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Revue de presse achats semaine du 26/02 au 02/03

Publié par la rédaction le - mis à jour à

Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!

Amazon Business révolutionne les achats dans les entreprises

Accéder à un grand nombre de fournisseurs en ayant davantage de transparence et de contrôle sur les achats non stratégiques de l'entreprise, voilà le nouveau service que propose gratuitement Amazon Business aux acheteurs. Une véritable révolution désormais disponible en France, mais également une formidable opportunité pour les entreprises s'adressant en tant que fournisseurs au canal BtoB en France et à l'international.

Amélie Véron, Responsable Amazon Business en France détaille les points forts d'Amazon Business : Amazon Business propose une expérience d'achat en tout point similaire à celle du site grand public amazon.fr et a été conçu pour répondre aux besoins des entreprises et intègre par ailleurs des spécificités adaptées à leurs besoins, telles que le paiement à 30 jours, la création de compte multi-utilisateurs ou encore l'affichage des prix hors TVA pour des millions de produits éligibles. Les acheteurs disposent gratuitement d'un ensemble de paramètres pour gérer et contrôler leurs achats parmi lesquels : possibilité de créer des comptes professionnels partagés, mise en place de flux d'approbation afin de déléguer l'acte d'achat aux utilisateurs tout en gardant le contrôle sur les validations, accès à un système de reporting et d'analyse entièrement paramétrable pour un meilleur suivi des dépenses via la création de rapports personnalisés et enfin possibilité d'ajouter des numéros de bons de commande, de références d'achats ou toute autre information facilitant la création de rapports et la réconciliation comptable.
> Lire l'intégralité de l'interview sur le site GPO Mag

Les grands groupes se ruent sur les start-up pour penser autrement

Les mariages entre petites et grandes entreprises se multiplient à un rythme rapide. Il ne s'agit pas tant d'acquérir de nouvelles technologies que de stimuler le changement en apprenant à anticiper les nouveaux usages imposés par leurs clients. A chaque jour son acquisition : Carrefour prend une participation dans Showroomprive, la BNP rachète Compte-Nickel, Monoprix reprend Sarenza, Chanel se paie la plate-forme de vente en ligne Farfetch, CMA-CGM va "couver" dans Ze Box une quinzaine de start-up venues du monde entier, La Poste a racheté KissKissBankBank et Sodexo, FoodChéri, Total compte faire de Greenflex une tête chercheuse en efficacité énergétique, partout on ne parle plus que co-développement, incubation, stimulation. L'objectif? Favoriser la contagion innovatrice des start-up injecté par capillarité aux grands groupes. Il n'est plus seulement question d'aller chercher des technologies mais d'opérer une "perfusion managériale", un "greffon" qui "stimule" le changement.
> Lire l'édito complet de Sabine Delanglade sur le site Les Echos

Richard Ramos accuse Leclerc de vouloir délocaliser ses centrales d'achats en Belgique

Le député MoDem du Loiret a critiqué mercredi la stratégie de Michel-Edouard Leclerc consistant à délocaliser ses négociations commerciales en Belgique, via sa centrale d'achats Eurelec. Alors qu'une loi est en préparation pour rééquilibrer les marges entre producteurs et distributeurs, Richard Ramos estime que ce genre de pratique "met en danger" l'agriculture française. Le député évoque la création en 2016 en Belgique par le groupe Leclerc de Eurelec, une centrale d'achat partagée avec l'allemand Rewe. Fin novembre 2017, la répression des fraudes s'est inquiétée de cette pratique, dans la mesure où elle pourrait permettre de "délocaliser la négociation commerciale à l'étranger" afin "d'éviter l'application de la loi française". Et par conséquent, toute nouvelle évolution législative défavorable aux distributeurs...
> Lire l'article et voir la vidéo sur le site de LCP

Suez se réorganise pour redresser la barre

Le groupe d'eau et de déchets a assorti ses résultats annuels de l'annonce d'une réorganisation. Jean-Marc Boursier, directeur financier de 2013 à septembre 2015, devenu depuis le responsable du recyclage pour l'Europe, retourne à la direction financière. Christophe Cros, le directeur financier sortant, qui avait piloté l'acquisition de GE Water et était depuis octobre président de la nouvelle division Suez WTS, conserve cette présidence, sans autre fonction. "Par ailleurs, pour accroître la croissance et la profitabilité de la France, je mets les activités eau et recyclage sous le même management de Marie-Ange Debon, avec pour tâche de faire croître la France en y mutualisant les moyens", explique Jean-Louis Chaussade, dg de Suez. Celle qui était jusqu'à présent la patronne de l'international contribuera ainsi à un plan d'économies du groupe porté de 150 millions d'euros l'an dernier à 200 millions par an à compter de cette année et jusqu'en 2020.
> Lire l'intégralité de l'article sur le site Les Echos


Secteur public

L'AFA et Charles Duchaine évaluent la culture anticorruption au niveau local

L'Agence française anticorruption (AFA) a diffusé une enquête "inédite par son ampleur" auprès de 40 000 élus locaux et fonctionnaires territoriaux. Objectif : mieux connaître les pratiques de prévention de la corruption au niveau local et améliorer son offre de service aux collectivités. Outre permettre de dresser un état des lieux assez complet des risques de corruption dans le secteur public local, l'idée est aussi de s'en servir pour développer les ressources pédagogiques nécessaires pour éviter les atteintes à la probité ou le détournement de fonds publics. L'AFA souhaite en effet améliorer son offre et proposer des contenus sur-mesure pour les acteurs locaux, qu'il s'agisse de ses dispositifs de formation, d'accompagnement, de sensibilisation ou de conseils.
> Lire l'article complet sur le site Le courrier des maires

Les achats, un vivier d'économies de 2 milliards d'euros

Des gains de 1,9 milliard d'euros sur trois ans. C'est ce que générerait l'optimisation de la fonction achat, selon un rapport des inspections générales réalisé dans le cadre de la revue de dépenses 2016. Cette évaluation retient un périmètre large, couvrant à la fois les achats de la section de fonctionnement et certaines dépenses relevant de l'investissement (notamment pour les parcs mobilier, informatique et automobile). Soit une enveloppe de 45 milliards d'euros par an, représentant 17 % de la dépense locale.
> Lire l'article sur le site La Gazette des communes (réservé abonnés)


Supply chain

Les enjeux de la digitalisation de la Supply Chain

Qu'entend-t-on par digitalisation de la supply chain ? Comment la mettre en place ? Éléments de réponse avec Jean-Marc Soulier, président de Metis Consulting. Ses enjeux s'illustrent de quatre manières différentes : le premier sera tout d'abord de permettre aux entreprises d'aller plus vite et de s'adapter à la concurrence. Le deuxième point permettra d'apporter plus de services aux industriels mais aussi aux consommateurs. Le troisième élément sera d'être capable de prendre de meilleures décisions grâce à l'utilisation de datas. Enfin, la digitalisation aura également pour but de s'adapter aux variations de l'activité et de limiter l'augmentation des coûts.
> Voir la vidéo de l'interview sur le site de BFM Business

LDLC en pleine mutation de sa chaîne logistique

Suite au rachat de Materiel.net en mars 2016, le groupe LDLC a pu gagner un point sur ses achats, mais il a également hérité d'outils logistiques. En avril 2017, LDLC a enfin tiré les bénéfices de l'acquisition de Matériel.net en déployant des synergies au niveau des achats. 2018 sera donc l'année de la mutation de sa supply chain. "Nous avons pu gagner environ un point sur nos achats et, sur le dernier semestre, nous avons amélioré notre marge brute même si tout n'est pas encore optimum. À l'avenir, la capacité d'achat est clé. Et parallèlement, nous allons travailler sur les synergies logistiques. Ce projet sera achevé d'ici mi-2018. Toutes ces actions doivent nous permettre de doubler notre chiffre d'affaires d'ici 2021 et ainsi d'atteindre un milliard d'euros" , résume Olivier de la Clergerie, directeur général du groupe LDLC.
> Lire l'article complet sur le site Voxlog

PSA veut produire en Asie du sud-est

Peugeot va approfondir son partenariat avec le groupe malaisien Naza, avec la mise en place d'un centre de production commun en Asie du Sud-Est, a annoncé le constructeur français dans un communiqué, lundi 26 février. Les deux groupes ont signé un accord de cession d'actifs et un accord de co-entreprise officialisant l'exploitation commune de l'usine Naza Automotive Manufacturing (NAM), située à Gurun (Kedah), en Malaisie.
> Lire l'article complet sur le site
Le Monde

Mobilité

Nissan met à l'essai ses premiers robots-taxis

Le service de mobilité assuré par deux véhicules électriques sans chauffeur sera testé pendant quinze jours, dès le 5 mars, avec une liaison entre la gare de Yokohama et le siège du groupe nippon. Outre la possibilité de réserver une course sur une application, ces véhicules électriques sans chauffeur déclinés de la Nissan LEAF proposeront un service de guidage sur tablette. Au client en quête d'un conseil pour un restaurant ou d'une idée de promenade, une autre application soumettra plusieurs propositions.
> Lire l'article complet sur le site Le Monde


IT

Le Crédit Agricole transfère une partie de son informatique au Portugal

Le groupe Crédit Agricole prévoit de délocaliser une partie de son service informatique au Portugal pour réduire les coûts des missions externalisées. Le groupe mise sur une baisse de 30 % des coûts des services délocalisés. Cette délocalisation ne concernera pas les salariés du Crédit agricole, mais des sous-traitants, des prestataires en développement informatique situés en France, auxquels le groupe bancaire fait massivement appel.

> Lire l'article complet sur le site Le Monde

RSE

Obsolescence programmée : quels risques pour les entreprises ?

Gestion de crise - Les sociétés surfant sur la vague du renouvellement systématique de la demande et du marketing de l'esthétisme doivent faire face à une augmentation des risques de réputation, financiers et judiciaires. La mise en place d'ici à 2020 d'un indice de durée de vie des produits électroniques et électroménagers annoncé par le gouvernement va pousser les entreprises à revoir les chaîne de valeur produits et leurs business modèle pour s'inscrire dans une démarche durable réelle et mesurable sans quoi elles risquent un retour de bâton à la fois juridique et financier mais aussi réputationnel.
> Lire l'article complet sur le site Les Echos

ET - Management

La guerre du "statut", ce mal qui sème la zizanie dans l'entreprise

Augmentations, attributions de responsabilités, obtention de "statut" plus élevé... La reconnaissance en entreprise et ses systèmes de récompenses peuvent aussi nuire au moral des salariés ! La clef pour éviter les guerres d'ego liées aux statuts? Réussir un numéro d'équilibriste qui consiste à minimiser l'importance de ces statuts et réduire le plus possible les différences entre les membres d'une même équipe, dans un premier temps. Notons également qu'une plus grande diversité des genres dans les équipes peuvent aider à créer cette équilibre. Enfin, la tentation de réunir "les meilleurs" au sein d'une même équipe n'est pas forcément le calcul gagnant...
> Lire l'article complet sur le site Le Figaro

Les gestes malins à adopter pour être écolo au bureau

On passe presque plus de temps au bureau que chez soi. Pour les éco-responsables, quelques pratiques s'imposent par exemple : transformer la pause café en troquant le gobelet pour un mug, zapper la viande et la vaisselle en plastique ou encore gérer le chauffage en pensant à baisser son radiateur en partant.
> Lire l'article complet sur le site Les Echos Start