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Pourquoi et comment déployer sa stratégie RSE sur les achats de prestations intellectuelles

Publié par le | Mis à jour le

Implication de toutes les parties prenantes, obtention de labels ou certifications, ancrage territorial… : la connaissance des fournisseurs non référencés de prestations intellectuelles est un must have. Or l’organisation interne de l’entreprise s’y prête rarement. Conseils pour y parvenir.

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Pour mieux couvrir les risques liés aux prestations intellectuelles et se conformer aux exigences RSE, les grandes entreprises déploient de nombreuses actions auprès de toutes les parties prenantes. Une démarche qui gagnerait en efficacité si elle incluait, « parmi les parties prenantes externes, les fournisseurs non référencés. Ceux-ci représentent souvent des montants conséquents, jusqu’à 25 % des achats de prestations IT de certaines sociétés » indique Karine Vigier, directrice générale adjointe de Beteam, expert de l’intermédiation au service des acteurs de la prestation intellectuelle.

Grâce aux plateformes d’intermédiation, le donneur d’ordres peut impliquer ses fournisseurs dans sa stratégie RSE : s’assurer qu’ils appliquent sa charte éthique, maitriser leur empreinte carbone (qui joue sur la sienne). Ou encore contribuer au développement de l’activité locale en recourant à des acteurs tels que des freelances ou PME/TPE..

Si la RSE est à juste titre perçue comme un levier de développement par les acheteurs, la difficulté pour ceux-ci est la connaissance fine des fournisseurs de rang 2 ou 3. La maitrise de ce panel leur permettra de pleinement contribuer aux objectifs RSE de l’entreprise.

La centralisation des informations des fournisseurs non référencés, un élément clé

Toutes les démarches RSE, qu’elles fassent l’objet de certifications, de labels ou simplement d’évaluations, s’appuient sur les données disponibles dans l’entreprise. « ECOVADIS, à travers son pan sur les achats responsables, évalue la maitrise de la chaine de sous-traitance sans distinction entre les rangs de fournisseurs. Il faut, par exemple, détaille Karine Vigier, être en mesure d’afficher la conformité des fournisseurs non référencés au regard du devoir de vigilance ou leur taux de dépendance économique ».

Dans les faits, l’organisation des entreprises ne leur permet que rarement de disposer des informations requises : la centralisation des achats n’y est pas complète, les achats de prestations intellectuelles auprès de fournisseurs non référencés, notamment, étant souvent au moins en partie gérés dans les directions Métier.

« La part de la RSE dans l’évaluation des réponses à un appel d’offres peut aller jusqu’à 30 % de la note globale. Cette exigence des acheteurs se répercute ensuite sur l’exécution des prestations. Ainsi certains clients demandent de les aider à faire travailler des consultants issus du secteur adapté, ou encore de sensibiliser au Green IT, les freelances qui interviennent chez eux ».

Pour déployer sa démarche RSE sur les achats de prestations intellectuelles, aller chercher un partenaire d’intermédiation qui comprend ces enjeux fait sens. « Beteam est dans une démarche RSE du fait même de son modèle économique : nous permettons à des grandes entreprises de travailler avec des freelances, des startups, des TPE/PME. Et à ces derniers d’accéder à des marchés qui leur sont fermés autrement, en toute transparence et à des tarifs volontairement compétitifs ».

Signataire de la charte Relations Fournisseurs et Achats Responsables depuis 2019, Beteam est engagé dans une démarche RSE, et accompagne ses clients dans la déclinaison de leur politique RSE jusqu’à leurs fournisseurs non référencés.

En savoir plus les engagements RSE de Beteam.

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