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Revue de presse achats - semaine du 14 février

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Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a séléctionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture.

Les cours de l'aluminium s'envolent

L'offre mondiale est également limitée par la baisse de la production en Europe. Les fonderies européennes ont déjà diminué leur production de plusieurs centaines de milliers de tonnes en raison des coûts énergétiques élevés. Les tensions géopolitiques entre l'Ukraine et la Russie n'arrangent pas les choses. La Russie est l'un des plus grands producteurs d'aluminium au monde et la menace de sanctions occidentales contre Moscou en cas d'attaque contre l'Ukraine fait également monter les prix. Face à cette offre restreinte, la demande, elle, devrait rester vigoureuse cette année, le métal argenté est parmi les plus utilisés par diverses industries. Les prix devraient donc poursuivre leur progression. La banque d'affaires américaine Goldman Sachs estime même que la tonne d'aluminium va atteindre 4 000 dollars cette année. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

La guerre des prix se durcit dans les négociations commerciales

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Long frayed rope near to break. Isolated on white

Les agriculteurs s'impatientent, à trois semaines de la fin des négociations annuelles sur les prix. « Pour nous, c'est une question de vie ou de mort », martèle André Sergent, le président de la Chambre d'agriculture de Bretagne, après une nouvelle série d'actions devant les supermarchés bretons. Dans un contexte d'inflation sans précédent sur les prix des matières premières, la loi EGalim 2, annoncée par le gouvernement comme la solution pour protéger la rémunération des agriculteurs, peine à s'imposer à la table des négociations, malgré la promesse de la fédération du commerce et de la distribution d'une application intégrale de la loi. Les 250 enquêtes ouvertes par la DGCCRF semblent en attester, en dépit de rares accords. >> Lire l'article complet sur le site du Télegramme

Énergie : "les entreprises doivent agir, car les prix ne vont pas baisser"

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Obstacle, solution idea for business problem or blocker to success concept, mini

L'impact sur l'activité des entreprises n'est pas homogène. Dans un premier temps, les entreprises ayant mis en place des stratégies d'achat d'énergie à l'avance pourront se protéger de l'impact dans l'immédiat. Néanmoins, nous constatons une situation très problématique chez nos clients n'ayant pas anticipé de telles stratégies. Ils sont très inquiets, car le prix de l'énergie représentait en 2021 environ un tiers de leur facture ; or, l'explosion du prix fait qu'aujourd'hui il représente deux tiers de celle-ci. Les conséquences sont énormes, car leurs budgets se voient multipliés par deux. Dans un deuxième temps, même les entreprises ayant effectué des achats d'énergie à l'avance seront touchées. Ces contrats vont arriver à terme et ils seront renégociés à la hausse. Ils pourront lisser cette hausse et réfléchir à des stratégies pour y faire face à moyen terme, mais la hausse des prix de l'énergie est générale et elle est partie pour durer longtemps. Ceci est dû au fait que la hausse n'est pas conjoncturelle : elle est structurelle. >> Lire l'article complet sur le site diu Monde de l'Energie

Ukraine, le risque céréalier

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Yellow grain ready for harvest growing in a farm field

Les conséquences pourraient être "colossales" sur le marché des céréales et oléagineux, confie un expert agricole. Et pour cause, le blé de la mer Noire, c'est presque un tiers du commerce mondial. L'impact pourrait être d'autant plus grand que cette année, l'Ukraine s'est illustrée par une récolte de blé record de plus de 32 millions de tonnes. Un chiffre qui lui a permis de prendre des parts de marché à la Russie au Nigeria et au Pakistan. Mi-janvier, les marchés ont donc très vite réagi au vu des tensions géopolitiques grandissantes. "Un réflexe d'anticipation, et de peur", explique Sébastien Poncelet, directeur Développement chez Agritel, cabinet d'analyse des prix agricoles. Un réflexe qui s'est traduit sur les marchés à terme du blé, pour une livraison dans plusieurs mois donc - que ce soit sur le marché Euronext ou celui de Chicago - par des contrats qui ont pris 10% en une dizaine de jours. Mais la situation ne s'étant pas envenimée sur le terrain, les prix sont retombés. Les prix pour un départ immédiat des blés de la mer Noire – eux – n'ont pas sourcillé pour l'instant. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

La DGCCRF inflige des amendes de 1,8 million d'euros à Heineken et 976.000 euros à Altran

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Le géant néerlandais de la bière Heineken et le spécialiste français de l'ingénierie Altran ont été sanctionnés d'amendes de respectivement 1,8 million d'euros et 976.000 euros pour des retards dans le paiement de leurs fournisseurs, a annoncé mardi la DGCCRF sur son site internet. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

L'impact de la blockchain dans les achats

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Action - Reaction concept

L'utilisation de la block-chain et des smart contracts commence à se développer. En effet, plusieurs entreprises ont testé ce dispositif, en B&B et B2C. Tesla a lancé un pilote dans le cadre de ses opérations d'importation de pièces dans son usine de Shanghai. En exploitant la blockchain, le projet vise à rationaliser les processus de la chaîne d'approvisionnement pour ses expéditions de marchandises. En collaboration avec son partenaire, COSCO-Shipping, acteur majeur des armateurs de porte-conteneurs, Tesla a mis en oeuvre une application blockchain. Celle-ci permet l'accès à une base de données partagée qui a en outre contribué à raccourcir le temps de libération des cargaisons une fois celles-ci déchargées. Ces premiers tests du projet pilote mettent en évidence les avantages qu'apportera la Blockchain dans le secteur du fret. Grâce à ce retour d'expérience, COSCO renforce les réflexions autour de la Blockchain au sein du réseau "Global Shipping Business Network", dont il est membre. La solution expérimentée par Carrefour vise à renforcer la traçabilité du poulet d'Auvergne tout au long de son cycle de vie, de l'élevage jusqu'à la vente du produit au consommateur. Les acteurs de la chaine d'approvisionnement (céréaliers, éleveurs, abattoirs, etc.) renseignent dans la Blockchain les informations des produits qu'ils transforment ou distribuent : date de naissance, date de mise en élevage, lieu et date d'abatage, date de mise en rayon, etc. Aussi, le consommateur dispose ainsi d'un accès à la traçabilité du poulet à chaque étape de sa production, en flashant un QR Code. Au-delà de la visibilité fournie au consommateur, ce projet, basé sur un processus digitalisé, permet d'améliorer des processus tels que le rappel alimentaire, limitant ainsi les coûts. >> Lire ce sujet sur le site de Oveus

Semiconducteurs : 1150 milliards de composants écoulés en 2021 et un record en revenus

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Communication non verbale

Avec 1150 milliards de semiconducteurs livrés ("semiconductor units") sur l'année, qui constitue également un record, la production a atteint des niveaux inégalés pour répondre à une "forte demande persistante". Et ce n'est que le début, anticipent les observateurs de la WSTS (World Semiconductor Trade Statistics), alors que "les puces sont toujours plus embarquées dans les technologies essentielles actuelles et du futur", indique la SIA, et que la demande restera soutenue plus années durant. >> Lire ce sujet sur le site de Génération nouvelles technologies


RSE

Chaînes d'approvisionnement : les fournisseurs ne sont pas assez incités à agir pour le climat

C. Schuessler

contentieux

Ce sont bien ces émissions indirectes qui pèsent le plus lourd dans la facture carbone. Elles sont, en moyenne, 11,4 fois plus élevées que celles engendrées par l'activité directe de la société, selon le rapport "Engaging the Chain, driving speed and escale". Les experts soulignent en effet la grande difficulté des entreprises à mesurer le scope 3, c'est-à-dire celui des émissions indirectes liées à leurs sous-traitants. Mais cet "oubli" conduit à un décalage entre les promesses des sociétés et l'impact réel de leurs efforts. Une récente étude du NewClimate Institute a ainsi calculé que les baisses de 100% des émissions annoncées par des entreprises n'atteignent en réalité que 40%. (...) Par ailleurs, comme ces émissions ne sont pas prises en compte, les donneurs d'ordre sont peu nombreux (38%) à demander à leurs fournisseurs d'agir en faveur du climat. Ainsi, 44% seulement des fournisseurs ont des objectifs climatiques et 28% ont un plan de transition concret pour les atteindre. A l'arrivée, ils sont une extrême minorité (3%) à fixer des objectifs en ligne avec les accords de Paris validés par la Science Based Targets initiative (SBTi). "Au rythme actuel, il faudrait plus de dix ans avant que l'ensemble des fournisseurs aient défini des objectifs climatiques", déplore ainsi Michel Fredeau, directeur associé au BCG. (...) Ce dernier constate que les entreprises interrogent de plus en plus leurs fournisseurs avec une quantité de données demandées en hausse de 50% par rapport à 2020. Résultat, en 2021, plus de 70% des fournisseurs ont déclaré leurs émissions de scope 1 et 2, sans toutefois prendre en compte le scope 3, selon le rapport du BCG et de CDP. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Le Groupe Bel annonce vouloir renforcer son objectif de réduction carbone

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Green economy growth concept with the businessman

Bel travaille à réduire son empreinte carbone sur toute sa chaine de valeur, et travaille avec ses producteurs de lait pour développer des pratiques d'agricultures plus durables. Ces derniers mois, le Groupe a annoncé le lancement en 2022 de deux nouvelles initiatives : - Une nouvelle prime de 5€/1000L en France pour les 750 éleveurs partenaires de l'APBO, garantissant l'alimentation 100% européenne des vaches dès octobre 2022. - Un programme pilote portant sur l'alimentation des vaches et destiné à réduire les émissions de méthane des troupeaux, dès le printemps 2022 en France et en Slovaquie, mené en collaboration avec l'entreprise DSM. Le Groupe a fait le "choix de déployer un outil d'analyse de l'impact carbone à tous les niveaux de décision de l'entreprise" . Piloté à partir de données mensuelles, il permet une vision consolidée, précise et régulière de l'empreinte carbone du groupe dans tous ses marchés, marques, segments, et produits. Concrètement, le groupe a déjà mis en place des grilles d'évaluation des impacts environnementaux et sociétaux pour toutes les décisions stratégiques de l'entreprise, et travaille à définir des budgets " carbone" au même titre que des budgets financiers. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Comment Michelin va recycler le polystyrène avec un micro-ondes de 1.200 tonnes

Le polystyrène est connu sous sa forme expansée, quand il sert d'isolant. Mais non expansé, il sert aussi depuis des décennies à faire des emballages ménagers, notamment les pots de yaourt. Sur 100.000 tonnes mises sur le marché chaque année en France, moins de 5.000 tonnes sont recyclées, et seulement en produits à faible valeur ajoutée (cintres, pots de fleurs...). Impossible de refaire des emballages alimentaires. La loi prévoyant l'interdiction des emballages sans solution de recyclage en 2025, l'industrie agroalimentaire a formé le consortium PS25 pour aider financièrement toute solution qui émergerait. Une solution bien avancée est la technologie électrique de la start-up canadienne Pyrowave, retenue par Michelin. Au Québec, depuis un an, son réacteur pilote à micro-ondes avale les déchets de polystyrène, qu'il transforme en un liquide transparent : le styrène, monomère de base du polystyrène. Environ 60 % du styrène mondial sert à faire du polystyrène, mais le styrène entre aussi dans la composition du caoutchouc synthétique des pneus. D'où l'intérêt de Michelin, qui travaille au recyclage des pneus. « Autant optimiser la voie du recyclage par micro-ondes en collaborant avec PS25, qui est demandeur", explique Christophe Durand, directeur du développement des matériaux durables chez Michelin. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Le premier béton de bois à bilan carbone négatif fabriqué en Isère

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Photo of business people hands applauding at conference

En Isère, une entreprise a réussi à produire le premier "béton de bois". Un matériau innovant et écologique qui a tapé dans l'oeil du groupe Lafarge. Il est constitué d'un peu de ciment et de beaucoup de bois. 90% au total de plaquettes de bois broyées provenant de scieries iséroises. Baptisé "TimberRoc", ce nouveau matériau a été mis au point par une petite entreprise à Beaurepaire en Isère, après une quinzaine d'années de recherches. Sa composition lui permet d'être négatif en émission carbone : "On emprisonne le carbone accumulé par les arbres durant des décennies dans le béton de bois sur un temps long. Résultat, on a ce bilan carbone négatif", précise Laurent Noca, co-inventeur de la société CCB Greentech. Excellent isolant, ce matériau est aussi trois fois plus léger que le béton classique. >> Lire l'article complet sur le site de France Info

Climat : "Nous ne pouvons nous satisfaire d'une mobilisation en demi-teinte de l'Etat et des entreprises"

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Portrait of offended european man in suit holding hands crossed on chest, lookin

Tribune de Pascal Demurger, directeur général de l'assureur MAIF - "Il serait pertinent que la puissance publique cherche à prévenir plutôt que de devoir systématiquement réparer. L'Etat doit adopter une réglementation qui distingue les entreprises qui polluent de celles qui développent de réels efforts en la matière, celles qui délocalisent ou celles qui créent de l'emploi local, celles qui jouent des écarts de réglementation ou celles qui adoptent une stratégie fiscale responsable, etc. Pour y parvenir, il dispose de nombreux outils afin d'inciter sans contraindre, de la fiscalité à la commande publique en passant par les aides qu'il accorde. Aujourd'hui, l'impôt sur les sociétés, assis uniquement sur les bénéfices des entreprises, ne prend en compte que la richesse produite. Par conséquent, qu'une entreprise pollue ou qu'elle cherche au contraire à réduire ses externalités négatives sur son environnement, cela n'interfère en rien avec son traitement fiscal." >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site du Monde

Le charbon assoupli en France: "A force d'être plus vert que vert, on en arrive à être tout noir"

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Plus de charbon en France. Pour assurer l'approvisionnement électrique, très tendu cet hiver, le gouvernement a assoupli, ce dimanche, les limites d'utilisation de ses deux dernières centrales à charbon. De quoi permettre de produire plus d'électricité dans le cas où la situation énergétique se compliquerait, alors que plusieurs réacteurs nucléaires sont à l'arrêt pour des raisons de maintenance. "Dans notre logique de transition énergétique, on se dit qu'on va aller très vite vers le renouvelable. Mais il y a des fois où il n'y a pas de vent, souligne Philippe Chalmin, économiste et professeur à Paris Dauphine, spécialiste des matières premières, dans 'Apolline Matin' ce lundi sur RMC et RMC Story. Si vous n'avez pas de nucléaire, si vous n'avez plus de gaz, vous revenez à cette horrible charbon. A force d'être plus vert que vert, on en arrive à être tout noir." Car, en plus des centrales nucléaires à l'arrêt, la crainte d'un conflit militaire entre l'Ukraine et la Russie pèse sur la question énergétique. >> Lire l'article complet sur le site de BFM TV

Ces entreprises exemplaires en matière d'environnement

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L'Oréal, Firmenich mais aussi Danone, HP ou, moins évident de prime abord, Philip Morris... Un peu plus d'une dizaine de grands groupes sur près de 13.000 scrutés par le CDP (ex-Carbon Disclosure Project), la plus grande base de données récoltées sur la performance environnementale des entreprises, ont décroché cette année un « triple A » , la note maximale décernée par cette association à but non lucratif. L'organisme est mandaté par plus de 600 investisseurs aux manettes de plus de 110 milliards de dollars d'actifs afin de connaître en détail leur impact sur la planète et leurs efforts pour lutter contre le réchauffement climatique, gérer la ressource en eau et les forêts. A l'heure où les entreprises et les gouvernements sont soumis à une pression de plus en plus forte pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et arrêter le "greenwashing", le "triple A" est pour elles une référence. "La note est utilisée dans des produits financiers, dans des indices boursiers, explique Laurent Babikian, directeur monde des marchés de capitaux chez CDP. Si l'entreprise a une bonne performance environnementale, le taux d'intérêt de certains prêts dits durables pourra baisser et vice versa. Etre bien noté joue aussi sur la réputation". >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La CMA-CGM ne transportera plus de déchets plastiques sur ses navires

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Back view of a seaport inspector busy with in-checking

Tous les ans, environ 10 millions de tonnes de plastiques finissent en mer. "Si rien n'est fait, ce chiffre devrait tripler dans 20 ans pour atteindre 29 millions de tonnes chaque année, avec des conséquences irréversibles pour les écosystèmes marins, animaux et végétaux", explique la CMA-CGM. Chaque année, la CMA-CGM transportait l'équivalent de 500.000 tonnes de déchets plastiques, principalement issus des pays industrialisés de l'hémisphère nord en direction de l'Asie du sud-est. Au-delà du transport, et de la pollution qu'il engendre, c'est le stockage à l'air libre des déchets arrivés à destination ou encore l'absence d'infrastructures de recyclage ou de transformation des déchets plastiques qui échappent aux filières de recyclage et de valorisation. La CMA CGM affirme que son initiative "évitera que ces déchets soient exportés vers des lieux où le processus de tri, de recyclage ou de valorisation ne peut être garanti." >> Lire l'article complet sur le site de France Bleu

Commande publique

Réemploi – 6 grandes cuisines centrales créent le groupement de commandes "Tremplin"

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Group bridge concept and building connections as a business success by joining t

Les différentes initiatives et tests menés par le Siresco (93), le Sivu (33), le Syrec (92) pour passer aux contenants de cuisson et de réchauffe en inox ou en verre ont démontré, outre la difficulté de la mise en place de nouveaux processus de production et d'organisation, que les coûts et la disponibilité de ces contenants en nombre suffisant constituaient des écueils de taille. Le remplacement des barquettes à usage unique en polypropylène pour la cuisson traditionnelle, des poches en plastique pour les cuissons sous-vide et des barquettes en bio plastique coûte cher. Entre l'investissement, l'automatisation et le lavage, le surcoût pourrait représenter 20 % du coût initial d'un couvert. Pour favoriser la recherche et développement auprès des industriels (automatisation des tâches) et obtenir les meilleurs tarifs, le Siresco, le Sivu Bordeaux – Mérignac, le Syrec, les villes de Nantes (44), Rennes (35) et Toulouse (31) annoncent la création du groupement de commandes "Tremplin", placé sous la houlette de Nathalie Beugnot. Forts d'un périmètre d'1,87 million d'habitants et de 150 000 repas servis par jour, ses 6 membres plaident pour une collaboration inédite avec industriels et fournisseurs de solutions alternatives auxquels le groupement peut permettre d'optimiser leurs offres aux collectivités en fonction du volume de commande prévisionnel et de mieux amortir leurs propres investissements en R&D. >> Lire l'article complet sur le site de Restauration21

Nîmes : le directeur du CHU dans le collimateur d'une enquête du parquet national financier

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Enlarged eye of tax inspector looking through magnifying glass, inspecting offsh

L'enquête, ouverte en décembre 2021, porte sur des faits de corruption et favoritisme. Les investigations concernent "la passation de plusieurs marchés publics en lien avec le fonctionnement des hôpitaux d'Annecy et de Nîmes", a révélé ce lundi le PNF. Nicolas Best dirige le CHU de Nîmes depuis décembre 2018. Il dirigeait auparavant l'hôpital d'Annecy. >> Lire l'article complet sur le site de Midi Libre

Dracénie Provence Verdon Agglomération : une stratégie globale d'achats responsable

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engagement

Créée en décembre 2000, Dracénie Provence Verdon agglomération (100 000 habitants) rassemble 23 communes, dont Draguignan, sur un territoire situé entre le parc naturel régional du Verdon, le massif des Maures et celui de l'Estérel. Après avoir substitué au diesel une énergie de transition (gaz) pour le transport public et les véhicules de collecte des déchets, l'agglomération poursuit sa marche verte, comme l'explique Anthony Pathéron, directeur des affaires juridiques et de la commande publique durable : "La question climatique monte en puissance. Un de nos objectifs est d'intégrer le programme Territoire engagé transition écologique. Ce label délivré par l'ADEME constituera une première étape qui nous amènera à nous pencher sur la commande publique comme levier d'action face au changement climatique. Dans cette optique, nous travaillons avec un bureau d'études chargé d'établir un diagnostic de nos pratiques et de fixer des objectifs qui tendent vers plus de durabilité énergétique". Un contrat de performance énergétique en cours d'élaboration visera notamment à rénover la grande majorité du patrimoine (gymnases, locaux, stations d'épuration, stades, etc.) afin de réduire drastiquement ses émissions de gaz à effets de serre. >> Lire ce sujet sur le site de Intercommunalités de France

Certificats d'économie d'énergie et commande publique : mise à jour de la fiche technique

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Valorisant les efforts en matière d'économie énergétique, cette fiche, applicable à tous les acheteurs, répond aux questions essentielles que se posent les collectivités locales : Qu'est-ce qu'un CEE ? Qui sont les obligés ? Comment les obligés peuvent-ils répondre à leurs obligations et faire l'acquisition de CEE ? Qui sont les acteurs éligibles ? Quelles sont les prestations éligibles ? Comment les CEE sont délivrés aux obligés et aux éligibles ? Le dispositif est illustré par un exemple de mise en oeuvre des CEE dans la commande publique à travers les marchés publics de travaux. Dans cet exemple, plusieurs situations sont proposées, selon que l'acheteur éligible obtient lui-même les CEE dans le cadre d'un marché de travaux, ou bien que l'opérateur économique en bénéficie par la valorisation des CEE dans le cadre d'une procédure de passation d'un marché public de travaux lancée par un acheteur éligible par les candidats. Dans ce cas, l'acheteur éligible peut prévoir dans les documents de la consultation la possibilité de valoriser les CEE comme élément de la rémunération du titulaire ou permettre la valorisation des CEE via les variantes. Un troisième cas est le seul accessible à tous les acheteurs éligibles ou non : il s'agit de la cession du droit à demander la délivrance des CEE à un obligé. Les travaux réalisés "sans frais pour l'acheteur" grâce à la valorisation de CEE font l'objet d'un point de vigilance spécifique. Sont apportées, enfin, des précisions sur la prise en compte de la composante "CEE" dans les marchés d'achat d'électricité et de gaz relevant de commande publique. >> Consulter cette fiche sur le site de Economie.gouv

Supply chain

Faut-il surtaxer les livraisons express pour décarboner les transports de marchandises ?

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Home delivery service and working service mind, Woman customer hand receiving a

Mieux réglementer les livraisons de colis à domicile fait partie des recommandations figurant dans un rapport de France Stratégie, un organisme d'analyse de prospective rattaché à Matignon, et du Conseil général de l'environnement et du développement durable. Ces deux organismes se sont penchés sur les façons de décarboner les transports de personnes et de marchandises dans les années à venir. Le rapport formule plusieurs recommandations, et notamment celle de réglementer les tarifs de livraison pour pousser les consommateurs à plus de sobriété. "Le premier problème, celui qui a le plus gros impact, ce sont les livraisons express", explique Régine Brehier membre du Conseil générale du développement durable qui a co-dirigé ce rapport. "On en arrive même à ce qu'on appelle 'la livraison instantanée', qui est la livraison en moins de deux heures. C'est quelque chose qui pèse énormément car quand on demande un délai de livraison très court, les camionnettes circulent très peu remplies pour pouvoir respecter les délais." Le rapport recommande de sensibiliser le client en lui indiquant par exemple le bilan CO2 de ses colis, même s'il est encore très difficile à calculer avec précision. Il plaide aussi pour "éviter de faire de la livraison express l'option par défaut", "interdire la mention 'livraison gratuite'", "faire payer la livraison, et en particulier la livraison express, à un tarif incluant son impact environnemental" et mettre en place "une mesure de taxation des colis, assortie d'une surtaxe des livraisons instantanées". >> Lire l'article complet sur le site de France Inter

IT

Intelligence artificielle : un marché de 500 milliards $ à horizon 2023

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Machine learning systems technology , accurate facial recognition biometric tech

IDC prévoit que les investissements dans les technologies d'intelligence artificielle (IA) – logiciels, matériels et services – progressent de 19,6% pour atteindre 432,8 milliards de dollars cette année 2022. Quant au cap des 500 milliards de dollars, il serait franchi dès 2023, soit une année plus tôt que ne le prévoyait initialement la société d'études. "Les solutions d'intelligence artificielle sont actuellement axées sur les problèmatiques d'optimisation des processus métiers et d'augmentation des capacités humaines", déclare Ritu Jyoti, vice-présidente de recherche IA et automatisation chez IDC. Les "progrès de technologies linguistiques, vocales et visuelles, et de solutions d'intelligence artificielle multimodale" sont indéniables. Couplés à "l'ingéniosité humaine", elles consituent "un facteur de différenciation" qui permet aux entreprises "de se développer et de prospérer" >> Lire l'article complet sur le site de Silicon.

Travel management

Pourquoi les entreprises limiteront durablement les voyages d'affaires

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Elegant asian businessman checking email on mobile phone while walking with suit

Le retour à la normale n'est toujours pas en ligne de mire, et certains assurent qu'il n'arrivera jamais. Les commerciaux et les techniciens, indispensables au business, sont certes repartis sur les routes, mais pas toujours au même rythme. Les top managers (en particulier les p-dg) ne voyagent plus autant qu'avant. Déplacements domestiques, européens ou intercontinentaux... Plus la distance est importante, plus l'écart avec les niveaux d'avant-crise est important. L'an passé déjà, Bill Gates prédisait que 50% des voyages d'affaires allaient disparaître. Plus optimistes, certains affirment que seuls 25% des voyages long-courriers seraient perdus. Si le diagnostic est difficile, tout le monde reconnaît que le manque à gagner est colossal. Des pans entiers de l'économie sont touchés. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Les tendances incontournables du voyage d'affaires en 2022

Tribune de Adrien Cannes, Senior Consulting Manager chez American Express Global Business - "En 2022, les entreprises du voyage d'affaires devront faire face à un défi qui représente également une opportunité pour les acheteurs et fournisseurs : la réduction des émissions carbone. L'objectif est de stimuler l'investissement et l'innovation nécessaires pour ouvrir la voie à des déplacements plus respectueux de l'environnement. A ce jour, le dispositif le plus efficace est la compensation carbone, qui offre la possibilité d'atténuer jusqu'à 100 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) d'une entreprise en faisant appel à des ONG notoires comme la fondation Carbonfund.org, Carbon Footprint et Tasman Environmental Markets. Les programmes de voyage constituent également un des éléments clés pour y parvenir. En effet, une étude publiée en 2021 par le Business Travel Show Europe révèle que 62 % des sondés prévoient la mise en place de politiques voyages durables au sein de leur organisation. Les Travel Managers doivent travailler en étroite collaboration avec les parties prenantes, les partenaires et les prestataires de services afin d'identifier les meilleurs leviers existants pour aider à réduire les émissions liées aux voyages." >> Lire cette tribune sur le site de Déplacements Pros

Fleet management

Mégane e-Tech électrique : Renault se hisse au niveau de Tesla

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Process for success concept. Wooden cube block flip over word process to success

Dans le premier cas, ici avec Renault, le constructeur part d'une feuille blanche pour construire un véhicule adapté à l'électrique en terme de poids, de design ou encore d'intégration des outils d'aide à la conduite et de répartition des masses. D'autres constructeurs comme Tesla et Volkswagen avec sa série ID. ou encore les coréens Kia et Hyundai ont opté pour cette stratégie d'une plate-forme dédiée. Sans aucun la meilleure stratégie à l'heure actuelle. La majorité des autres constructeurs automobiles comme Stellantis notamment, ont opté pour une plate-forme multi-énergie qui permet d'avoir un investissement réduit en équipant un modèle thermique d'une motorisation électrique. C'est plus facile et moins cher mais cela n'a rien à voir en terme d'efficience électrique et d'autonomie. Le client final fait d'ailleurs assez vite la différence entre ces deux types de véhicule électrique. L'autonomie est très réduite et incertaine dans ce second cas. Le boom de l'hybride rechargeable en 2021 marque bien d'ailleurs ce manque d'engouement pour ces vrais-faux véhicules full électriques. >> Lire l'article complet sur le site de Auto Infos

Carrière / RH / Management et .... autres

Pourquoi les femmes font plus de burn-out que les hommes

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Alors que les entreprises continuent à gérer les défis liés à la pandémie et cherchent à construire un lieu de travail plus égalitaire pour l'avenir, elles doivent se concentrer sur deux priorités clés : faire progresser tous les aspects de la diversité et de l'inclusivité, et s'attaquer à l'épuisement professionnel croissant que connaissent tous les employés - mais particulièrement les femmes », indique le rapport "Les femmes sur le lieu de travail". Voici trois raisons qui l'expliquent. L'effet double journée - Des manageuses plus à l'écoute - Elles consacrent plus de temps à soutenir leurs collègues. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

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  • Revue de presse achats - semaine du 22 juin - RSE - Decision-achats.fr
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    Revue de presse achats - semaine du 22 juin

    Publié par la rédaction le - mis à jour à

    Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trop aux achats, à la supply, à la RSE, etc. Bonne lecture!


    Monsieur Cuisine Connect, la machine à coudre... pourquoi les produits Lidl cartonnent

    A chaque arrivage, au siège de Lidl à Rungis, les fruits et légumes passent à la torture dans une immense cuisine située au rez-de-chaussée. La banane est pesée, comparée à un nuancier vert-jaune, piquée au réfractomètre pour mesurer son taux de sucre. La clémentine, pressée, suçotée, crachée... La carotte passe l'examen du calibrage. Et en ce jour de mars, cela coince. "Venez voir, crie l'acheteur à ses collègues, tout en mesurant frénétiquement une, puis deux, puis toutes les carottes d'un paquet de 5 kilos. Elles ne sont pas du tout du bon calibre !" Classées en catégorie 1, les dites carottes sont censées faire 20 centimètres minimum. Bon nombre n'en faisaient pas 15. Retour à l'envoyeur. Difficile de l'imaginer quand on voit ses prix bas. Mais chez Lidl, on ne badine pas avec la qualité des produits, que ce soit pour la carotte, le camembert Chêne d'Argent, le maquereau Nixe ou le tuyau d'arrosage Parkside. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

    Textile: Le sourcing mondial chamboulé

    Interview de Mohamed Boubouh, président de l'Amith - Le secteur textile, un des plus gros pourvoyeurs d'emplois, pourrait profiter du changement de la cartographie du sourcing mondial. Comme l'explique Mohamed Boubouh, président de l'Amith, "les donneurs d'ordre étrangers affichent aujourd'hui une volonté claire de réduire leur dépendance au sourcing asiatique". Une opportunité pour les industriels marocains qui attendent des mesures pour pouvoir mieux conquérir le marché local. (...) Les industriels fabriquent pour le compte des marques les plus exigeantes et les plus en vue dans l'univers de la mode à l'international. La question qui se pose serait de savoir pourquoi ces industriels ne sont pas en mesure de faire de même sur le marché national. Premièrement, les prix de vente sur le marché local sont tirés vers le bas par cette concurrence déloyale évoquée précédemment, ce qui ne permet pas aux acteurs structurés de se positionner sur leur propre marché domestique. >> Lire l'article complet sur le site de l'Economiste

    Pourquoi investir dans les achats rend les organisations plus résilientes

    Comment les entreprises peuvent-elles développer la résilience dont elles auront besoin pour relever stratégiquement et efficacement ce nouveau défi et satisfaire ce qui sera parfois des intérêts et des valeurs concurrents? En enlevant le pouvoir au directeur financier et en l'investissant dans les achats. Oui, c'est ça, l'approvisionnement. Il y a des siècles, le mot avait un sens plus large, impliquant "le processus de réalisation de quelque chose", et nous proposons que les dirigeants recommencent à y penser aujourd'hui. Déployé de manière stratégique, l'approvisionnement peut aider les entreprises à créer des constellations de valeur entières - plutôt que de simples chaînes de valeur - dans lesquelles les parties prenantes de toutes sortes sont connectées les unes aux autres de manière globale et dynamique. (...) Dans le modèle de coproduction, ce qui importe n'est pas le pouvoir relatif mais plutôt les relations entre tous les acteurs, et les multiples rôles qu'ils jouent les uns par rapport aux autres. Concevez un système qui crée de la valeur en améliorant ces relations, et tout le monde y gagne. Une réflexion stratégique sur l'approvisionnement rend cela possible. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

    Avec la pandémie, l'industrie de la viande devient "aussi précaire que le pétrole"

    L'industrie est ancrée "dans un cycle d'autodestruction qui met des vies en danger", a jugé Jeremy Coller, fondateur de Fairr et directeur de Coller Capital. "Pour éviter de provoquer la prochaine pandémie, l'industrie de la viande doit s'attaquer au laxisme des normes de sécurité tant pour les aliments que pour les travailleurs, aux animaux confinés et à la surutilisation des antibiotiques. Cela perturbera une chaîne d'approvisionnement qui se fissurait déjà à cause de contraintes fondamentales concernant la terre, l'eau et les émissions", ajoute le spécialiste. Les forts taux de contamination au Covid-19 dans les abattoirs et les usines de transformations de viande partout à travers le monde ont mis un coup de projecteur sur les défaillances de ce modèle. En France, en Allemagne, en Australie, aux États-Unis... >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

    La relocalisation de la production de médicaments en cinq questions

    L'un des principaux facteurs de fuite des industries pharmaceutiques est sans conteste le coût de production. Pour les voir revenir, il faudrait donc pouvoir combler l'écart, en augmentant par exemple le prix de vente du médicament ou en adoptant des mesures fiscales avantageuses. Un autre paramètre particulièrement effrayant pour les industries est la réglementation. Les entreprises sont soumises à des contrôles et des normes extrêmement sévères, notamment en termes d'environnement. "Ce qui est un peu paradoxal c'est que les normes environnementales en vigueur en France sont drastiques mais que lorsqu'il s'agit d'importer, on est déjà beaucoup moins regardant", détaille Marie Coris. Ces règles d'importation sont ainsi fortement dissuasives pour les entreprises françaises ou européennes qui ne subissent pas les mêmes exigences que leurs concurrentes étrangères, et qui sont surtout loin d'être privilégiées par leurs gouvernements. "On pourrait s'inspirer de certaines stratégies de pays émergents comme la Chine ou l'Inde qui conditionnent l'accès au marché national à des entreprises qui produisent en partie sur place", illustre l'économiste. >> Lire l'article complet sur le site des Echos


    RSE

    Après la crise, certaines entreprises souhaitent accélérer leur transition écologique

    Des camions propulsés a` l'huile de frites - Faire rouler les camions de livraison des restaurants avec l'huile de friture usagée de ces mêmes restaurants. Voilà` la boucle vertueuse imaginée par McDonald's dans le cadre de son objectif "zéro diesel" d'ici 2025. "Cela fait désormais près de 15 ans que nous développons une filière de valorisation de nos huiles de friture usagées" rappelle Delphine Smagghe, Senior Vice-Présidente Achats, Qualité´, Développement Durable et Communication chez McDonald's France. Parallèlement à` cet effort, l'enseigne se penche également sur l'utilisation de ces huiles comme carburant de ses camions de livraison. A partir de 2015, la chaîne lance ainsi l'expérimentation du "B100", un biocarburant produit intégralement a` partir d'huiles alimentaires usagées. "Il permet de réduire les émissions de particules des véhicules de plus de 50 % et leurs émissions de gaz a` effet de serre de 90 %". Après plusieurs années de tests, l'obtention de garanties techniques et l'équipement de 70 véhicules (30 % de sa flotte), McDonald's France souhaite s'engager en 2020 vers l'utilisation de ce carburant pour l'ensemble de ses camions de livraison. >> Lire l'article complet sur le site de 20mn

    Achats solidaires : la SNCF montre la voie

    "Le sujet des achats solidaires est très important à la SNCF. Il y a cinq ans, notre entreprise s'est fixé un objectif : 30 millions d'euros d'achats annuels auprès du secteur du travail protégé et adapté à fin 2020. En 2019, le résultat était de 19 millions. Nous allons donc redonner un grand coup de collier. Et nous ferons tout ce qu'il faut pour atteindre le but", promet Frédérique Tabary, chef de pôle achats responsables à la direction des achats du groupe. La stratégie a été menée très en amont. "Pour chaque famille d'achat, nous avons déterminé un potentiel et mené un processus de qualification des fournisseurs sur certaines familles d'achats." Peu d'entreprises du STPA peuvent répondre aux gros volumes des consultations de l'opérateur ferroviaire. La SNCF privilégie donc l'approche par lots, marchés réservés et achats directs pour les achats dits "locaux". "Le secteur solidaire comprend aussi l'insertion professionnelle. Cette année, notre ambition est de parvenir à un million d'heures contractualisées grâce aux clauses sociales", poursuit-elle.>> Lire l'article complet sur le site de Santé achats.info

    Remplacer charbon et nucléaire par le solaire et le vent est désormais rentable

    Aujourd'hui, à peu près les deux tiers de l'électricité du monde sont encore produites à partir des combustibles fossiles, et près de 40 % à partir du charbon [2], de loin la source la plus polluante. Le charbon est aussi la référence économique parce que c'est la source la moins chère de production électrique. "Était", nous dit le rapport de l'Irena, qui compile les coûts de production des installations au fil des appels d'offres et des mises en service. Pour les projets mis en service en 2019, l'Irena a calculé un coût moyen de production de l'électricité solaire de 6,8 centimes de dollar le kWh (kilowatt-heure), de 5,3 centimes le kWh pour l'éolien terrestre (mais encore plus du double pour l'éolien en mer), et de 4,7 centimes pour l'hydraulique. Dans 56 % des cas étudiés, l'option renouvelable est plus avantageuse que ne l'aurait été la moins chère des options à base de combustibles fossiles. Pour l'éolien seul, les trois quarts des nouvelles installations sont plus compétitives que ne l'aurait été l'option au charbon la moins chère. >> Lire l'article complet sur le site de Reporterre

    Commande publique

    Masques de la mairie de Bastia : François Tatti saisit le parquet de Bastia pour une suspicion d'infraction au code des marchés publics

    François Tatti, septième sur la liste Unione per Bastia de Jean-Sébastien de Casalta, a saisi en tant que conseiller municipal le parquet de Bastia. Joint par téléphone, son avocat, maître Jean-André Albertini, nous a confirmé cette saisine, au titre de l'article 40, qui porte sur le marché public des masques distribués par la mairie de Bastia. Un marché public qui a souffert, selon lui, d'un manque de publicité et de mise en concurrence, et dont les éléments n'ont pas été communiqués aux conseillers municipaux lors du dernier conseil municipal. >> Lire l'article complet sur le site de Alta Frequenza

    Supply chain

    La "supply chain" se réinvente par la Tech

    Déjà pris en étau entre massification des flux et limitation de l'impact environnemental, entre exigences accrues du consommateur et réduction des coûts, ces derniers doivent maintenant développer des capacités d'adaptabilité et de réactivité extrêmes. Toutes les filières de la logistique sont concernées. Pour relever ces défis, les chargeurs comme les transporteurs ou les concepteurs d'immobilier spécialisé misent sur l'innovation et la digitalisation. L'e-commerce, qui a connu une envolée pendant le confinement, a bouleversé les comportements d'achat, avec des délais et des modes de livraison toujours plus contraignants. "La supply chain est un levier stratégique. Elle a besoin d'être à la pointe de la technologie pour mieux servir le consommateur", confirme Francisco Garcia, directeur supply chain L'Oréal Operations. Dans un environnement urbain engorgé, le travail sur le dernier kilomètre, qui représente jusqu'à 60 % du coût du transport, mobilise les logisticiens. L'utilisation des boutiques comme entrepôts, associée à l'option "ship from store" de logiciels d'unification des stocks, se développe. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

    Transport de marchandise - La crise sanitaire occasionne un surcoût de 3 à 32 € par jour et par véhicule

    Entre 3 et 32 € par jour et par véhicule, soit de 0,5 % à 6 % du prix de revient standard, en fonction du type d'activité : c'est ce que coûteraient les fournitures des équipements de protection individuels (EPI) pour les conducteurs et les opérations de nettoyage des cabines ainsi que la mise en oeuvre de ces mesures. Une étude détaillée du Comité national routier (CNR) revient sur les coûts directement associés aux mesures sanitaires, c'est-à-dire sur les EPI qui incluent l'ensemble des équipements différents réunis dans les kits distribués, et sur les coûts engendrés par le nettoyage de véhicules. Concernant les EPI, le coût d'un kit conducteur (gel, masques, lingettes, etc.) est compris entre 0,70 € et 3 € HT. Une partie de l'écart provient d'une différence de prix unitaire, d'une absence de rationalisation et d'une nature variable des différents équipements fournis dans les EPI. "Les achats sont réalisés dans l'urgence, en quantité souvent réduite et portant successivement sur des équipements différents de ceux déjà acquis, les écarts de prix proviennent d'une absence évidente d'optimisation", précise le CNR. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

    Pics d'activité en logistique : quelles solutions pour des flux décuplés ?

    Pour traiter plus de volume, de références ou de commandes sur des périodes bien précises, il n'y a pas de mystère : il faut s'appuyer sur plus de personnel. Cette année chez Cdiscount, l'e-commerçant va ainsi passer de 750 opérateurs sur ses tâches logistiques à un effectif total de 3 500 personnes au niveau national. Même son de cloche du côté d'XPO Logistics à l'approche de Noël au niveau européen : "Sur la période de fin d'année, nous allons recruter de 12 000 à 15 000 employés supplémentaires sur le continent. L'activité e-commerce d'un acteur du textile sur un de nos sites va nécessiter de passer de 200 à 1 200 personnes au moment du Black Friday. Au-delà même de la question des recrutements, il faut aussi être capable d'accueillir tout ce personnel, avec des vestiaires, des parkings et la mise en place de formations", raconte Bernard Wehbe. Premier défi donc : celui du recrutement. Pour les acteurs du e-commerce ayant de forts pics en fin d'année, il s'agit donc de s'y prendre très tôt, avec des premières actions dès le mois de février pour la fin d'année, dans un contexte de pénurie de main d'oeuvre qualifiée : "Nous donnons nos prévisionnels aux agences d'intérim très en amont afin qu'elles puissent sourcer pour nous des profils adaptés. Nous lissons ensuite ces prévisions au fil de l'année pour être au plus juste", détaille Loïc Bocquet. >> Lire l'article complet sur VoxLog

    La fonction supply chain, rouage essentiel de l'ère post-Covid ?

    L'étude lève notamment le voile sur trois chantiers de transformation stratégiques auxquels les professionnels de la chaîne logistique peuvent apporter leurs expertises : la révolution numérique, la responsabilité sociale et environnementale , et l'e-commerce. "Sur le volet de la transformation digitale, les supply chain managers peuvent servir de catalyseur dans la mesure où ils ont des compétences en systèmes d'information, en intelligence artificielle, en big data ou encore en usine 4.0", affirme Philippe Raynaud. Concernant l'intégration du développement durable dans le modèle économique de l'organisation, le supply chain manager peut apporter sa pierre à l'édifice avec ses outils - indicateurs, solutions de mesure... -, ses méthodologies et sa connaissance des acteurs, vertueux ou pas, depuis le fournisseur jusqu'au livreur en passant par les entrepôts. Ce lien privilégié avec le terrain peut aussi servir de facilitateur pour accélérer le e-commerce. Ces différents champs d'action nécessitent bien évidemment des compétences techniques auxquelles s'ajoutent des soft skills non négligeables comme le leadership ou la capacité à fédérer différents écosystèmes. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

    Prévenir le dérapage des frais de conteneurs

    En septembre 2018, la Fédération internationale des associations de transitaires et assimilés (FIATA) a publié un guide de bonnes pratiques sur les frais d'utilisation et de détention de conteneurs dans le cadre des contrats avec les compagnies maritimes. Pour prévenir le dérapage de ces frais, TLF Overseas en a extrait plusieurs recommandations dont "introduire un plafond maximum et raisonnable par rapport à la valeur du conteneur". Il est suggéré aussi de prévoir la possibilité de prolonger la franchise si le terminal n'est pas en mesure de libérer ou de recevoir le conteneur ; la prolongation devant être égale à la durée de cette incapacité. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistiques

    Mai 2020 : les prix du transport routier poursuivent leur baisse

    L'évolution des prix du transport routier en France au mois de mai montre que les facteurs de résilience que nous décrivions en avril, comme les contrats à long terme et l'absence des flottes étrangères, ont continué à produire leurs effets. Les prix ont poursuivi leur baisse, mais à un rythme moindre. On peut toutefois se demander combien de temps cette situation va perdurer. Déjà, les flottes étrangères font leur réapparition sur le territoire français. (...) En moyenne, toujours selon cette enquête de la FNTR, les transporteurs ont perdu en moyenne 40% de chiffre d'affaires en trois mois (mars, avril et mai). Ils sont aussi confrontés un un problème de sous-productivité, avec une baisse de roulage et une hausse des kilomètres à vide. Seule la réduction du gazole (voir tableau) vient tempérer une situation qui devient critique. La profession réclame le soutien de l'État et surfe sur la bonne image acquise grâce à leur action essentielle pendant le confinement pour mettre en avant ses revendications. >> Lire ce sujet sur le site de Upply

    Les États-Unis peuvent-ils mettre fin au contrôle de la Chine sur la chaîne d'approvisionnement mondiale?

    L'administration Trump a parlé de ramener les chaînes d'approvisionnement à la maison en provenance de Chine, et a même exprimé publiquement le besoin d'un groupe de pays amis en Asie qui pourraient aider à produire des produits essentiels. Le mois dernier, le président Donald Trump a même déclaré que les États-Unis "économiseraient 500 milliards de dollars" s'ils coupaient les liens avec la Chine. (... ) Il est plus probable que le virus accélérera un changement qui était déjà entraîné par les forces du marché, car la hausse des salaires et des coûts en Chine au cours de la dernière décennie a provoqué un exode de fabrication de moindre valeur, en grande partie vers l'Asie du Sud-Est. Et ce malgré le désir de certains membres de l'administration Trump de commencer à découpler les plus grandes économies du monde alors que les États-Unis et la Chine épargnent tout, du virus aux réseaux 5G en passant par Hong Kong. >> Lire l'article complet sur le site de Supply chain brain

    IT

    La signature électronique, placée au coeur de la transformation digitale des entreprises par le confinement

    Au cours des dernières semaines, la signature électronique a cependant connu une très forte démocratisation, en raison du confinement, dans des entreprises de toute taille, PME ou encore grands groupes comme Engie. Le travail à distance et la limitation de l'accueil des clients ont agi comme un révélateur pour les entrepreneurs et les responsables administratifs qui se sont heurtés à la difficulté de signer des documents physiques. Une situation problématique alors que les formalités administratives, à l'instar des demandes de prêts de trésorerie ou l'envoi de recommandés se sont maintenus dans l'intervalle. >> Lire l'article complet sur le site de Entreprendre

    Health Data Hub : le Conseil d'Etat confirme le choix de Microsoft Azure

    Selon le Monde qui s'est procuré le jugement, "le Conseil d'Etat a maintenu, vendredi 19 juin, l'arrêté élargissant en pleine crise sanitaire ses prérogatives pour mener des projets de recherche contre le Covid-19." L'action était menée par le Conseil national du logiciel libre et d'autres personnes physiques via une procédure de référé-liberté. Sa requête : suspendre l'arrêté du 21 avril, au nom du droit à la protection de la vie privée. La décision, citée par le quotidien, indique qu'"Il n'apparaît pas que l'arrêté (...) porte une atteinte grave et manifestement illégale au droit au respect de la vie privée et au droit à la protection des données personnelles". >> Lire l'article complet sur le site de Silicon

    RGPD : Un premier modèle de clauses contractuelles types pour la sous-traitance

    Tribune de Isabelle Cantaro, avocat associé au sein du cabinet Caprioli & Associé - "Bien que non obligatoires, ces clauses contractuelles types vont s'imposer puisqu'elles pourront être opposables à l'autorité de contrôle danoise notamment en cas de contrôle, sous réserve d'être utilisé telles quelles. Le cas échéant, il est possible d'y intégrer des dispositions complémentaires, plus protectrices des données personnelles... Les clauses types reprennent et précisent les mentions de l'article 28 du RGPD (déjà très détaillées ....), au fil de leurs 15 articles et 4 annexes (A/Descriptif du traitement ; B/Sous-traitants ultérieurs autorisés ; C/Instructions ; D/Dispositions relatives aux autres activités non couvertes par les clauses). Ainsi, à titre d'exemple sur l'obligation de sécurité, les clauses prévoient que le sous-traitant doit évaluer les risques inhérents au traitement indépendamment de l'analyse menée par le responsable du traitement. En outre, une clause de tiers bénéficiaire est à prévoir pour le responsable de traitement afin de lui permettre d'être en relation directe avec le(s) sous-traitant(s) ultérieur(s) en cas de défaillance du sous-traitant initial. >> Lire la tribune sur le site de l'Usine Digitale


    Environnement de travail

    Un bureau sur deux n'est pas occupé : les entreprises tentées de couper dans le budget immobilier

    "Face à l'augmentation des coûts immobiliers ces cinq dernières années (liée principalement à l'évolution des loyers en Île-de-France), la 'sous-occupation' des postes de travail est l'une des préoccupations des entreprises", indiquent ainsi Olivier Gerarduzzi et Bruno Amsellem, directeur et associé chez Deloitte, auteurs de la note d'analyse. Selon leurs chiffres, avant la crise, le taux d'occupation moyen des postes était compris entre 50 et 70% du temps, du fait des RTT, congés, déplacements, réunions... Et quand on sait qu'en Île-de-France, un poste de travail coûte entre 5.000 et 18.000 euros du m2 hors taxe à l'année, en fonction de sa localisation... la solution serait tentante. "À la recherche d'optimisation sur les charges d'exploitation et dans un contexte de crise économique, les impacts seront nombreux : gel des embauches, voire, pour certains secteurs, mise en place de PSE, déploiement généralisé du télétravail...", poursuivent les auteurs. "Nous pouvons raisonnablement pronostiquer que les entreprises vont, dans les trois prochaines années, procéder à la restitution plus ou moins massive de surfaces tertiaires qu'elles auront estimées comme excédentaires." >> Lire l'article complet sur le site de LCI


    Travel

    Orly rouvre vendredi : vols disponibles, protocole sanitaire... ce qu'il faut savoir

    Sur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP, ainsi que 150 distributeurs de gel. 137 plexiglas ont été disposés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement. Le port du masque est obligatoire. Pour s'adapter à un ciel encore très incertain la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2. À partir de vendredi, une trentaine de destinations sera desservie au départ du terminal 3 avec environ 70 décollages et atterrissages par jour, contre 600 en moyenne en temps normal. Depuis le sud de Paris, on pourra s'envoler vers l'Outre-mer (Antilles, La Réunion) et la Corse, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande ou la Croatie. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

    Tendance : des chambres d'hôtel reconverties en bureaux

    A sa réouverture le 1er juillet prochain, le 25Hours Paris Terminus Nord proposera en France un concept déjà proposé outre-Rhin par les hôtels de l'enseigne allemande, qui compte Accor parmi ses actionnaires. L'établissement situé juste en face de la gare parisienne offrira en effet la possibilité d'utiliser ses chambres en tant que bureaux. Wi-Fi, machine Nespresso, enceinte Bluetooth, vélo Schindelhauer à disposition, animaux de compagnie bienvenus : entre 9h et 18h, les cadres nomades peuvent profiter du confort d'une chambre double pour 50 euros la journée et 200 euros du lundi au vendredi. Cette idée de " home office " à l'hôtel est apparue en Allemagne début avril, au plus fort de la pandémie. En réponse à la chute brutale de la fréquentation, de nombreux établissements se sont mis à proposer une solution alternative pour télétravailler tranquillement, sans risque d'être dérangé par les bruits du voisinage ou de voir ses enfants débouler en pleine visioconférence. >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'affaires


    Fleet management

    "12 % des véhicules vendus par la centrale d'achat sont à faibles émissions"

    Engagée en faveur de la mobilité durable, l'UGAP a vendu en 2019 près de 2800 véhicules à faibles émissions de C02, à motorisations électriques ou hybrides rechargeables. Explications d'Olivier Rougetet, chef de département marketing produits véhicules au sein de la centrale d'achat public. "En tant que centrale d'achat public nationale, l'UGAP se positionne comme facilitateur entre des industriels à qui nous offrons des débouchés pour booster leurs ventes de nouvelles technologies environnementales et des clients publics soumis à diverses obligations règlementaires en matière de mobilité verte. Rappelons que l'UGAP est d'ailleurs au coeur de la stratégie de l'Etat français visant à maximiser l'achat de véhicules à faibles émissions. Et pour cause : notre établissement, en tant qu'acteur clé des politiques publiques, est chargé, depuis la circulaire du Premier Ministre de 2015, de mutualiser l'acquisition des véhicules composant le parc de l'Etat et ses opérateurs. De quoi faire de la centrale d'achat le relais des objectifs gouvernementaux dans le domaine de la transition énergétique". >> Lire l'interview sur le site de l'Ugap


    RH / Management

    Conséquence du télétravail : on peut dire non à ses collègues de façon automatisée

    La cadence s'accélère, les projets s'accumulent, les réunions Zoom s'enchaînent... au point que vous n'osez plus répondre "non" poliment à vos collègues qui vous sollicitent de toute part. Zapier, entreprise spécialiste de l'automatisation des tâches, a trouvé une solution : le raccourci clavier. Pour gagner en productivité (être poli nuit à l'efficacité, c'est bien connu), l'entreprise suggère sur son blog d'utiliser une application comme Alfred (mais ça aurait aussi pu être Breevy, Keyboard Maestro, atext...). Celle-ci permet de créer des raccourcis claviers personnalisés. Le principe est simple : à chaque fois que vous tapez le raccourci, l'appli se charge d'envoyer un "snippet", un petit texte que vous avez préalablement configuré. Et ce sur n'importe quel canal : mail, messageries ...

    Utiliser cette astuce permet, selon Zapier, de dire non plus facilement, et d'éviter d'être submergé par des projets qu'on ne peut pas gérer et risquer le burn-out. Zapier suggère de créer plusieurs raccourcis pour varier les manières de dire non selon l'interlocuteur et le contexte. Le raccourci "nopebooked" (nonoccupé) peut être utilisé lorsque l'un de vos collègues vous demande de l'aide par exemple. Le texte suivant lui sera alors envoyé : "Je serais ravi de t'aider, mais je suis occupé jusqu'au X. Je pourrai éventuellement me libérer le Y si tu as toujours besoin d'aide, mais je ne veux pas te ralentir. S'il te faut de l'aide tout de suite, tu peux contacter A" >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN


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