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Une marketplace BtoB pour vos achats indirects ?

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Une marketplace BtoB pour vos achats indirects ?

Diminution de leurs ressources et budgets de fonctionnement, objectifs de réduction des coûts imposés par les directions générales, niveau de digitalisation et d'externalisation insuffisants pour atteindre leurs objectifs...

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La dernière étude OpinionWay sur la digitalisation de la fonction achats révèle que les directions achats sont actuellement en transition vers un nouveau modèle. En face, de nouvelles solutions digitales, agiles et simples d'utilisation s'offrent désormais à elles pour les accompagner.

Parce qu'elle permet un pilotage plus fin et efficace des achats, une meilleure gestion des dépenses et une maîtrise des risques, la digitalisation des achats s'avère aujourd'hui inéluctable. Pourtant, si le sujet est très régulièrement abordé, peu d'entreprises ont réellement franchi le cap. Pour estimer le niveau de maturité digitale des directions achats, Office DEPOT a commandé une étude à OpinionWay. Réalisée auprès d'un échantillon de 100 responsables achats (directs et indirects) au sein d'entreprises de 250 salariés ou plus, cette étude révèle que bien que 4 entreprises sur 5 ont mis en place une politique achats qui s'intéresse à l'innovation technologique, 50 % ferment encore la porte à l'externalisation pour les aider à gérer leurs catégories d'achats.

Ecarts de maturité et budgets digitaux faibles

Le principal frein identifié : la baisse des budgets achats pour 1 entreprise sur 4, des coupes qui s'accompagnent, par ailleurs, d'objectifs de réduction des coûts pour 7 directions achats sur 10, principalement concernant les achats indirects.

L'étude met également en lumière des écarts de maturité digitale important car 1 acheteur sur 2 estime que son entreprise est en retard sur la digitalisation de la fonction achats. E-sourcing, e-procurement, digitalisation des contrats, digitalisation des paiements, autant de chantiers digitaux bien avancés dans 50 % des entreprises interrogées. Le profil de ces leaders ? 66 % d'entre elles comptabilisent plus de 2 000 salariés et 72 % ont constaté un retour sur investissements (contre 59 % dans l'ensemble) et 99 % suivent une politique d'innovation technologique (contre 80 % dans l'ensemble).

Retrouvez l'étude complète et ses résultats détaillés à télécharger sur Décision-Achats.fr

Par ailleurs, la digitalisation des process d'achats n'est totale que dans une entreprise sur trois bien que 85% ont affirmé avoir recours à la digitalisation. Le frein : la part de budget allouée aux investissements pour des solutions digitales reste faible pour un grand nombre d'entreprises, entre 0 et 20 % pour 85 % des entreprises interrogées. Dans le détail, la digitalisation concerne principalement le paiement, puis les contrats et le référencement des fournisseurs.

L'étude révèle par ailleurs que les solutions de procure-to-pay sont, pour 41 % des acheteurs interrogés, les plus utilisées pour les commandes alors qu'ils ont recours à une grande variété de solutions digitales dans la relation fournisseurs (procure-to-pay, suite e-achat, solutions de e-procurement et e-contract, outil de SRM...).


Pourquoi digitaliser ?

Pour réduire ses coûts et gagner en agilité. L'étude révèle ainsi que 59% des directions achats interrogées ont observé une réduction des coûts après la mise en place d'une démarche de digitalisation des process achats.


Une marketplace BtoB pour lesachats indirects

69 % des directions achats interrogées dans le cadre de cette étude ont un objectif de réduction des coûts qui concernent, pour 81 % d'entre elles, les achats indirects. Des achats non stratégiques, dits de " classe C ", qui concernent principalement les fournitures de bureau, les petits équipements, ou encore le mobilier de bureau. Digitaliser ces achats constitue donc aujourd'hui, pour les acheteurs, une formidable opportunité pour maîtriser leurs dépenses tout en diminuant le temps homme nécessaire à l'approvisionnement et en fluidifiant les process via l'utilisateur.

Pour l'heure et comme le démontre l'étude, les marketplaces sont utilisées davantage dans les process achats que pour le référencement des fournisseurs. Parmi les acheteurs qui n'ont pas recours à une marketplace, 66 % (dont seulement 12 % " certainement ") envisagent de le faire pour leurs achats indirects pour automatiser les process de commandes, contrôler et suivre les coûts en temps réel et réaliser des économies sur les produits achetés.

Le maintien d'un interlocuteur commercial, qui revêt le rôle à la fois de conseiller technique et d'intermédiaire avec le fournisseur, reste crucial pour 95 % des acheteurs interrogés et ce, à toutes les étapes des process d'achats.


Retrouvez l'étude complète et ses résultats détaillés à télécharger sur Décision-Achats.fr


" Notre nouvel outil odbusiness.fr offre un accès unique pour les commandes et un catalogue personnalisé de produits "

Faut-il plutôt recourir à une marketplace ou un site e-business ?

Le recours à un site e-business BtoB tel que le nôtre, permet à l'acheteur d'avoir un outil unique de commandes pour ses achats indirects et donc de disposer d'une facturation et d'une livraison unique, à la différence d'une marketplace générique. Par ailleurs, nous sommes garants du référencement des fournisseurs présents dans le catalogue après avoir identifiés les besoins réels de notre clientèle BtoB. Bénéfices pour l'acheteur : un gain de temps considérable car le sourcing est facilité, un pilotage en temps réel de ses dépenses ainsi qu'une gestion comptable et une livraison simplifiées.

Quels gains peuvent être générés grâce au recours à un site de type "odbusiness" que vous venez de lancer ?

Les gains générés par la mise en place d'un outil du type odbusiness.fr sont complexes à identifier. Ils sont fonction de la maturité achats, de la capacité au déploiement de celui-ci notamment. La réalité se trouve entre 5% sur l'unique levier de l'optimisation des processus d'approvisionnement et de 15 à 20% grâce au pilotage de la consommation et à la mise en place d'un catalogue personnalisée.

Olivier Masse, responsable desachats indirects,Office DEPOT


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