Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 26 octobre

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 26 octobre

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

Je m'abonne
  • Imprimer

La deuxième vague de Covid-19 menace la reprise des métaux industriels

les métaux industriels reculent, de concert avec les Bourses mondiales. Le cuivre, considéré comme un baromètre de l'économie mondiale, s'échange désormais contre moins de 6.800 dollars la tonne alors qu'il avait franchi la barre des 7.000 dollars la semaine dernière. Parmi les autres métaux, le nickel est repassé sous les 16.000 dollars, le zinc retombe autour des 2.500 dollars, tandis que l'aluminium glisse vers les 1.800 dollars la tonne. Et le minerai de fer sur le marché à terme de Singapour se paye environ 110 dollars la tonne, contre 115 auparavant. L'indice du London Metal Exchange - le LMEX synthétise l'évolution des six métaux non ferreux de base - était remonté à plus de 3.100 points, son plus haut niveau depuis 2018. Mais l'optimisme des investisseurs a peut-être été excessif. Ils n'avaient d'yeux que pour la reprise en Chine, où les usines tournent à plein régime et où la construction redémarre, ce qui alimente la demande en métaux, à commencer par celle de cuivre. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Coronavirus : les supermarchés rassurent sur leur approvisionnement "si tout le monde reste raisonnable"

"On a malheureusement l'expérience du confinement de mars, on voit bien les produits qui font l'objet d'une forte demande. Mais les magasins resteront ouverts, il y aura suffisamment de produits et donc pas d'inquiétudes à avoir pour les clients et les consommateurs. Il n'y a pas besoin de faire du stock", ajoute-t-il tout en reconnaissant que la demande pour certains produits est déjà forte. "On a un tout petit peu d'expérience, on a vu ce qui a précédé le confinement de mars, cela nous a appris un certain nombre de choses ainsi qu'à l'amont, aux industriels", reprend Thierry Desouches, porte-parole de Système U. "Depuis la sortie du confinement, on a des stocks légèrement supérieurs à ce qu'ils sont normalement pour des produits qu'on dit psychologiques, comme les pâtes ou les conserves de légume." Reste une interrogation pour les distributeurs : "Aujourd'hui, le couvre-feu à 21 heures entraîne la fermeture des magasins alimentaires" à des horaires normaux mais " s'il était avancé, il faudrait savoir si cela conduit à fermer plus tôt", explique Jacques Creyssel qui pourrait alors demander l'autorisation d'ouvrir le dimanche "pour étaler au maximum la venue des clients afin que les conditions sanitaires soient respectées." >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Le Machine Learning, stratégique pour faciliter l'achat média ?

Appliqué au marketing et à la publicité, le Machine Learning n'en est encore qu'à ses débuts et reste un mystère pour de nombreux acheteurs. De quelle manière l'Intelligence Artificielle améliore-t-elle la vie des acheteurs média ? Et est-ce que son utilisation peut réellement aider à optimiser des stratégies basées sur des comportements humains complexes ? Les acheteurs média gagnent du temps et réalisent des campagnes numériques plus efficaces grâce à la liquidité et l'automatisation. L'utilisation d'algorithmes en série et d'analyses prédictives leur permet de trouver rapidement le public optimal pour chaque publicité, et de cibler la bonne audience au bon moment et au meilleur tarif. Associé à des systèmes automatisés, la bonne création peut alors être déployée au bon moment, à la bonne cible, et au bon prix, rendant ainsi l'achat média à la fois plus rapide et plus efficace. Le Machine Learning et les systèmes automatisés s'ajustent également en temps réel, permettant alors de traiter rapidement des ensembles de données très complexes et ainsi d'améliorer continuellement l'efficacité des campagnes, pour conduire à de meilleurs résultats. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

Ces nouveaux pulls du Slip Français redynamisent la filière de la laine en France

Le pull mixte Ludo du Slip est fabriqué à partir de laine 100 % française. Cette année, ce pull souffle sa première bougie ! Créé en 2019, il revient en 2020 avec deux nouvelles couleurs, la version Marine et la version Yack. À porter aussi bien par elle que par lui, le Ludo est un des plus gros succès de 2019 et le Slip peut en être fier. Il est confectionné de A à Z dans un rayon de 30 km de Castres. Pour contextualiser son histoire, il faut savoir que le Ludo a été fabriqué avec Made in Town à travers le projet Tricolor, un collectif qui regroupe plus de 70 marques. Son objectif principal est de revaloriser la filière lainière française, en rassemblant tous les acteurs qui souhaitent s'engager et s'investir. En fait, 80 % de la laine française est vendue en Chine à perte pour les éleveurs et les acteurs de la filière pour y être transformée. Le collectif souhaite accroître de 4 % à 24 % la part de laine produite et transformée en France d'ici 2024. Un projet aux belles promesses qui saura redynamiser la filière dans le pays. Le Ludo participe donc à toute cette démarche. >> Lire l'article complet sur le site de Positivr

L'oeil critique de Jean-Dominique Senard

"On veut préserver les emplois dans la filière automobile ? Commençons par alléger la fiscalité sur la mobilité", a poursuivi Jean-Dominique Senard. "C'est sympathique de parler de moteur électrique, mais des milliers d'emplois étaient concentrés sur les moteurs thermiques. Nous (les constructeurs) nous retrouvons brutalement dans une situation où il faut régler ces questions sociales sans avoir pu les anticiper", a-t-il expliqué. Selon le président de Renault, "nous avons commis une erreur collective. On a le droit de nous demander d'évoluer, de restructurer, d'innover, mais il faut aussi nous donner les moyens d'anticiper". Le constructeur va "tout faire pour augmenter la production en France", a assuré son PDG, après avoir "interrompu des projets d'extension à l'étranger, au Maroc en particulier et en Europe de l'Est". "Nous voulons concentrer sur la France nos productions à valeur ajoutée dans l'électrique. Il faut nous en donner les moyens. Le coût de production est un sujet. Etre aidé avec des primes à l'acquisition de véhicules électriques, c'est bien. Ce sera encore mieux si les constructeurs obtiennent un soutien pour baisser les coûts de production", a proposé Jean-Dominique Senard. >> Lire l'article complet sur le site du JournalAuto

L'Europe est-elle prête pour la prochaine guerre des normes avec la Chine ?

Par Natacha Tréhan -"La définition de normes doit figurer en première ligne de la politique industrielle européenne. Les défenseurs des intérêts de l'Europe doivent non seulement plus peser dans les comités de l'ISO, mais aussi être à l'origine de la création de nouveaux comités. Quant aux entreprises européennes, elles doivent faire entendre leur voix par filières, en regroupant leurs clients, leurs fournisseurs pour peser auprès des organismes de normalisation. Elles doivent participer aux travaux, être représentées dans les groupes d'experts, les comités techniques. Enfin, elles doivent renforcer leurs stratégies de dépôt de brevets." >> Lire la tribune sur le site des Echos


Supply chain

Transport de marchandises : quelle est la meilleure réponse écologique ?

Le suédois Volta Trucks vient de dévoiler son tout nouveau Volta Zero, le 1er 16 T totalement électrique dédié au transport de marchandises en milieu urbain. Il offre la maniabilité de conduite d'un utilitaire et la capacité de charge d'un poids lourd. Il sera suivi d'ici la fin d'année 2020 par le non moins attendu Tesla Semi déjà commandé par UPS et Walmart. Ce dernier affiche de belles promesses d'autonomie (entre 480 et 800 km selon les modèles) avec un temps de charge estimé à moins d'une heure. Le renouvellement du parc automobile ne pourra se faire en un jour et d'ici là le transport ferroviaire semble rester le mode de transport le plus efficace au regard des émissions de CO2 par kilomètre parcouru. (...) Le fret ferroviaire consomme peu de ressources fossiles et fonctionne à l'électricité sur plus de 15 000 kilomètres de voies. Selon la SNCF, le rail émet 8 fois moins de particules nocives que la route, consomme 6 fois moins d'énergie et rejette 9 fois moins de CO2 à la tonne de kilomètres transportée. Pourtant, la situation du fret ferroviaire est préoccupante. Les performances ne sont pas satisfaisantes en termes de régularité, de sécurité et de vieillissement du réseau. De plus, les coûts sont en hausse constante et le financement du système ferroviaire est gravement déséquilibré. Cela montre la nécessité de trouver la voie d'une gouvernance saine dont l'objectif est de favoriser les transports les moins polluants. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo

Logistique urbaine : une seule solution, la coopération

En matière de logistique urbaine (qui devrait croitre de 8% par an en Europe d'ici 2030), jusqu'à 30% des livraisons ne sont pas possibles lors du premier passage. Ce qui complique le transport de marchandises qui représente déjà 20% du trafic et 30% de la pollution en ville. "Seule une coopération accrue entre professionnels de la logistique, du transport et des systèmes d'information, mais aussi entre acteurs publics et privés, permettra d'optimiser les flux logistiques, tout en répondant à la demande des consommateurs", conclut l'étude [La logistique urbaine face aux défis économiques et environnementaux, menée avec FM Logistic et le cabinet Roland Berger. L'étude propose trois recommandations pour optimiser les flux logistiques au sein des plus grandes villes. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

Automatisation, robotisation : le sens de la responsabilité sociale

Si le secteur des opérations logistiques a plutôt moins débrayé que d'autres secteurs pendant le confinement, ses salariés, comme tous, ont bénéficié d'un temps extraordinaire propre à se poser des questions de vie. Il ne faut pas s'illusionner. Une bonne partie des gens travaillant en entrepôt n'ont pas fait le choix de leur vie professionnelle. Nombreux sont les gens qui ont le bonheur d'avoir un travail qu'ils ont "plutôt" choisi. Mais nombreux sont aussi ceux qui le subissent. Attachons-nous aux personnes et non pas aux plans de reconversion. Dès aujourd'hui, ayons l'énergie et le courage d'engager les ressources nécessaires pour accompagner, maintenant, la seconde partie de la carrière professionnelle de nombreux opérateurs de la logistique. Ils ont des compétences que le champ clos dans lequel ils ont évolué n'a souvent pas permis de révéler. Aidons-les à construire les ponts qui vont les conduire vers des univers de travail nouveau. Cela réclame des moyens. Mais que sont-ils par rapport à la satisfaction d'accompagner des personnes vers une renaissance et les empêcher de subir des moments de ruptures professionnelles par trop violents ? >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

TMS : Vers une normalisation étendue des échanges

Les transporteurs demandent d'intégrer de plus en plus de fonctions sur une interface unique. Chez Item, l'heure est à la signature électronique. Le principe : l'exploitant envoie une mission du TMS à Scan & Track. Cette mission est exécutée par le chauffeur qui va remonter des informations de quantité, de poids liés au chargement ou déchargement des marchandises. Ces données remontent vers le TMS, qui va générer l'e-CMR, en lien, jusqu'à présent, avec un partenaire spécialisé. "Au troisième trimestre 2020, nous allons faire de Scan & Track un support direct de lettre de voiture électronique. Laquelle sera visible en temps réel par tous les acteurs de la chaîne de transport, et pourra engendrer une facturation en fin de cycle. La e-CMR sera valable au niveau national", déclare Christophe Bour. En pratique, les deux parties du contrat de transport reçoivent un code pour authentifier la commande. L'opération est validée entre le chauffeur et le destinataire qui réceptionnent un second code à saisir sur l'application lors de la livraison. Le document dématérialisé remonte dans le TMS en format PDF pour être archivé. "En alternative, nous collaborons avec les spécialistes de l'e-CMR Transfollow, Dashdoc et GedMouv. Nous avons construit les interfaces avec chacun d'eux pour fournir le service en intégration à notre TMS, comme demandé par nos clients. Cela étant, nous pouvons regretter qu'il n'existe pas de format standard d'e-CMR ou d'e-facture. Cela viendra probablement avec la généralisation de ce processus." >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo

e-commerce B to C : le big bang de TVA entrera en vigueur au juillet 2021

Cette TVA IOSS revêt un intérêt en particulier auprès des entreprises étrangères qui vendent dans de très nombreux pays de l'UE. Pour celles qui exportent uniquement dans deux ou trois pays, autant conserver le numéro de TVA du pays. "À compter de juillet, les entreprises devront classer leurs ventes en fonction de la valeur des produits, du taux de change lors de la facturation, de la provenance et du vendeur (marketplace/site internet)", détaille Loris Robert, qui conseille les entreprises sur le régime à appliquer et l'optimisation de la logistique. "Autre révolution : la redevabilité des marketplaces qui devront collecter et reverser la TVA", complète Loris Robert. Les places de marché ou les plateformes seront considérées, aux fins de la TVA, être le fournisseur de biens vendus aux clients dans l'UE. Par conséquent, elles devront collecter et payer la TVA sur ces ventes. Un changement qui risque fort d'entraîner une hausse des prix des produits vendus en ligne, la marge étant jusqu'à présent constituée de la TVA non acquittée.>> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique


RSE

Une école et la mairie du 11e chauffées grâce aux eaux usées

Les galeries d'assainissement (de fait, les égouts) font circuler une eau dont la température est assez constante tout au long de l'année, comprise entre 12 et 20°. Elles recèlent en elles une énergie née des activités humaines appelée "énergie fatale". En la transformant, il est possible de chauffer des bâtiments. Or, la mairie du 11ème arrt. et le groupe scolaire Parmentier sont situés tout près d'un collecteur d'eaux usées : le "Voltaire", construit dans le sous-sol du boulevard éponyme. Une opportunité qui a été déterminante pour développer cette technologie en cohérence avec les objectifs du Plan Climat Air Énergie de la Ville de Paris. Après une phase de mise en concurrence, les ingénieurs de la Ville ont choisi la technologie Degrés bleus qui recycle la chaleur des eaux usées pour chauffer des bâtiments. Les techniciens ont installé un échangeur thermique long de 64 mètres afin de récupérer cette chaleur et la faire transiter ensuite dans un micro-réseau relié à la mairie et au groupe scolaire. Puis, des pompes à chaleur ont été installées dans chacun des deux bâtiments pour y valoriser l'énergie captée et la destiner au système de chauffage. Depuis le mois d'octobre, l'installation est en fonctionnement et doit produire la moitié de la consommation de chauffage des deux équipements. Un gain en émission de gaz à effet de serre estimé à 102 tonnes de CO2 par an. >> Lire ce sujet sur le site de La Ville de Paris

Economie circulaire : la Fabrique écologique préconise une réorganisation des territoires

La note de synthèse de la Fabrique écologique, publiée ce mercredi 14 octobre, prône une réorganisation des territoires au service de l'économie circulaire. "La note pose la nécessité d'opérer un saut d'échelle dans le domaine de l'économie circulaire", souligne la Fabrique écologique, qui propose une approche en trois principes : "l'économie circulaire doit être transversale, soit opérant un lien entre les différents domaines du social ; sobre, car visant à réduire les matières premières ; symbiotique, avec pour objectif d'optimiser la relation entre productivité et ressources." Les secteurs prioritaires identifiés par la Fabrique écologique sont les minéraux, la biomasse, les textiles et les plastiques, pour lesquels il s'agit d'approfondir les références aux outils d'analyses. "Au-delà de l'injonction à la réduction d'utilisation des matières, la note souligne le potentiel créateur de l'économie circulaire en termes d'emplois locaux et non délocalisables mais aussi en matière de relations professionnelles inédites et de nouveaux espaces, tout en contribuant à la valorisation des territoires", indique la fondation dans sa synthèse. >> Lire l'article complet sur le site de Environnement Magazine

Japon : le Premier ministre fixe un objectif de neutralité carbone d'ici 2050

Le Premier ministre n'a pas donné de calendrier précis pour parvenir à cet équilibre entre les émissions de gaz à effet de serre et leur absorption, mais il a mentionné l'importance de la technologie. "La clé est l'innovation", a-t-il déclaré en citant notamment les batteries solaires de nouvelle génération. Le Japon va aussi promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables et de l'énergie nucléaire, a-t-il ajouté en insistant sur l'importance de la sécurité dans un pays marqué par la catastrophe de Fukushima en 2011. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Le chewing-gum est le deuxième déchet de la planète...mais certains le recyclent en baskets!

Anna Bullus est parvenue à développer une paire de baskets en chewing-gums recyclés. Associée à la marque Explicit, l'accessoire a été conçu grâce à 20% de malabars et autres pâtes à mâcher abandonnés sur les trottoirs des rues d'Amsterdam. Une édition limitée qui s'est vendue à 190 euros la paire. Toutefois, la chaussure n'était pas entièrement conçue en chewing-gums; du plastique recyclé complétait aussi la fabrication. Originalité des sneakers, la semelle représentait le plan de la capitale néerlandaise. On n'en a sans doute pas encore pris l'habitude, mais on peut aussi éviter de jeter ses chewing-gums par terre et les collecter dans une boîte prévue à cet effet, imaginée par le géant mondial du recyclage, TerraCycle. L'entreprise spécialisée dans les déchets non recyclables a développé spécifiquement des points de collecte, destinés à recevoir les pâtes à mâcher usagées mais aussi leur emballage. >> Lire l'article complet sur Fashion Network

Le secteur agroalimentaire pousse pour un recyclage plus performant

"Dans toutes les entreprises agroalimentaires, on diminue le plastique depuis dix ans, les bouteilles d'eaux minérales sont passées de 40 grammes à 30 grammes et maintenant au plastique PET recyclé, il y a une vraie baisse massive des poids et des volumes de plastique utilisé", a déclaré, mercredi, Richard Girardot, président de l'Association des industries alimentaires (ANIA), lors d'une conférence de presse, sur les ambitions d'une transition verte du secteur. Affichant un objectif de parvenir à 100 % d'emballages recyclables d'ici 2025, le secteur a publié mardi un "manifeste" dans lequel il s'engage plus largement à réduire l'impact carbone de ses sites industriels, favoriser la circularité des emballages, accélérer le développement d'une chaîne de transport logistique durable, et lutter contre le gaspillage alimentaire. (...) Loïc Hénaff, président du directoire du groupe de charcuteries Jean Hénaff, a pour sa part critiqué le "trou dans la raquette" et les "injonctions contradictoires" reçues sur le sujet du tri et du recyclage. "Les industriels produisent des emballages recyclables, mais, dans les faits, ils ne sont jamais recyclés et partent à l'incinération." >> Lire l'article complet sur le site du Telegramme

Les bioplastiques, aussi toxiques que les plastiques conventionnels

Une nouvelle étude publiée dans la revue International Environnement indique que les bioplastiques seraient tout aussi nocifs que les plastiques issus du pétrole. Un groupe de chercheurs et chercheuses ont analysé 43 bioplastiques utilisés pour des emballages de barres chocolatées, des bouteilles ou des bouchons. Résultat : 75% des produits contenaient des substances chimiques toxiques. "Les plastiques biosourcés et biodégradables ne sont pas plus sains que les plastiques conventionnels", clame Lisa Zimmerman, autrice de l'étude et chercheuse à l'Université Goethe de Francfort. Encore plus troublant, l'étude montre que ces bioplastiques ont tous une composition chimique unique. C'est-à-dire qu'un sac d'un certain type de bioplastique pourrait être toxique alors qu'un bouchon de bouteille fabriqué dans le même matériau ne le serait pas. "C'est quasiment impossible de rendre une conclusion générale sur des matériaux spécifiques", explique Martin Wagner, co-auteur de l'étude et chercheur à l'Université de Trondheim. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


Commande publique

Marchés publics : les conditions de versement des avances durablement simplifiées

Avec un décret publié au Journal officiel le 17 octobre 2020, les dispositions concernant les avances dans les marchés publics deviennent pérennes. Ainsi, le décret n°2020-1261 du 15 octobre 2020 simplifie durablement les conditions d'exécution financières de ces marchés. Le plafonnement des avances à 60% du montant initial du marché, qui "limitait la possibilité de verser des avances à un titulaire de marché public" souligne la direction des Affaires juridiques (Daj), est supprimé. L'obligation de constituer une garantie à première demande pour bénéficier d'une avance d'un montant supérieur à 30 % est elle aussi supprimée. Désormais, l'acheteur "peut" malgré tout s'il le souhaite toujours conditionner le versement de cette avance à la constitution de cette garantie. >> Lire l'article complet sur le site de BatiActu

Marseille : condamnation d'un ancien cadre du port à un an de prison avec sursis et 30.000 euros d'amende pour "favoritisme"

Un ancien cadre du port de Marseille a été condamné lundi à un an de prison avec sursis et 30.000 euros d'amende pour avoir "favorisé" une entreprise ayant repeint les bâtiments du port pour un montant 40 fois supérieur au marché conclu. (...) Trois ex-dirigeants du port autonome, le premier de France en tonnage, étaient poursuivis eux pour "négligence ayant permis un détournement de fonds publics", mais ils ont été relaxés. L'enquête avait révélé que le marché public conclu avec une entreprise de peinture marseillaise, limité à environ trois mois (entre le 4 octobre 2005 et le 31 décembre 2005) et à 20.000 euros, s'était finalement étendu jusqu'à 2007 et avait donné lieu à un règlement de 871.000 euros. >> Lire l'article complet sur le site de La Marseillaise

Marchés publics: un charlatan devient célèbre en conseillant des hommes d'affaires

Un charlatan de Safi est devenu célèbre au sein de la corporation des hommes d'affaires dont certains ont eu recours à ses services dans le but de remporter des marchés publics. Le quotidien Assabah rapporte, dans son édition des samedi et dimanche 17 et 18 octobre, que les talismans de l'esbroufeur auraient permis à ces gestionnaires de gagner des appels d'offres. Ainsi, il a été conseillé à un promoteur immobilier ayant perdu plusieurs marchés publics d'essayer la recette magique du sorcier. L'homme, un gestionnaire diplômé qui ne croyait nullement au charlatanisme, a longtemps hésité avant de céder à l'envie de vaincre le signe indien pour aller solliciter les services du mage safiot. Quelle ne fut pas sa surprise quand six mois après, il a remporté un appel d'offres juteux lancé par le ministère de l'Equipement. Depuis, il a mis de côté toutes ses connaissances de manager et ses convictions d'intellectuel pour ne croire que dans les amulettes de cet homme providentiel. A tel point que désormais, il consulte l'astrologue en herbe avant de répondre à un appel d'offres. >> Lire ce sujet sur le site de Le 360

Programme IAM : l'AP-HM réfléchit en coût global

Les Hôpitaux universitaires marseillais de l'AP-HM vont louer à l'issue d'un dialogue compétitif un parc de dernière génération pour les douze prochaines années : "Notre programme IAM, Imagerie Avenir Marseille, se traduit par la location de l'ensemble de nos équipements d'imagerie et des prestations associées tout en développant un partenariat de formation et d'enseignement", explique-t-on à l'AP-HM," nous avons opté pour une segmentation de l'offre en sept segments qui bénéficient chacun d'un loyer linéaire lissé sur toute la durée du contrat. (...) Les Hôpitaux universitaires de Marseille ont raisonné en coût global : "La maîtrise économique et financière du projet devait passer par l'analyse du coût total de possession du parc actuel, explique Marie-Hélène Fortin, chef de projet, le coût annuel du loyer pour chacun des sept segments ne devait pas être supérieur au coût annuel d'exploitation calculé sur la moyenne des quatre dernières années". Pour chacun des sept segments, l'équipe projet a déterminé les composantes analytiques du coût d'exploitation annuel des équipements : "Nous avons ainsi intégré les coûts de location et de crédit-bail, les coûts de maintenance et celui des réparations, le coût des amortissements, les frais financiers associés aux emprunts ainsi que les pertes financières dues aux forfaits amortis". >> Lire l'article complet sur le site de Santé-achats.info

Il n'y aura pas de moratoire sur le renouvellement des marchés publics arrivant à échéance

Pour les contrats conclus après le 23 juillet, une prolongation de la durée est aussi possible mais uniquement dans le respect des dispositions du Code de la commande publique. Tel est notamment le cas si cette prolongation a été prévue au contrat initial ou si elle entraîne une augmentation de faible montant du marché (articles L. 2194-1 et R. 2194-1 à R. 2194-9 du code). Concernant la possibilité d'un moratoire d'un, voire de deux ans, sur tous les contrats, l'exécutif indique qu'il "ne pourrait se justifier juridiquement au regard des principes constitutionnels régissant la commande publique et de la libre administration des collectivités territoriales". >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

Quel seuil pour l'obligation d'un schéma de promotion des achats publics socialement et écologiquement responsables ?

Réponse du ministère de l'économie, des finances et de la relance : La loi prévoit que le schéma détermine les objectifs de politique d'achats comportant des éléments à caractère social visant à concourir à l'intégration sociale et professionnelle de travailleurs handicapés ou défavorisés ainsi que des éléments à caractère écologique et qu'il contribue à la promotion d'une économie circulaire. Sont concernés les acheteurs dont le montant total annuel des achats est supérieur à 100 millions d'euros HT de telle sorte que leur panel de marché soit suffisamment étendu et varié pour pouvoir élaborer une véritable stratégie d'achats publics socialement responsables. Sont ainsi essentiellement concernés l'Etat et de grandes collectivités territoriales ou groupements de collectivités. La feuille de route pour l'"économie circulaire" (FREC) a, dans sa mesure 44 intitulée "Faire de la commande publique et du dispositif "administration exemplaire" un levier pour déployer l'économie circulaire", retenu l'objectif d'abaisser ce seuil. >> Lire l'article complet sur le site de La Gazette des Communes

La police espagnole roule désormais en Citroën C5 Aircross

Les Chevrons viennent de remettre les clés de 642 exemplaires du C5 Aircross. Celui qui fait désormais office de porte-drapeau de la marque - en attendant l'arrivée d'une grande berline dans la gamme - a été livré équipé du moteur essence 1.2 l PureTech de 130 chevaux couplé à la boîte auto EAT8. Extérieurement et intérieurement, il reçoit des équipements spécifiques aux missions des policiers. L'extérieur arbore une livrée bicolore bleu foncé et blanc, auxquelles s'ajoutent les inscriptions "Policia Nacional". Sur le toit prennent place les avertisseurs sonores et lumineux. Dans les prochains mois, le parc roulant de la police espagnole sera complété... avec d'autres SUV français. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile-Entreprise

Et...

Voiture électrique : le service postal Marocain s'équipe de 225 Citroën Ami

La Poste Barid Al-Maghrib s'engage progressivement dans la transition énergétique. Afin d'oeuvrer pour le développement durable, elle a annoncé son intention d'utiliser une flotte de voitures électriques pour assurer la distribution de colis et de courriers au Maroc. Le 19 octobre 2020, Barid Al-Maghrib a signé un contrat avec le groupe PSA pour développer 225 Citroën Ami entièrement électriques qui l'aideront à atteindre ses objectifs. Un accord qui contribuera au développement des écosystèmes industriels au Maroc (...) Ami s'inscrit dans le cadre de la vision du Royaume de développer une industrie à forte valeur ajoutée guidée par le principe de développement durable. >> Lire l'article complet sur le site de Neozone


Fleet management / Mobilité

Le vélo de fonction fait son chemin

Le vélo de fonction est un avantage en nature. "Mais, à l'inverse de la voiture de fonction, il s'adresse à tous les collaborateurs et n'est pas réservé à ceux qui ont atteint un certain poste dans la hiérarchie, ou une certaine ancienneté", observe Antoine Repussard, fondateur de Zenride, qui met lui aussi en relation les employeurs et les distributeurs. Parmi ses clients figurent Axa, Veolia, Microsoft ou Kaufman & Broad, "et certains d'entre eux ont commandé des flottes d'une centaine d'exemplaires". Fin 2020, Zenride aura embauché cinq personnes supplémentaires pour faire face à cette croissance. Les multinationales cotées ont très bien compris que la case "vélo" permet de faire briller le rapport annuel consacré à la responsabilité sociale. Ce soudain engouement touche davantage le secteur des services, et les sièges sociaux franciliens. En revanche, "dans les entreprises industrielles, la sécurité au travail est un enjeu fort, qui entre dans le calcul du bonus de fin d'année de certains cadres", explique M. Repussard. Or, dans l'esprit de beaucoup de décideurs, le vélo demeure accidentogène, même s'il est bien plus sûr que le deux-roues motorisé, par exemple. >> Lire l'article complet sur le site du Monde


Carrière / RH / Management

Pourquoi travaille-t-on plus et mieux en télétravail ?

Beaucoup de salariés arrivent sur leur lieu de travail en étant déjà fatigués, surtout dans les grandes agglomérations et en région parisienne, après un long trajet où ils ont dû affronter le froid, la pollution, les embouteillages ou les transports en commun bondés, quand ce ne sont pas les grèves. Ils commencent leur journée de travail avec plus de stress et moins d'énergie que quand ils ont quitté leur domicile, en ayant perdu un temps précieux qu'ils auraient préféré utiliser autrement. En plus d'éviter les risques actuels de contamination, travailler chez soi permet de préserver son temps, son énergie et son calme, tout en faisant des économies. Le télétravail nécessite d'avoir à son domicile un espace dédié qui permette d'exercer sa profession dans de bonnes conditions. Ce lieu aménagé selon les goûts de chacun est propice à la concentration et évite les interruptions. Le télétravail permet alors de travailler dans des conditions plus confortables et plus agréables, donc de ressentir plus de plaisir et de facilité dans la réalisation de ses missions. L'entreprise fournit un budget annuel qui permet de s'équiper avec les matériels et logiciels les mieux adaptés aux pratiques individuelles et collectives. Le cadre de travail ne contraint plus le cadre de vie et le bien-être personnel se ressent sur les performances professionnelles. Les salariés peuvent habiter où ils le souhaitent et les entreprises déménagent dans des locaux bien plus petits, moins coûteux et aménagés comme d'accueillants lieux de rencontre. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation

"En discriminant les profils expérimentés, les entreprises font fausse route"

La maturité de ces salariés se ressent dans leur savoir-être. Il est nécessaire de bien se connaître soi-même pour connaître ses limites, se remettre en question, être à l'écoute de son environnement, laisser son ego de côté, interagir de façon diplomate avec les équipes. Ensuite, je pense qu'une personne qui a quinze ans d'expérience dans un domaine ou dans une entreprise a déjà su faire face à de nombreuses situations et sait comment réagir en cas de problème. Les seniors sont bien souvent la mémoire vivante de l'entreprise. Ils savent ce qui a marché et anticipent mieux les potentiels échecs. Je pose ça là : et si pour éviter la fameuse rupture intergénérationnelle, les entreprises devenaient plutôt un espace de passation ? Une étude intéressante à ce sujet réalisée par le cabinet de RH Robert Half, relève que 63 % des cadres qui managent des seniors, évoquent le transfert de savoirs et de compétences aux jeunes générations, parmi les avantages à embaucher des seniors. Valoriser les connaissances des seniors et mieux les former serait déjà une grande avancée, même s'il faudrait aller encore plus loin. Passés cinquante ans, beaucoup d'entre nous ont été malmenés par l'entreprise. Certains ont été abîmés par un manager, par une direction, d'autres ont été écartés de projets, ont été placardisés et ont fini par perdre confiance en eux. Il arrive même que certains n'aient tout simplement plus envie de continuer à travailler. Il faut le prendre en compte. >> Lire l'article complet sur le site de Welcome to the Jungle


 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page