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Revue de presse achats - semaine du 21 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 21 septembre
© © 2014 Mathias Rosenthal

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats, à la relation fournisseurs, à la RSE, etc. Bonne lecture.

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Thales lance Iven, une marketplace pour fédérer les achats des acteurs défense et civil

Thales devient un commerçant. Le géant industriel français a lancé début septembre une plateforme B2B qui met en relation les clients et les principaux fournisseurs d'articles dédiés à l'environnement Défense et Civil quel que soit le milieu : aérospatial, terrestre ou naval. Fonctionnant selon un modèle de marketplace, Iven - pour Intermediation vendor entreprise - a nécessité deux ans de travail. Lancée le 1er septembre, Iven est un service en ligne dédié aux Industriels souhaitant optimiser leurs approvisionnements. La plateforme compte à date 150 000 références. On y trouve notamment des consommables industriels (pièces détachées), et actualité oblige, des produits liés à la situation sanitaire. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Les Fermiers de Loué vont fournir des oeufs Label Rouge à McDonald's

Un partenariat a été signé ce mercredi entre la multinationale et les Fermiers de Loué, pour fournir 35 millions d'oeufs Label Rouge chaque année pendant au moins trois ans. De quoi assurer de la demande pour une trentaine d'éleveurs engagés dans ce projet, surtout que le partenariat sera renouvelé assure Yves de la Fouchardière, directeur des Fermiers de Loué. Mais avant même de le reconduire, un contrat aussi long est très rare. "Avec la grande distribution, c'est un an. Tous les 28 février, les contrats peuvent être revus donc un contrat sur trois ans donne de la visibilité aux producteurs", se réjouit Yves de la Fouchardière. De la demande pendant au moins trois ans, et en plus "au juste prix", "c'est très valorisant pour nous", assure Grégory Kervella, éleveur à Neuville-sur-Sarthe. Chez lui, 6.000 poules pondent des oeufs Label Rouge. Pouvoir les vendre à McDonald's lui assure donc un revenu, une très bonne chose "parce qu'on a des investissements non négligeables", explique-t-il. Là, les "prix sont intéressants", histoire de penser aussi"au bien-être de l'éleveur". "On travaille tous pour la même chose, on a besoin de gagner de l'argent, on a besoin de vivre", ajoute-t-il.>> Lire l'article complet sur le site de France Bleu

Vin : le conflit Boeing-Airbus coûte 500 millions d'euros aux exportateurs français

La filière viticole française s'apprête à vivre "un bien triste anniversaire". Celui de la mise en place, il y a un an, d'une surtaxation de 25% de ses vins à l'entrée sur le territoire américain. La facture est salée et atteint un demi-milliard d'euros. Les Etats-Unis n'ont pas ciblé les vins français par hasard, en représailles au conflit entre Boeing et Airbus . L'Hexagone exporte un quart de sa production et les Etats-Unis sont leur plus gros client. Les viticulteurs réclament la mise en place d'un fonds de compensation pour "un préjudice dans lequel ils n'ont aucune responsabilité", explique le président du conseil vins et cidres de FranceAgriMer, Jérôme Despey. "Les pouvoirs publics restent sourds à nos demandes mais il n'est pas question que nous renoncions à l'indemnisation de cette affaire, qui nous vaut la perte de marchés importants. Aucune solution n'a été recherchée sous prétexte que les élections américaines figent la situation", déplore le viticulteur. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le Salon du made in France est de retour

MIF Expo aura bien lieu pour sa 9e édition les 6, 7 et 8 novembre 2020 au Parc des Expositions (Porte de Versailles à Paris). (...) Comme chaque année il accueille de nouveaux exposants, l'occasion de venir découvrir l'étendue et la variété des différents savoir-faire nationaux. (...) Cette année, le MIF Expo accueille un nouveau partenaire, le réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat. CMA France, établissement public national fédérateur du réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat, conforte son engagement à promouvoir et accompagner la production locale et durable, la relocalisation et les savoir-faire de nos territoires en devenant partenaire officiel du Salon MIF Expo. "L'artisanat a un rôle clé pour l'avenir et la relance économique de la France. Les consommateurs tirent les enseignements de la crise sanitaire en investissant sur le "Fabriqué en France", en soutenant leurs artisans près de chez eux. Cet élan doit perdurer au-delà de la crise et ancrer les fondations d'un nouveau modèle de société durable en France", commente Joël Fourny, président de CMA France. Au sein-même du salon, cette année encore, se tiendra un cycle de conférences sur des thématiques liées au Made in France telles "Le vrai coût du Made in Ailleurs" ; "La relocalisation : entre promesses et réalité". >> Lire l'article complet sur le site de FaireSavoirFaire


RSE

Ethiquable se mobilise pour soutenir les producteurs de cacao

La coopérative innove à trois niveaux : en maîtrisant la fermentation et le séchage des fèves de cacao par les organisations de producteurs, en transformant les fèves en masse de cacao dans une unité détenue par les producteurs au Pérou, et enfin en relocalisant en France la fabrication des tablettes avec une future chocolaterie située dans le Gers. C'est suite à une forte demande consommateur pour ses tablettes de chocolat bio et équitable que la scop (société coopérative) Ethiquable a repensé la chaîne de valeur du chocolat. Et ce, au-delà des prix équitables, déjà supérieurs au marché payés aux producteurs. Cette ambition s'inscrit dans un projet de commerce équitable développé par Ethiquable depuis 17 ans avec son partenaire historique, norandino, organisation paysanne située au Pérou. Leur but commun : reconnecter les producteurs à la filière, leur donner une place à part entière pour maîtriser la valeur de leur cacao, de leur terroir et accéder à la transformation des fèves en masse en cacao.>> Lire l'article complet sur le site de Ekopo

Déforestation de l'Amazonie : le groupe Casino mis en demeure par plusieurs ONG

"Votre plan de vigilance ne reflète pas l'exercice d'une vigilance raisonnable à la hauteur de la part de responsabilité du groupe en Amérique du Sud", écrivent aux dirigeants de Casino les avocats du cabinet Seattle, mandaté par le collectif. Au Brésil et en Colombie, "la déforestation est principalement causée par l'élevage de bétail", soulignait le rapport de juin. Les paysans locaux n'hésitent pas à brûler la forêt pour agrandir leurs pâtures et y installer leurs troupeaux. Un phénomène qui alimente chaque année les feux de forêt. Or, le groupe Casino est très bien implanté sur place : "il détient 15% du marché de la distribution au Brésil avec Grupo Pão de Açúcar (GPA) et 43% en Colombie avec Exito". Le rapport pointe du doigt les liens entre les produits vendus dans les supermarchés du groupe au Brésil et "quatre fermes impliquées dans la déforestation illégale". Le décalage entre les pratiques du distributeur en France - avec des enseignes bio comme Naturalia - et en Amérique du Sud est également dénoncé par les ONG. "C'est un cas emblématique de double standard", estime Cecilia Rinaudo, de l'organisation Notre affaire à Tous. >> Lire l'article complet sur le site de France TV Info

Carrefour propose à ses clients de recycler leurs masques chirurgicaux

"Aujourd'hui, même si des initiatives émergent sur le territoire, il existe peu de solutions pour recycler les masques. Ce projet pilote, proposé chez Carrefour, permet de structurer les filières, les tester et identifier les partenaires qui ont un processus efficace de recyclage des masques chirurgicaux pouvant être développé sur l'ensemble du territoire", note l'enseigne dans un communiqué. Une fois les masques collectés chez Carrefour, ils sont envoyés chez notre partenaire TerraCycle où ils sont mis en quarantaine puis pesés, triés et compressés avant d'être recyclés dans des usines spécialisées en fonction de leurs matériaux et de leur composition (polypropylène, élasthanne...). Ils deviennent alors des granulés plastique qui pourront ensuite être utilisés par des industriels pour fabriquer de nouveaux produits, notamment du mobilier d'extérieur, des palettes d'expédition en plastique, des arrosoirs, des contenus de stockage, des bacs, des tubes pour la construction... >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Des chaussures de sport Salomon sortiront en 2021 d'une nouvelle usine robotisée en Ardèche

(Chamatex et Salomon) prévoient la mise en service en 2021 d'un nouveau site de production automatisé dédié aux chaussures de sport à Ardoix, commune d'Ardèche (...). L'enjeu du site, dont la première pierre a été posée ce jeudi, sera de rationaliser le processus d'assemblage pour tenir tête aux faibles coûts de production asiatiques pour ce type d'articles de sport. Les futures chaussures seront dotées du matériau textile Matryx, que Chamatex a déjà fourni à Salomon pour sa chaussure de trail Cross/Pro, lancée durant la saison printemps/été 2020. >> Lire l'article complet sur le site de Salomon

L'agriculture bio labellisée AB est le modèle le plus rentable et le plus performant, d'après une analyse de France Stratégie

Les deux auteurs de l'étude publiée par France Stratégie, Alice Gremillet et Julien Fosse, ont passé à la loupe 23 cahiers des charges ou référentiels et calculé un "score d'exigences environnementales" pour chacun d'eux. Il s'agit d'un indicateur de la réduction d'utilisation d'engrais et de pesticides, mais aussi de pratiques favorables à la préservation de la biodiversité, des sols et des ressources en eau. Leurs résultats ont permis dans un premier temps de déterminer deux grandes familles d'exploitations : d'un côté celles ayant de "hauts niveaux d'exigences environnementales" - l'agriculture bio certifiée AB et les labels qui vont au-delà de son référentiels. De l'autre, les chartes privées qui, bien que plus économes en intrants (comme celle du réseau Delphy) ont encore un modèle proche de l'agriculture conventionnelle. Dans leurs conclusions, les auteurs expliquent que les exploitations en bio sont plus rentables. Ils donnent l'exemple de la viande bovine polyculture élevage : "en 2016 l'excédent brut d'exploitation (EBE - qui mesure la rentabilité d'une entreprise NDLR) des exploitations conventionnelles en viande bovine était de 3 euros par hectare contre 180 euros en bio. Plus généralement la littérature scientifique montre que le gain de marge directe en AB, quoique très variable selon les productions, est en moyenne de 103 %". Comment expliquer de telles marges ? Tout d'abord car les exploitations économisent sur les intrants et vendent à des prix plus élevés. Ensuite car leurs productions sont plus diversifiées et leurs rendements plus stables à long terme. Cela s'explique également par les performances économiques particulièrement basses des exploitations conventionnelles l'année de l'étude, 2016. >> Lire l'article complet sur le site de GoodPlanet


Commande publique

Code de la commande publique : encore du changement dans l'air

Après avoir eu l'aval du Sénat au printemps, le projet de loi d'accélération et de simplification de l'action publique est désormais entre les mains des députés. Le texte sera débattu en séance publique à partir du 28 septembre dans l'hémicycle. Avant le passage à l'Assemblée nationale, son article 46 apportait déjà une modification majeure au Code de la commande publique, en excluant du champ du droit des marchés publics, les prestations de services dont l'objet est la représentation légale d'un client par un avocat et le conseil juridique associé (voir notre article du 17 février 2020). D'autres ajouts devraient intervenir puisque plusieurs gouvernementaux modifiant le Code de la commande publique ont obtenu le quitus de la commission spéciale chargée de se pencher sur le texte. Le premier vise à étendre à tous les contrats (marchés, marchés de défense ou de sécurité et contrats de partenariat) conclus avant le 1er avril 2016, et pas seulement aux concessions, le dispositif de modification des contrats en cours d'exécution prévu actuellement par le code de la commande publique. >> Lire l'article complet sur le site Sante-achats

Gestion de crise : de la supply chain à la réa

Pour Hervé Péray, qu'elle soit qualitative ou quantitative, la définition du besoin se fait en collaboration avec les soignants, en amont : "Nos modes de travail ont changé, relève-t-il, et plus encore avec l'apparition du Covid, nous avons appris à mieux travailler ensemble, des barrières sont tombées". Ainsi, en aval, c'est également avec les soignants qu'il travaille pour définir par exemple la bonne utilisation des achats : "Il suffit de prendre l'exemple des équipements de protection individuelle pour constater qu'une bonne définition des usages permet d'affiner les quantités à commander". Parce que, pour lui, se pose également la question du stockage : "Faire du stock ? Stocker quoi ? Pour deux mois ? Pour trois mois ? Ce n'est pas faisable, dit-il, tout ne passe pas par le stock ! Les protocoles et les techniques de prise en charge ont changé, la folie serait de faire aujourd'hui la même chose qu'avant en attendant des résultats différents. Il faut être réactifs, décloisonner et échanger, ainsi, nous pourrons nous adapter". C'est bien ce qui s'est passé à l'Institut Mutualiste Montsouris : "Dès le début de la crise - et c'est cette fois-ci Christian Lamer, le chef du service réanimation, qui s'en félicite - une réunion quotidienne était organisée par la direction générale avec tous les praticiens, la pharmacie, l'encadrement et les services supports, dont les achats. Nous échangions les informations, évoquions nos besoins, les approvisionnements ; une nouvelle forme de solidarité s'est créée au sein de l'institution en réunissant chaque jour les équipes médicales et les services support". >> Lire l'article complet sur le site de Sante-achats


Supply chain

Août 2020 : les prix de transport routier chutent à nouveau

Sur 1 an, les prix du transport ont reculé de 3,50% en France. Même si cette baisse des prix est accompagnée d'une diminution des coûts, les transporteurs les plus fragiles vont souffrir. Il faut bien garder à l'esprit que le baromètre des prix Upply affiche le prix médian observé sur le marché, ce qui signifie que 50% des lignes accusent des baisses supérieures. Ces derniers mois ont fragilisé les entreprises de transport et leur tolérance à n'importe quel retournement de conjoncture s'est réduite. Le plan de relance économique présenté par Jean Castex le 3 septembre semble pourtant les avoir oubliés. Le seul point positif reste la volonté du gouvernement de favoriser l'économie en ne recourant plus au confinement ce qui devrait conforter la demande de transport en général en France. >> Lire l'article complet sur le site de Upply

Brexit no-deal : jusqu'à 7 000 camions pourraient être bloqués

Au 1er janvier, si Londres et Bruxelles ne parviennent à conclure un accord de libre-échange, les premières victimes seront sans aucun doute les transporteurs et donc directement leurs conducteurs. Les démarches administratives deviendraient compliquées et les temps d'attente seraient rallongés. Donc le scénario n'est pas une surprise en soi. Londres enfonce le clou en précisant qu' "il ne s'agit pas d'une prédiction ou d'une prévision mais d'un prudent exercice pour établir ce qui pourrait se produire dans le pire scénario". Ces estimations indiqueraient que seules "50 à 70% des grandes entreprises et seulement 20 à 40% des petites et moyennes entreprises seraient prêtes pour l'application stricte des nouvelles exigences européennes". Conséquences : seulement 30 à 60% des camions arriveraient à la frontière en ayant accompli les formalités nécessaires pour leurs marchandises. >> Lire l'article complet sur le site de TRM24

L'IA déploie ses avantages au coeur de la supply chain

Les projets sont là aujourd'hui, et apportent des résultats très avantageux : "Nous avons un client qui utilise nos produits depuis des années. Il y a eu plusieurs étapes : la gestion des stocks, puis l'approvisionnement, jusqu'à l'expédition au plus proche du client final sur les points de vente. Aujourd'hui, l'IA permet le lissage de flux logistique, d'optimisation du transport et de la préparation de commande. Elle offre une granularité de la donnée inédite qui ouvre de nouvelles portes. C'est le message clé à mes yeux : utiliser l'IA est un ticket d'entrée vers une optimisation nouvelle de la supply chain", note Christian Zelle. Même constat du côté de chez Manhattan Associates : "Aujourd'hui, dans un entrepôt omnicanal, il faut faire coexister des opérateurs, des équipements mécanisés, une variété d'emplacements et de modes de préparations... Un système basé sur l'IA va pouvoir maximiser l'utilisation des ressources, c'est que nous appelons un moteur d'ordonnancement - ou order streaming. Ce type de solution permet de faire le lien entre le respect du service client et la nécessité de performance opérationnelle", résume Rémi Coolen. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog


Fleet management / Mobilité

Pollution, travail des enfants, eau : la face sombre des batteries de voitures électriques

Une solution serait de stocker les résidus avec un barrage minier, mais l'édifice serait trop difficile à sécuriser dans un pays avec des tremblements de terre et une pluviométrie intense. Eramet privilégie donc une troisième option, plus chère, celle du stockage à sec : les résidus sont pressés jusqu'à devenir des plaques de terres qui seront ensuite entreposées et revégétalisées pour limiter les risques d'érosion. Le principal problème est que les montants à investir sont colossaux. Les projets nickel sont très gourmands en capital : il faut compter 1,5 milliard de dollars contre 500 millions pour un projet lithium ou cobalt. Les groupes miniers cherchent donc à nouer des partenariats avec des industriels. Eramet discute ainsi avec Tesla et d'autres constructeurs. Des négociations compliquées. "On a du mal à passer à l'étape suivante et à sécuriser des partenariats de long terme", concède Pierre-Alain Gautier, le directeur de la stratégie. Le constructeur américain, comme ses concurrents, préfère se contenter de contrats d'achats de long terme plutôt que de soutenir les projets des groupes miniers. A côté du nickel, le cobalt est l'autre terrain miné de la décarbonation des transports. Produit à 60 % en République démocratique du Congo (RDC), le métal est associé au travail d'enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour à peine 2 dollars par jour. Les acteurs du secteur multiplient donc les initiatives pour améliorer les conditions de travail et redorer l'image de leur minerai. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Automobile: le super-malus écologique met le gouvernement face à ses contradictions

Plus précisément, la Convention veut ramener de 138 à 123 grammes de CO2/km le seuil d'émission de CO2 passible d'une surtaxe. Tout en supprimant le plafond du malus pour les véhicules émettant plus de 212 grammes. Ce n'est pas tout. Les citoyens tirés au sort devenus en quelques semaines des experts de la transition par la grâce d'une formation accélérée prodiguée par de nombreuses associations "bien intentionnées" entendent ajouter une autre taxe, en fonction cette fois du poids des véhicules. Avec un abattement prévu tout de même pour les familles nombreuses. Cela reviendrait selon les différents calculs effectués à ponctionner l'an prochain 4,4 milliards d'euros supplémentaires sur la vente d'automobiles, à savoir 3,2 milliards via le nouveau malus sur le CO2 et 1,2 milliard provenant de la nouvelle taxe sur le poids. Le montant des recettes a été calculé par les ministères de la Transition écologique et celui de l'Economie et des finances. >> Lire l'article complet sur le site de Transitions Energies


Travel management

Coronavirus : papa ne part plus en voyage d'affaires

À court terme, beaucoup d'entreprises ont décidé de garder davantage leurs salariés à demeure. "Même le séminaire actuel des 300 cadres dirigeants du groupe s'est déroulé début septembre sans la présence physique de tous ceux qui sont à l'étranger", explique-t-on chez Total. L'Oréal, de son côté, a décidé une interdiction de voyages, jusqu'à la fin de l'année. "Le redémarrage est très timide et concerne surtout des réunions en province, confirme Arnaud Deltenre, rédacteur en chef adjoint du magazine Voyages d'affaires. Beaucoup ont compris que les moyens de télécommunications numériques étaient assez efficaces dans de nombreuses situations, surtout à la place de rencontres internes ou de courts déplacements." >> Lire l'article complet sur le site de La Croix


Environnement de travail

Télétravail : PSA mène sa révolution dans la discrétion

Sur le plan matériel, le réaménagement des espaces de travail est déjà lancé. En réduisant le temps passé au bureau par les salariés, PSA va pouvoir réduire sensiblement sa facture immobilière. Le groupe, qui dispose de 400 adresses postales en Europe, va pouvoir se passer d'un certain nombre d'entre elles. Les locaux qui seront conservés basculeront en flex-office, un dispositif où les salariés ne disposent plus de bureau attitré. Ce type d'organisation est déjà en vigueur sur les pôles tertiaires de Velizy et de Poissy en région parisienne, qui disposent chacun de 4.000 postes de travail environ pour héberger les 5.000 salariés qui s'y rendent à tour de rôle. "Avec le projet "New Era of agility", nous allons mettre l'accent sur la mise en place d'espaces plus collaboratifs, et modulables pour s'adapter à la taille des équipes, s'enthousiasme Xavier Chéreau. Lorsqu'on se rendra au bureau, ce sera pour travailler à plusieurs. Les espaces dédiés aux postes de travail individuels ne représenteront plus que 15 % de l'ensemble." Une "zone témoin" destinée à illustrer ce concept a été présentée à un groupe de cadres dirigeants la semaine dernière. Quant au montant total des économies réalisées, le groupe estime qu'il relève du "secret des affaires." >> Lire l'article complet sur le site des Echos


IT

Volocopter veut déployer ses drones dans les chaînes logistiques pour porter des charges lourdes

"Les drones sont l'une des technologies qui nous permettent de repenser l'organisation de la supply chain pour la logistique urbaine", affirme Jochen Thewes, le CEO de Schenker. "Notre but commun est d'avoir la preuve d'un cas d'usage commercial en 2021". Volocopter prend donc le contre-pied d'autres entreprises qui se sont lancées dans l'utilisation de drones légers pour la livraison auprès de particuliers. Amazon ou Wing, la filiale d'Alphabet, développent et testent des drones dans le cadre de ces usages. La technologie de Volocopter, pensée pour le transport de personnes, est de son côté plus adaptée au transport de charges lourdes. VoloDrone, le drone télécommandé de Volocopter, peut transporter jusqu'à 200 kg et dispose d'une autonomie de 40 kilomètres. Il peut facilement être utilisé pour livrer du matériel médical à un hôpital ou des composants dans une usine, mais aussi dans l'agriculture. Par exemple, en partenariat avec John Deere, Volocopter a montré que son drone pouvait être utilisé pour faire de l'épandage sur les champs. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Comment les entreprises utilisent l'analyse Big Data dans le monde réel ?

Une entreprise ne peut pas se maintenir si elle n'a pas de plan de gestion des risques efficace. Après tout, comment une grande entreprise est-elle censée fonctionner si elle ne peut même pas trouver les risques à l'avance et s'efforcer ensuite de les minimiser autant que possible ? Et c'est là qu'intervient le Big Data Analytics ! Il peut être utilisé pour collecter et analyser les vastes données internes disponibles dans les archives de l'entreprise qui peuvent aider à développer des modèles de gestion des risques à court et à long terme. En utilisant ces derniers, l'entreprise peut identifier les risques futurs et prendre des décisions commerciales beaucoup plus stratégiques. Cela signifie beaucoup plus d'argent à l'avenir. Starbucks est un exemple d'entreprise qui utilise le Big Data Analytics pour la gestion des risques. Saviez-vous que Starbucks peut avoir plusieurs magasins dans une même rue et que tous réussissent ? C'est parce que Starbucks effectue une excellente analyse des risques et fournit un excellent (selon les goûts) café ! >> Lire l'article complet sur le site de Le Big Data


 
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