Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine
En ce moment En ce moment

Procure to pay: Ordiges se fait remarquer

Publié par Aude Guesnon le - mis à jour à
Procure to pay: Ordiges se fait remarquer

Ordiges a racheté le français Trace Solution pour sa solution de gestion de la procédure et de l'exécution des marchés publics français, et a mis sur le marché EPM un Procure to Pay assez intéressant.

Je m'abonne
  • Imprimer

Le bruxellois Ordiges a racheté le français Trace Solution pour sa solution de gestion de la procédure et de l'exécution des marchés publics français et a développé son portefeuille avec une dizaine de solutions logicielles. Il a mis sur le marché EPM, un Procure to Pay assez intéressant. Patrick Chabannes, auteur du blog La Gazette de Cyrénac, a rencontré cet "acteur potentiel encore peu présent encore dans les RFI P2P" et s'est fait expliquer la solution. Dans un article publié sur le blog, il indique que "l'éditeur devrait faire l'objet d'un examen plus attentif des hexagonaux et de leurs conseils".

"La compétence initiale de l'éditeur sur le domaine de la comptabilité analytique et générale apporte une solidité fonctionnelle et technique qui se retrouve avec bonheur dans les détails fonctionnels du processus P2P", écrit Patrick Chabannes". "L'ergonomie générale est très satisfaisante avec l'ensemble des fonctions attendues pour ce type de processus. Demande d'achats avec budget, recherche avec moteur de synonymie, punchout, commande avec possibilité de regroupement, évaluation des fournisseurs de catalogue, réception aisée et fonctionnelle".

"S'ajoutent le contrôle budgétaire à chaque étape, la possibilité de modifier en masse les réattributions comptable, les workflow complets et des applications mobiles on line et offl ine qui font de ce logiciel une solution agréable que l'on aimerait chatouiller dans les détails sur un RFI / RFQ."

Si ce Procure to pay l'a séduit, Patrick Chabannes note toutefois un problème :"effectuant la totalité du cycle de vente ainsi que l'implémentation, il se coupe des sociétés de conseil" et souligne que "le portefeuille de plus de 10 solutions rend la stratégie de communication peu lisible et l'allocation de ressources expertes complexe."

Pour lire l'intégralité de l'article, aller sur le blog La Gazette de Cyrénac



 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page