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Publié par La rédaction le

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Versailles équipe 20 établissements de tableaux numériques interactifs

L'Académie de Versailles a retenu des solutions Panasonic pour équiper ses établissements scolaires. Un premier déploiement de tableaux numériques interactifs, Panaboard Elite UB-T880 est donc prévu dans 20 établissements scolaires représentatifs de la maternelle au lycée, répartis dans les départements des Yvelines, de l'Essonne, des Hauts-de-Seine et du Val d'Oise. Ce projet d'équipement en nouvelles technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (TICE) est à l'initiative du Centre Régional de documentation pédagogique (CDRP) de l'Académie de Versailles. Prise en main, réflexion et échange de contenus pédagogiques, partage d'expériences entre enseignants constituent la première étape du projet «des idées pour la classe numérique», qui se terminera en juin 2012. « Grâce à cette opération et au travers d'une étude approfondie des usages et des retours d'expériences, nous pourrons analyser concrètement les véritables apports de ces outils pour l'éducation de demain, commente Pascal Cotentin, directeur du CDP de l'Académie de Versailles. Cette étude portera tout d'abord sur la notion d'attention augmentée au sein de la classe et sur l'analyse de la modification des relations enseignant-élève dans les classes équipées ». La France compte en moyenne un tableau numérique pour 500 élèves de primaire, un équipement pour 350 élèves dans les collèges et lycées.

SUR LE FIL...

Gestion des prescriptions, dispensations de médicaments, identification du patient en liaison avec son traitement, suivi du dossier médical et des soins... l'informatisation dans l'univers de la santé tend à s'accentuer. Pour améliorer la gestion et le traitement des dossiers des patients, l'Ugap a intégré dans son catalogue une gamme complète de produits, logiciels et services délivrés par Prisme, titulaire du marché. Les problématiques de traçabilité code-barres et de mobilité sont des outils de plus en plus présents dans l'univers médical, tant au niveau sécuritaire que réglementaire et financier. L'accès à l'information est de plus en plus nécessaire, là où se fait la décision clinique.


La Bretagne souhaite se doter d'une centrale à cycle combiné gaz. Eric Besson, ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, a arrêté le lundi 27 juin le cahier des charges de l'appel d'offres correspondant. Livrée en 2015, la future centrale sera dotée d'une puissance de 450 Mégawatts. Performance, puissance et sécurité sont les grands axes précisés dans le cahier des charges.
L'évaluation des candidats retenus devra répondre à trois critères: le niveau de la prime fixe annuelle demandée, les délais de mise en service de l'installation et la compatibilité du projet et du choix du site avec l'environnement. Un dernier critère jugé éliminatoire pour le ministère.

@ SERGII RYZHKOV / FOTOLIA

Le consortium Bouygues-Vinci éclairera Paris

Le consortium Bouygues-Vinci assurera l'éclairage public de Paris pour dix ans. Voilà la décision rendue publique le 10 juin par le tribunal administratif. Ce dernier a rejeté le recours en référé pour annulation du contrat d'éclairage public de la ville de Paris, réclamé par les anciens délégataires du contrat, EDF et Veolia, et par le préfet d'Ile-de-France, Daniel Canepa. Motifs du litige? La non-reprise des contrats de travail des salariés concernés et le non-allotissement du contrat (un seul prestataire) qui serait une entrave à la concurrence. Selon l'AFP le tribunal administratif a estimé «qu'en ne procédant à aucun allotissement du marché, la ville de Paris n'a, par conséquent, commis aucune erreur manifeste d'appréciation» et que «le moyen tiré de la méconnaissance de l'article 10 du Code des marchés publics doit, par suite, être écarté». Satisfaite de la décision, la mairie de Paris rappelle que les griefs d'EDF et Veolia portaient sur des éléments de la procédure déjà fixés lors de l'appel d'offres lancé en novembre 2009, et qui n'avaient alors donné lieu à aucune contestation de leur part. Signé le 8 février 2011, le contrat d'éclairage des monuments, de la voirie et la signalisation de Paris a été remporté par ETDE et Aximum, filiales des groupes Bouygues et Vinci, pour 800 millions d'euros sur dix ans. Ce marché vise notamment à diminuer de 30 % des consommations d'énergie en 2020 par rapport à 2004.

 
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