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Revue de presse achats (semaine du 11 au 15 décembre)

Publié par Aude Guesnon le - mis à jour à

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. Voici une compilation d'articles (très intéressants!) parus sur le Net, qui ont trait aux achats et à leur écosystème, ou à votre fonction de manager et carrière.


Pierre Pelouzet: "Facturer est devenu un cauchemar" pour les PME

"Je suis allé voir les PME et elles m'ont expliqué que facturer est devenu un cauchemar car chaque grand groupe, chaque municipalité définit sa facture. Et donc un chef d'entreprise, soit il s'enferme un dimanche par mois et fait la facture selon les codes prescrits par son client, soit il envoie sa facture et elle est rejetée dans les systèmes", développe-t-il. Or il faut savoir qu'une facture sur sept est aujourd'hui bloquée dans les systèmes des grands clients. Pour y remédier, le médiateur des entreprises va publier "une facture type" soit une "facture normale, simple qui devrait satisfaire tout le monde" et qui ne sera toutefois pas obligatoire.

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Dassault Aviation va résilier le contrat avec Safran pour le Falcon 5X

Dassault Aviation a annoncé mercredi l'arrêt de son programme Falcon 5X en raison des problèmes liés au moteur Silvercrest de Safran et le lancement d'un nouvel appareil prévu pour 2022 et équipé de moteurs Pratt & Whitney. Le Silvercrest aurait dû être livré fin 2013 pour les essais en vol du Falcon 5X mais Safran a rencontré des difficultés successives dans le développement de ce moteur et s'était ensuite engagé à le livrer fin 2017, indique Dassault Aviation dans un communiqué. Mais "à l'automne 2017, Safran a informé Dassault Aviation d'un retard supplémentaire et de nouvelles dégradations de performances, rendant impossible l'entrée en service de l'avion en 2020", explique-t-il.

>> Lire l'article complet sur le site de Challenges

La stratégie de la co-création va devenir incontournable

Ce type de collaboration intégrée où les organisations unissent leurs forces non seulement pour introduire de nouvelles technologies, mais aussi pour effectuer des changements d'organisation, de processus et même de modèles d'entreprise est un bouleversement majeur dans la réflexion que doit avoir l'entreprise. Il faut aussi modifier les technologies de l'information et de la communication en fonction des changements dans la gouvernance d'entreprise et la création de valeur. Une vraie transformation ne peut se produire que si le côté commercial et le côté technologique sont réunis. "Les risques de se faire disrupter sont désormais incalculables. Votre entreprise peut en moins d'une année péricliter sans que vous ayez eu le temps de vous adapter à une nouvelle concurrence. On est un peu tous dans une arène digitale sans savoir si on va croquer ou se faire croquer. Je pense que les entreprises qui sont aujourd'hui établies doivent être sur le qui-vive dans une ère où la technologie est prédominante et surtout permet aux consommateurs d'engager la conversation directement avec les marques sans passer par des intermédiaires. Les start-up sont à l'origine de ce grand changement et les grands groupes et entreprises établis doivent réagir et penser à s'entourer de compétences qu'elles n'ont pas en interne", précise le Docteur Alex Bazin, VP, Advanced Technologie Division du groupe Fujitsu.

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Supply chain

Pas-de-Calais: Des trains directs depuis la Chine pour livrer Décathlon

Dans la nuit de jeudi à vendredi, un "train block" de Décathlon, en provenance de Wuhan, Chine, est arrivé à Dourges, dans le Pas-de-Calais. C'est la première fois qu'un convoi ferroviaire uniquement affrété par la marque sportive nordiste boucle ce voyage de plusieurs milliers de kilomètres. Un "train block", c'est un convoi ferroviaire chargé des mêmes conteneurs du départ à l'arrivée. "Nous avions l'habitude, depuis 2015, de travailler avec des trains partagés par différentes entreprises, explique Christophe Dupas, chef de projet chez Décathlon à Dourges. Ils s'arrêtaient en Allemagne et fallait ensuite acheminer la marchandise par camion sur 250 km. Ecologiquement et économiquement, nous pouvions faire mieux". La seule solution pour éviter l'étape allemande était donc de remplir la totalité du train avec des produits Décathlon. "Nous avons pu charger les 41 conteneurs avec 630.000 produits, essentiellement du textile et des chaussures, fabriqués dans nos usines et par nos fournisseurs chinois", poursuit-il. Le "train block" a ensuite avalé les 10.800 km, en traversant sept pays, avant d'arriver en France. La marchandise sera ensuite chargée dans des camions en direction des 27 entrepôts éparpillés en Europe avant d'être dispatchée dans les magasins.

>> Lire l'article complet sur le site de 20mn

Intermarché s'offre une vision en temps réel sur ses transports

Pour améliorer sa visibilité sur ses flux logistiques amont, Intermarché vient de signer un partenariat avec la jeune pousse Shippeo. Cette dernière a mis au point une plate-forme web qui permet suivre en temps réel et de façon prédictive des flux de transport. Et dans le cas d'Intermarché, il s'agit de traquer les allers et venues des camions transitant sur les 30 bases logistiques qui reçoivent chaque jour des milliers de palettes en provenance de près de 2000 fournisseurs répartis sur le territoire français. Cela représente un volume de près de 200 000 flux de transport amont par an pour approvisionner 2150 points de vente en France (1850 Intermarché & 300 Netto).

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RSE

La transition énergétique portée par un fort courant d'investissements

C'est un coup de fouet donné au secteur de la transition énergétique en France. Les 2,5 milliards d'euros d'aides opérés par l'ADEME de 2010 à 2017, via le Programme des investissements d'avenir (PIA) , ont contribué à la mise en oeuvre de 745 projets, mobilisant plus de 7,2 milliards d'investissements. Selon le bilan qui en a été dressé au salon World Efficiency Solutions, ce dispositif a surtout profité aux grandes entreprises. Elles représentent 62% des bénéficiaires, très loin devant les TPE/PME (25%) et les ETI (2%). Les soutiens prodigués ont le plus souvent consisté en avances remboursables (41% des cas), bien plus fréquemment que les prises de participations ou les interventions en fonds propres (22%), et que les subventions (37%) dont les bénéficiaires sont surtout PME.

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Bic fait de l'économie circulaire

La fabrication de l'emblématique " Bic cristal " nécessite peu de matières premières, pour une longue durée d'utilisation : ce stylo, dit-on, peut noircir plus de trois kilomètres de ligne. La société, qui a annoncé au début de l'année son recentrage sur ses activités historiques , a commencé à structurer sa démarche RSE il y a une quinzaine d'années, en publiant des baromètres environnementaux.

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Climat : 3 poids lourds du CAC 40 agissent

Sécheresse, hausse des températures, montée des eaux, fonte des glaces, etc. : les conséquences du changement climatique affectent la disponibilité des ressources, la sécurité des sites de production, la continuité de l'activité, la santé des employés et la valeur des actifs. Toutes les entreprises du CAC 40 en ont pris conscience et estiment que le changement climatique représente un risque commercial, selon un rapport d'Ecoact. Certains de ces grands groupes ont pris des mesures fortes, se montrant même exemplaires en matière de durabilité, souligne l'étude. Examen de trois initiatives d'entreprises engagées.

>> Lire l'article complet sur le site des Echos

Commande publique

Marchés à procédure adaptée : supplique aux acheteurs publics

En droit, les possibilités de contestation ouvertes aux candidats malheureux à un MAPA sont donc quasi inexistantes. Une situation jugée particulièrement choquante par Etienne Colson et Pierre-Olivier Guilmain, avocats au Barreau de Lille. "Pour ces marchés, l'acheteur est tenu d'informer les candidats malheureux de leur infortune. Rien, en revanche, ne lui fait obligation de respecter un quelconque délai avant d'y apposer sa signature. L'acheteur peut donc signer le marché le jour même, voire la veille, de sa notification aux candidats évincés du rejet de leur offre. L'effet est radical."

>> Lire l'article complet sur La Gazette des Communes


L'acheteur public, condamné à devenir ou redevenir attractif

Une relation, ô combien déséquilibrée, mettant l'acheteur sur une forme de piédestal du haut duquel il pourrait bientôt tomber ! En effet, si les entreprises, et notamment les PME, tendent à refaire de la commande publique, un levier de croissance, elles ne sont pas prêtes à le faire à n'importe quel prix et avec n'importe qui. Et ce tout simplement pour des raisons économiques. Les relations entre une entreprise et la commande publique engendrent de nombreux coûts au stade de la préparation, de la passation ou de l'exécution du contrat. Ces coûts directs et/ou indirects la conduisent donc naturellement à arbitrer de plus en plus sa réponse à telle ou telle entité voire à tel ou tel acheteur public. Ainsi, considérant que la performance du processus achat et de l'exécution des prestations est étroitement liée à l'implication de l'entreprise, il est essentiel pour l'acheteur public d'être de plus en plus attractif. Ainsi, bien plus que les volumes, l'entreprise a désormais un regard affuté sur les points suivants.

>> Lire l'article complet sur le site de Weka

Immobilier de la justice : la Cour des comptes veut bannir les PPP

Le gouvernement ferait bien de "renoncer à l'avenir" aux partenariats public-privé (PPP) pour la construction de prisons ou de palais de justice. Dans un rapport publié le 13 décembre et intitulé " la politique immobilière du ministère de la Justice: mettre fin à la fuite en avant ", la Cour des comptes pointe en effet le coût considérable de ces opérations. La Cour donne notamment l'exemple du nouveau palais de justice de Paris, qui accueillera ses premières audiences en avril, né d'un partenariat avec le groupe privé de BTP Bouygues pour un coût global de plus de 2,3 milliards d'euros. Le recours à ce PPP, "guidé par des considérations budgétaires de court terme, implique des loyers annuels d'un montant moyen de 86 millions d'euros (jusqu'en 2044) qui pèseront fortement sur le budget du ministère de la Justice", selon les magistrats de la rue Cambon.

>> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

L'achat des matériaux de construction, du fait de son caractère répétitif, doit-il faire l'objet d'une procédure de marché public ?

"L'achat par une commune de matériaux de construction pour un montant annuel de 15 000 € n'est donc pas soumis aux règles de publicité et de mise en concurrence préalables. Toutefois, les principes de liberté d'accès à la commande publique, d'égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures énoncés à l'article 1er de l'ordonnance n° 2015-899 du 23 juillet 2015 relative aux marchés publics sont applicables à ce type d'achats. Ainsi, l'article 30-I-8° du décret du 25 mars 2016 précise que, pour les marchés répondant à un besoin dont la valeur estimée est inférieure à 25 000 €, l'acheteur "veille à choisir une offre pertinente, à faire une bonne utilisation des deniers publics et à ne pas contracter systématiquement avec un même opérateur économique lorsqu'il existe une pluralité d'offres susceptibles de répondre au besoin".

>> Lire l'article complet sur le site du Sénat

Pour le maire de Grenoble, servir du 100% bio à la cantine, c'est "possible partout"

L'objectif de 50% de bio dans les cantines sera bientôt dans la loi. C'est en tout cas ce qu'a annoncé le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert dans Le Journal du Dimanche, le 3 décembre dernier. Pour la ville de Grenoble, cet objectif est déjà atteint. Le maire de la ville Éric Piolle l'a donc revu à la hausse : "À Grenoble on s'est fixé l'objectif de 100 % de bio ou local à la cantine, nous sommes déjà à 50%." Pour lui, "c'est possible partout". Pour cela, "il faut croiser les solutions. On sait qu'on mange trop de viande, ça consomme beaucoup d'eau et de terres, donc on est passés à un repas végétarien par semaine. C'est bon pour l'alimentation, pour la découverte du goût pour les enfants, pour nos maraîchers et pour le modèle économique." De plus, il explique qu'ils travaillent "avec les restaurants inter-entreprises privés pour structurer et réfléchir ensemble comment on peut développer les filières, comment on peut faire monter nos objectifs."

>> Lire l'article complet sur le site de FranceInfo

BTP : Signature d'une charte locale pour le développement économique et social des territoires

Jean-Jacques Barbaux, président de la Communauté de communes du Val Briard (Seine-et-Marne), et Bruno Seveste, président BTP Coulommiers, viennent de signer une charte locale pour le développement économique et social des territoires et des entreprises du BTP, en présence de Thierry Fromentin, président de la FFB Île-de-France Est. La charte locale est fondée sur un constat : l'investissement et la commande publique participent au dynamisme et à la préservation du territoire et de son tissu économique et social. Par ailleurs, les chantiers de construction ou de rénovation sont soumis à différentes formes de concurrences déloyales contraires à l'éthique et au droit, avec un impact très négatif sur la qualité des ouvrages et l'économie de la branche et des territoires. L'activité des entreprises de BTP se doit d'être performante économiquement et rentable socialement, notamment à destination de leurs clients publics.

>> Lire l'article complet sur le site du Moniteur


Fleet management

La Mairie de Paris opte pour l'essence et l'électrique

La Mairie de Paris a fixé une nouvelle échéance. 90 % de ses 1500 camionnettes devront rouler à l'électrique en 2021. "Nous devrons multiplier les infrastructures de recharge pour atteindre cet objectif", souligne Hervé Foucard. Cette mutation écologique est un profond changement. La Mairie de Paris possède une flotte de 2492 véhicules. Elle renouvelle 350 à 400 voitures chaque année. L'âge moyen de ses véhicules est de 7 à 9 ans. Le diesel représente 18 % de sa flotte, l'essence 62 %, le GPL, 8 %, l'hybride, 2,5 %, l'électrique, 9 % et le gaz naturel véhicule 0,5 %. Son parc comprend également six Renault Kangoo électriques équipés d'un prolongateur d'autonomie à hydrogène fabriqué par Symbio FCell. La Ville a d'ailleurs installé une station de ravitaillement en hydrogène à leur intention.

>> Lire l'article complet sur le site Le Figaro

Rééquilibrage essence-diesel : le décret est paru

Le gouvernement a confirmé dans un décret paru le 9 décembre au Journal Officiel le rééquilibrage progressif de la déductibilité de la TVA entre essence et diesel. Dès le 1er janvier 2018, la TVA seront donc déductible à hauteur de 20 % pour les VP essence. Elle sera également déductible pour la première fois pour les VU et VS essence (voir notre brève), là aussi à hauteur de 20 %. Pour ces derniers, l'abattement passera à 40 % à partir du 1er janvier 2019, puis à 60 % en 2020 et à 80 % en 2021, avant d'atteindre les 100 % au 1er janvier 2022, comme pour le diesel, l'E85, le GPL et le GNL.

>> Lire l'article complet sur le site de FlottesAutomobiles

Automobile : et si l'hydrogène était le le carburant du futur ?

Et de sept ! La France compte désormais sept stations de recharge destinées aux véhicules équipés de piles à combustible, fonctionnant à l'hydrogène. La ministre des Transports, Elisabeth Borne, a inauguré jeudi à Orly (Val-de-Marne) une nouvelle station, fruit d'un partenariat entre Air Liquide et la start-up Hype, qui exploite une flotte de taxis roulant grâce à cette énergie. La technologie de l'hydrogène - qui permet de produire de l'électricité en continu en transformant le gaz par électrolyse inversée - va-t-elle enfin trouver sa place dans l'automobile, à côté des technologies historiques (diesel et essence) ou plus innovantes (hybride, électrique ou gaz naturel) ?

>> Lire l'article complet sur le site du Parisien


Travel

Frais GDS d'Air France : 3 agences réagissent

Les patrons de Cap 5, Bourse des Vols et BCD Travel fulminent tous les trois contre la décision unilatérale et précipitée d'Air France d'instaurer des frais GDS. Avec, chacun, leurs griefs. "NDC représente un danger pour nous. La norme est portée par les compagnies aériennes les plus puissantes, qui ne veulent plus l'égalité d'inventaires entre les différents canaux de distribution. Le problème, c'est qu'à travers NDC, les contenus restent aujourd'hui incomplets. C'est du Xml formaté sur un portail qui n'intègre même pas les sièges de Transavia ou du partenaire Delta, ni le ticketing, les émissions, les modifications. La chaîne informatisée est rompue. Nous, OTAs, vivons sur des volumes, sans intervention humaine. En passant nécessairement par les GDS, avec des frais de 11 euros par segment au 1er avril 2018, nous risquons de ne plus être compétitifs. C'est l'une des raisons qui pourrait nous inciter à nous adosser à un grand groupe."

>> Lire l'article complet sur le site de L'Echo Touristique

RH/ Management / Carrière

Les entreprises face aux nouvelles exigences de la génération Y

Longtemps considérés comme une voie royale par les jeunes diplômés des grandes écoles, les grandes entreprises et les cabinets de conseil perdent de leur superbe. " Avant, l'entreprise était attractive par nature et les candidats venaient spontanément vers nous. Aujourd'hui, c'est l'inverse : en tant qu'entreprise, nous devons prouver dans quelle mesure l'étudiant a intérêt à nous rejoindre ", constate une responsable des ressources humaines dans un grand groupe de luxe français, sous couvert d'anonymat. Pas facile en effet, pour les recruteurs, de reconnaître ouvertement qu'ils éprouvent des difficultés à faire venir les talents. Et qu'ils doivent désormais changer leur image d'employeur dans un monde où les start-up séduisent de plus en plus avec des structures hiérarchiques plus courtes, plus jeunes, un cadre de travail attractif, une fusion entre le personnel et le professionnel, une notion importante de plaisir. La prise en compte de la personnalité des salariés est devenue fondamentale.

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Cette nuit en Asie : quand la Chine vous espionne sur LinkedIn

Tous les amis ne vous veulent pas du bien sur LinkedIn. Dans une initiative assez inhabituelle, les services de renseignement allemands ont révélé publiquement les pratiques d'espionnage de la Chine par le biais du réseau social professionnel californien. Au cours de neuf mois de recherche, l'agence BfV a constaté que plus de 10.000 citoyens allemands, notamment des fonctionnaires et des hommes politiques de haut niveau, avaient été contactés sur le site LinkedIn par de faux profils déguisés en chasseurs de têtes, consultants, groupes de réflexion ou universitaires. " Il s'agit d'une vaste tentative d'infiltration de certains parlementaires, de ministères et d'agences gouvernementales ", a déclaré le chef du BfV, Hans-Georg Maassen. Et encore, " il pourrait y avoir un grand nombre de personnes cibles et de faux profils qui n'ont pas encore été identifiés ", prévient l'agence allemande.

>> Lire l'article complet sur le site des Echos