Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 25 janvier

Publié par le | Mis à jour le
Revue de presse achats - semaine du 25 janvier

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser.

Je m'abonne
  • Imprimer

Le top 5 des priorités des CPO en ce début d'année 2021

Comme vous vous en doutez, la première priorité est la réduction des coûts. 35% des répondants ont déclaré que les économies de coûts étaient leur priorité numéro un à l'entrée de 2021. Le numéro deux était la stimulation de la croissance - 24 pour cent des répondants. Je trouve intéressant que l'accent soit mis sur la croissance, même si les économies de coûts peuvent être utilisées pour alimenter la croissance, lorsqu'elles sont réinvesties dans l'entreprise plutôt que de chuter directement au P&L. La troisième priorité - qui a été une vraie surprise - était la durabilité et la diversité avec 14% des répondants. Le quatrième était le risque et la garantie de l'approvisionnement, avec 13% des répondants. Il est intéressant de noter que le risque - du moins dans cette enquête - se situe en fait en dessous de la durabilité et de la diversité compte tenu de l'année dernière et du rôle que l'approvisionnement a joué pour assurer la continuité de l'approvisionnement ces derniers mois. Et puis, le numéro cinq sur la liste facilitait l'innovation par les fournisseurs, à 8%. Alors, que pensons-nous de ces 5 priorités? La réalité est qu'il existe actuellement trois types d'entreprises. Il y a des entreprises qui sont en mode hyper-croissance, des entreprises qui sont en mode "protéger ce que nous avons" et des entreprises qui s'adaptent à des conditions commerciales complètement nouvelles en raison de la pandémie. >> Lire l'article complet sur le site de Art of Procurement

La pénurie de puces arrête la production des constructeurs automobiles

Audi doit ralentir sa production en raison d'une pénurie de puces informatiques (...) Sa société mère, Volkswagen, a annoncé son propre ralentissement en raison d'un manque de puces la semaine dernière, aux côtés de rivaux tels que Honda. (...) "Les voitures modernes deviennent des ordinateurs sur roues, avec une abondance de silicium nécessaire pour tout contrôler, du système d'infodivertissement à la caméra, au radar et au lidar", a-t-il déclaré. La demande des constructeurs automobiles "est en concurrence pour la capacité de fabrication avec les smartphones, les serveurs et une foule d'autres segments". Et un boom du marché des appareils tels que les PC et les nouvelles consoles de jeux rendait doublement difficile la réservation du temps de fabrication. Les pénuries ont vu le constructeur Mercedes Daimler, Fiat, Ford, Honda, Nissan, Subaru et Toyota suspendre la production pendant des jours ou des semaines à la fois. >> Lire l'article complet sur le site de la BBC

Forte hausse des prix de l'acier

Dès l'été 2020 les distributeurs européens alertaient sur les difficultés d'approvisionnement en acier. Le cours du minerai de fer avait grimpé de près de 100 dollars la tonne en juin à 130 dollars la tonne en août dernier. Et il a continué à grimper jusqu'en décembre. Résultat : le prix de l'acier a quant à lui grimpé de 15 à 25% sur un mois depuis fin 2020. L'ensemble du secteur sidérurgique reste persuadé que cette tendance est appelée à durer "au moins jusqu'à la fin du second trimestre 2021". Forcément il y a et il y aura encore des répercussions sur la construction. Le rond à béton comme la construction métallique et aussi la métallerie, sont déjà impactés et les inquiétudes des entreprises sont légitimes. Car, après les contraintes liées à la pandémie et l'annulation ou le décalage de nombre de marchés, il va falloir intégrer la hausse de la matière première dans les chiffrages à venir. Pour les marchés signés la FFB appelle les "donneurs d'ordres (particuliers, professionnels, collectivité) à engager les discussions avec leurs entreprises sur la base des données objectives des hausses". >> Lire l'article complet sur Metal Flash

La fonderie automobile française est menacée par l'électrique et le dumping

Les fonderies françaises de pièces automobiles sont en difficulté. Plusieurs jouent leur survie dans les prochains jours comme Jinjiang Sam (365 salariés) à Decazeville (Aveyron) , pour qui la date de remise des offres de reprise a été reportée au 15 février. Sa soeur FVM (130 salariés) à Villers-la-Montagne (Meurthe-et-Moselle) est dans la même situation. MBF Aluminium (groupe CMV), qui emploie 260 personnes à Saint-Claude (Jura), a été placé en redressement en novembre et a jusqu'au 9 février pour trouver un repreneur. L'avenir de la Fonderie du Poitou Fonte (300 salariés) à Châtellerault (Vienne), rachetée par le britannique Alvance , s'inscrit en pointillé depuis que Renault a décidé en décembre de ne plus lui acheter de carters de moteurs Diesel après 2023, en lui préférant l'espagnol Fagor. Le constructeur veut également réduire sa filiale La Fonderie de Bretagne (380 salariés) dans le Morbihan... "Il y a aussi des groupes qui ne vont pas si mal comme Le Bélier, relativise Wilfrid Boyault, directeur de la Fédération Forge Fonderie. Mais c'est un métier où les marges sont faibles. Les fonderies travaillent souvent à la main des donneurs d'ordre et se retrouvent au bout d'un moment devant le tribunal de commerce. L'Etat force alors les constructeurs à leur confier des commandes pour trouver un repreneur. Mais trois ans après, elles retombent en redressement car elles n'ont pas d'autofinancement." >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Remaniement aux achats en pleines négociations commerciales chez Carrefour

Selon nos informations, Jérôme Hamrit, directeur exécutif marchandises France chez Carrefour, vient de quitter l'entreprise. Il est remplacé par deux personnes, une sur les achats alimentaires, l'autre sur les achats non alimentaires. Un changement qui intervient dans la dernière ligne droite des négociations commerciales 2021. >> Lire l'article sur le site de LSA


Supply chain

Trois étapes pour sécuriser une supply chain sous pression

Intégrez les exigences de sécurité dans les contrats fournisseurs. La négociation de contrat peut être complexe et longue, mais les changements rapides du paysage cette année ont accru la pression pour conclure rapidement des accords. La sécurité est souvent une réflexion après coup et souvent perçue comme un obstacle à un accord. L'application rétroactive des normes de sécurité est extrêmement difficile. Construire un cadre sécurisé et conforme n'est pas une tâche qui doit être exécutée dans des délais très serrés; c'est la recette du désastre. Incluez des professionnels de la sécurité dans le processus avant que les contrats ne passent aux appels d'offres. Lorsque les exigences sont clairement définies dès le début, cela peut aider à rationaliser les négociations et à permettre la conclusion rapide d'accords. La clarté est la clé des contrats, donc fournir des conseils pour différentes éventualités et énumérer les étapes recommandées est bénéfique à la fois pour l'entreprise et pour le fournisseur. >> Lire l'article complet sur le site de SupplychainBrain

La décarbonation des transports est-elle crédible d'ici 2050 ?

Anne-Marie Idrac a témoigné au nom des entreprises de transport de fret et de logistique en appelant la France "à ne pas devancer le calendrier fixé et à donner de la visibilité" aux acteurs de la filière. La présidente de France Logistique alerte sur la capacité du secteur et de ses fournisseurs industriels à atteindre la décarbonation des transports : "Aujourd'hui l'Europe ne compte que 2 000 poids lourds "zéro émission. En France par exemple, les constructeurs de véhicules industriels ne prévoient qu'un millier de camions électriques d'ici 2 ans sur un marché où 30 à 40 000 camions sont renouvelés chaque année". Anne-Marie Idrac rappelle aussi que "le coût d'acquisition d'un véhicule lourd "zéro émission" est 3 à 4 fois supérieurs à un camion diesel ou GNV". Evoquant enfin l'autonomie de ces véhicules, les cadres législatifs à adapter et les réseaux de distribution à développer, elle demande aux pouvoirs publics une approche concertée avec les professionnels du secteur et à garder à l'esprit que "le transport routier demeurera le mode dominant. Il a besoin d'approches pragmatiques sachant que les marchandises ne se téléportent pas". >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

Comment Flowlity prévoit les approvisionnements

Ensemble, ils ont mis au point un logiciel à "l'approche disruptive", répondant à la problématique de gestion des stocks dans la chaîne d'approvisionnement. Parmi les clients, La Redoute ou encore Leffe. Flowlity utilise des algorithmes avancés de machine learning pour générer une prévision de consommation, promettant "fiabilité et stabilité avec peu d'efforts de mise en oeuvre et de formation". L'approche de Flowlity prend en compte la volatilité dans les prévisions. "Oubliez les nomenclatures et les paramètres MRP - nous avons seulement besoin de votre historique de consommation (souvent facilement extrait de l'ERP), et nous pouvons commencer à générer des prévisions qui s'améliorent continuellement grâce à nos algorithmes de machine learning", indique la start-up. L'historique à deux ans en moyenne permet de calculer une tendance et de l'enrichir des événements récents. Flowlity s'inspire également des principes du DDMRP, qui permet de limiter les risques mais la solution veut s'affranchir de la mise à jour des paramètres de façon empirique et compte bien prendre en compte la multiplicité des fournisseurs et des clients. "En ajustant dynamiquement nos recommandations de stocks minimum et maximum et en améliorant continuellement nos prévisions, nous parvenons à obtenir une réduction supplémentaire des stocks par rapport au DDMRP pour un même niveau de service". >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

Achats en ligne : quand la livraison tourne au cauchemar

La congestion automobile des grandes métropoles, la disparition progressive des concierges ne facilitent pas non plus le bon déroulé du "dernier kilomètre", entre entrepôt et domicile. "Et puis, nous sommes tous un peu schizophrènes, ajoute Bertrand Pineau, chargé de la logistique à la Fevad. Nous voulons être livrés rapidement, sans trop d'impact carbone, et à la maison, mais nous rechignons à en payer le prix." Pour tirer les coûts, les transporteurs recourent à la sous-traitance. Parfois massivement (80 % de l'activité chez Chronopost) et en cascade. M. Pineau décrit l'"agrégat de TPE-PME, voire d'autoentrepreneurs mis sous pression par leurs mandataires". Tenus à des cadences intenables, payés au lance-colis, les livreurs ont le stress communicatif. Difficile, pourtant, de leur jeter la pierre. Et même d'arrêter leur course effrénée afin de vérifier le contenu du fardeau tout juste déposé. "Les livreurs n'ont pas toujours le temps de faire correctement leur boulot", insiste Benjamin Douriez, de 60 millions de consommateurs. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

[Le chiffre du jour] + 37 %

En décembre, dans les 20 premiers ports mondiaux, le pourcentage de conteneurs dont l'embarquement avait été repoussé d'une escale s'est accéléré. Le taux moyen a augmenté de 37% par rapport au moins précédent, ce qui signifie que certains hubs affichent des trafics bien plus élevés : de 62% à Gioia Tauro en Italie, aujourd'hui détenue et exploitée par le MSC, à seulement 22% à Salalah dans le Sultanat d'Oman. "Parmi les vingt ports mondiaux pour lesquels Ocean Insights collecte et analyse les données, 75% ont connu une augmentation du taux de rollover* en décembre par rapport à novembre 2020. Les principaux ports de transbordement, comme Port Klang en Malaisie ou Colombo au Sri Lanka ont enregistré des rollovers sur plus de 50 % des conteneurs manutentionnés en décembre. Les plus grands ports mondiaux de conteneurs, comme Singapour, Shanghai et Pusan ont également vu leur taux de rollover dépasser 30 % sur décembre", indique Josh Brazil, de la société Ocean Insights, à l'initiative de ce baromètre. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la Marine Marchande

Certificat d'économie d'énergie : un levier financier pour les investissements vertueux des transporteurs

Le transport routier et le combiné sont deux secteurs où les obligés peuvent acheter des CEE. Cet achat constitue alors une aide financière pour les transporteurs routiers pour investir dans des solutions énergétiquement efficaces ou finance, tout ou partie, des programmes de sensibilisation à l'image des programmes EVE, Ecler ou Interlud. "Pour les transporteurs, le mécanisme des CEE est un levier financier potentiel supplémentaire, parfois significatif, au service de leurs projets de maîtrise de l'énergie", encourage Yann Tréméac, chef de service adjoint Transport et Mobilité à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Deux démarches sont accessibles aux transporteurs routiers intéressés par les CEE et donc par la possibilité de bénéficier d'une aide pour financer leurs investissements. Expliquée par Estelle Posnic, d'EcoCO2, la première consiste "à investir dans des équipements ou services qui font l'objet d'opérations dites standardisées. Sous forme de fiches, ces opérations standardisées définissent les conditions d'éligibilité et la valorisation forfaitaire des économies d'énergie selon l'équipement ou le service concerné." >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique


RSE

Industrie textile : "Il ne suffit pas de planter des arbres, il faut repenser radicalement le coeur du métier"

Tribune de Guillaume Carton et Julia Parigot, professeurs de stratégie - Des marques plantent des arbres pour compenser leurs émissions carbone. Pour réellement les compenser, il faudrait cependant planter près de trois fois plus d'arbres que les 80 millions plantés chaque année en France... Alors que les marques de prêt-à-porter semblent multiplier les initiatives vertueuses pour l'environnement, elles s'apprêtent cependant à brader leurs vêtements lors des soldes d'hiver. La survie des soldes montre qu'aucune de ces initiatives ne résout le principal problème de cette industrie : la surproduction de vêtements qui, en bonne partie, ne seront pas vendus mais purement et simplement détruits. Le ministère de la transition écologique estime que, chaque année, en France, entre 10 000 et 20 000 tonnes de vêtements partent en fumée. Pour faire face aux défis climatiques, plutôt que de planter des arbres (ou utiliser des matériaux recyclés ou se lancer dans la seconde main), c'est l'industrie du prêt-à-porter qui est à réinventer. Dans ce sens, certaines marques développent la fabrication de vêtements à la demande. Elles repensent complètement leur système de production, passant d'une chaîne de valeur poussée par l'offre à une chaîne tirée par la demande. Grâce à ce renversement, ces marques n'ont plus de stock à brader lors des soldes. >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site du Monde

RSE & Achats responsables : les tendances à suivre de près en 2021

Les entreprises qui se sont déjà engagées sur la voie de la durabilité et de la responsabilité ne seront pas promptes à renoncer à leurs obligations et engagements. Au contraire, la crise aidera les entreprises à persévérer dans cette voie et poussera encore plus de sociétés à accélérer leur transition vers un modèle pour assurer leur pérennité. En ce qui concerne les économies de coûts, le ralentissement économique induit par la pandémie du Covid-19 peut même avoir un effet "positif", en incitant les entreprises à réduire leur consommation d'énergie ou d'eau. Il peut les encourager à intensifier leurs pratiques de recyclage ou inciter les équipes à mettre au point des produits à plus faible empreinte écologique.

Les entreprises et les organisations donneront la priorité à la réduction des émissions de GES de Scope 3 - Jusqu'à présent, l'attention des entreprises s'est concentrée sur la réduction des émissions de Scope 1 (les émissions directes) et 2 (les émissions indirectes liées aux consommations énergétiques). En 2021, davantage d'entreprises réaliseront qu'il n'est pas possible d'avoir un impact tangible et durable sur le climat si elles ne réduisent pas les émissions tout au long de leur chaîne de valeur. Cette tendance sera accélérée par les nouvelles réglementations (dont le projet d'une taxe carbone aux frontières de l'UE) et les contraintes accrues sur les énergies fossiles. >> Lire l'article complet sur le site de The Good


Commande publique

Les contrats secrets de l'Union européenne pour le vaccin anti-Covid

Après une forte pression du Parlement européen, la Commission a accepté que certains eurodéputés puissent se rendre dans une salle de lecture de la Direction générale de la santé afin d'examiner une version caviardée du contrat passé avec l'un des laboratoires, CureVac, qui est le seul pour l'instant à avoir autorisé la lecture de ce texte. Le peu d'informations dont on dispose quant au montant dépensé pour les doses provient d'une erreur de la ministre belge du Budget, Eva De Bleeker, qui a publié sur Twitter une liste de prix, avant de supprimer rapidement son tweet. Par exemple, les doses de Pfizer ont été payées 12 euros pièce?; celles d'AstraZeneca, 1,78 euro?; celles de CureVac, 10 euros. >> Lire l'article complet sur le site de Courrier International

RER B : le retard dû au recours d'Alstom inacceptable pour Valérie Pécresse

Le renouvellement des trains destinés à la ligne B du RER francilien a pris du retard en raison des recours déposées par le constructeur Alstom concernant l'appel d'offres qu'il a perdu. Mettant en avant l'"attente énorme des voyageurs du RER B sur ces nouveaux matériels", Valérie Pécresse craint que ces recours "fassent prendre vraiment beaucoup, beaucoup de retard sur la commande". "Ce serait au détriment des voyageurs et ce n'est pas acceptable", selon elle. (...) Le contrat de 2,56 milliards d'euros vise à remplacer le matériel roulant du RER B, important axe nord-sud de l'Ile-de-France qui transporte environ un million de personnes par jour (hors pandémie). Bombardier et CAF avaient été choisis le 13 janvier dernier face à Alstom, après le rejet d'un recours devant le Tribunal administratif de Paris engagé par le groupe français, lequel avait déjà retardé la procédure en décembre car il estime que "la notification de rejet est incomplète". "L'appel d'offres a été mené dans le respect scrupuleux de toutes les règles", a affirmé Valérie Pécresse jeudi. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Street-art : une fresque de 260 mètres en projet sur l'autoroute A7 à Marseille

La Dreal Paca, direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Provence-Alpes-Côte d'Azur, vient de lancer un appel d'offres pour réaliser une fresque "sur un écran acoustique (A7 Résidence Nord). L'écran fait en moyenne 5 mètres de haut sur 260 mètres de long, soit une surface à valoriser d'environ 1 300 mètres carrés" précise le document. A l'instar des oeuvres de street-art qui ont pris place tout le long de l'autoroute L2, la Dreal souhaite apporter une touche de couleurs à ce tronçon d'autoroute bordé par un grand écran acoustique. Les candidats ont jusqu'au 19 février pour déposer leur dossier. "Il est envisagé de commencer les prestations au premier semestre 2021 pour une durée de 6 mois", précise l'appel d'offres. >> Lire l'article complet sur le site de Made in Marseille

La ville d'Angers se débat avec un ransomware

Branle-bas de combat à la mairie d'Angers. Alors que les collectivités locales et territoriales sont plus que jamais sous le feu des cyberattaques (agglomération Grand Cognac, ville de Marseille, métropole d'Aix-en-Provence, Conseil régional du grand Est, département d'Eure-et-Loire, La Rochelle...), c'est au tour d'Angers de subir les foudres des cyberattaquants. Depuis vendredi soir, l'Athènes de l'Ouest a subi plusieurs salves d'attaques informatiques paralysant et provoquant des dysfonctionnements de plusieurs de ses systèmes informatiques et services en ligne. "Dans la nuit de vendredi à samedi une cyberattaque a ciblé le système d'information de la ville d'Angers et de la métropole. Le diagnostic a conclu à une attaque de type rançongiciel qui a frappé La Rochelle, Aix Marseille, Vincennes, l'ADEME... dans un passé récent", a indiqué la ville d'Angers dans un tweet. Les dégâts n'ont pas été précisés, pas plus que le vecteur d'infection - sans doute du phishing -, le nombre de serveurs et postes infectés ainsi que le montant de la rançon exigée. >> Lire l'article complet sur le site du Monde informatique

Environnement de travail

Covid-19 : les masques de protection doivent désormais obéir à des normes plus restrictives

"Le masque artisanal qu'on fabrique chez soi avec la meilleure intention du monde, en respectant les normes Afnor [Association française de normalisation], (...) n'offre pas nécessairement toutes les garanties nécessaires", avait plaidé le ministre de la santé, Olivier Véran, sur France Inter, le 19 janvier. Le nouveau décret maintient d'ailleurs qu'un masque de protection doit être certifié. Cette mise au ban des masques artisanaux s'était attiré les critiques de spécialistes : "Les masques artisanaux sont suffisants si tout le monde porte son masque dans les lieux communs et surtout le porte correctement, sur le nez", avait réagi Yves Buisson, président du groupe Covid-19 de l'Académie nationale de médecine, auprès du Monde. "Si tout le monde porte correctement un masque artisanal, la protection apportée reste très appréciable", a aussi estimé le professeur Kar Keung Cheng, directeur de l'Institut de recherche appliquée en santé de Birmingham. >> Lire l'article complet sur le site du Monde


Travel / Mobilité

Des taxis volants pour relier Roissy à Paris en 2030

En 2030, des taxis volants comme ceux de Luc Besson dans Le Cinquième Élément assureront des navettes entre l'aéroport de Roissy et la Défense ou le centre de Paris. En tout cas, c'est le souhait conjoint de la RATP, d'ADP (Aéroports de Paris) qui gère les aéroports franciliens et de Choose Paris Region, chargé de la promotion de l'Île-de-France. Fin septembre 2020, ils avaient annoncé leur volonté de "développer une filière de la mobilité aérienne urbaine autour du véhicule à décollage vertical". Avec une zone d'expérimentation à l'aéroport de Pontoise (Val-d'Oise). Et un fabricant allemand, Volocopter, prêt à s'y installer pour tester ses VTOL (vertical take-off and landing) électriques. En bon français, des avions à décollage et atterrissage vertical. Lundi, les trois partenaires ont franchi une étape. Au terme d'un AMI (appel à manifestation d'intérêt), ils ont retenu 31 acteurs pour créer un véritable écosystème autour de ces taxis volants qui ressemblent à de petits hélicoptères. D'abord, des fabricants de ces engins comme les géants Airbus et Safran ou des spécialistes de plus petite taille comme le chinois Ehang, le slovène Pipistrel et, bien évidemment, l'allemand Volocopter. Le point commun de ces industriels : leurs véhicules fonctionnent avec un moteur propre (le plus souvent électrique, parfois à hydrogène). >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

"Forfait mobilités durables" : du nouveau !

Les employeurs ont la possibilité de prendre en charge, dans le cadre du "forfait mobilités durables", les frais de transport des salariés qui effectuent les trajets entre leur domicile et leur lieu de travail en utilisant leur vélo (classique ou électrique), le covoiturage (passager ou conducteur), les transports publics de personnes (hors frais d'abonnement) ou des services de mobilité partagée (service de location de vélo ou services d'autopartage de véhicules électriques, par exemple). (...) à compter du 1er janvier 2022, le forfait mobilités durables concernera aussi les déplacements domicile-travail effectués par les salariés au moyen d'un engin de déplacement personnel motorisé (trottinette électrique, par exemple). >> Lire l'article complet sur le site des Echos Entrepreneurs


IT

La pression monte sur les responsables IT pour qu'ils passent à l'action

Dans la poursuite de la modernisation des technologies de l'information et de la transformation numérique, il se peut que les budgets consacrés à la technologie connaissent une hausse. Les trois quarts (75%) des participants à l'enquête s'attendent à une augmentation de leur budget informatique et de celui des développeurs au cours des 12 prochains mois, 27% des répondants s'attendant à une augmentation de 25 à 50% de leur budget et 5% des participants s'attendant à une augmentation de plus de 50%. En outre, 64% des personnes interrogées indiquent qu'elles continueront à mener des initiatives pluriannuelles de transformation numérique. Interrogés sur l'impact de la pandémie sur le budget informatique de leur entreprise au cours des 12 derniers mois, 55% des répondants ont fait état d'une augmentation. >> Lire l'article complet sur le site de ZDNet


RH

L'art de diriger dans la crise

Planifier son avenir professionnel, faire des projections à long terme, établir des budgets à cinq ans : avant la crise de la Covid-19, les dirigeants aimaient regarder loin et se risquer au jeu des prévisions. Mais, dès lors que l'incertitude règne en reine, à quels signaux ou données chiffrées se raccrocher ? Le caractère très "socratique" de la période place les leaders dans la situation de savoir qu'ils ne savent rien. Mieux, estime Michel Font, associé fondateur de Nelta, "elle sonne le glas du mythe du chef qui sait tout". Ce que le fondateur de Nelta juge essentiel, c'est la capacité des dirigeants à résister à l'échec, à en tirer les enseignements et à rebondir. Le problème ? Les process de recrutement font émerger ceux qui ont réussi à triompher des épreuves de sélection, ils ne sont pas conçus pour faire émerger des personnalités qui seront capables de traverser des crises. Et nul ne peut prédire comment ces "super-candidats" réagiront le jour où un cataclysme leur fait perdre pied. Pour Michel Font, il faudrait envisager des modes de détection des hauts potentiels qui mettent systématiquement les candidats en échec. Pour retenir qui ? "Non pas ceux qui ont trouvé la bonne solution - puisqu'elle n'existe pas - mais ceux qui cherchent à comprendre pourquoi ils ont échoué". >> Lire l'article complet sur le site de Magazine Décideurs

Abandonnons la résilience : place à l'adaptation !

Interview de l'explorateur Christian Clot - "Je suis absolument convaincu qu'il faut abandonner l'idée de résilience, d'autant plus dans le contexte actuel. Ce concept a été développé à partir de l'expérience d'individus qui avaient traversé de graves traumatismes, et qui devaient se reconstruire de manière à revenir à leur état physique et psychique initial. Je considère que cette notion ne peut pas être une boussole dans le contexte actuel pour deux raisons. D'une part, la résilience ne s'applique pas aux groupes et aux systèmes, c'est avant tout un référentiel individuel. Et d'autre part, le principe même de la résilience est le retour à un état initial. Or, aujourd'hui, le monde change tellement vite et est traversé par tellement de crises qui s'entrecroisent que le retour à l'état initial n'est ni possible, ni souhaitable. Pour moi, le paradigme de notre temps est celui de la transformation. Pour y faire face, nous avons besoin d'autres compétences que la résilience ; de mon côté, je développe la notion d'adaptation. L'anti-fragilité fait écho à cette idée d'adaptation, mais j'y vois un problème majeur : c'est le présupposé que l'on doit attendre le choc pour pouvoir évoluer et se transformer. Je considère au contraire que, face aux grands enjeux systémiques auxquels nous sommes collectivement confrontés, il nous faut cesser d'attendre la crise pour y réagir, et plutôt l'anticiper. Notre idée d'" adaptance ", qui désigne le cheminement vers l'adaptation, répond à cet objectif d'anticipation des crises." >> Lire l'intégralité de l'interview sur le site de l'ADN



 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page