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Le voyage d'affaires face à son "uberisation"

Réservations aériennes ou ferroviaires, VTC mais aussi hébergement et restauration... L'économie partagée s'invite chez les travel managers et soulève, en filigrane, la question de la sécurité des voyageurs, notamment dans les pays à risques.

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Le voyage d'affaires face à son 'uberisation'

Les acteurs de l'économie du partage commencent à développer des offres destinées aux entreprises et notamment à celles qui emploient des voyageurs d'affaires. Airbnb a été l'initiateur de la démarche, avec sa plateforme Airbnb Business et sa signature "Chez vous, ailleurs: même en voyage d'affaires". Les arguments en faveur de la réservation d'appartements ne manquent pas: renforcement du travail en équipe pendant le séjour, induisant une meilleure productivité, emplacement géographique privilégié (en centre-ville ou à proximité des quartiers d'affaires), etc.

En outre, Airbnb fournit des outils aux travel managers, notamment un tableau de bord qui donne la possibilité d'accéder à la localisation de leurs collaborateurs.

La sharing economy en mode B to B

Si le Conseil constitutionnel a tranché en interdisant le service UberPop en France, les particuliers ne peuvent plus, en théorie, faire office de chauffeur rémunéré et concurrencer les taxis. Pour autant, cette décision ne remet pas en cause le modèle de la sharing economy, puisque le covoiturage reste autorisé. Le trublion californien a contre-attaqué en lançant UberPool, un nouveau service qui permet de partager tout ou partie d'une course... Et il semblerait que ce ne soit qu'un début.

D'autres start-up se positionnent sur le marché du travel, quels que soient les modes de transport. On parle, par exemple,

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