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Revue de presse achats - semaine du 11 au 15 février

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !

Publié par Aude Guesnon le - mis à jour à
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Revue de presse achats - semaine du 11 au 15 février

McDonald's : ces fournisseurs français qui font fortune grâce à lui

En France, ils sont une dizaine de producteurs principaux à alimenter le fast-food. McCain pour les frites, East Balt pour le pain, Moy Park pour les steaks... Des industriels triés sur le volet, souvent prestataires depuis des décennies, totalement dévoués à McDo : East Balt a agrandi ses usines rien que pour lui, Florette a déjà rapatrié en urgence des salades en avion-cargo des Etats-Unis quand la météo a massacré ses récoltes françaises... "En trente-cinq ans, nous n'avons jamais raté une livraison, assure Pierre Méliet, directeur général de Florette Food Service. McDo est essentiel pour nous, il fait partie des gènes de l'entreprise." Et pour cause, le restaurateur achète pour plus de 900 millions d'euros de produits alimentaires chaque année. De quoi entretenir un écosystème d'industriels fidèles qui se double maintenant d'un maillage d'agriculteurs. Pour battre en brèche l'antiaméricanisme qui le visait, le fast-food achète 75% des matières premières en France et initie des contrats pluriannuels avec des cultivateurs de blé, de tomates... McDonald's et ses industriels s'engagent sur des quantités et des prix d'achat supérieurs aux coûts de production, les agriculteurs sur les cahiers des charges. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Sous-marins: Naval Group et l'Australie signent un partenariat stratégique

Le document, qui fixe une fois pour toutes "les règles du jeu" et le cadre contractuel de la coopération, est le fruit de dix-huit mois de discussions. Naval Group avait été désigné, en avril 2016, vainqueur d'une compétition internationale pour doter l'Australie de 12 sous-marins d'attaque océaniques conventionnels, qui lui "apporteront la supériorité régionale" et une souveraineté dans ce domaine. À cet effet, l'Australie a prévu un budget de 31,2 milliards d'euros (50 milliards de dollars australiens) dont 8 milliards, selon des estimations non confirmées, pour Naval Group. De son côté, l'américain Lockheed Martin a gagné l'appel d'offres pour le système de combat. "C'est une grande première: il s'agit du plus gros budget jamais alloué par l'Australie et du plus important contrat jamais notifié en Europe en matière de défense", se félicite Jean-Michel Billig, directeur exécutif du programme chez Naval Group. Dans quelques jours, il signera le contrat de design, d'une valeur de 1,5 milliard d'euros, qui marque l'entrée en vigueur du programme en tant que tel. Il sera suivi d'autres contrats au fur et à mesure de son déroulement. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Bio : Quelles perspectives pour les différents circuits et enseignes dans un contexte de forte croissance du marché ?

Les magasins spécialisés profitent également de la croissance du marché et étendent leur parc de magasins. Pour résister à une concurrence qui devient de plus en plus forte, il leur est nécessaire de se différencier des enseignes généralistes. Assortiment pointu, offre exclusive, conseils en magasins, animations, ces enseignes doivent se démarquer afin de justifier leur positionnement prix toujours plus élevé et recruter de nouveaux clients. Enfin, les circuits de distribution du bio doivent faire face à des enjeux importants : comment sécuriser leur approvisionnement alors que la demande progresse plus vite que l'offre, comment rendre l'offre accessible au plus grand nombre sans renier les fondamentaux du bio, comment répondre aux nouvelles attentes du consommateur (e-commerce, services...). Pour répondre à ces enjeux, chaque circuit dispose de ses propres atouts qui participent à la construction d'un nouveau paysage de la distribution des produits bio en France. >> Lire le dossier réalisé par les Echos

Supply chain

Après les prix, les ventes privées veulent réduire les délais de livraison

Chez Veepee (ex-Vente-privée), on travaille aussi à améliorer la chaîne logistique... côté logiciel. Par exemple, le leader du secteur a lancé un pilote avec la start-up Windle pour optimiser le suivi de ses approvisionnements et améliorer des commandes depuis décembre 2018. "Nous leur permettons de simplifier le suivi des commandes des fournisseurs et les livraisons en une plateforme unique", résume Emilia Jevakhoff, DG de Windle. Cette jeune pousse a rejoint Impulse, l'accélérateur à start-up de Veepee en juin 2018. Un autre mécanisme explique le rabotage des délais de livraison dans ce secteur. "Les fournisseurs ont désormais intégré ce qu'était la vente privée et ont eux aussi gagné en maturité", assure Marc Leverger. Ces marques sont capables de communiquer leur stock aux sites de vente privée avec plus de précision, notamment via des API et des données structurées, et de faire gagner du temps. >> Lire l'article complet sur le site du Journal du Net

Comment utiliser l'IA pour sécuriser la supply chain

Le plus grand défi de l'industrie de tech en 2019 sera de sécuriser ses chaînes d'approvisionnement. Le défi est que, à mesure que les chaînes d'approvisionnement deviennent plus complexes, les fabricants pourraient ne pas être en mesure de répondre avec confiance à la question de savoir qui sont réellement leurs fournisseurs. Dans le bon vieux temps, les questions de chaîne d'approvisionnement étaient centrées sur la qualité et le coût des produits. Mais avec les produits de haute technologie d'aujourd'hui, la sécurité nationale pourrait être en danger. Comme nouvelle preuve de cet état de fait, Louis Columbus cite une enquête récemment publiée par Bloomberg Businessweek sur la façon dont des sous-traitants chinois ont glissé des logiciels espions sur les cartes mères de serveurs prétendument fournis à des clients de premier plan comme Apple et Amazon - incidents que les sociétés n'ont pas reconnus publiquement. >> Lire l'article complet sur le site de ZD Net

Six chargeurs et transporteurs en faveur des camions électriques

Alors que l'Union européenne tergiverse actuellement sur les taux d'émissions des futurs camions, six acteurs de la distribution et de la logistique plaident pour l'introduction rapide de camions zéro émission. Dans un courrier adressé le 4 février aux institutions européennes, et relayé par l'ONG Transport et Environnement, six grands groupes européens, Geodis, DB Schenker, Carrefour, Nestlé, Alstom et Spar Autriche, demandent à "fixer dès 2025 un objectif ambitieux de ventes de camions zéro émissions", autrement dit des camions électriques, fonctionnant sur batterie et/ou avec des piles à combustible. Pour ces chargeurs et transporteurs européens, le déploiement à court terme de ces camions électriques "est vital pour réduire les émissions et les

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