Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 25 mars

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 25 mars
© freshidea - Fotolia

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !

Je m'abonne
  • Imprimer

La grande distribution dans le viseur....

Distribution: Bercy veut une sanction de 100 millions d'euros contre Leclerc ...

C'est un signal fort adressé à la grande distribution. Bercy souhaite voir le géant de la distribution E. Leclerc sanctionné à hauteur de "plus de 100 millions d'euros" pour avoir imposé des remises à ses fournisseurs, a déclaré lundi la secrétaire d'Etat à l'Economie Agnès Pannier-Runacher. "Dans le cadre de l'assignation l'an dernier de la centrale d'achats du groupe Leclerc, nous demandons au juge commercial de prononcer une sanction totale de plus de 100 millions d'euros", a-t-elle déclaré à l'occasion de la publication du rapport annuel de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). "En cas de pratiques prohibées par le code du commerce, les enseignes doivent être sanctionnées à la hauteur des dommages économiques qu'elles engendrent", a-t-elle poursuivi lors d'une conférence de presse. >> Lire l'article complet sur le site de 20mn

et ... Les députés vont enquêter sur les pratiques de la grande distribution

Coup de tonnerre. Ce mardi, les députés réunis en séance publique ont approuvé la création d'une commission d'enquête parlementaire, "chargée d'évaluer les pratiques de la grande distribution et de leurs groupements dans leurs relations commerciales avec les fournisseurs". Les élus de cette commission auront six mois pour mener à bien leurs travaux à coups d'auditions, de témoignages sous serment et de contrôles sur place. Cela fait des années que les Leclerc, Casino, Carrefour, Système U, Intermarché et autres Auchan, sont accusés de mener une guerre des prix contre leurs fournisseurs - industriels ou agriculteurs - les poussant à accepter des tarifs toujours plus bas. Ce qui peut ravir les consommateurs, mais qui met à mal des pans entiers de notre économie. Comme le rappelle l'exposé des motifs de la proposition de résolution des députés, il existe aujourd'hui un "déséquilibre criant" entre d'un côté "450 000 exploitations agricoles et plusieurs milliers d'industriels", et de l'autre "les quatre principales centrales d'achat pesant 90 % du marché", toutes puissantes, donc. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Amazon, également au centre de toutes les attentions...

E-commerce : Amazon ne signera pas la "charte de bonne conduite" envers les PME françaises ...

La "charte de bonne conduite" de Mounir Mahjoubi va bien être signée mais sans Amazon ni Alibaba. Si les autres grandes plateformes de e-commerce en France -Leboncoin, Rakuten, Cdiscount, eBay, Fnac Darty, La Redoute, Mano mano et Conforama- signeront bien le document, l'absence d'Amazon fait vraiment tache, car le géant américain pèse à lui seul 20,2% du marché du e-commerce français, soit un peu plus d'une vente sur cinq en ligne, d'après le baromètre annuel Kantar/LSA publié en novembre dernier. C'est aussi Amazon qui cristallise les tensions avec les PME françaises. Autrement dit, le retrait du géant américain vide en partie de son sens une initiative lancée en réalité en grande partie à cause de lui. Cette charte engage "toutes les grandes plateformes de e-commerce" à davantage de transparence envers leurs vendeurs tiers, c'est-à-dire les PME et TPE françaises qui sont obligés d'y vendre leurs produits pour accéder au public. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

[Transformation numérique] Chez Airbus, la data n'a plus de frontières

Airbus se tourne vers Dassault Systèmes pour accélérer sa transformation numérique. L'avionneur cherche à s'affranchir de l'effet de silos au sein du groupe. C'est l'outil qui pourrait faire entrer Airbus dans un nouveau paradigme industriel. À savoir : réduire le temps de développement d'un avion ainsi que ses coûts de production d'au moins 30 %. Un ordre de grandeur important alors qu'un avion de ligne nécessite environ huit années de dévelop­pement engloutissant entre 10 et 15 milliards d'euros. Un outil qui devrait permettre à l'avionneur européen d'atteindre un niveau élevé de qualité des pièces dès les premiers avions, ouvrant la voie à des cadences plus rapides que pour les précédents programmes. Et qui sera au coeur du nouvel avion qu'Airbus lancera dans les années 2020. Un outil décisif dans un secteur caractérisé par des cycles longs et des procédés de production peu automatisés comparés à ceux de l'automobile. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Jusqu'où pouvons-nous appliquer l'industrie 4.0 aux achats?

Impression en 3D. Les équipes achats peuvent compter sur l'impression 3D comme moyen de confectionner en interne des prototypes de produits / composants comme moyen plus rentable et plus efficace de tester les conceptions et les matériaux. Si les responsables des achats et les autres chefs d'entreprise considèrent l'impression 3D non seulement comme une méthode de fabrication, mais aussi comme un moyen de réduire les coûts irrécupérables liés à la recherche et au développement, cela pourrait contribuer à réduire les dépenses indirectes.
Réalité augmentée. Les équipes de passation des marchés peuvent utiliser les RA de différentes manières: premièrement, comme moyen de se rendre sur les sites des fournisseurs et aux points d'origine (comme les mines ou les exploitations agricoles) pour inspecter le site du fournisseur / fournisseur et le produit ou la méthode de production. Elles peuvent intégrer toutes sortes de données relatives aux fournisseurs, aux produits, aux marchés, aux entreprises et aux clients dans un affichage "tête haute" disponible via des casques ou des tableaux de bord qui, combinés, présentent une réalité littérale augmentée par les données. Deuxièmement, ils peuvent appliquer cet affichage à une méthode plus conventionnelle en l'utilisant pour créer des tableaux de bord non monodimensionnels, voire bidimensionnels. En utilisant des casques d'écoute ou des tableaux de bord de bureau, ils peuvent visualiser et interagir avec les données à diverses fins, de l'approvisionnement à la sous-traitance en passant par la passation des marchés, en passant par la gestion des fournisseurs. >> Lire l'article complet sur le site de CPO Rising

Innovation

Jeanologia lance H2 Zero pour éliminer complètement les rejets de l'industrie textile

Jeanologia, leader mondial dans le développement de technologies éco-efficaces, lance H2 Zero, une technologie révolutionnaire permettant l'élimination complète des rejets dans l'industrie textile . H2 Zero parvient à éliminer les rejets de l'industrie textile et à recycler le peu d'eau dont elle a besoin en combinant ses technologies de production de jeans. Cet outil a été testé et testé avec succès par quelques marques. (...) Jeanologia souligne que, en 2018, 10 651 000 mètres cubes d'eau ont été économisés, soit 27% de plus que l'année précédente. C'est l'équivalent du montant nécessaire pour la consommation annuelle de 584 000 personnes, selon les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé. >> Lire l'article complet sur le site de ModeInTextile

RSE

Burger King mise sur les produits made in France

Afin de mieux coller aux attentes des consommateurs, la firme annonce également son intention de plus s'appuyer sur les filières françaises. Ainsi, les deux tiers de ses produits seront d'origine française d'ici la fin de cette année. Pour ce faire, Burger King s'appuie sur : un nouvel espace de distribution et de production basé à Brétigny-sur-Orge, le centre de distribution STEF, une surface de 50 000m² pour un investissement de 19 millions d'euros par STEF, et son usine Bimbo d'une surface de 11 000 m² pour un investissement de 37 millions d'euros. A date, l'enseigne rappelle que dans ses menus enfants, la viande de boeuf est déjà 100% origine France, tout comme le pain, et les crudités (en saison). Pour les adultes, le pain et les crudités sont également 100% français ainsi que le boeuf pour une partie des produits vendus. >> Lire l'article complet sur le site de BFM Business

Quelles sont les grosses entreprises les moins polluantes ?

Google est régulièrement pointé du doigt pour manque d'éthique envers les internautes (et ses concurrents). Mais il semble que sa maison-mère, Alphabet, se soucie de son impact environnemental. C'est déjà ça. Depuis 2017, l'entreprise a entrepris une transition radicale. L'ensemble de ses activités fonctionnent désormais grâce à des énergies 100% renouvelables. Le top 10 : Alphabet Inc - Siemens AG - Toyota Motor Corp - Cisco Systems Inc - Hp Inc - Taiwan Semiconductor Manufacturing Co Ltd - ABB Ltd - Telefonaktiebolaget LM Ericsson - Unilever PLC - Banco do Brasil SA. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Les agences peuvent-elle faire un événement spectaculaire sans polluer (ni greenwasher) ?

Du petit traiteur de quartier aux JO 2024, la filière événementielle française semble s'ouvrir aux enjeux de RSE. Pour autant, la recette magique de "l'événement éthique" n'existe pas. Du moins, pas encore. La bonne nouvelle, celle qu'il faut retenir, c'est que la France mène la danse à ce sujet, notamment aux yeux de la norme internationale ISO 20121* dont l'objectif est de promouvoir le développement durable au sein de la branche événementielle. Sur 198 certifiés à travers le monde (agences, prestataires, organisateurs en tous genres...), 163 sont en Europe et 63 en France. Un petit "cocorico" qu'il est malgré tout nécessaire de souligner. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

La culture du soja, un désastre pour l'environnement

On n'en parle peu, mais la culture du soja est pire que celle de l'huile de palme et représente un désastre pour l'environnement. Hier, des ONG ont interpellé une vingtaine de grands groupes français, grandes surfaces et industriels de l'alimentation, qui importent du soja. Soja que nous retrouvons tous les jours dans notre assiette. Pour produire 1 kilo de poulet, il faut 800 grammes de soja. Le soja on en donne aux volailles, aux cochons, un peu aux vaches. C'est une protéine végétale indispensable pour l'élevage. Le problème, c'est qu'il importé d'Amérique du Sud : 80% du soja utilisé en France vient du Brésil, d'Argentine. Là-bas, pour le faire pousser on coupe la forêt. Ce n'est pas du tout connu, mais le soja est la culture qui contribue le plus à la déforestation, bien après celle de l'huile de palme. C'est pourquoi il y a un an, des ONG ont interpellé 20 groupes français pour leur demander ce qu'ils comptaient faire. >> Lire l'article complet sur le site de RTL

Le pôle habillement du groupe Mulliez veut fabriquer des tee-shirts "made in France"

La politique "zero waste" de Fashion3, déclinée sur toute la chaîne de valeur, de la conception à la production, implique de ne produire que ce qu'on vend, et donc de fabriquer au plus près de ses zones de consommation, notamment en France où ses enseignes réalisent 60 % de leur chiffre d'affaires. Il s'agirait donc pour Fashion3 (prononcer Fashion Cube) de lancer une unité de production de tee-shirts, hyperautomatisée "pour avoir le même niveau de compétitivité qu'en Asie", explique Jean-Christophe Garbino. Le groupe entend faire appel à un investisseur pour le financement et à un industriel pour l'exploitation. Des contacts ont déjà été engagés et les élus locaux sollicités. Le calendrier vise un démarrage fin 2020-début 2021. Cette usine pourrait produire 3,7 millions de tee-shirts (basiques, unis, imprimés ou brodés) par an d'ici à 2023 pour servir toutes les enseignes de Fashion3, voire d'autres du groupe Mulliez. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


Commande publique

L'acheteur devra encore (un peu) jongler d'un code à l'autre

On peut regretter, alors que l'on a promis un outil "tout en un", que certaines dispositions ne soient pas immédiatement intégrées : les dispositions relatives aux concessions d'aménagement restent dans le code de l'urbanisme ; celles relatives aux concessions hydrauliques dans le code de l'énergie. Plus gênant, les règles applicables aux demandes d'attestations fiscales et sociales par les acheteurs ont été introduites dans le code des relations entre le public et l'administration (art. D.113-14). Encore plus flagrant : les commissions d'appels d'offres, par essence liées à la commande publique, n'ont pas été intégrées dans le code et demeurent dans le code général des collectivités territoriales et dans celui de la construction et de l'habitation. Là, la promesse ne sera pas tenue : les acheteurs publics devront encore jongler, d'un code à l'autre. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes

De pouvoir adjudicateur à acheteur public : la commande publique s'imprègne des techniques d'achat de la sphère privée

Il est alors bien évident que si les cas de recours aux négociations ont été renforcés, c'est parce qu'elles permettent une meilleure gestion des deniers publics. Que la négociation soit financière ou technique, elle permettra une dépense publique davantage justifiée. Elles représentent un véritable levier de la commande publique en ce qu'elles participent à l'amélioration du rapport qualité/prix des offres. Cet outil ne doit donc pas être négligé par les acheteurs publics, qui tendent de plus en plus à la mettre en oeuvre. En conclusion, la fonction achat des administrations se professionnalise, pour le plus grand bonheur des entreprises qui se trouvent face à des interlocuteurs avec lesquels elles partagent désormais certains vocables et techniques d'achats, et qui maîtrisent davantage les problématiques économiques et la réalité du marché. Malgré tout, la pratique doit encore s'intensifier, mais également s'accompagner d'une évolution des mentalités et des pratiques internes à l'administration. La locomotive est bien lancée, mais le trajet est encore long. >> Lire l'article complet sur le site du Journal spécial des sociétés


Environnement de travail

Les économies d'énergie coûtent de plus en plus cher à EDF, Total ou Engie

"Entre 2018 et 2020, ce sont près de 9 milliards d'euros qui seront consacrés aux économies d'énergie par le secteur", indique l'étude d'impact, qui consacre un article au renforcement des contrôles de ces programmes d'efficacité énergétique. Sur les trois ans, les fournisseurs d'énergie (Total, EDF, Engie, Leclerc, Carrefour...) doivent réaliser des économies d'énergie à hauteur de 1.600 térawattheures cumac (cumulés et actualisés sur la durée de vie de l'équipement), une quantité difficile à comparer à une consommation en base annuelle. L'effort financier est d'autant plus substantiel que ce dispositif, qui obéit à une logique de marché, voit son coût bondir sans que ses objectifs aient été modifiés. Quand Ségolène Royal avait lancé le programme 2018-2020, le coût était évalué à 6 milliards d'euros. "Le coût de production a quasiment doublé depuis deux ans", explique Franck Annamayer, président du GPCEE, un syndicat qui fédère des PME spécialisées dans la collecte de CEE pour le compte de fournisseurs. Une inflation liée notamment à la difficulté croissante de trouver de nouveaux gisements d'économies d'énergie. Mais aussi aux contrôles croissants sur la réalité des opérations, note le GPCEE. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

IT

Les clés du contrat informatique "clé en main"

Ainsi le fait de qualifier un contrat de "clé en main" est loin d'être anodin puisqu'il va de pair avec un engagement de résultat du prestataire. En effet, le 17 mai 2017, la Cour de cassation avait constaté que "le contrat portait sur la création d'un site 'clés en main', de sorte que l'obligation souscrite par la société Ares devait s'analyser en une obligation de résultat". De plus, par un arrêt en date du 23 novembre 2018, la Cour d'appel de Paris a débouté l'action d'une société qui, suite au dysfonctionnement de matériel informatique, reproche au fournisseur dudit matériel un manquement à son obligation de résultat. La Cour vient rappeler alors qu'il incombe à la partie qui se dit victime d'un manquement à une obligation de résultat d'en rapporter la preuve, mais également qu'on ne peut pas conférer au bon de commande la qualification de contrat "clé en mains" en raison même de l'absence de mention contractuelle spécifiant une installation "clé en mains". La Cour met également en exergue l'existence d'une obligation de collaboration du client, ce dernier ne pouvant pas imposer au prestataire de service une obligation de résultat dès lors qu'il n'avait pas fait tout son possible pour contribuer au succès de l'opération. >> Lire l'article complet sur le site de L'Usine digitale

Comment optimiser votre chaîne d'approvisionnement logiciel ?

La consommation des logiciels dans l'entreprise est une source de risques et de coûts. Les achats d'applications, qu'ils soient centralisés ou délocalisés sortent régulièrement des aspects contractuels. Ils échappent à la gouvernance et aux bonnes pratiques. Quant à la DSI, elle ignore trop souvent de façon précise qui achète des logiciels dans la chaîne d'approvisionnement. Et cela logiquement, serions-nous tentés de dire, puisque les achats effectués par les métiers ou utilisateurs sont perpétrés en ligne, sous forme d'abonnement, ou en mode Shadow IT. Ils sortent par conséquent des budgets sur lesquels elle a le contrôle. L'optimisation concerne à la fois la DSI, les achats et les métiers. Elle va nécessiter de solliciter ces trois composantes afin tout d'abord de réunir deux informations préalables à cette démarche : identifier qui achète dans la chaîne d'approvisionnement, et disposer d'un état des lieux, soit un inventaire du parc logiciels, licences et services. >> Lire l'article complet sur le site de IT Social


Fleet management / Mobilité

Pièces de rechange: les prix ont encore flambé!

Vers l'inflaaation et bieeen au-delà ! Alors que l'indice des prix à la consommation a augmenté de 1,8 % en 2018, celui des pièces automobiles a, lui, bondi de 2,66 % ! Et si on rembobine sur quatre ans, on a encore plus l'impression de s'être fait embobiner : tandis que l'inflation cumulée n'a été que de 3 %, celle du prix des pièces a atteint les 8,5 % ! C'est l'un des enseignements de la dernière édition de l'étude du SRA, l'organisme de statistiques des assureurs qui suit, année après année, les évolutions tarifaires d'un panier type de pièces d'origine constructeur. Un indice que ces derniers ne contestent pas, et qui permet aux assureurs de justifier, en partie, les hausses annuelles de leurs primes. Non seulement à cause du prix des pièces, donc, mais aussi de la main-d'oeuvre carrosserie (+ 2,5 % en 2018) et de la peinture (+ 3,2 %). Bref, dans la réparation automobile, tout augmente, ma bonne Lucette... >> Lire l'article complet sur le site de Auto Plus

Le groupe Casino commande 90 utilitaires GNV à Iveco

Pour Thomas Ors, Directeur projet transport du groupe Casino, le choix du gaz est une évidence. "Il nous fallait trouver une solution qui nous permette d'anticiper l'évolution des réglementations, qui soit économiquement pertinente vis-à-vis du diesel et qui permette une totale polyvalence en termes de circuit de distribution. Le tout sans contraintes pour nos activités opérationnelles avec l'autonomie la plus large possible et une forte capacité d'emport", a-t-il déclaré lors d'une table-ronde organisée par GRDF lors de la SITL. Déjà engagé dans l'acquisition de poids-lourds GNV, le groupe Casino franchit ainsi une nouvelle étape pour le verdissement de son parc. Une ambition qui passe par l'utilisation du gaz mais aussi par sa version renouvelable, le bioGNV. "Le bioGNV nous permet d'aller plus loin avec un bilan carbone quasi-nul. Même s'il coûte un peu plus cher que le GNV d'origine fossile, on peut rentrer dans notre modèle économique", justifie Thomas Ors.>> Lire l'article complet sur le site de Gaz Mobilité


Carrière / RH / management

Favoriser la montée en compétences par la maïeutique

Pour un manager comme pour un professeur, il est naturel de répondre directement à la question qui est posée. D'une part, cela correspond au processus d'apprentissage du système éducatif français ; le "sachant" répond directement à la question posée et, d'autre part, il justifie ainsi sa position de "sachant". Pratiquer la maïeutique est à la fois un exercice d'humilité (accepter de risquer d'apparaître comme "ne sachant pas") et une lutte contre le sentiment d'efficacité (répondre directement prend moins de temps que le questionnement de la maïeutique). Pourtant, dans le temps la maïeutique est bien plus efficace. En effet, elle amène l'individu à réfléchir par lui-même avant de poser une question et elle l'amène aussi à développer son estime de soi en prenant conscience de ses capacités. Pour celui qui répond, l'exercice est d'abord inconfortable et il devient satisfaisant, au fur et à mesure qu'il découvre ainsi qu'il a en lui de nombreuses ressources. Pour le manager ou le professeur qui pratique ce questionnement, il devient un révélateur de talents qui favorise la montée en compétences tout en structurant ses collaborateurs ou ses étudiants, qui deviennent de plus en plus autonomes. >> Lire l'article complet sur le site de Courrier Cadres

Voiture de fonction plutôt qu'augmentation de salaire : une proposition à étudier

Le véhicule de fonction est donc un gain appréciable surtout depuis que les loueurs longue durée ont investi le marché des professionnels. Grâce aux différents acteurs comme Arval, ALD Automotive, Lease Plan, Alphabet, etc, les dirigeants ont en effet pu externaliser lune grande partie de la gestion de leur parc auto et bénéficier de nombreux avantages. Mieux, la LLD (location longue durée) contente aussi les collaborateurs. Les salariés apprécient en effet le renouvellement régulier de leur voiture et n'ont pas besoin de s'occuper de l'entretien courant car il est assuré par le loueur, propriétaire du véhicule. Les tracasseries administratives, l'obtention de la carte grise ou encore l'assurance font aussi partie des prestations comprises dans les loyers. De leurs côtés, les entreprises profitent aussi de quelques avantages non négligeables. Sur un plan économique, par exemple, une voiture prise en LLD permet à une société de lisser les dépenses, d'intégrer la majeure partie des loyers dans ses charges et aussi de préserver ses capacités de financement grâce à une trésorerie intacte. >> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac

Les histoires d'amour au boulot peuvent-elles durer ?

Faire des rencontres en entreprise, c'est bien beau, mais derrière le bonheur promis se cache parfois quelques pièges. L'entreprise reste un espace où l'on apparait sous son meilleur jour. "Un projet bouclé brillamment, une réunion bien menée, peut faire briller un collaborateur aux yeux de ses autres collègues", explique la psychologue, Véronique Kohn. Le risque ? Le décalage avec la réalité car en entreprise on joue un rôle. "Quand on est manager d'équipe par exemple, on peut donner une image qui n'est pas forcément proche de ce que l'on incarne dans la réalité quotidienne. Et parfois sous le masque, il peut y avoir de mauvaises surprises", décrypte Christophe Belud. Il y a aussi ceux qui sont attirés par des masques hiérarchiques pour combler un manque ou un besoin. Véronique Kohn les appelle des opérations de transfert. " Un collaborateur peut entretenir une relation avec un supérieur hiérarchique pour obtenir de la reconnaissance. Au travers de cette relation, il peut aussi chercher une figure d'autorité paternelle ou maternelle de son enfance qu'il voudrait retrouver dans son couple", analyse-t-elle. >> Lire l'article complet sur le site de Cadremploi

Vous pouvez être un grand leader et avoir aussi une vie

Pour que les dirigeants résistent aux pressions du statu quo et fassent de l'équilibre travail-vie une priorité, DeGroot a découvert que ces pionniers devaient cultiver les compétences autour de trois relations: apprendre à travailler différemment avec leurs équipes au travail, élaborer un plan avec leur famille et la famille d'abord, et changer leurs mentalités pour croire non seulement que le changement est réellement possible, mais aussi pour se donner la permission d'essayer et d'en parler. Les histoires de trois dirigeants illustrent comment cela peut être fait. Apprendre à travailler différemment. Comme beaucoup d'hommes de sa génération, Ivan Axelrod, 72 ans, directeur général d'une société de gestion financière à Los Angeles, a passé la majeure partie de sa vie à gravir les échelons de l'entreprise en tant que soutien de famille principal axé sur le travail. Ce n'est que lorsqu'il est devenu grand-père qu'il a décidé de changer. Ses propres parents étaient morts quand ses enfants étaient jeunes et ne les avaient jamais connus. Il voulait quelque chose de différent pour ses propres petits-enfants. "Je voulais qu'ils connaissent leur grand-père." >> Lire l'article complet sur le site de HBR

 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page