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Revue de presse achats - semaine du 27 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 27 septembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné pour vous, et rien que pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture!

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Inflation : alerte rouge chez le fabricant du papier-toilette Lotus

Le signal est lancé. Le leader des produits d'hygiène et de santé, Essity, plus connu pour ses marques Lotus, Okay ou TENA, tire la sonnette d'alarme: depuis plusieurs mois, il subit la hausse des coûts des matières premières, du transport et de l'énergie, soit une facture alourdie de 30%. Alors que les négociations commerciales débutent avec les grandes enseignes pour 2022, il réclame une hausse des tarifs - à deux chiffres-, pour son papier toilettes et ses autres produits (incontinence, hygiène féminine, cotons à démaquiller...). "La vague est tellement forte que la grande distribution doit accepter de refléter cet impact, et partager l'effort avec nous industriel en prenant à sa charge une partie de la hausse", indique Arnaud Lafleur, le vice-président France, Belgique, Italie. Et ce pour que l'effet sur le pouvoir d'achat des consommateurs soit limité. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Inquiétude sur une possible pénurie de jouets à Noël

"Un conteneur de 40 pieds [environ 12 mètres] pour rapporter la marchandise de Chine, qui nous coûtait avant le Covid 3 000 dollars [2 555 euros], vaut désormais aux alentours de 19 000 dollars", explique Julien Vahanian, le directeur de l'entreprise Wilson Jeux, qui fait fabriquer 80% de ses produits en Europe et 20 % en Chine. "En général, nous lançons la fabrication après le Nouvel An chinois, fin février, raconte Philippe Bernard, directeur général en France de Goliath, le fabricant du jeu Triominos. De mars à mai, c'est la période de fabrication, et les expéditions sont faites entre juin et août. Les prix du transport maritime ont commencé à s'envoler en mai. En juillet, les conteneurs valaient déjà 12 000 dollars." "On ne pourra pas tout livrer à temps, car toute la chaîne d'approvisionnement est devenue beaucoup moins précise", Julien Vahanian, directeur de Wilson Jeux. Moins de bateaux circulent, et des fabricants doivent affronter des ralentissements dans la rotation des conteneurs. "La rotation normale, qui était de quarante-huit à 72 heures, est aujourd'hui de quinze jours", explique M. Bernard. Sans compter "le bateau coincé en Egypte, qui [leur] a fait perdre une quinzaine de jours dans le transport des produits, et la fermeture du port de Yantian pendant quatre-vingt-seize heures pour des cas de Covid", poursuit le patron. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Les assurances d'entreprise vont flamber

Les hausses attendues pour l'an prochain sont vertigineuses, comprises entre 10 % et 50 % en moyenne, voire entre 70 % et 80 % pour les risques les plus sensibles, constate l'Association pour le management des risques et des assurances de l'entreprise (Amrae). Cette dernière a réalisé un état des lieux du marché avec des courtiers tels que Aon, Verlingue, Marsh, Diot ou Siaci Saint-Honoré. "Pour la première fois en vingt ans, tous les types d'assurances vont augmenter chez tous les assureurs et cela risque de peser sur les marges des entreprises déjà confrontées à des pressions inflationnistes", explique Léopold Larios de Piña, vice-président de l'Amrae. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Achats IT : évoluer du cost-killing au FinOps

Les DSI se retrouvent, en matière d'achats IT, face à des impératifs qui peuvent être vus comme contradictoires, par exemple maîtriser les coûts, innover et assurer la sobriété numérique, le tout dans un contexte agile, autrement dit avec une approche FinOps. Olivier Rafal, directeur du conseil de Sfeir, a rappelé : "au début, beaucoup d'entreprises ont migré vers le cloud en visant une réduction des coûts mais on s'est aperçu rapidement que cette promesse n'était pas au rendez-vous et que l'on migre pour d'autres raisons, comme l'agilité, l'innovation, etc." Résultat : plus on a recours au cloud, plus les factures s'envolent, et il faut alors maîtriser les coûts sans brider l'innovation ou la création de valeur métier. Olivier Rafal a alors détaillé les bonnes pratiques pour ce faire. >> Lire l'article complet sur le site de CIO

La production du moteur d'Ariane 6 transférée de la France à l'Allemagne

L'accord sur Ariane 6, noué mi-juillet entre la France et l'Allemagne, le laissait présager. C'est désormais confirmé : la production du moteur Vinci est transférée de la France à l'Allemagne. Le site de Vernon (Eure), qui emploie 860 salariés, va en faire les frais, comme les syndicats le craignaient. Les moteurs d'Ariane 6 seront assemblés à Ottobrunn (dans la région de Bavière, en Allemagne). Soit l'équivalent de 40 000 heures de travail par an perdus pour le site français. L'annonce du transfert a été faite aux salariés le 23 septembre, mais ses modalités n'ont pas encore été communiquées, selon France Bleu Normandie. Un comité social et économique extraordinaire est prévu ce 24 septembre, avant un CSE central le 8 octobre. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Pourquoi la France subit-elle la hausse des prix de l'électricité ?

Réponse : le marché. Ou plutôt ses impasses, qui compliquent d'autant plus la prise en compte de l'intérêt des usagers en même temps que celle du changement climatique. En l'espèce, le principe même du marché continental de l'électricité est celui de la vente au coût marginal. Autrement dit, les prix dépendent du coût nécessaire à la mise en route de la toute dernière centrale appelée en renfort pour répondre aux pics de demande sur le réseau électrique. S'il est question d'une centrale à charbon (en Allemagne, par exemple), ou au gaz, les prix de l'électricité s'indexeront en fonction. Or, à l'instar d'autres matières premières, le gaz a retrouvé des sommets durant l'année en cours. Sa flambée en Europe tient à la forte reprise économique post-Covid-19, et en particulier au regain... de l'Asie. Elle devrait cesser après le premier trimestre 2022, lorsque seront passés l'hiver et les besoins en chauffage. Un autre facteur explique la hausse actuelle des combustibles : le prix des quotas européens d'émission de CO2 - ces "permis de polluer" auxquels ont droit de gros industriels - est passé du simple au double en un an. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Yaourts : l'association CLCV demande aux industriels des recettes moins sucrées

Les arômes et les additifs sont également dans le viseur de CLCV. "Huit produits étudiés sur dix contiennent des arômes, principalement naturels, et sept produits sur dix contiennent au moins un additif, principalement des épaississants et des gélifiants", relève l'association. "Pour toutes les catégories de produits étudiés, à l'exception des yaourts végétaux, il existe [pourtant] des recettes sans additif et sans arôme", preuve que cela est possible. L'association pointe également la présence parfois trompeuse de fruits sur les pots de yaourts ne contenant en moyenne que 8% de fruits. "Dans un produit sur 10, il n'y a même aucune trace de fruits", regrette-t-elle, proposant l'instauration "d'un seuil minimal de fruit pour qu'il puisse être mis en avant sur l'emballage". Enfin, CLCV réclame davantage de transparence sur la provenance du lait d'origine végétale (soja, amande, coco...) qui "reste inconnue dans 65% des cas". >> Lire l'article complet sur le site de FranceTvInfo

Adieu la Chine : la nouvelle machine à café de Malongo sera made in Vendée

Le torréfacteur niçois, leader français du café équitable et haut de gamme, a décidé de rapatrier la production de ses machines à dosettes de la Chine à la Vendée. L'assemblage de sa nouvelle machine "100 % réparable" se fait à La Roche-sur-Yon, chez Prodlab, au même prix qu'un modèle fabriqué en Chine. Un véritable tour de force. (...) Des machines, baptisées eOh, pas comme les autres? car elles seront revendues aux prix de celles fabriquées en Chine par Malongo (119 €),? qui a décidé de rapatrier sa production asiatique en Vendée. Du " made in France ", et même en Vendée, au prix du "made in China", "c'est un véritable tour de force", s'enthousiasme Olivier Kimmerling, directeur de Prodlab,... >> Lire l'article complet sur le site de Ouest France

Commande publique

Quelle place pour les juristes dans l'achat 2.0 ?

Les juristes seraient-ils donc devenus des accompagnants ? C'est ce que pense Christophe Blanchard, directeur par intérim du Centre hospitalier de Mayotte, même s'il nuance son propos : "Tout dépend comment on perçoit le juriste. Si l'on réduit sa fonction au contrôle des documents ou si l'on considère que c'est un conseil à part entière, et associé dès l'expression du besoin. Les juristes n'exercent cependant pas uniquement dans le domaine des achats, ils peuvent expertiser des conventions de coopération, par exemple... ". Reste qu'entre juristes et acheteurs, Christophe Blanchard n'a jamais ressenti de primauté des uns sur les autres : "Ils sont complémentaires, dit-il, d'ailleurs, aujourd'hui, l'un ne va plus sans l'autre, ils doivent travailler main dans la main en veillant en permanence au risque associé à l'achat hospitalier". Mais, pour lui, les deux fonctions doivent être indépendantes : "On ne peut pas être juge et partie !". >> Lire l'article complet sur le site de Sante-achat.info

Supply chain

Michel-Édouard Leclerc demande une enquête parlementaire sur l'augmentation des prix du transport maritime

"Nous sommes en mode combat pour qu'il n'y ait pas d'inflation dans les centres Leclerc", a déclaré Michel-Édouard Leclerc, président du comité stratégique des centres E. Leclerc, ce lundi sur France 2. Il a précisé demander une mission d'enquête parlementaire sur la hausse des coûts du transport maritime. "Je veux savoir sur quoi reposent ces augmentations qui atteignent 85%. Ce n'est pas normal que ça arrive à de telles factures. Je pense qu'il faudrait une mission d'enquête parlementaire pour faire le point sur les hausses qu'ils nous proposent et y voir plus clair. Ils sont trois ou quatre géants du transport maritime", a-t-il mis en avant ce matin. Parmi eux, l'armateur français CMA CGM. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Incroyables embouteillages dans deux des plus grands ports de commerce des États-Unis

C'est un embouteillage quelque peu particulier auquel les ports de Los Angeles et Long Beach sont confrontés depuis plusieurs jours. Comme l'expliquent la BBC et The Guardian, des dizaines de porte-conteneurs attendent au large de décharger leur cargaison. Dimanche 19 septembre, 73 cargos, un record, étaient "bloqués" de la sorte en mer. Mercredi 22 septembre, 62 bateaux étaient toujours concernés. Ce chiffre ne risque pas de baisser dans deux des grands ports de commerce américains, qui concentrent près de 40% des importations de conteneurs et 30% des exportations et représentent la principale porte d'entrée vers l'Asie, notamment la Chine. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette incroyable situation au Sud de la Californie. Avec le Covid-19, des retards de livraison ont été accumulés, tandis que les commandes de produits importés se sont intensifiées ces dernières semaines pour faire face à des pénuries (jouets, bois, aliments pour animaux de compagnie) et à l'approche des fêtes de fin d'année. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Le trade transatlantique n'est pas épargné par l'explosion des taux de fret spot

Le trade entre l'Europe du Nord et les États-Unis est moins médiatisé que son équivalent transpacifique. Mais il n'en demeure pas moins enfiévré. Depuis le 1er avril, les taux de fret spot pour un conteneur de 40 pieds ont fait un bond de 52 %, passant de 2 329 à 3 544 $ en moyenne entre l'Europe du Nord et les côtes américaines, signale le Bimco, association internationale d'exploitants et de propriétaires de navires. Les taux spot moyens transatlantiques ont continué à grimper, atteignant 5 798 $ le 1er juillet avant de se stabiliser juste au-dessous de 6 000 $ pour atteindre 5 893 $ le 23 septembre dernier. "Outre les effets d'entraînement dus à l'étirement des chaînes d'approvisionnement mondiales, la forte demande des consommateurs américains a également contribué à la hausse des taux spot sur ce marché", explique Peter Sand, analyste en chef des transports maritimes au sein de l'organisation.? >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la marine marchande

Geodis intègre la gestion des retours à son offre e-commerce

Face à la croissance du e-commerce et au nombre de retours produits en augmentation, le prestataire Geodis a décidé d'intégrer à son offre eLogistics la gestion de cette reverse logistic. Avec ce maillon, le spécialiste du transport et de la logistique propose ainsi aux retailers et web-marchands dans toute l'Europe une solution globale couvrant l'ensemble de la chaîne logistique. Pour permettre cette gestion de bout en bout, Geodis s'appuie sur son expertise en digitalisation alliée à son réseau de transport international et son savoir-faire logistique l'amenant à gérer 8,7 millions de m² d'entreposage dans le monde. La solution proposée "clé en main" intègre la déclaration de retour consommateur, la reprise et identification du produit, mais aussi sa livraison de remise en stock. Pour ce faire, l'entreprise s'est adjoint les services de la start-up française ShopRunBack qui opère dans plus de 100 pays. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Sous-marins et supply chain

On peut se réjouir de ces initiatives, et rêver à terme de supply chains plus courtes, plus agiles, avec des buffers de capacité, et moins fragiles. En attendant, nombre d'industries utilisant des composants électroniques vont devoir durablement faire face à des situations de pénurie et des délais longs, et doivent équilibrer au mieux leurs stocks et approvisionnements avec la demande, car il n'y a rien de pire en situation de pénurie que de commander les articles dont on n'a pas vraiment besoin, et de générer des effets coup de fouet dans sa supply chain. Flux avant coût unitaire, limitation de l'effet coup de fouet, développement à temps des capacités, ç'aurait été mieux si cette industrie avait été plus Demand Driven, non ?... >> Lire ce sujet sur le site de demanddriventech

Seb s'installera en 2023 à Bully-les-Mines sur un site de 117 000 m²

Le groupe Seb confirme son encrage sur le territoire français. Avec déjà 11 sites dans l'Hexagone, l'entreprise d'électro-ménager vient d'annoncer un plan d'investissement de 150 millions d'euros en France pour 2021. Au-delà des 60 millions d'euros qui sont investis par le groupe chaque année, deux nouveaux projets pour l'entreprise s'y ajoutent. Tout d'abord, un centre de recherche, à hauteur de 12 millions d'euros, qui comprendra 150 à 200 chercheurs. Situé à Ecully, près de Lyon, sur le Campus Seb (qui est également le siège social du groupe), il réunira les acteurs de l'innovation pour la conception et le lancement de nouveaux produits. Mais le projet le plus important dévoilé par le groupe est bien la construction d'une nouvelle plateforme logistique dans les Hauts-de-France, à proximité de l'A21, de l'A1 et de l'A26. Celle-ci sera située sur le parc d'activité de l'Alouette, à Bully-les-Mines (62), sur un terrain de plus de 26 hectares. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog


RSE

Les fonds d'investissement de plus en plus exigeants

Les 220 investisseurs, dont Fidelity International et Amundi, ont déclaré avoir notifié aux PDG des entreprises dans lesquelles ils investissent, leur intention d'élever le niveau d'exigence des objectifs pour contribuer à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré au-dessus des niveaux préindustriels d'ici 2050. Leur appel intervient un peu plus d'un mois avant que les dirigeants mondiaux ne se réunissent en Grande-Bretagne pour le dernier cycle de pourparlers mondiaux sur le climat, tous les pays étant mis au défi de fixer des objectifs plus stricts à mesure que l'impact du changement climatique s'accentue. Le groupe a déclaré dans un communiqué que les entreprises en question représentaient collectivement 11,9 gigatonnes d'émissions dites de portée 1 et 2, celles liées à leurs propres opérations, qui totalisaient plus que l'Union européenne et les États-Unis réunis. Parmi les entreprises concernées, on retrouve notamment Hyundai Motor, la société chimique BASF et la compagnie aérienne allemande Lufthansa. >> Lire l'article complet sur le site de Zegreenweb

CNIM introduit la valorisation énergétique des déchets à La Réunion

"L'enfouissement massif est un mode de gestion des déchets dépassé", a déclaré le 10 septembre Michel Fontaine. Le président de la Communauté intercommunale des villes solidaires (Civis) a posé ce jour-là la première pierre du futur pôle de valorisation de Pierrefonds, dans le sud de La Réunion. Le projet est porté par le syndicat mixte regroupant les trois intercommunalités du sud et de l'ouest de l'île, comptant au total 500.000 habitants, près de la moitié de la population réunionnaise. La conception, la réalisation et l'exploitation pendant dix ans du pôle multifilières de traitement des déchets ont été confiées, dans le cadre d'un marché public global de performance, à un groupement conduit par l'équipementier et ensemblier industriel français CNIM. A ses côtés, Spie Batignolles, Colas et sa filiale locale GTOI seront en charge du génie civil, le groupe hollandais Bollegraaf assurera le tri des déchets et la préparation du combustible solide de récupération qui alimentera l'unité de valorisation énergétique, d'une puissante de 18 mégawatts. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Aigle lance une nouvelle collection enfant durable et responsable

Concrètement, 61% des modèles sont réalisés à base de matières naturelles, biologiques ou recyclées. Une collection qui tombe à pic puisque la marque se veut plus que jamais tournée vers l'avenir. La marque signe donc avec Rosa Paris une campagne poétique et tout en finesse, pour promouvoir sa nouvelle collection KIDS. Réalisé par Alice Kunisué, ce film revient sur des enfants jouant dans la forêt en imaginant que cela dure toute leur vie. Aigle nous livre un message simple et plein d'espoir : avec des vêtements bien conçus et respectueux de la planète, on pourra continuer de profiter de la nature "jusqu'à ce qu'on sera vieux". >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


Carrière / RH / management... et autres

Droit au chômage : ce qui change (ou pas) pour les cadres au 1er octobre

Le gouvernement avait prévenu, il ne lâcherait pas l'affaire du nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR). Et ce, malgré la suspension d'une partie de la réforme par le Conseil d'État en juin dernier. Promesse tenue. Au sortir d'un séminaire gouvernemental, Jean Castex a annoncé le 8 septembre que cette nouvelle équation entrerait bel et bien en vigueur le 1er octobre 2021. Au 1er octobre : le SJR sera calculé sur le total de vos salaires divisés par l'ensemble des jours travaillés ou pas sur les 24 derniers mois. Soit une baisse mécanique de votre SJR et donc de votre allocation chômage. Jusqu'au 1er octobre : le fameux SJR reste calculé en se basant sur le total de vos salaires divisés par l'ensemble des jours travaillés sur les 24 derniers mois. >> Lire l'article complet sur le site de CadreEmploi

Ce ne serait pas le bonheur qui rendrait les gens heureux !

Avec l'étude A psychologically rich life : Beyond happiness and meaning, Shige Oishi, professeur de psychologie à l'Université de Virginie, et Erin Westgate, professeure adjointe de psychologie à l'Université de Floride, expliquent qu'une vie réussie se caractérise par "des expériences intéressantes dans lesquelles la nouveauté et / ou la complexité s'accompagnent de profonds changements de perspective". Concrètement, on parle de quoi ? De se confronter à l'altérité, de se cogner au monde, aux autres. Le média Quartz qui a décrypté l'étude rapporte que les expériences en question n'ont pas besoin d'être drôles ou sexy (s'immerger dans une scène artistique avant-gardiste, partir vivre à Kuala Lumpur sur un coup de tête, poursuivre une carrière reluisante dans un domaine compétitif...) pour être enrichissantes psychologiquement. Loin des mantras du développement personnel et des injonctions à prendre soin de soi, une expérience enrichissante prendrait aussi la forme d'une épreuve désagréable, voire douloureuse.>> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Management : qu'est-ce qui donne du sens et l'envie aux équipes d'aller de l'avant ?

Remettre une dynamique positive repose sur plusieurs leviers. Pour commencer, la question du sens est au premier plan. En quoi ce qui est fait ensemble est utile et peut rendre fier tous ceux qui y participent ? Ce n'est pas parce qu'une raison d'être a été définie que le sujet est clos. Régulièrement, les équipes doivent réfléchir ensemble à ce qui les porte et leur donne envie d'aller de l'avant. Mais il faut aussi que les dirigeants montrent en quoi l'ambition de l'entreprise intègre des perspectives positives pour l'ensemble des équipes. Autrement dit, en quoi le futur est-il désirable ? Sans oublier le présent. Cela passe par un mode de management qui valorise les réussites. On considère que le bon ratio est de faire trois feedback positifs pour un d'amélioration . On sous-estime souvent la force des compliments. De plus, il faut à nouveau consacrer du temps à la convivialité et à la célébration. Chaque équipe doit pouvoir se retrouver lors d'un séminaire pour cultiver le plaisir d'élaborer et de construire ensemble. Car au quotidien, la dynamique positive repose en grande partie sur la relation aux autres. Les entreprises n'ont jamais fait autant de bénéfices. Ce qui est une très bonne nouvelle. Attention à ce que cela ne fasse pas aux dépens du temps et des dépenses nécessaires au bien-être et à la dynamique positive.


 
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