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Revue de presse achats - semaine du 4 avril

Publié par Audrey Fréel le | Mis à jour le
Revue de presse achats - semaine du 4 avril

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture.

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Guerre en Ukraine : l'Europe envisage de geler les achats de charbon russe

En réaction au massacre de Boutcha (Ukraine), la commission européenne propose de durcir les sanctions contre Moscou en gelant les achats de charbon russe."La mise en place d'un embargo sur le charbon russe aura forcément des conséquences sur les pays d'Europe. Cela représente 45% des importations de charbon de l'Union européenne", explique Luc Bazizin, journaliste de franceinfo, mercredi 6 avril. Cela n'aura pas beaucoup de conséquences sur la France, contrairement à l'Allemagne qui est le premier pays consommateur de charbon en Europe. >> Lire l'article complet sur le site de Franceinfo.

Lidl s'attend à une inflation de "5 à 8%" sur les produits alimentaires

Au même titre que l'énergie, l'évolution du prix des produits alimentaires préoccupe le gouvernement et les Français. En particulier dans le contexte de rebond de l'inflation alimenté par la crise en Ukraine. Alors que l'inflation générale est de +4,5% sur un an selon l'INSEE, le prix des produits frais grimpe de 7,2%. Dans une interview accordée au Parisien ce week-end, le directeur des achats et du marketing de Lidl France confirme cette tendance à la hausse. "En janvier, j'avais estimé que l'inflation serait de 3 à 3,5 % au premier semestre 2022 dans l'alimentaire. Je pense désormais que la hausse des prix en France sera vraisemblablement deux fois plus forte, aux alentours de 5 à 8 %", prédit Michel Biéro. Le principal dirigeant de Lidl en France s'attend à des tensions sur l'approvisionnement en poulets et en oeufs. Des tensions qui sont liées à la guerre en Ukraine, grand producteur de poulets et d'aliments pour les animaux. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro.

Hausse des coûts de production : Système U renforce son soutien aux TPE-PME

Signée la semaine dernière, la charte d'engagement entre fournisseurs et distributeurs visant à accompagner les secteurs les plus touchés par la crise ukrainienne prévoit un certain nombre de dispositifs. L'idée est de tenter d'amortir la forte hausse de certaines matières premières et de coûts liés à l'énergie, au transport ou emballages, en prévoyant par exemple un cadre pour la réouverture des négociations commerciales. Au-delà de l'application des termes de la charte, Système U a décidé "d'aller plus loin"et "d'appliquer systématiquement un moratoire sur les pénalités logistiques vis-à-vis des TPE-PME, et de proposer à toutes les TPE-PME livrant ses entrepôts, et qui en feront la demande, la possibilité d'un paiement comptant de leurs factures afin de soutenir leur trésorerie dans cette période contrainte". >>Lire l'article complet sur le site de LSA.

Inflation : le secteur de la mode, impacté par la hausse des coûts de production, prévoit une augmentation des prix

Absolument tous les coûts sont en hausse, selon Alexandra Brousseaud, directrice générale de la maison Brousseaud qui fabrique des chaussettes depuis plus de 80 ans. "Si on prend l'exemple du coton, on a eu 21% d'augmentation sur l'année 2021, puis 28% supplémentaires au 1er janvier 2022, énumère cette responsable. La flambée des cours du pétrole et des matières premières a un impact direct sur le marché du textile. "Pour le polyamide, on est en train de passer des caps encore supérieurs parce que ce sont des matières issues du pétrole, confirme Alexandra Brousseaud. Avec la crise en Ukraine, le coût du pétrole explose. On a également les colorants qui arrivent des pays de l'Est. Le client final est largement impacté lui-aussi, c'est mécanique." Les professionnels redoutent en plus une rupture d'approvisionnement.>> Lire l'article complet sur le site de Franceinfo.

Convergence des données de la commande publique : les précisions de Bercy pour 2023

Le seuil unique de publication des données essentielles de la commande publique et des données de recensement sera fixé à 40 000 euros. Pour rappel, les acheteurs publics sont actuellement soumis à deux obligations. La première est relative à la publication des données essentielles de la commande publique (DECP) sur les profils d'acheteurspour les contrats d'un montant supérieur à 40 000 euros (certaines données "allégées" doivent être publiées sur le support de leur choix pour les contrats compris entre 25 000 et 40 000 euros). La seconde obligation, celle concernant les données de recensement, doit être remplie une fois par an et vise les contrats au-delà de 90 000 euros. >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur.

Le GMI lance la plateforme d'achats Club achat France impression

Depuis le début de l'année, une troisième plateforme d'achats pour les imprimeurs existe en France. Le syndicat Groupement des métiers de l'impression et de la communication (GMI) a créé le Club achat France impression pour les professionnels de l'impression afin de leur permettre de gagner du temps dans leurs achats et de réaliser des économies. "Nous avions depuis plusieurs années une centrale de référencement en partenariat avec un autre groupement, explique Stéphanie Brusa, directrice générale du GMI. Et les membres du GMI ont souhaité mettre en place leur propre club d'achat. Aujourd'hui, les centrales d'achat regroupent environ 150 entreprises sur les 3 000 qui existent. Il y a donc la place pour une troisième centrale et un réel besoin." >> Lire l'article complet sur le site de Graphiline.

Pénurie de semi-conducteurs : la sécurité du sourcing en jeu

Alors que l'Union Européenne travaille sur le Cyber Resilience Act (visant à renforcer la sécurité des objets connectés), Europol, l'agence européenne de police criminelle, alerte sur les risques liés à la contrefaçon de semi-conducteurs. Europol explore les risques liés à la contrefaçon dans ce secteur. D'abord, avec les soucis de sûreté que posent des composants comme les batteries, les chargeurs et les accessoires. Ensuite, les problèmes liés aux semi-conducteurs eux-mêmes. Si le phénomène n'a rien de nouveau, il prend de l'ampleur avec justement la pénurie de semi-conducteurs, car les fabricants sont alors tentés de se tourner vers des fournisseurs alternatifs. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique.

Grippe aviaire : le Poitou confronté à une pénurie de volailles et de foie gras

Les restaurateurs et producteurs de foie gras du Poitou s'inquiètent d'une pénurie de volaille, liée à l'épidémie de grippe aviaire. Dix millions de volailles ont dû être abattues en France depuis l'apparition du premier cas en novembre dernier, y compris dans les Deux-Sèvres. Ces abattages massifs sont suivis de longues phases sans animaux dans les élevages, appelées "vides sanitaires", désorganisant un peu plus la filière, et les conséquences se font déjà sentir pour les restaurateurs poitevins. "Tous nos fournisseurs nous disent que le foie gras, le magret vont être difficiles à trouver d'ici l'été, que les prix vont augmenter, et on le voit déjà", s'inquiète Paul Ducouré, chef de cuisine du restaurant Les Archives à Poitiers. "On ne peut pas proposer du foie gras à un prix trop élevé, on va donc adapter la carte, proposer d'autres choses". Hors de question cependant de changer de fournisseur."On travaille avec des produits locaux, on ne va pas aller chercher du foie gras en Chine, sous prétexte qu'il y a une pénurie ici. On fera avec." >> Lire l'article complet sur le site de France Bleu.


 
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