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Revue de presse achats - semaine du 22 juin

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Revue de presse achats - semaine du 22 juin
© gitusik - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trop aux achats, à la supply, à la RSE, etc. Bonne lecture!

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Monsieur Cuisine Connect, la machine à coudre... pourquoi les produits Lidl cartonnent

A chaque arrivage, au siège de Lidl à Rungis, les fruits et légumes passent à la torture dans une immense cuisine située au rez-de-chaussée. La banane est pesée, comparée à un nuancier vert-jaune, piquée au réfractomètre pour mesurer son taux de sucre. La clémentine, pressée, suçotée, crachée... La carotte passe l'examen du calibrage. Et en ce jour de mars, cela coince. "Venez voir, crie l'acheteur à ses collègues, tout en mesurant frénétiquement une, puis deux, puis toutes les carottes d'un paquet de 5 kilos. Elles ne sont pas du tout du bon calibre !" Classées en catégorie 1, les dites carottes sont censées faire 20 centimètres minimum. Bon nombre n'en faisaient pas 15. Retour à l'envoyeur. Difficile de l'imaginer quand on voit ses prix bas. Mais chez Lidl, on ne badine pas avec la qualité des produits, que ce soit pour la carotte, le camembert Chêne d'Argent, le maquereau Nixe ou le tuyau d'arrosage Parkside. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Textile: Le sourcing mondial chamboulé

Interview de Mohamed Boubouh, président de l'Amith - Le secteur textile, un des plus gros pourvoyeurs d'emplois, pourrait profiter du changement de la cartographie du sourcing mondial. Comme l'explique Mohamed Boubouh, président de l'Amith, "les donneurs d'ordre étrangers affichent aujourd'hui une volonté claire de réduire leur dépendance au sourcing asiatique". Une opportunité pour les industriels marocains qui attendent des mesures pour pouvoir mieux conquérir le marché local. (...) Les industriels fabriquent pour le compte des marques les plus exigeantes et les plus en vue dans l'univers de la mode à l'international. La question qui se pose serait de savoir pourquoi ces industriels ne sont pas en mesure de faire de même sur le marché national. Premièrement, les prix de vente sur le marché local sont tirés vers le bas par cette concurrence déloyale évoquée précédemment, ce qui ne permet pas aux acteurs structurés de se positionner sur leur propre marché domestique. >> Lire l'article complet sur le site de l'Economiste

Pourquoi investir dans les achats rend les organisations plus résilientes

Comment les entreprises peuvent-elles développer la résilience dont elles auront besoin pour relever stratégiquement et efficacement ce nouveau défi et satisfaire ce qui sera parfois des intérêts et des valeurs concurrents? En enlevant le pouvoir au directeur financier et en l'investissant dans les achats. Oui, c'est ça, l'approvisionnement. Il y a des siècles, le mot avait un sens plus large, impliquant "le processus de réalisation de quelque chose", et nous proposons que les dirigeants recommencent à y penser aujourd'hui. Déployé de manière stratégique, l'approvisionnement peut aider les entreprises à créer des constellations de valeur entières - plutôt que de simples chaînes de valeur - dans lesquelles les parties prenantes de toutes sortes sont connectées les unes aux autres de manière globale et dynamique. (...) Dans le modèle de coproduction, ce qui importe n'est pas le pouvoir relatif mais plutôt les relations entre tous les acteurs, et les multiples rôles qu'ils jouent les uns par rapport aux autres. Concevez un système qui crée de la valeur en améliorant ces relations, et tout le monde y gagne. Une réflexion stratégique sur l'approvisionnement rend cela possible. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

Avec la pandémie, l'industrie de la viande devient "aussi précaire que le pétrole"

L'industrie est ancrée "dans un cycle d'autodestruction qui met des vies en danger", a jugé Jeremy Coller, fondateur de Fairr et directeur de Coller Capital. "Pour éviter de provoquer la prochaine pandémie, l'industrie de la viande doit s'attaquer au laxisme des normes de sécurité tant pour les aliments que pour les travailleurs, aux animaux confinés et à la surutilisation des antibiotiques. Cela perturbera une chaîne d'approvisionnement qui se fissurait déjà à cause de contraintes fondamentales concernant la terre, l'eau et les émissions", ajoute le spécialiste. Les forts taux de contamination au Covid-19 dans les abattoirs et les usines de transformations de viande partout à travers le monde ont mis un coup de projecteur sur les défaillances de ce modèle. En France, en Allemagne, en Australie, aux États-Unis... >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

La relocalisation de la production de médicaments en cinq questions

L'un des principaux facteurs de fuite des industries pharmaceutiques est sans conteste le coût de production. Pour les voir revenir, il faudrait donc pouvoir combler l'écart, en augmentant par exemple le prix de vente du médicament ou en adoptant des mesures fiscales avantageuses. Un autre paramètre particulièrement effrayant pour les industries est la réglementation. Les entreprises sont soumises à des contrôles et des normes extrêmement sévères, notamment en termes d'environnement. "Ce qui est un peu paradoxal c'est que les normes environnementales en vigueur en France sont drastiques mais que lorsqu'il s'agit d'importer, on est déjà beaucoup moins regardant", détaille Marie Coris. Ces règles d'importation sont ainsi fortement dissuasives pour les entreprises françaises ou européennes qui ne subissent pas les mêmes exigences que leurs concurrentes étrangères, et qui sont surtout loin d'être privilégiées par leurs gouvernements. "On pourrait s'inspirer de certaines stratégies de pays émergents comme la Chine ou l'Inde qui conditionnent l'accès au marché national à des entreprises qui produisent en partie sur place", illustre l'économiste. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RSE

Après la crise, certaines entreprises souhaitent accélérer leur transition écologique

Des camions propulsés a` l'huile de frites - Faire rouler les camions de livraison des restaurants avec l'huile de friture usagée de ces mêmes restaurants. Voilà` la boucle vertueuse imaginée par McDonald's dans le cadre de son objectif "zéro diesel" d'ici 2025. "Cela fait désormais près de 15 ans que nous développons une filière de valorisation de nos huiles de friture usagées" rappelle Delphine Smagghe, Senior Vice-Présidente Achats, Qualité´, Développement Durable et Communication chez McDonald's France. Parallèlement à` cet effort, l'enseigne se penche également sur l'utilisation de ces huiles comme carburant de ses camions de livraison. A partir de 2015, la chaîne lance ainsi l'expérimentation du "B100", un biocarburant produit intégralement a` partir d'huiles alimentaires usagées. "Il permet de réduire les émissions de particules des véhicules de plus de 50 % et leurs émissions de gaz a` effet de serre de 90 %". Après plusieurs années de tests, l'obtention de garanties techniques et l'équipement de 70 véhicules (30 % de sa flotte), McDonald's France souhaite s'engager en 2020 vers l'utilisation de ce carburant pour l'ensemble de ses camions de livraison. >> Lire l'article complet sur le site de 20mn

Achats solidaires : la SNCF montre la voie

"Le sujet des achats solidaires est très important à la SNCF. Il y a cinq ans, notre entreprise s'est fixé un objectif : 30 millions d'euros d'achats annuels auprès du secteur du travail protégé et adapté à fin 2020. En 2019, le résultat était de 19 millions. Nous allons donc redonner un grand coup de collier. Et nous ferons tout ce qu'il faut pour atteindre le but", promet Frédérique Tabary, chef de pôle achats responsables à la direction des achats du groupe. La stratégie a été menée très en amont. "Pour chaque famille d'achat, nous avons déterminé un potentiel et mené un processus de qualification des fournisseurs sur certaines familles d'achats." Peu d'entreprises du STPA peuvent répondre aux gros volumes des consultations de l'opérateur ferroviaire. La SNCF privilégie donc l'approche par lots, marchés réservés et achats directs pour les achats dits "locaux". "Le secteur solidaire comprend aussi l'insertion professionnelle. Cette année, notre ambition est de parvenir à un million d'heures contractualisées grâce aux clauses sociales", poursuit-elle.>> Lire l'article complet sur le site de Santé achats.info

Remplacer charbon et nucléaire par le solaire et le vent est désormais rentable

Aujourd'hui, à peu près les deux tiers de l'électricité du monde sont encore produites à partir des combustibles fossiles, et près de 40 % à partir du charbon [2], de loin la source la plus polluante. Le charbon est aussi la référence économique parce que c'est la source la moins chère de production électrique. "Était", nous dit le rapport de l'Irena, qui compile les coûts de production des installations au fil des appels d'offres et des mises en service. Pour les projets mis en service en 2019, l'Irena a calculé un coût moyen de production de l'électricité solaire de 6,8 centimes de dollar le kWh (kilowatt-heure), de 5,3 centimes le kWh pour l'éolien terrestre (mais encore plus du double pour l'éolien en mer), et de 4,7 centimes pour l'hydraulique. Dans 56 % des cas étudiés, l'option renouvelable est plus avantageuse que ne l'aurait été la moins chère des options à base de combustibles fossiles. Pour l'éolien seul, les trois quarts des nouvelles installations sont plus compétitives que ne l'aurait été l'option au charbon la moins chère. >> Lire l'article complet sur le site de Reporterre

Commande publique

Masques de la mairie de Bastia : François Tatti saisit le parquet de Bastia pour une suspicion d'infraction au code des marchés publics

François Tatti, septième sur la liste Unione per Bastia de Jean-Sébastien de Casalta, a saisi en tant que conseiller municipal le parquet de Bastia. Joint par téléphone, son avocat, maître Jean-André Albertini, nous a confirmé cette saisine, au titre de l'article 40, qui porte sur le marché public des masques distribués par la mairie de Bastia. Un marché public qui a souffert, selon lui, d'un manque de publicité et de mise en concurrence, et dont les éléments n'ont pas été communiqués aux conseillers municipaux lors du dernier conseil municipal. >> Lire l'article complet sur le site de Alta Frequenza

Supply chain

La "supply chain" se réinvente par la Tech

Déjà pris en étau entre massification des flux et limitation de l'impact environnemental, entre exigences accrues du consommateur et réduction des coûts, ces derniers doivent maintenant développer des capacités d'adaptabilité et de réactivité extrêmes. Toutes les filières de la logistique sont concernées. Pour relever ces défis, les chargeurs comme les transporteurs ou les concepteurs d'immobilier spécialisé misent sur l'innovation et la digitalisation. L'e-commerce, qui a connu une envolée pendant le confinement, a bouleversé les comportements d'achat, avec des délais et des modes de livraison toujours plus contraignants. "La supply chain est un levier stratégique. Elle a besoin d'être à la pointe de la technologie pour mieux servir le consommateur", confirme Francisco Garcia, directeur supply chain L'Oréal Operations. Dans un environnement urbain engorgé, le travail sur le dernier kilomètre, qui représente jusqu'à 60 % du coût du transport, mobilise les logisticiens. L'utilisation des boutiques comme entrepôts, associée à l'option "ship from store" de logiciels d'unification des stocks, se développe. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Transport de marchandise - La crise sanitaire occasionne un surcoût de 3 à 32 € par jour et par véhicule

Entre 3 et 32 € par jour et par véhicule, soit de 0,5 % à 6 % du prix de revient standard, en fonction du type d'activité : c'est ce que coûteraient les fournitures des équipements de protection individuels (EPI) pour les conducteurs et les opérations de nettoyage des cabines ainsi que la mise en oeuvre de ces mesures. Une étude détaillée du Comité national routier (CNR) revient sur les coûts directement associés aux mesures sanitaires, c'est-à-dire sur les EPI qui incluent l'ensemble des équipements différents réunis dans les kits distribués, et sur les coûts engendrés par le nettoyage de véhicules. Concernant les EPI, le coût d'un kit conducteur (gel, masques, lingettes, etc.) est compris entre 0,70 € et 3 € HT. Une partie de l'écart provient d'une différence de prix unitaire, d'une absence de rationalisation et d'une nature variable des différents équipements fournis dans les EPI. "Les achats sont réalisés dans l'urgence, en quantité souvent réduite et portant successivement sur des équipements différents de ceux déjà acquis, les écarts de prix proviennent d'une absence évidente d'optimisation", précise le CNR. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Pics d'activité en logistique : quelles solutions pour des flux décuplés ?

Pour traiter plus de volume, de références ou de commandes sur des périodes bien précises, il n'y a pas de mystère : il faut s'appuyer sur plus de personnel. Cette année chez Cdiscount, l'e-commerçant va ainsi passer de 750 opérateurs sur ses tâches logistiques à un effectif total de 3 500 personnes au niveau national. Même son de cloche du côté d'XPO Logistics à l'approche de Noël au niveau européen : "Sur la période de fin d'année, nous allons recruter de 12 000 à 15 000 employés supplémentaires sur le continent. L'activité e-commerce d'un acteur du textile sur un de nos sites va nécessiter de passer de 200 à 1 200 personnes au moment du Black Friday. Au-delà même de la question des recrutements, il faut aussi être capable d'accueillir tout ce personnel, avec des vestiaires, des parkings et la mise en place de formations", raconte Bernard Wehbe. Premier défi donc : celui du recrutement. Pour les acteurs du e-commerce ayant de forts pics en fin d'année, il s'agit donc de s'y prendre très tôt, avec des premières actions dès le mois de février pour la fin d'année, dans un contexte de pénurie de main d'oeuvre qualifiée : "Nous donnons nos prévisionnels aux agences d'intérim très en amont afin qu'elles puissent sourcer pour nous des profils adaptés. Nous lissons ensuite ces prévisions au fil de l'année pour être au plus juste", détaille Loïc Bocquet. >> Lire l'article complet sur VoxLog

La fonction supply chain, rouage essentiel de l'ère post-Covid ?

L'étude lève notamment le voile sur trois chantiers de transformation stratégiques auxquels les professionnels de la chaîne logistique peuvent apporter leurs expertises : la révolution numérique, la responsabilité sociale et environnementale , et l'e-commerce. "Sur le volet de la transformation digitale, les supply chain managers peuvent servir de catalyseur dans la mesure où ils ont des compétences en systèmes d'information, en intelligence artificielle, en big data ou encore en usine 4.0", affirme Philippe Raynaud. Concernant l'intégration du développement durable dans le modèle économique de l'organisation, le supply chain manager peut apporter sa pierre à l'édifice avec ses outils - indicateurs, solutions de mesure... -, ses méthodologies et sa connaissance des acteurs, vertueux ou pas, depuis le fournisseur jusqu'au livreur en passant par les entrepôts. Ce lien privilégié avec le terrain peut aussi servir de facilitateur pour accélérer le e-commerce. Ces différents champs d'action nécessitent bien évidemment des compétences techniques auxquelles s'ajoutent des soft skills non négligeables comme le leadership ou la capacité à fédérer différents écosystèmes. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Prévenir le dérapage des frais de conteneurs

En septembre 2018, la Fédération internationale des associations de transitaires et assimilés (FIATA) a publié un guide de bonnes pratiques sur les frais d'utilisation et de détention de conteneurs dans le cadre des contrats avec les compagnies maritimes. Pour prévenir le dérapage de ces frais, TLF Overseas en a extrait plusieurs recommandations dont "introduire un plafond maximum et raisonnable par rapport à la valeur du conteneur". Il est suggéré aussi de prévoir la possibilité de prolonger la franchise si le terminal n'est pas en mesure de libérer ou de recevoir le conteneur ; la prolongation devant être égale à la durée de cette incapacité. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistiques

Mai 2020 : les prix du transport routier poursuivent leur baisse

L'évolution des prix du transport routier en France au mois de mai montre que les facteurs de résilience que nous décrivions en avril, comme les contrats à long terme et l'absence des flottes étrangères, ont continué à produire leurs effets. Les prix ont poursuivi leur baisse, mais à un rythme moindre. On peut toutefois se demander combien de temps cette situation va perdurer. Déjà, les flottes étrangères font leur réapparition sur le territoire français. (...) En moyenne, toujours selon cette enquête de la FNTR, les transporteurs ont perdu en moyenne 40% de chiffre d'affaires en trois mois (mars, avril et mai). Ils sont aussi confrontés un un problème de sous-productivité, avec une baisse de roulage et une hausse des kilomètres à vide. Seule la réduction du gazole (voir tableau) vient tempérer une situation qui devient critique. La profession réclame le soutien de l'État et surfe sur la bonne image acquise grâce à leur action essentielle pendant le confinement pour mettre en avant ses revendications. >> Lire ce sujet sur le site de Upply

Les États-Unis peuvent-ils mettre fin au contrôle de la Chine sur la chaîne d'approvisionnement mondiale?

L'administration Trump a parlé de ramener les chaînes d'approvisionnement à la maison en provenance de Chine, et a même exprimé publiquement le besoin d'un groupe de pays amis en Asie qui pourraient aider à produire des produits essentiels. Le mois dernier, le président Donald Trump a même déclaré que les États-Unis "économiseraient 500 milliards de dollars" s'ils coupaient les liens avec la Chine. (... ) Il est plus probable que le virus accélérera un changement qui était déjà entraîné par les forces du marché, car la hausse des salaires et des coûts en Chine au cours de la dernière décennie a provoqué un exode de fabrication de moindre valeur, en grande partie vers l'Asie du Sud-Est. Et ce malgré le désir de certains membres de l'administration Trump de commencer à découpler les plus grandes économies du monde alors que les États-Unis et la Chine épargnent tout, du virus aux réseaux 5G en passant par Hong Kong. >> Lire l'article complet sur le site de Supply chain brain

IT

La signature électronique, placée au coeur de la transformation digitale des entreprises par le confinement

Au cours des dernières semaines, la signature électronique a cependant connu une très forte démocratisation, en raison du confinement, dans des entreprises de toute taille, PME ou encore grands groupes comme Engie. Le travail à distance et la limitation de l'accueil des clients ont agi comme un révélateur pour les entrepreneurs et les responsables administratifs qui se sont heurtés à la difficulté de signer des documents physiques. Une situation problématique alors que les formalités administratives, à l'instar des demandes de prêts de trésorerie ou l'envoi de recommandés se sont maintenus dans l'intervalle. >> Lire l'article complet sur le site de Entreprendre

Health Data Hub : le Conseil d'Etat confirme le choix de Microsoft Azure

Selon le Monde qui s'est procuré le jugement, "le Conseil d'Etat a maintenu, vendredi 19 juin, l'arrêté élargissant en pleine crise sanitaire ses prérogatives pour mener des projets de recherche contre le Covid-19." L'action était menée par le Conseil national du logiciel libre et d'autres personnes physiques via une procédure de référé-liberté. Sa requête : suspendre l'arrêté du 21 avril, au nom du droit à la protection de la vie privée. La décision, citée par le quotidien, indique qu'"Il n'apparaît pas que l'arrêté (...) porte une atteinte grave et manifestement illégale au droit au respect de la vie privée et au droit à la protection des données personnelles". >> Lire l'article complet sur le site de Silicon

RGPD : Un premier modèle de clauses contractuelles types pour la sous-traitance

Tribune de Isabelle Cantaro, avocat associé au sein du cabinet Caprioli & Associé - "Bien que non obligatoires, ces clauses contractuelles types vont s'imposer puisqu'elles pourront être opposables à l'autorité de contrôle danoise notamment en cas de contrôle, sous réserve d'être utilisé telles quelles. Le cas échéant, il est possible d'y intégrer des dispositions complémentaires, plus protectrices des données personnelles... Les clauses types reprennent et précisent les mentions de l'article 28 du RGPD (déjà très détaillées ....), au fil de leurs 15 articles et 4 annexes (A/Descriptif du traitement ; B/Sous-traitants ultérieurs autorisés ; C/Instructions ; D/Dispositions relatives aux autres activités non couvertes par les clauses). Ainsi, à titre d'exemple sur l'obligation de sécurité, les clauses prévoient que le sous-traitant doit évaluer les risques inhérents au traitement indépendamment de l'analyse menée par le responsable du traitement. En outre, une clause de tiers bénéficiaire est à prévoir pour le responsable de traitement afin de lui permettre d'être en relation directe avec le(s) sous-traitant(s) ultérieur(s) en cas de défaillance du sous-traitant initial. >> Lire la tribune sur le site de l'Usine Digitale


Environnement de travail

Un bureau sur deux n'est pas occupé : les entreprises tentées de couper dans le budget immobilier

"Face à l'augmentation des coûts immobiliers ces cinq dernières années (liée principalement à l'évolution des loyers en Île-de-France), la 'sous-occupation' des postes de travail est l'une des préoccupations des entreprises", indiquent ainsi Olivier Gerarduzzi et Bruno Amsellem, directeur et associé chez Deloitte, auteurs de la note d'analyse. Selon leurs chiffres, avant la crise, le taux d'occupation moyen des postes était compris entre 50 et 70% du temps, du fait des RTT, congés, déplacements, réunions... Et quand on sait qu'en Île-de-France, un poste de travail coûte entre 5.000 et 18.000 euros du m2 hors taxe à l'année, en fonction de sa localisation... la solution serait tentante. "À la recherche d'optimisation sur les charges d'exploitation et dans un contexte de crise économique, les impacts seront nombreux : gel des embauches, voire, pour certains secteurs, mise en place de PSE, déploiement généralisé du télétravail...", poursuivent les auteurs. "Nous pouvons raisonnablement pronostiquer que les entreprises vont, dans les trois prochaines années, procéder à la restitution plus ou moins massive de surfaces tertiaires qu'elles auront estimées comme excédentaires." >> Lire l'article complet sur le site de LCI


Travel

Orly rouvre vendredi : vols disponibles, protocole sanitaire... ce qu'il faut savoir

Sur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP, ainsi que 150 distributeurs de gel. 137 plexiglas ont été disposés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement. Le port du masque est obligatoire. Pour s'adapter à un ciel encore très incertain la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2. À partir de vendredi, une trentaine de destinations sera desservie au départ du terminal 3 avec environ 70 décollages et atterrissages par jour, contre 600 en moyenne en temps normal. Depuis le sud de Paris, on pourra s'envoler vers l'Outre-mer (Antilles, La Réunion) et la Corse, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande ou la Croatie. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Tendance : des chambres d'hôtel reconverties en bureaux

A sa réouverture le 1er juillet prochain, le 25Hours Paris Terminus Nord proposera en France un concept déjà proposé outre-Rhin par les hôtels de l'enseigne allemande, qui compte Accor parmi ses actionnaires. L'établissement situé juste en face de la gare parisienne offrira en effet la possibilité d'utiliser ses chambres en tant que bureaux. Wi-Fi, machine Nespresso, enceinte Bluetooth, vélo Schindelhauer à disposition, animaux de compagnie bienvenus : entre 9h et 18h, les cadres nomades peuvent profiter du confort d'une chambre double pour 50 euros la journée et 200 euros du lundi au vendredi. Cette idée de " home office " à l'hôtel est apparue en Allemagne début avril, au plus fort de la pandémie. En réponse à la chute brutale de la fréquentation, de nombreux établissements se sont mis à proposer une solution alternative pour télétravailler tranquillement, sans risque d'être dérangé par les bruits du voisinage ou de voir ses enfants débouler en pleine visioconférence. >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'affaires


Fleet management

"12 % des véhicules vendus par la centrale d'achat sont à faibles émissions"

Engagée en faveur de la mobilité durable, l'UGAP a vendu en 2019 près de 2800 véhicules à faibles émissions de C02, à motorisations électriques ou hybrides rechargeables. Explications d'Olivier Rougetet, chef de département marketing produits véhicules au sein de la centrale d'achat public. "En tant que centrale d'achat public nationale, l'UGAP se positionne comme facilitateur entre des industriels à qui nous offrons des débouchés pour booster leurs ventes de nouvelles technologies environnementales et des clients publics soumis à diverses obligations règlementaires en matière de mobilité verte. Rappelons que l'UGAP est d'ailleurs au coeur de la stratégie de l'Etat français visant à maximiser l'achat de véhicules à faibles émissions. Et pour cause : notre établissement, en tant qu'acteur clé des politiques publiques, est chargé, depuis la circulaire du Premier Ministre de 2015, de mutualiser l'acquisition des véhicules composant le parc de l'Etat et ses opérateurs. De quoi faire de la centrale d'achat le relais des objectifs gouvernementaux dans le domaine de la transition énergétique". >> Lire l'interview sur le site de l'Ugap


RH / Management

Conséquence du télétravail : on peut dire non à ses collègues de façon automatisée

La cadence s'accélère, les projets s'accumulent, les réunions Zoom s'enchaînent... au point que vous n'osez plus répondre "non" poliment à vos collègues qui vous sollicitent de toute part. Zapier, entreprise spécialiste de l'automatisation des tâches, a trouvé une solution : le raccourci clavier. Pour gagner en productivité (être poli nuit à l'efficacité, c'est bien connu), l'entreprise suggère sur son blog d'utiliser une application comme Alfred (mais ça aurait aussi pu être Breevy, Keyboard Maestro, atext...). Celle-ci permet de créer des raccourcis claviers personnalisés. Le principe est simple : à chaque fois que vous tapez le raccourci, l'appli se charge d'envoyer un "snippet", un petit texte que vous avez préalablement configuré. Et ce sur n'importe quel canal : mail, messageries ...

Utiliser cette astuce permet, selon Zapier, de dire non plus facilement, et d'éviter d'être submergé par des projets qu'on ne peut pas gérer et risquer le burn-out. Zapier suggère de créer plusieurs raccourcis pour varier les manières de dire non selon l'interlocuteur et le contexte. Le raccourci "nopebooked" (nonoccupé) peut être utilisé lorsque l'un de vos collègues vous demande de l'aide par exemple. Le texte suivant lui sera alors envoyé : "Je serais ravi de t'aider, mais je suis occupé jusqu'au X. Je pourrai éventuellement me libérer le Y si tu as toujours besoin d'aide, mais je ne veux pas te ralentir. S'il te faut de l'aide tout de suite, tu peux contacter A" >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


 
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