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Revue de presse achats - semaine du 9 novembre

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Revue de presse achats - semaine du 9 novembre

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture !

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D'Adidas à Zara, de grandes marques dans le piège ouïghour

De A, comme Adidas, à Z comme Zara, les plus grandes marques internationales sont aujourd'hui contraintes de se justifier sur leurs sous-traitants chinois, face aux révélations qui s'accumulent concernant le travail forcé des Ouïghours. Début septembre, le géant suédois du prêt-à-porter H & M a ainsi annoncé rompre toute relation avec un fournisseur chinois. En juillet, le groupe Lacoste indiquait "cesser toute activité avec des fournisseurs et sous-traitants impliqués dans l'exploitation des travailleurs forcés ouïghours". >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

Travail forcé des Ouïghours : "Les entreprises ont intérêt à savoir qui sont leurs sous-traitants"

Pour Valérie Charolles, chercheuse en philosophie à l'Institut Mines-Télécom Business School, le recours à une cascade de fournisseurs favorise l'opacité des chaînes de production - "L'organisation de la production qui consiste à recourir à une cascade de sous-traitants n'est pas imposée aux entreprises. Ce sont elles qui la choisissent. Or, trop souvent, plus cette cascade est longue, plus l'opacité augmente et plus on descend dans le respect des droits. Dès 1976, l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a adopté des principes directeurs sur ce sujet, complétés en 2000 et 2011. Les engagements existent. Il est difficile pour les entreprises de dire aujourd'hui qu'elles ne peuvent pas les respecter. Si une marque vend une chaussure de sport à 100 €, cela devrait garantir au consommateur que cette chaussure a été fabriquée dans des bonnes conditions... Et si elle n'arrive pas à le garantir, elle doit se poser la question de raccourcir sa chaîne de sous-traitance." >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

Un filon en or

Comment la Suisse peut-elle importer chaque année plusieurs tonnes d'or du Togo, alors que ce pays n'en produit pas ? Sur la base de témoignages et de documents exclusifs, Public Eye révèle en septembre 2015 que cet or est issu de mines artisanales du Burkina Faso, où il est extrait par des enfants dans des conditions innommables. Le fruit de leur labeur est ensuite acheminé par des contrebandiers jusqu'au Togo, d'où il est importé par une société genevoise qui le revend à la raffinerie tessinoise Valcambi. Cette enquête de Public Eye montre une fois encore la nécessité d'imposer aux entre-prises suisses un devoir de diligence raisonnable en matière de droits humains. >> Lire l'article complet sur le site de Publiceye.che

Comment faire des économies grâce aux achats indirects ?

Pour optimiser la gestion de ses achats indirects, il est indispensable de passer par une limitation du nombre de fournisseurs. Trier son portefeuille et ne traiter qu'avec une poignée de fournisseurs proposant une large gamme de produits variés permettra d'augmenter la visibilité sur les dépenses, de réduire les coûts de main-d'oeuvre et de pouvoir négocier des remises. Centraliser les achats indirects en rationalisant les partenaires commerciaux peut faire économiser à l'entreprise plus de 40 % de frais. L'adoption de solutions d'approvisionnement digitales combinée à la limitation du nombre de fournisseurs mène ainsi à une centralisation des achats indirects et par conséquent à d'importantes économies de temps et d'argent. Les achats indirects représentent donc bel et bien un levier d'action non négligeable pour la croissance de l'entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de Cadres et Dirigeants

PSA, Renault et Bpifrance lancent un fonds à destination des sous-traitants automobiles

A l'image du FAA, le Fonds Avenir Automobile 2 sera géré par Bpifrance et investira au capital de sous-traitants automobiles afin d'accélérer leur croissance, leur capacité d'innovation et leur diversification. Il répondra ainsi aux grands enjeux du secteur automobile au niveau mondial, qui fait face à des besoins de consolidation de la filière, d'internationalisation et de mutations indispensables à la transformation écologique. L'objectif est ainsi de soutenir l'émergence de futurs leaders à l'échelle européenne et internationale sur les technologies clés de l'automobile. Afin de répondre aux enjeux de long terme de la filière, le Fonds Avenir Automobile 2 aura une durée totale de 15 ans et sa période d'investissement sera de 5 ans. Il sera doté de 525 millions d'euros au maximum, libérés progressivement, et interviendra de deux manières : 80% du fonds, soit jusqu'à 420 millions d'euros, sera investi directement dans les sous-traitants automobiles français avec l'ambition d'accompagner une quinzaine de groupes ; 20% du fonds, soit jusqu'à 105 millions d'euros, sera investi en " fonds de fonds " dans des fonds d'investissements privés dont l'action sera complémentaire à celle du FAA 2. >> Lire l'article complet sur le site de Vipresse.net


Supply chain

Confinement : la logistique sous la pression d'un Noël hors norme

Le marché du e-commerce auprès des particuliers portait, juste avant la crise sanitaire, à 56 % sur des services et à 44 % sur des produits " physiques " selon la Fevad. Mais cette proportion devrait bouger sensiblement , avec l'effondrement en 2020 des ventes de billets Air France, SNCF ou de packages de vacances, par exemple. Un mouvement bien compris et anticipé par les grands logisticiens, à l'instar du groupe français FM Logistic. "Voilà quatre ans, nous avons fait le choix d'être non plus monocanal, mais omnicanal, c'est-à-dire de livrer également les marchandises pour le compte de certains clients directement chez le consommateur final, ou dans des points de 'click and collect', explique son président Jean-Christophe Machet. Aujourd'hui, l'omnicanal représente 15 à 20 % de notre chiffre d'affaires, mais surtout 50 % des nouveaux contrats signés depuis six mois, on le voit dans toutes nos géographies. Et certains secteurs se développent bien plus vite que l'alimentaire. C'est ça qui tire notre croissance", souligne le patron lorrain, qui recrute 400 collaborateurs en France. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Brexit : les chargeurs doivent se préparer sans délai

Le rétablissement d'une frontière physique entre l'Union européenne et le Royaume-Uni d'ici le 1er janvier 2021 est susceptible de ralentir les flux voire de les bloquer si les nouvelles formalités d'importation ou d'exportation requises ne sont pas remplies correctement. "Toutes les données et informations nécessaires devront être disponibles et communiquées aux bons acteurs dans les temps". Maeva Paqueriaud identifie plusieurs types d'information. Les premières sont liées par exemple au régime ou au classement douaniers des marchandises nécessaires au bureau de douane pour valider les déclarations. Au prix d'ajustement en termes de ressources et dans les systèmes d'information, "il faut s'assurer que la facture soit disponible au moment du dédouanement". Lorsque le conducteur du camion quittera le point d'enlèvement des marchandises, "il devra avoir les bons documents et des instructions claires sur ce qu'il doit faire au passage de la frontière". >> Lire l'article complet sur le site Stratégies Logistique

Commandes en hausse sur Amazon : comment le site de Saran s'organise-t-il ?

"Les investissements Covid représentent, pour le site de Saran, 2,6 millions d'euros", précise Grégory Lavainne (Unsa). "Mais, ces mesures sont efficaces et cohérentes quand il n'y a pas trop de monde. Or, la distanciation sociale de deux mètres devient de plus en plus difficile à respecter dans l'entrepôt et dans les salles de pause." Son homologue de Sud se pose la même question : "Les mesures sont à peu près efficaces, mais est-ce que ça va continuer avec l'augmentation des effectifs?" L'autre problème, pour les syndicats, reste "les bus bondés". C'est pourquoi, aussi bien l'Unsa que Sud réclament une pause dans le recrutement des intérimaires. >> Lire l'article complet sur le site de La République du Centre

Transport / Logistique : les supply chain mondiales transformées par la crise sanitaire

La crise de la Covid-19 a remis en cause l'organisation géographique et le mode de pilotage des supply chain mondiales, nécessitant leur transformation pour les rendre plus résilientes, flexibles et... durables. Tel est le principal enseignement qui ressort d'une enquête de Bolloré Logistics menée en partenariat avec Transport Intelligence, le cabinet d'études britannique spécialisé sur le transport et la logistique. Intitulée "Transport de fret : quel avenir dans le monde post-covid" (The futur of freight forwarding in a post-covid world), l'étude a été réalisée auprès de 422 professionnels (chargeurs, prestataires et institutions financières) en juillet et août 2020.(...) 31 % des sondés pensent notamment que l'éloignement des zones d'approvisionnement et leur concentration sur un faible nombre de pays pourraient être reconsidérés. >> Lire l'article complet sur Le Moci

L'engorgement des conteneurs à quai reste élevé dans les grands hubs mondiaux

Avec 20% à30 % des conteneurs transbordés ayant subi des rollovers en septembre, c'est l'ensemble des chaînes d'approvisionnement mondiales qui a été impacté sur la période étudiée. Une chaîne qui avait déjà été fortement perturbée par la réduction de capacité et d'équipements liée la crise sanitaire. "Les compagnies maritimes ont été surprises par l'augmentation soudaine de la demande de conteneurs suite au déconfinement au début de l'été, explique Josh Brazil, Chief Operations Officer d'Ocean Insights. Les plans de transport souffrent toujours de modifications significatives qui sont exacerbées par le manque d'équipement, l'augmentation des taux de rollover et les goulots d'étranglement logistiques dans de nombreux ports. Ainsi, de nombreuses compagnies maritimes modifient leurs plans de transport, entraînant des retards et des coûts supplémentaires pour les expéditeurs." >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Comment lier réduction des coûts et stratégie ambitieuse pour survivre à la récession ?

Lorsque l'on cherche à réduire les coûts, on oublie souvent la supply chain pour la raison suivante : on part du principe qu'il s'agit d'un coût fixe et que l'augmentation des ventes entraîne naturellement des économies d'échelle. Il n'en est rien. Les entreprises qui cherchent à rationaliser leurs processus doivent examiner le coût de leurs services, défini comme l'analyse et la quantification de toutes les activités de la chaîne d'approvisionnement et des coûts nécessaires pour répondre à la demande des clients. Cette analyse aide les entreprises à identifier les clients et les produits les plus rentables ou non au sein de leur supply chain. Avec ces informations, elles peuvent décider s'il vaut la peine de continuer à fournir un produit ou à servir un client et ce qui doit être changé pour plus de rentabilité. Les entreprises ont souvent la possibilité de mieux tirer parti de leurs capacités existantes en prenant des décisions plus judicieuses. Déterminer dans quel pays un produit se vend le mieux ou à un prix plus élevé assure une rentabilité maximale. Par exemple, un produit sans marque se vendra probablement mieux au Royaume-Uni qu'en France. Ces informations permettent aux entreprises d'optimiser leur supply chain pour s'assurer que leurs produits sont acheminés vers les pays où la demande est la plus élevée. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Logistique urbaine fluviale : premier test validé pour Cemex

L'objectif de cette expérimentation, qui a eu lieu sur le port de Tolbiac à Paris : valider des solutions de transit de caisses mobiles de 20 m3 portées par des camions de collecte parisienne puis "grutées" par Cemex sur une barge à destination du centre de traitement situé dans le port Haropa de Gennevilliers. "Cette première expérience, concluante, a permis de démontrer que la logistique urbaine de petits conteneurs est parfaitement adaptée aux infrastructures existantes des ports Cemex et à la logistique fluviale des produits de grande consommation dans un sens, des déchets propres au retour. Ce test a enfin permis de dégager des pistes d'optimisation du processus qui rendront le schéma encore plus robuste, dans le cadre de son développement possible auprès d'autres chargeurs donneurs d'ordre", décrit Cemex. Ce test grandeur nature devrait présager de nouvelles opérations de ce type à l'avenir pour réduire le flux de camions sur les axes franciliens et générer moins de CO2. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog


Commande publique

"La crise nous a donné l'audace pour accélérer l'action publique", Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie

"Le choix de porter ce seuil à 100 000 euros est étayé par un parangonnage européen et le constat que d'autres pays arrivent à être plus efficaces dans ce domaine tout en ayant des seuils plus élevés. Mais pour cela, il faut que les donneurs d'ordres aient une vision stratégique de l'achat public et utilisent tous les leviers disponibles dans le code. De plus, rien n'interdit, bien au contraire, de mettre en concurrence des entreprises et de demander des devis sous ce seuil. Un formalisme trop pesant dans une petite mairie peut en revanche s'avérer une fausse protection par rapport à l'objectif final.

Ce nouveau seuil est temporaire et disparaîtra fin 2022. Cela signifie-t-il inévitablement un retour à 40 000 euros, comme c'est le principe, à cette échéance ? Fort de deux ans d'expérimentation, le législateur aura alors la latitude de trancher dans un sens ou dans l'autre. Tout ensachant que, du point de vue du juge administratif, la question de l'égalité d'accès aux marchés publics ne doit pas être balayée d'un revers de la main. C'est d'ailleurs pour cette raison que nous avons maintenu obligatoire la publication des données essentielles des marchés dès 25 000 euros afin de bénéficier d'éléments factuels permettant de prendre une décision. Il faudra également regarder la dynamique européenne, car nous avons tout intérêt à avoir une démarche cohérente par rapport aux autres pays." >> Lire l'intégralité de l'interview sur le site du Moniteur

Commande publique : une chute record de -22 % en 2020

Selon les données du baromètre AdCF/Banque des Territoires, la chute de la commande publique pour l'ensemble des acheteurs publics au cours des trois premiers trimestres 2020 par rapport à la même période l'an passé atteint le niveau record de - 22 %. La commande publique des communes a chuté de 7 milliards (- 37%) ; celle des intercommunalités à fiscalité propre (communautés et métropoles) d'environ 2 milliards (- 23%). Tous les secteurs sont concernés. >> Lire l'article sur le site de Achat Public.info

Insertion : les clauses sociales ne seront pas obligatoires

Il n'y aura pas de parts de marchés publics réservées aux entreprises d'insertion. Le gouvernement n'y est en tous cas pas favorable. "Je partage l'intention, je n'adhère pas à la mesure", déclare à La Gazette des communes Thibault Guilluy, Haut-commissaire à l'inclusion dans l'emploi et à l'engagement des entreprises, en référence à une demande de la Fédération des entreprises d'insertion de réserver 10% du montant du marché à des entreprises d'insertion. Une collectivité qui veut désamianter un bâtiment ne pourra donc pas décider qu'une partie du chantier sera réservée d'office à des entreprises d'insertion, dans l'état actuel des réflexions du gouvernement.>> Lire l'article complet sur le site de La Gazette des communes


Fleet management

Le bonus et la prime à la conversion maintenus jusqu'au 30 juin 2021

L'entrée en vigueur du nouveau barème de malus, censé être bien plus sévère que l'actuel, est également repoussée au 1er juillet 2021. De quoi laisser un peu de répit aux constructeurs et aux acheteurs. Pour rappel, on sait que le nouveau bonus devrait démarrer dès 133 g/km de CO

2 et grimper jusqu'à 30 000 €, au lieu d'un début à 138 g/km et d'un plafond à 20 000 € aujourd'hui. On ne sait pas si ce report de 6 mois aura également une incidence sur l'entrée en vigueur du barème 2022, encore plus lourd. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Magazine

Bilan Marché 2020 - Nouveau coup de froid sur le marché entreprise en octobre

Le marché du véhicule d'entreprise s'est de nouveau enrhumé en Octobre, avec certes un jour ouvré de moins par rapport à 2019 (22 contre 23) et une base de comparaison forte en 2019. Mais le résultat est tout de même là, avec une baisse de - 3,56 % sur un mois et 81 399 immatriculations de VP et de VUL, selon les statistiques de l'Arval Mobility Observatory. Sur l'ensemble de l'année, le marché affiche un repli de - 19,63 % (591 967 VP + VUL). Le retour du confinement en raison de la reprise forte de la Covid-19 en France, met fin aux espoirs des professionnels de refaire leur retard sur le dernier trimestre. >> Lire ce sujet sur le site de l'Arval Mobility Observatory

Volkswagen va transformer une île grecque en paradis de la mobilité durable

Plus concrètement, de nouveaux services digitalisés et modes de transport - plus durables - vont faire leur apparition sur cette île. Dans un communiqué, le constructeur allemand annonce la mise en place d'un service de covoiturage 100 % électrique "conçu pour améliorer le service d'autobus local très limité" mais aussi "la transformation d'une partie de l'activité traditionnelle de location de véhicules" en un service d'autopartage de scooters électriques de marque Seat. La mise à disposition de vélos à assistance électriques et de véhicules 100 % électriques issus des gammes de Volkswagen est également prévue. "Un millier de véhicules électriques remplaceront les 1 500 véhicules à moteur thermique" promet le groupe automobile allemand. "Les véhicules utilitaires des entreprises locales et les véhicules utilitaires de l'île (véhicules de police, véhicules des services d'urgence et flottes du secteur public) seront également électrifiés" est-il encore précisé. >>Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise

Automobile : le malus au poids, mode d'emploi

Les professionnels ont tout d'abord été heureux d'apprendre que la nouvelle taxe ne s'appliquerait qu'à partir du 1er janvier 2022. Pour le coup, il ne s'agissait pas de les ménager, mais de tenir prendre en compte les délais d'ajustement des outils informatiques. Surtout, la CCC préconisait de taxer toutes les voitures nouvellement immatriculées dont le poids dépasse les 1.400 kilos, ce qui, selon les calculs de l'institut Inovev, aurait touché un tiers des voitures particulières vendues en France l'an dernier. Le seuil finalement retenu a été relevé à 1.800 kilos, ce qui est, selon certains experts, devrait réduire de 1 à 2 % seulement le nombre de véhicules concerné. De surcroît, les voitures électriques, dont la masse est plus importante du fait du poids de la batterie, seront exemptées, tout comme les hybrides rechargeables ayant une autonomie supérieure à 50 kilomètres. La valeur mesurée sera "la masse en ordre de marche" de la voiture, une notion définie par les textes européens qui inclut le poids à vide du véhicule, mais aussi le poids du conducteur fixé a une valeur moyenne de 75 kg, ainsi que celui du réservoir plein à au moins 90 %. Mais les futurs acheteurs n'auront pas à prendre une calculatrice pour savoir s'ils échapperont ou pas au malus. "Toutes les valeurs fournies par les constructeurs dans leurs catalogues ou sur leurs sites internet se réfèrent à la masse en ordre de marche", assure un professionnel. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


Travel management

Les entreprises préparent une reprise des déplacements en mode RSE

Les entreprises ont l'occasion de prendre un peu de recul sur leur politique voyages, pour améliorer leur volet RSE. Dans cette optique, de nouvelles initiatives émergent sur le marché français pour accompagner ce repositionnement. Aux côtés de SAP Concur et de Green Evénements, la nouvelle venue ComSense lance ainsi une formation continue dédiée à la RSE pour le secteur des déplacements professionnels. Les quatre modules d'une demi-journée - qui doivent rassembler acheteurs et prestataires - s'adressent non seulement aux entreprises acheteuses de voyages d'affaires, mais aussi plus largement à l'ensemble de la chaîne de prestataires, et notamment aux agences de voyages, aux logiciels de réservations, aux transporteurs, aux hôteliers, ou encore aux consultants. Pour Carole Poillerat et Béatrice Eastham, présidentes et fondatrices respectives de ComSense et de Green Événements, il s'agit là de " permettre à l'ensemble des acteurs du voyages d'affaires de grandir sur le sujet de la RSE et de pouvoir adapter des pratiques responsables. "Donner de la visibilité à l'impact environnemental des options de voyage réservées ou montrer l'exemple ne sont que quelques options permettant aux entreprises d'aider leurs voyageurs à faire des choix plus écologiques", souligne pour sa part Hélène Goumard (EMEA Solutions, Concur). >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'Affaires


RH / Carrière / Management

Télétravail généralisé : attention aux risques psychosociaux pour les salariés

Cette injonction au télétravail à 100%, et pour une durée indéterminée, inquiète aussi François Cochet, directeur des activités santé au travail chez Secafi, et président de la Fédération des intervenants en RPS. "On se croit mieux préparé, car les dispositifs techniques sont en place, mais on sous-estime les graves inconvénients pour les personnes isolées", alerte-t-il. Si les numéros verts de soutien psychologique lui semblent un peu inutiles, il salue les enquêtes en cours dans les entreprises, "aussi bien côté direction que syndicats, pour préparer des négociations" au télétravail. Mais avec un biais pervers cependant : "Ce sont souvent ceux qui sont favorables au télétravail qui s'expriment." Il défend l'idée d'un cadrage national, dont les négociations ont démarré mardi 3 novembre entre organisations patronales et syndicales, "avec un accord de méthode pour évaluer le télétravail en confinement, bien différent du télétravail choisi". "Dans les entreprises, cela devient une urgence de renégocier - ou négocier - les accords de télétravail internes", réclame également Natalène Levieil. "Ce qui était acceptable dans une situation exceptionnelle n'est plus tenable dans la durée et à grande échelle." >> Lire l'article complet sur le site des Echos


 
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