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Revue de presse achats - semaine du 18 janvier

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Revue de presse achats - semaine du 18 janvier

La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

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Pourquoi la Chine fait flamber le prix des matières premières

le prix de la tonne de fer a doublé du fait de la demande chinoise croissante. Ce minerai sert à la production d'acier. Et en 2020, les aciéries chinoises ont battu pour la première fois un record historique, passant la barre symbolique du milliard de tonnes de production. L'acier est très utilisé pour la construction d'immeubles ainsi que pour la production automobile. Même chose pour le cuivre : le prix de la tonne a doublé, passant de 4 000 dollars à 8 000 dollars entre mai et décembre. Sur l'ensemble de l'année 2020, la Chine qui consomme à elle seule la moitié du cuivre mondial a accru ses importations de 34 %. Ce métal est celui de la transition énergétique car il est utilisé pour les câbles et alternateurs électriques. Le pays, qui a promis d'atteindre la neutralité carbone en 2060 investit massivement dans les renouvelables et fait flamber les cours. (...) Ces achats sont devenus, pour la Chine, une "arme géopolitique", estime Philippe Chalmin. Ainsi, la Chine a négocié une trêve dans sa guerre commerciale avec les États-Unis contre la promesse d'accroître ses achats de soja américain. Et elle utilise de la même façon ses achats de porc européen. La Chine "est de plus en plus présente sur l'intégralité des chaînes de valeur. Et elle se renforce sur les marchés financiers ou dans la définition des normes, relève Yves Jégourel, professeur à l'université de Bordeaux et membre du cercle Cyclope. Elle se dit que comme elle est un gros consommateur, elle veut avoir une influence sur les prix et les règles en vigueur". >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

Le fournisseur peut devenir un prêteur alternatif en période de crise

Eclairage de Jérémie Bertrand, IÉSEG School of Management et Aurore Burietz, IÉSEG School of Management - Le(s) fournisseur(s) deviennent alors une alternative aux institutions de crédit, offrant une solution de financement pour ces entreprises. Nos résultats montrent que les entreprises utilisant de l'information soft et se trouvant face à des banques transactionnelles, c'est-à-dire analysant majoritairement de l'information hard, peuvent se tourner vers leur fournisseur, substituant ainsi leur crédit bancaire par un crédit fournisseur. En effet, la relation qui s'établit entre un client et son fournisseur permet à ce dernier de collecter beaucoup d'informations, hard et soft, sur son client telles que sa capacité de remboursement, sa confiance envers l'avenir, sa capacité à faire face à des coups durs... Ainsi, et malgré la période de crise, le fournisseur reste capable d'analyser correctement l'information soft émise par l'entreprise et donc de lui fournir un crédit. Il est intéressant de noter que nos résultats confirment que cette substitution n'est valable qu'en période de crise. En effet, le crédit fournisseur est par nature plus cher que le crédit bancaire. Ainsi lorsque l'entreprise n'est pas rationnée par sa banque, elle a tout intérêt à faire sa demande de crédit auprès d'elle pour obtenir son prêt au meilleur coût. >> Lire la tribune sur le site de La Tribune

Brexit : les nouveaux processus douaniers mal maîtrisés

Pour les envois de fret supérieurs à 6 000 €, l'obligation d'avoir le statut d'exportateur enregistré (REX) pour exporter vers le Royaume-Uni est méconnue. Conséquence : "de nombreux véhicules se présentent sans leur numéro REX. Pour les envois supérieurs à 6 000 €, ce numéro est à demander au service en ligne Soprano de la DGDDI. Si l'exportateur en a déjà un, il n'a pas besoin d'en solliciter un nouveau mais il doit accomplir une demande de modification de son statut d'exportateur enregistré", prévient Loïc Chavaroche. Le responsable évoque aussi le nombre limité d'Inland Border Facility au Royaume-Uni censés faciliter et valider les contrôles douaniers et documentaires sous régime ATA ou TIR par exemple. Au cours des 12 premiers jours de 2021, il rapporte aussi plusieurs dysfonctionnements dans les systèmes douaniers Delta T et NSTI ainsi que l'impossibilité de générer des titres de transit T1 au départ de Calais et de Dunkerque. S'agissant du système informatique appelé "frontière intelligente" déployé par la France pour fluidifier les échanges avec le Royaume-Uni au moyen de procédures anticipées, ATS déplore "l'absence de bascule automatique des déclarations douanières anticipées dans le système". >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistiques

32 184 défaillances d'entreprises en France en 2020

Baromètre général du secteur, la construction concentre le quart des défaillances (7 479) et enregistre une baisse de 42,6 % des procédures. La tendance est tirée par le gros oeuvre (-44,2 %) et le second oeuvre (-45,2 %). Le recul est également sensible dans les travaux publics (37,3 %) notamment dans les travaux de terrassement courants (-40,1 %). L'évolution est un peu moindre dans l'immobilier, notamment pour les agences immobilières (-28,8 %). | Le commerce, deuxième poste de défaillances (6 996), a bien résisté sur l'année (- 38,2 % ) et davantage encore sur le 4e trimestre (-43,5 %). Les défauts ont reculé au même rythme dans le commerce de détail (-37,2 %) ou interentreprises (-37,4 %). La baisse est rapide dans les magasins multi rayons (-40,7 %) en particulier en alimentation générale (-46,9 %). Le " bricolage et équipement du foyer " enregistre une amélioration de 40,2 %, tirée par le meuble (-44,4 %). Le nombre de défaillances est en retrait de 30 % dans le commerce d'habillement mais les spécialistes en maroquinerie et articles de voyage sont dans le rouge (+21,7%). Les grossistes en textile, habillement ont également bien résisté (-39,7 %). Pour le négoce de matériaux, dopé par la bonne activité de la construction, le nombre de défaillances a été divisé par deux.

Engie favorise l'émergence d'écosystèmes hydrogène locaux

L'hydrogène renouvelable offre des arguments convaincants aux territoires qui souhaitent réduire leurs émissions de carbone : il dispose d'une teneur en énergie particulièrement élevée, il peut être facilement transporté puis stocké pendant de longues périodes et, lors de sa combustion, il n'émet que de l'eau et pas de CO2. Concernant ses usages, l'hydrogène est principalement adapté aux besoins des transports, de l'industrie et peut, par ailleurs, être utilisé dans le stockage à grande échelle des énergies renouvelables intermittentes. Convaincu depuis de nombreuses années des atouts de l'hydrogène, le Groupe Engie a rejoint l'Hydrogen Council dès sa création en 2017 pour soutenir le développement de la filière en aidant des villes et des régions à mettre en place des projets d'hydrogène renouvelable et, surtout, à les faire passer à l'échelle industrielle. Par ailleurs, ENGIE soutient en qualité de partenaire principal le laboratoire flottant Energy Observer - également membre de l'Hydrogen Council -, qui expérimente en mer et sur terre des solutions innovantes et durables pour rendre possible la transition neutre en carbone dans les territoires de demain. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro


Supply chain

La numérisation de la supply chain apparaît comme essentielle avec le Covid-19

"Ce qui pose problème dans la supply chain ce n'est pas la captation des informations, mais de rendre cohérent l'ensemble des données collectées et d'interconnecter les systèmes et les outils utilisés afin de permettre de la gestion temps réel", explique Philippe Roger. Avoir un regard en temps réel des variations de la consommation en boutique permet d'anticiper sur l'approvisionnement. Pour parvenir à mettre en place ce qui peut être qualifié de jumeau numérique de la supply chain, les entreprises doivent faire un ratio entre le bénéfice et les risques. L'échange d'informations implique souvent différentes sociétés et nécessite donc un certain niveau de confiance et une prise de risque puisque ces échanges de données peuvent être sujets à des cyberattaques. A ce niveau, la pandémie de Covid-19 peut agir comme "un déclencheur sur les systèmes qui nécessitent des investissements et de prendre des risques", selon Philippe Roger. Ces nouveaux systèmes pourront aussi permettre de prendre en compte les questions environnementales et améliorer l'impact carbone. Des sujets qui prennent de plus en plus d'importance pour un nombre croissant d'entreprises. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Le prix du fret maritime au départ de Chine s'envole

Les prix pour assurer le transport de marchandises depuis la Chine sont en forte hausse ces derniers mois, conséquence de la pandémie qui dope la demande en produits manufacturés et change les habitudes de consommation. "Il existe plusieurs mesures différentes des coûts du transport maritime mondial, mais toutes indiquent une forte hausse au cours des derniers mois", ont relevé les analystes de Capital Economics. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur 20 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.) cotait mercredi 1.828 points, contre 1.111 points à son plus bas mi-novembre. Plus encore, le Freightos Baltic Index, "qui mesure le coût du transport de conteneurs, pertinent pour le transport de produits manufacturés", toujours selon les analystes de Capital Economics, a presque quadruplé pour la route de la Chine vers l'Europe depuis fin octobre, de même que celui de la Chine vers la côte ouest des États-Unis depuis le début de l'été. >> lire l'article complet sur le site de La Tribune

Prix du transport routier : les transporteurs en souffrance

La perte de chiffres d'affaires est liée à deux facteurs : une contraction de l'activité pour une part et une baisse des prix de transport d'autre part. Les petits transporteurs (moins de 10 salariés) sont les plus touchés : ils n'ont pas les moyens de résister aux rouleaux compresseurs que constituent les appels d'offres lancés par les grandes centrales d'achats de transport. Parallèlement, les coûts augmentent. L'indice CNR LD EA hors gazole (voir tableau ci-dessous), qui représente l'évolution des coûts de fonctionnement d'un ensemble articulé en longue distance, gazole non compris, est biaisé en cette année 2020, car il ne comprend pas (encore) les incidences économiques du traitement de la Covid-19. La hausse de 0,7% sur un an est donc très certainement sous-évaluée. De plus, les pertes d'exploitation dues aux kilomètres à vide ou à la désorganisation générale de la chaîne de transport viennent grever un peu plus les comptes d'exploitation. En 2020, les transporteurs ont enfin vu leur utilité reconnue du grand public, parmi les "héros de la seconde ligne". Tiraillés entre un chiffre d'affaires qui diminue et des coûts qui augmentent, beaucoup vivent d'autant plus mal le sentiment d'être du côté des perdants de la pandémie. >> Lire l'article complet sur le site de Upply

Bolloré Logistics et Air France KLM Martinair Cargo s'associent pour un fret éco-responsable

Bolloré Logistics annonce avoir rejoint le programme de carburant aéronautique éco-responsable (nommé SAF) d'Air France KLM Martinair Cargo, afin d'effectuer des vols cargo entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et New York-John F. Kennedy. Ce programme offre aux expéditeurs et transitaires la possibilité d'utiliser, sur une partie de leurs vols transatlantiques, du carburant aéronautique éco-responsable. "Les clients déterminent leur propre niveau d'engagement et nous veillons à ce que la totalité de leur investissement soit utilisée pour l'approvisionnement en carburant aéronautique éco-responsable. Je me réjouis de la vitesse à laquelle Air France KLM Martinair Cargo et Bolloré Logistics sont parvenus à un accord sur l'application de notre programme SAF, lancé il y a quelques semaines", note Christophe Boucher, vice-président exécutif d'Air France Cargo. Avec ce carburant innovant, les émissions de CO2 liées au fret aérien sur cette liaison commerciale seront réduites de 50%. >> Lire l'intégralité de cet article sur le site de VoxLog

Le vent à mis la pagaille sur les quais de Tacoma

L'un des principaux ports à conteneurs des États-Unis a été soufflé le 13 janvier par des bourrasques de vent à plus de 100 km/h. Le vent était manifestement en furie sur la côte ouest américaine il y a quelques jours (...). L'un des principaux ports à conteneurs de la côte ouest des États-Unis, Tacoma, situé dans l'État de Washington, au sud de Seattle, en porte les stigmates au regard du déluge sur ses quais. Pour s'en convaincre, il suffit de rappeler qu'un conteneur plein de 40 pieds pèse 3,6 t.>> Voir cet article sur le site de Le Journal de la Marine Marchande

Arles : la Covid a révélé l'importance de la logistique

Pour les équipes du service logistique (une centaine d'agents), les défis étaient quotidiens : "La configuration de l'hôpital changeait au gré de l'évolution de l'épidémie, il nous fallait transformer en quelques heures des services de médecine ou de SSR en unité Covid, renforcer la capacité en soins intensifs de 9 à 15 lits en armant des lits supplémentaires de réanimation en salle de réveil au bloc opératoire... ". Du coup, la deuxième vague a été mieux absorbée : "Et pour la troisième qui s'annonce avec l'apparition du variant britannique, au moment même où nous devons gérer la campagne de vaccination, nous sommes sur le pied de guerre". Il faut dire que l'organisation logistique n'est plus la même : "Alors que nous avions été pris de court au printemps, nous avons adapté et optimisé toutes nos procédures afin de passer à une gestion quotidienne des stocks en partenariat avec les cadres des unités de soins". >> Lire l'article complet sur le site de Santé-achat.info


Commande publique

Cahiers des clauses administratives générales : lancement d'une consultation publique sur la refonte des CCAG

La direction des Affaires juridiques du ministère de l'Économie et des Finances soumet aux acheteurs publics et aux opérateurs économiques les projets de révision des cahiers des clauses administratives générales (CCAG). Après la création en 2009 du CCAG "TIC" (techniques de l'information et de la communication), la réforme est principalement marquée par la création d'un sixième CCAG spécifique aux marchés de maîtrise d'oeuvre. Cette réforme a également pour objectif de mettre à jour les documents contractuels généraux au regard de l'évolution européenne et nationale du Code de la commande publique et de tenir compte de diverses positions jurisprudentielles. Ouverte jusqu'au 5 février 2021, les remarques doivent être envoyées à l'adresse suivante : concertation.daj@finances.gouv.fr.>> Lire l'article complet sur le site de Weka


RSE

Régine Lucas, nommée Chief sustainable finance officer de L'Oréal

"Nous sommes convaincus que la performance économique et financière est indissociable de la performance sociale, sociétale et environnementale du groupe. En 2013, nous avons mis en place notre premier plan de développement durable qui nous a transformé de manière holistique. C'est encore le cas pour notre programme 2020-2030 "L'Oréal for the future". Ce programme porte une transformation radicale de nos métiers. Il s'accompagne d'objectifs de neutralité carbone de nos sites d'ici 2025, l'utilisation de 100 % de plastique recyclé ou biosourcé dans nos packagings d'ici 2030, ou 50% de réduction en valeur absolue des émissions de gaz à effet de serre de nos fournisseurs. La finance doit être un vecteur de ce programme. (...) Ma mission comporte trois volets. Je dois continuer à renforcer le pilotage des objectifs environnementaux, en particulier de la performance extra-financière. Je dois intégrer l'impact environnemental dans les décisions de gestion, qu'il s'agisse de décisions concernant les lancements produits, les nouveaux investissements, le transport, etc. Et je dois embarquer nos investisseurs dans cette démarche. La communication extra-financière est cruciale et, très tôt, nous avons soutenu la Task force on Climate Financial Disclosure (TCFD). Il est important d'expliquer notre stratégie aux banques et aux investisseurs afin de leur permettre d'orienter leurs investissements vers la transformation de notre modèle. >> Lire l'intégralité de cette interview sur le site de Novethic

Le recyclage du papier pas si écologique

Une étude menée par des chercheurs de l'université Yale et d'University College London (UCL) indique que la production de papier recyclé consomme plus d'énergie fossile que celle de papier issu de fibres vierges, dites "fraîches" - fresh - en anglais. "Il faut se montrer prudent avant d'affirmer que le recyclage ou l'économie circulaire en général ont toujours des conséquences favorables sur le changement climatique", précise Paul Ekins de l'Institut des ressources durables d'UCL. "Ces conclusions correspondent à ce que l'on observe sur le marché. Il est évident que la fabrication de papier ou de carton à partir de fibres recyclées a généralement un impact climatique plus lourd que la production à l'aide de fibres fraîches", remarque Johan Granås, directeur du développement durable chez Iggesund Paperboard (Holmen Paper). Johan Granås précise ainsi que "la fabrication du carton Invercote d'Iggesund génère des émissions directes de CO2 de 33 kg par tonne, contre 294 kg par tonne pour l'un des plus gros producteurs européens de fibres recyclées, selon les indications de son propre rapport environnemental. Aux États-Unis, certains recycleurs de papier produisent des émissions dépassant les 1 000 kg par tonne". >> Lire l'article complet sur le site de Emballages

Remise du rapport "Relocalisation et mode durable"

Le rapport fait quatre grands constats qui débouchent sur des recommandations : 1 -Le prix reste le 1er facteur d'arbitrage, et le 1er frein à la relocalisation d'activités. Il faut à la fois expliquer cette différence de prix et travailler à la réduire en comparant les coûts français aux coûts réels de la production délocalisée, et en trouvant le bon équilibre entre volume de commandes et rentabilité pour les fabricants, en développant des commandes plus limitées mais suffisamment importantes pour être rentables, la production à la demande et les réassorts rapides. Une fabrication locale peut ainsi permettre de limiter invendus et soldes, et ramener le surcoût du made in France à un niveau plus acceptable pour le consommateur final. 2 - Le tournant de la "mode durable" est une opportunité pour les créateurs et les fabricants français et européen, à certaines conditions.Le rapport préconise notamment de promouvoir un modèle valorisant la responsabilité sociale, la diminution de l'impact carbone et la durabilité des produits dans les négociations relatives à l'affichage environnemental. Il recommande également de soutenir les projets et les démarches innovantes de développement de la production de matières naturelles locales ou recyclées : comme la laine, le chanvre et le lin dont la France est le 1er producteur mondial. " 3 - La nécessité de renforcement de la collaboration tout au long de la chaine de valeur. Pour réussir, un partenariat de long terme entre donneurs d'ordres et fabricants est indispensable. Il devra répondre au besoin de services et de souplesse exprimé par les donneurs d'ordres et au besoin de visibilité sur les commandes exprimé par les fabricants. 4 - Le besoin d'un soutien de la puissance publique. Les programmes d'investissements d'avenir et le plan France Relance apportent des sources de financement précieuses pour de nombreuses entreprises de la filière. En complément le rapport préconise notamment de travailler sur l'exemplarité dans la commande publique, le soutien aux projets innovants d'industrialisation des filières de tri et de recyclage des déchets textiles, et à la formation. >> Lire l'intégralité de ce sujet sur le site de économie.gouv.fr

Energie : Du gaz dans l'eau

Avant de restituer de l'énergie, l'hydrogène produit par l'électrolyse de l'eau doit en consommer beaucoup, dont 30 % sont "perdus" dans la séparation de l'hydrogène de l'oxygène. Son coût est donc fortement dépendant des tarifs électriques, les 100 dollars par baril équivalent pétrole sur les douze derniers mois se transformant en 140 dollars au prix spot espagnol qui a doublé en un mois. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Fleet management

Jean-Philippe Berger, groupe Yves Rocher : "Nous avons amélioré le TCO avec l'hybride rechargeable"

Avec l'absence de TVS et un bonus élevé, nous sommes arrivés à un TCO inférieur à celui des diesel. Certes, il a fallu construire tout un environnement propice. Dès 2015, nous avons installé une vingtaine de bornes de recharge sur notre site d'Issy-les-Moulineaux (92). Ce site dispose maintenant d'une centaine de bornes et nous avons équipé nos sites bretons. Pour accroître le nombre de kilomètres effectués en électrique, nous avons installé des bornes aux domiciles des collaborateurs. Par exemple, un collaborateur qui parcourt 40 km matin et soir effectue les deux trajets sans passer à l'essence, en chargeant au bureau et chez lui. Le coût de l'installation de la borne est compensé par les économies de carburant. Grâce à un contrat avec Zeplug qui nous coûte 60 euros par mois pour la borne et la consommation, la consommation électrique liée à la recharge est remboursée au collaborateur. Certains, pour les véhicules loués chez ALD, bénéficient de la carte Total multi-énergies. >> Lire l'article complet sur le site de FlotAuto


Travel management

Emirates et Etihad vont tester le IATA Travel Pass

Le Travel Pass de l'IATA permet aux passagers d'Emirates Airlines et d'Etihad Airways de créer un "passeport numérique". Ce dernier permettra de vérifier si les tests ou les vaccins préalables au départ satisfont les exigences imposées à destination. Les passagers seront aussi en mesure de partager les certificats de test et de vaccination avec les autorités compétentes et les compagnies aériennes pour faciliter leur voyage. La nouvelle application permettra aussi aux voyageurs de gérer tous les documents de voyage de façon numérique et de pouvoir produire les données sanitaires tout au long de leur expérience de voyage. >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'affaires

IT

Ces 9 technologies qui vont prendre de l'ampleur au sein des entreprises

Ces technologies doivent être suffisamment robustes pour être diffusées à grande échelle dans les mois à venir. L'objectif est de lister de vraies tendances "dans la mise en place des outils", résume Eric Delgove, associé spécialisé en technologie chez Deloitte. "Le cloud n'est pas une tendance, mais la base de la digitalisation", affirme Eric Delgove. De très nombreuses entreprises ont déjà expérimenté cette technologie et l'époque actuelle est plus tournée vers l'industrialisation du SaaS et outre outils utilisant le cloud. Il est désormais nécessaire de moderniser les anciens systèmes d'information des entreprises et les faire migrer vers le cloud. La DSI doit être impliquée dans la mise en place des plans stratégique des entreprises. "La technologie apporte des avantages et doit être placée au coeur de la réflexion", justifie Eric Delgove qui parle d'une stratégie 'ingénieurisée'. Le but derrière est "d'identifier les indicateurs clé de performance pour la mise à jour automatique de la stratégie". >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Le cloud européen en perte de vitesse face au rouleau compresseur américain

Le cloud européen est plus que jamais en mauvaise posture. Face à la pression des géants américains Amazon, Microsoft et Google, qui dominent allègrement le marché mondial, il ne cesse de perdre du terrain. Au début de 2017, les fournisseurs européens du cloud d'infrastructure détenaient 26% de leur marché local, selon le cabinet Synergy Research. Au troisième trimestre 2020, ils n'en sont plus qu'à seulement 16%. En quatre ans, ils ont perdu 10 points de part de marché sur leurs propres terres. Dans la même période, le trio américain a gonflé sa part de 16 points à 66 %. La différence est comblée par des fournisseurs américains et asiatiques qui perdent également régulièrement des parts de marché en Europe. Selon Synergy Research, le marché européen du cloud d'infrastructure a triplé au cours de quatre dernières années pour atteindre 23 milliards d'euros en 2020, un bond de 31% par rapport à 2019. Le cloud public en constitue le plus grand segment, environ 80%, et croît bien plus vite que l'autre segment formé par les services de cloud privé hébergés. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle


RH/ Carrière

Les mauvaises habitudes managériales sont comparables à des virus

Freek Vermeulen est chercheur en management. Sa spécialité ? Les mauvaises habitudes des entreprises, et leur propagation. Au regard de la crise actuelle, il nous partage ses enseignements sur la façon dont les entreprises doivent innover et s'adapter - "Les leaders deviennent plus autocratiques et hiérarchiques, et que le pouvoir et les prises de décision soient encore plus centralisés. On a tendance à chercher, en période de crise, une figure de leader-héros pour donner la direction à suivre. Le problème, c'est quand la direction se transforme en rigidité. Je pense qu'il est au contraire salutaire de décentraliser le pouvoir un maximum en période de crise : les employés ont parfois plus d'idées - voire de meilleures idées - que leurs dirigeants. Il est important d'autoriser, et de stimuler les employés pour qu'ils expérimentent de nouvelles solutions et trouvent de nouvelles sources de revenus. Je dirais que les crises ont surtout la capacité de révéler des situations que les gens prennent pour acquises et ne prennent plus la peine de questionner." >> Lire l'intégralité de l'interview sur le site de l'ADN


 
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