent la question du TCO des véhicules de fonction, elles évoquent d'emblée le loyer, la TVS ou le malus. Plus rarement les autres impacts fiscaux et sociaux. À commencer par les avantages en nature (AEN), dont les règles sont souvent définies en interne par les RH, plus que par les gestionnaires de flotte. Or leur impact financier est loin d'être négligeable : sur l'AEN l'entreprise s'acquitte de cotisations sociales, tout comme le salarié qui, de surcroît, devra intégrer ce montant dans le calcul de son impôt sur le revenu. "On s'aperçoit que le coût du véhicule de fonction est souvent minimisé par l'entreprise mais aussi par les collaborateurs qui pensent, à tort, que cela ne leur coûte rien. En réalité, ils supportent une charge de 1 000 à 2 000 euros par an", pointe Stéphane Montagnon, associé fondateur de Holson, spécialiste en conseil et en fleet management. De quoi y réfléchir à deux fois avant d'attribuer des véhicules à de jeunes talents, qui n'en ont parfois ni l'usage ni le désir. Pour un budget équivalent, certains préféreront maximiser leur avantage avec d'autres modes de déplacement moins fiscalisés, tels que le crédit mobilité, les services d'auto-partage, voire les transports en commun. >> Lire l'article complet sur le site Automobile Entreprise

 
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