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Revue de presse achats - semaine du 15 novembre

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Revue de presse achats - semaine du 15 novembre

Vous n'avez pas eu le temps de surfer ces derniers temps? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus récemment sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

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Bercy octroie une aide pour les industriels gourmands en électricité

Après le "bouclier tarifaire" pour les ménages, le gouvernement vole au secours des industriels gros consommateurs d'électricité. Un amendement au projet de loi de Finances prévoit de leur verser dès l'an prochain une partie de l'aide qui leur est due au titre de la compensation des coûts du carbone. Une partie (24 %) de cette aide qui devait leur être versée en 2023 le sera dès le printemps prochain, détaille le texte. Ce n'est qu'une avance donc, mais elle est significative : 150 millions d'euros. Et la mesure sera pérennisée : les industriels concernés recevront cette avance tous les ans désormais, explique-t-on au cabinet d'Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée chargée de l'Industrie. "Cela permettrait de renforcer la trésorerie des entreprises au cours de l'année 2022, alors qu'elles connaissent actuellement une forte hausse de leur facture énergétique, notamment d'électricité lorsqu'elles s'approvisionnent sur les marchés", explique l'exposé des motifs de l'amendement. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La fonte du prix des matières premières crispe les marchés

Depuis deux semaines, le prix du minerai de fer, mais aussi ceux du cuivre et de l'aluminium se sont sérieusement dégonflés. Le hic, c'est qu'avec la Fed au programme cette semaine, l'humeur du marché est à décortiquer tout ce qui peut influencer l'action des banques centrales. En plus de faire monter les prix, la grimpette post-corona du prix des matières premières a régulièrement alimenté les craintes de voir l'inflation camper longtemps à des niveaux élevés. Les signes de temporisation venus de Chine seraient-ils annonciateurs de l'amorce d'une décrue à venir de l'inflation? >> Lire le sujet complet sur le site l'Echo

Sous-traitants : l'Etat exhorte Renault/Stellantis à la solidarité

Les grands constructeurs automobiles français (...) doivent donner "du temps et de la visibilité" à leurs sous-traitants pour bâtir une filière "solidaire" comme celle de l'aéronautique, a déclaré mercredi la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher. La ministre estime par ailleurs qu'en demandant la mise en place d'une "stratégie coopérative" dans l'automobile, Emmanuel Macron a "tout-à-fait" mis la pression sur Renault et Stellantis (structure issue de la fusion de FCA et PSA) mardi lors de sa présentation du plan d'investissement France 2030. "Le sous-texte de ce que le président a dit c'est que les relations dans la sous-traitance automobile entre donneurs d'ordre et sous-traitants sont souvent marquées par le court-terme et par des demandes de baisse de prix difficilement supportables" a dit le ministre. "L'enjeu c'est d'être capable d'avoir des partenariats stratégiques" où les équipementiers de l'automobile "puissent avoir le temps de s'adapter" a-t-elle ajouté. "Bien sûr qu'ils doivent investir pour moderniser leurs lignes de production, mais pour le faire ils ont besoin d'avoir de la visibilité sur leur commandes, c'est ce qu'on retrouve dans l'aéronautique et qui fonctionne", a par ailleurs déclaré Mme Panier-Runacher. >> Lire ce sujet sur le blog auto

Les entreprises de plus en plus inventives pour contourner les pénuries

Les économistes de la banque HSBC ont fait une liste des différentes stratégies de contournement. La plus évidente d'entre elles est le changement de localisation de la production, dans une Asie ultra-flexible. Le fabricant de chaussures Crocs a déplacé sa capacité de production du Vietnam à la suite des fermetures temporaires d'usines dans le pays, vers d'autres marchés comme la Chine et l'Indonésie. Les jeans Levi's ont suivi la même stratégie en utilisant les ports de la côte Est des Etats-Unis plutôt que ceux de la côte Ouest, embouteillés. D'autres sont allés plus loin. Le fabricant d'électroménager Electrolux préfère transporter par avion certains composants plutôt que de subir les retards du fret maritime . Adidas et les jouets Hasbro, pour ne pas manquer les fêtes de fin d'année, ont aussi utilisé l'air plutôt que la mer pour acheminer leurs produits. Crocs prévoit même d'investir environ 75 millions de dollars dans le transport aérien avant la saison de vente printemps-été 2022. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Noël : pourquoi une pénurie d'emballages en carton n'est pas à exclure

Certains fabricants de jouets, de cosmétiques ou de chocolats se demandent ainsi comment ils vont emballer leur marchandise pour la période de Noël. C'est le cas du chocolatier Jeff de Bruges, comme l'explique son fondateur Philippe Jambon au micro d'Europe 1 : "On ne fait pas nos chocolats en Asie, mais on fait un certain nombre de nos emballages et on est en flux très tendus. Les bateaux prennent deux, trois ou quatre semaines de retard", déplore le chef d'entreprise. Depuis le début de l'année, le prix du carton flambe à cause de la hausse des prix des matières premières comme l'amidon, le papier, les encres mais aussi l'énergie. Pour le carton ondulé, utilisé pour protéger la marchandise dans les colis, "nous en sommes à la quatrième vague d'augmentation des prix depuis le mois de janvier", explique récemment un des leaders du marché à Europe 1, soit 40% d'augmentation. >> Lire l'article complet sur le site de Europe 1

Japon : un plan de financement pour encourager la production locale de semi-conducteurs

Le gouvernement japonais va mettre en place un plan de financement pour les entreprises souhaitant construire une usine de production de semi-conducteurs sur son territoire. Le première firme qui en profitera est la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC). (...) Pour bénéficier de ce financement, les entreprises seront dans l'obligation d'augmenter leur production de semi-conducteurs alors que le secteur est touché par une pénurie. Le constructeur taïwanais TSMC sera donc le premier à être concerné par ce plan. Il a en effet annoncé, à la mi-octobre, son intention de construire une usine à Kumamoto, dans le sud du pays. Celle-ci se spécialisera dans la confection de semi-conducteurs destinés au secteur automobile, ainsi qu'aux capteurs d'images des appareils photo et d'autres produits et devrait entrer en fonction en 2024. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

La FAO lance une alerte sur les prix alimentaires et des intrants agricoles

Les prix de la matière première fossile étant trop chers, de nombreux industriels comme Yara ont diminué ou stoppé la production en Europe. Le manque d'engrais est tel que les agriculteurs ne pourront pas acheter les volumes nécessaires pour leurs champs, ont prévenu les dirigeants de CF Industries lors de leurs résultats début novembre. Les tensions sur la disponibilité sont telles que la Chine et la Russie ont imposé des restrictions sur l'exportation des engrais pour garantir l'approvisionnement de leurs agriculteurs. A titre d'exemple, les fermiers américains importent de Russie 20 % de l'urée et 40 % des ammonitrates. Dans son rapport, la FAO rappelle aussi que de nombreux produits agricoles servent de base à la fabrication d'agrocarburants. C'est le cas de 30 % du maïs américain ou de 60 % de la canne à sucre brésilienne transformés en éthanol. Or le renchérissement des produits pétroliers stimule la demande des agrocarburants, contractant l'offre disponible pour la nourriture humaine ou animale. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RSE

Quand Thalès fabrique des cartes SIM en recyclant de vieux frigos

A raison de 20 grammes par unité, la fabrication mondiale de SIM engloutit ainsi 90.000 tonnes de plastique chaque année. Il n'est donc pas étonnant que les industriels tentent d'en réduire le coût - financier et surtout écologique. Depuis plusieurs années, certains opérateurs sont passés à la carte demi-format pour réduire l'impact environnemental. Le groupe Orange a par exemple converti depuis 2020 un petit tiers des quelque 100 millions de SIM qu'il distribue chaque année. Pour aller plus loin, Thalès commercialise depuis quelques mois une "éco-SIM". L'industriel français, acteur majeur du secteur depuis le rachat de Gemalto fin 2017 , produit chaque année un quart des 4,5 milliards de SIM distribuées dans le monde. En partenariat avec Veolia, il a travaillé à l'utilisation de plastique recyclé pour ses cartes SIM. Deux sites français sont aujourd'hui mis à contribution pour prélever la matière première sur de vieux réfrigérateurs mis au rebut. Le plastique est ensuite retravaillé pour être compatible avec les exigences de Thalès : tolérance aux températures élevées, durée de vie... L'industriel ne communique pas sur le surcoût par rapport à une SIM classique, ni sur ses volumes de vente - qui restent faibles. Mais il assure que de plus en plus d'opérateurs s'y essaient. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Baromètre de la "performance déchets" dans le secteur tertiaire

On observe que ces obligations ne sont pas toujours respectées par les entreprises, qui ont jusqu'à présent assez peu de risque d'être sanctionnées. Le baromètre de Take a waste permet ainsi d'observer que les performances de tri sont très variables selon le type de déchets et selon les segments d'activité. "Les résultats du baromètre sont d'autant plus intéressants que les coûts liés aux déchets résiduels vont continuer à augmenter dans les années qui arrivent, et les entreprises ont donc tout intérêt à trier davantage pour réduire leurs coûts. Beaucoup d'entre elles cherchent aujourd'hui à se mettre en conformité réglementaire mais ne sont pas encore prêtes à aller au-delà, de peur que cela entraîne des coûts supplémentaires ou une réorganisation interne" - Alexis Lemeillet, co-fondateur de Take a waste. >> lire l'article complet sur le site de l'ADN

De l'or 100% certifié et éthique dans tous les bijoux Bulgari dès 2022

Le monde joaillier poursuit ses initiatives en faveur d'un or plus éthique. En octobre dernier, Kering et Cartier lançaient ainsi un pacte joaillier "Watch & Jewellery Initiative 2030" ouvert à toute l'industrie et visant à garantir une production durable et sourcée éthiquement pour l'un des matériaux les plus utilisés dans le secteur joaillier. Ce programme éco-responsable s'est développé aux côtés du Responsible Jewellery Council - RJC -, un organisme qui entend créer une chaîne d'approvisionnement durable dont Bulgari est membre depuis 2006. Et c'est justement en parallèle du renouvellement de sa certification "Chaîne de Traçabilité" délivrée par le RJC que la griffe a annoncé sa nouvelle stratégie RSE. >> Lire l'article complet sur le site de Journal du Luxe



Commande publique

Commande publique : la Commission européenne dévoile les futurs seuils européens

La Commission européenne a communiqué aux États membres ses projets de règlements européens fixant les seuils de procédure formalisée qui seront applicables aux marchés publics et aux contrats de concession à compter du 1er janvier 2022 pour deux ans. Les seuils proposés sont en très légère hausse (+ 0,6% environ) par rapport à 2020 - 2021. Ces seuils, qui traduisent les engagements internationaux de l'Union européenne dans le cadre de l'Accord sur les marchés publics de l'OMC, sont révisés tous les deux ans, compte tenu de l'évolution du taux de change entre l'euro et les droits de tirage spéciaux (DTS) calculés à partir d'un panier de monnaies (euro, dollar américain, livre sterling, yen et yuan). Selon la Commission européenne, les règlements fixant les nouveaux seuils devraient être publiés au JOUE au cours du mois de novembre. Un avis sera alors publié au JORF et annexé au code de la commande publique. >> Lire ce sujet sur le site de economie.gouv.fr

L'avenir de l'achat public passe-t-il par une réglementation encore allégée ?

"Il faut aller vers la création d'une doctrine de méthodes, de savoirs qui nous permettront de traiter des questions fondamentales", milite le directeur des achats de Pôle Emploi. La première, c'est de "savoir pourquoi le premier est le premier, ce qui renvoie au système de l'offre économiquement la plus avantageuse". La seconde, c'est "l'aléa moral dans l'application des cahiers des charges, que la théorie économique a très peu défriché, mais qui n'a pas été sollicitée sur le sujet. À quoi bon notifier un excellent marché si nous sommes incapables de suivre le fournisseur et de mesurer sa performance ?". Des sujets inexplorés. "On dit souvent que l'achat public pèse 15 % du PIB. Mais il représente 1/10 000e de la pensée économique." Pour Philippe Maraval, le poids juridico-réglementaire est la conséquence de deux postulats : le caractère corruptible et/ou l'incompétence de l'acheteur public. "La question de l'honnêteté est réglée à travers les grands principes de la commande publique. Il faut maintenant prouver que nos systèmes de décision ne relèvent pas de l'amateurisme et sont discrétionnaires au sens écervelé du terme." D'où son plaidoyer en faveur d'un investissement intellectuel dans la prochaine décennie. >> Lire l'article complet sur le site de sante-achats.info

Electricité : un des fournisseurs de l'Armée et de la Mairie de Paris placé en redressement judiciaire

Hydroption, qui compte des entreprises et des collectivités locales comme clients, a reçu de la direction générale de l'énergie (DGEC) "une notification préalable à son retrait de licence de fournisseur", a-t-il indiqué auprès du Figaro. Si la décision est bien confirmée, l'entreprise, déjà placée en redressement judiciaire depuis le 21 octobre par le tribunal de Toulon, ne pourra plus opérer. Hydroption a contacté mardi ses 200 clients professionnels pour leur demander de résilier à l'amiable leur contrat de fourniture d'électricité pour 2022.>> Lire l'article complet sur le site de Atlantico

Commande publique : inclure des clauses "vertes" et sociales dans ses contrats

La loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 instaure un quatrième grand principe : la prise en compte des objectifs de développement durable dans leurs dimensions économique, sociale et environnementale (nouvel article L3-1 du Code la commande publique). Coût global. Assigner à la commande publique de tels objectifs n'est pas nouveau. Mais pour la première fois, la loi oblige les acheteurs publics à insérer un critère environnemental dans tous les marchés publics et les concessions ! Clairement, désormais, le choix de l'offre économiquement la plus avantageuse "interdit" le recours au critère unique du prix. La Direction des affaires juridiques (DAJ) du ministère de l'Économie, qui fait autorité en matière d'explication des règles régissant la commande publique française, le clame haut et fort dans une fiche consacrée à la loi Climat : "si l'acheteur fait le choix de ne retenir qu'un seul critère de sélection, seul le critère unique du coût global intégrant nécessairement des considérations environnementales pourra désormais être retenu". Le coût global devra intégrer la notion de cycle de vie. Le gouvernement doit mettre à disposition des acheteurs, au plus tard le 1er janvier 2025, des outils opérationnels de définition et d'analyse du coût de cycle de vie des biens pour les principaux segments d'achats (art. 36 de la loi Climat). << Lire l'article complet sur le site Maires de France

Numérique : les acheteurs publics bientôt obligés de prendre en compte la réparabilité

La proposition de loi visant à réduire l'empreinte environnementale du numérique en France a été adoptée début novembre puis promulguée le 16 au Journal officiel. Son article 15 complète l'article 44 de la loi Agec avec deux alinéas. Le premier oblige, à partir du 1er janvier 2023, les acheteurs de l'Etat, des collectivités territoriales et de leurs groupements, à prendre en compte l'indice de réparabilité déterminé par le Code de l'environnement (L. 541-9-2) lors de l'acquisition de produits numériques disposant de cet indice. >> Lire l'article complet sur le site de sante-achat.info


Supply chain

Airbus dans le vert mais attentif à sa chaîne d'approvisionnement

Contrairement à l'industrie automobile, obligée de tailler dans sa production en raison de la pénurie mondiale de semi-conducteurs, Airbus dit ne pas être affecté par ce problème, même s'il "surveille la situation". "Nous observons également des pénuries de main-d'oeuvre dans le monde entier", a expliqué Guillaume Faury. Airbus, protégé par les dispositifs de chômage de longue durée en France et en Allemagne notamment, "n'en souffre pas pour l'instant" et a même recommencé à embaucher "de manière très prudente" après avoir supprimé 15.000 postes. Mais sa chaîne de fournisseurs est établie sur tous les continents et dans de nombreux pays, les coupes dans les effectifs ont été franches, mettant des entreprises en difficulté à l'heure de réembaucher dans un contexte de reprise mondiale. Le patron de Boeing David Calhoun s'est lui aussi inquiété de la capacité de ses fournisseurs à recruter.>> Lire l'article complet sur le site de l'Antenne

Nouvelle hausse du taux de fret en Europe

La pénurie de conducteurs n'est pas limitée au seul Royaume-Uni. Le rapport estime le manque à environ 65 000 professionnels en Allemagne et au moins 40 000 en France. Dans l'Hexagone, il a aussi constaté une hausse de 3,5 % du taux de fret routier en glissement annuel sur le 3ème trimestre, les chargeurs devant désormais compter avec un coût de transport d'au moins 1,43 € par kilomètre parcouru. Tous marchés européens confondus, le rapport n'anticipe pas de baisse avant plusieurs mois. >> Lire l'article complet sur le site de Supplychain Magazine

Prologis annonce un risque de pénurie d'espaces logistiques

Bien que les perturbations actuelles du marché soient en grande partie une conséquence de la crise sanitaire, Prologis Research estime qu'elles persisteront après la pandémie, mais pour d'autres raisons : changements climatiques, facteurs géopolitiques et problème de main-d'oeuvre. Pour remédier à la pénurie d'espace et renforcer la résilience, il faudrait augmenter les surfaces logistiques, or Prologis Research observe que la location de biens immobiliers logistiques ne reflète pas encore cette demande, car les entreprises doivent d'abord se concentrer sur les difficultés immédiates en matière de stocks. Selon Prologis Research, les emplacements situés au plus près des consommateurs devraient tirer leur épingle du jeu >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Une pie entraîne l'abandon d'un projet d'entrepôt géant Amazon dans le Gard

Pie grièche méridionale : 1 - Amazon : 0. Mardi 9 novembre, le tribunal administratif de Nîmes a décidé d'annuler l'autorisation environnementale d'un centre de tri Amazon de 38 000 m² sur des terres agricoles dans le Gard. La raison de cette victoire écologique : la présence sur la zone de la pie grièche, une espèce protégée. Sauf sous des conditions d'intérêt général, il est interdit de détruire son habitat. (...) Le projet d'entrepôt géant était largement décrié pour son impact environnemental par les associations et les opposants locaux. "Pas moins de 38 000 m² de terres agricoles AOC allaient être bétonnées, avec un afflux de 1 000 poids lourds et de 4 000 utilitaires par jour, à moins de 5 km du pont du Gard", s'est félicitée dans un communiqué l'association Attac. Une bétonisation désormais interdite aux zones commerciales, mais qui reste permise aux entrepôts d'e-commerce, exclus du moratoire sur l'artificialisation adopté dans la loi Climat. >> Lire l'article complet sur le site de l'Obs


Workplace

Notes de frais : l'écrasante majorité des salariés assume le fait de frauder

D'après cette étude européenne, le coût de ces fraudes pour les employeurs s'élèverait à 13 709 euros par an pour une structure de 250 employés. Ici, il n'est pas question de détourner les fonds de la société, mais de récupérer par-ci, par-là, des moyens de l'entreprise pour son usage personnel. Selon l'étude, près d'un tiers des fraudes mentionnées par les répondants concerne des repas au restaurant. Pour les responsables, ces tricheries plus ou moins répétées sont surtout une manière de s'accorder des extras quand leur travail est injuste par ailleurs. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Travel management

Business Travel Index (GBTA) : vers des lendemains qui chantent pour le voyage d'affaires

La reprise des voyages d'affaires en 2021 se fait à un rythme plus lent et plus prudent que prévu il y a un an. Les dépenses mondiales devraient toutefois augmenter en 2022 et 2023. Et le secteur devrait retrouver fin 2024 - une année plus tôt que prévu - le même niveau de dépenses qu'en 2019, soit 1 400 milliards de dollars, comme le souligne la 13ème édition du Business Travel Index, l'indice de voyages d'affaires publié par la GBTA (Global Business Travel Association). Parmi les 400 voyageurs d'affaires interrogés dans le monde (73 pays), 86 % déclarent avoir besoin de voyager pour atteindre leurs objectifs professionnels. Et une forte majorité (81 %) pense que le volume des voyages d'affaires nationaux sera supérieur ou égal en 2022 à ce qu'il était avant la pandémie. Plus de la moitié (54 %) espèrent voyager plus souvent à l'avenir. Mais 43 % ne verraient pas d'inconvénient à voyager moins à l'avenir. >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros


Fleet management

Véhicules diesel: vers une pénurie d'Adblue?

C'est surtout le transport routier qui est très dépendant de cet additif. Une pénurie viendrait donc potentiellement menacer toute la chaîne logistique, très dépendante des camions roulant au gazole. Une difficulté supplémentaire pour un secteur déjà impacté par la hausse des prix à la pompe et la pénurie de chauffeurs. Les entreprises constitueraient ainsi des stocks pour faire face à la pénurie, entretenant la hausse des prix. Pour pouvoir fournir les transporteurs, la Slovénie vient par exemple de commander 500.000 litres d'Adblue. >> Lire l'article complet sur le site de BFM


Carrière / RH / Management

Bienvenue en incertitude : comment réinventer les outils du management pour éviter la prochaine catastrophe

Malgré les accidents de prédiction répétés, les successions de surprises et les évolutions radicalement inattendues du monde depuis trente ans, la quasi-totalité des outils de prise de décision est restée ancrée dans un paradigme positiviste et prédictif. Ces outils reposent sur un modèle qui consiste à identifier un enjeu futur, à définir un objectif en lien avec cet enjeu (une vision), puis à déterminer les moyens d'agir pour atteindre cet objectif. Le modèle mental sous-jacent est que, plus l'enjeu identifié est jugé important, plus l'action doit être ambitieuse et les moyens conséquents. Ce modèle sous-tend tous les grands plans de transformation des organisations comme des Etats. Toute action modeste est considérée comme vaine et futile. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

 
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