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Revue de presse achats - semaine du 22 novembre

Publié par La rédaction le - mis à jour à

Vous n'avez pas eu le temps de surfer ces derniers temps? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus récemment sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

La vague du "Made in France" poursuit sa progression

"Les levées de fonds atteignent des niveaux record. Les relocalisations sont en forte hausse. Les créations nettes d'usine sont positives et à un niveau qui n'avait pas été atteint depuis 2009. L'aide publique remédie pour un temps à la faiblesse des fonds propres de nos PME, et leur permet de moderniser leur outil de production", commente David Cousquer, créateur et gérant de Trendeo, dans la présentation de cette étude. "Les études de localisation des productions ne donnent plus la France perdante face à des pays à bas coûts", renchérit Magali Testard, senior partner du cabinet de conseil en stratégie Roland Berger à Paris. Tandis que David Parlongue, associé du BCG, se félicite de voir la France "passer d'une vision défensive, avant tout pour préserver les emplois, à une vision stratégique offensive, et ça change tout". Acceptons en l'augure. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'approvisionnement en électricité est tendu à l'arrivée de l'hiver

La filiale à 50% d'EDF rassure en ajoutant que "le risque de tension demeure relativement faible" jusqu'à la fin de l'année, sauf si les températures tombaient 4 à 6 degrés en-dessous de la normale. Une telle vague de froid est "peu probable" avant le 31 décembre étant donné les prévisions météo à 45 jours. Sur l'ensemble de l'hiver 2021-2022, RTE alerte sur les mois de janvier et février, en cas de froid intense. Car les effets de la crise sanitaire sur la production d'électricité nucléaire "ne sont pas encore résorbés". La disponibilité du parc nucléaire français "reste basse, à un niveau similaire à l'hiver dernier". >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Revue hebdo : l'or se stabilise, le cuivre hésite, l'arabica crève le plafond

Une recrudescence de la pandémie de Covid-19, qui a déjà poussé l'Autriche à annoncer un nouveau confinement, pèse en particulier sur le cuivre, composant industriel dont la demande varie avec la santé de l'industrie. Si d'autres pays adoptent des mesures similaires, l'économie mondiale pourrait en souffrir et la demande de métal rouge en pâtirait. Autre raison pour les investisseurs d'hésiter : le premier producteur mondial de cuivre, le Chili, va tenir dimanche le premier tour de son élection présidentielle. Le favori des sondages avec environ 25% des intentions de vote est Gabriel Boric, à la tête d'une coalition de gauche. >> Lire l'article complet sur le site de l'Antenne

Samsung a peut-être trouvé un moyen d'en finir avec la pénurie de composants, voici comment

Samsung aurait choisi de construire une usine de semi-conducteurs sur un terrain de 1 200 acres à Taylor, au Texas, aux États-Unis. Samsung aurait choisi le Texas, car l'état américain lui aurait offert des avantages fiscaux lucratifs, tel qu'une réduction des taxes foncières pendant les dix premières années d'exploitation. (...) Le géant sud-coréen pourrait fabriquer des puces avec une gravure de 3 nm sur ce nouveau site, si l'on en croit un précédent rapport de Bloomberg. En outre, elle est censée produire des puces pour les véhicules autonomes et les appareils mobiles. Samsung pourrait donc l'utiliser pour produire de futures puces Snapdragon de Qualcomm pour des smartphones Android, ou ses propres puces Exynos. >> Lire ce sujet sur le site de Phonadroid


Innovation

Métaux critiques et terres rares : ces deux startups lyonnaises recyclent (déjà) la matière pour les batteries électriques

C'est un des enjeux majeurs du plan France 2030, présentés il y a quelques jours par Emmanuel Macron : décarboner l'économie en développant la mobilité électrique mais aussi les panneaux solaires, les éoliennes ou encore de mini-réacteurs nucléaires. Sauf que ces technologies nécessitent des métaux stratégiques tels que le cobalt, le lithium, le manganèse, le nickel et/ou des terres rares. Or, sur le premier point comme sur le second, la France et l'Europe sont hautement dépendantes de pays miniers. En ce qui concerne les terres rares notamment, 98% de la consommation française sont importées, principalement depuis la Chine. Exactement le créneau sur lequel deux startups lyonnaises se sont positionnées : Carester et Mecaware. La première plutôt sur les terres rares, la seconde plus spécifiquement sur les métaux critiques. Les deux sont encore en phase de R&D mais viennent de valider des financements conséquents qui devraient les mener prochainement vers l'industrialisation. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

RSE

Estée Lauder Companies signe un partenariat pour des emballages durables

Alors que la COP 26 s'est terminée le 12 novembre, le groupe Estée Lauder entend bien intensifier ses objectifs environnementaux. La structure, dont le portefeuille compte les marques Estée Lauder, DKNY, La Mer ou encore Origins, s'est engagée à réduire de moitié la quantité de plastique de pétrole vierge dans ses emballages d'ici la fin de la décennie et d'utiliser de 75% à 100% de papier certifié FSC au sein de ses packaging dans les quatre années à venir. Pour illustrer cette stratégie, le groupe a d'ailleurs récemment annoncé un partenariat avec entre sa marque Clinique et Roctool tout en s'alliant au programme de durabilité de l'ISS. >> Lire l'article complet sur le site du Journal du luxe

Produire des biocarburants durables à partir de cultures de microalgues

All-Gas, projet international lancé en 2011, produit de l'algocarburant à partir d'algues cultivées dans les eaux des égouts. Ce type de carburant fait à partir de lipides extraits de microalgues s'appuie sur un modèle circulaire qui exploite les différentes étapes du traitement des eaux usées. Pour la production de ces biocarburants dits de "troisième génération" - la première étant l'électrique et la deuxième, un carburant fait de résidus forestiers - les eaux usées municipales sont filtrées et purifiées grâce au CO2 émis par des bassins de microalgues. Ces dernières sont en retour nourries par les nutriments présents dans les eaux usées. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Le premier béton de bois à bilan carbone négatif fabriqué en Isère

Il est constitué d'un peu de ciment et de beaucoup de bois. 90% au total de plaquettes de bois broyées provenant de scieries iséroises. Baptisé "TimberRoc", ce nouveau matériau a été mis au point par une petite entreprise à Beaurepaire en Isère, après une quinzaine d'années de recherches. Sa composition lui permet d'être négatif en émission carbone : "On emprisonne le carbone accumulé par les arbres durant des décennies dans le béton de bois sur un temps long. Résultat, on a ce bilan carbone négatif", précise Laurent Noca, co-inventeur de la société CCB Greentech. Excellent isolant, ce matériau est aussi trois fois plus léger que le béton classique. Une technologie qui permet la préfabrication en usine de murs porteurs et de dalles. >> Lire l'article complet sur le site de France TV


Commande publique

Chantier Eole : la Région Ile-de-France veut comprendre les causes du surcoût

Pour la justifier, la SNCF avait évoqué les deux crues de la Seine ainsi que les manifestations des Gilets jaunes, qui ont forcé l'opérateur à des arrêts de production, engendrant un retard dans les travaux. Ces derniers devaient se terminer en 2022 pour la portion jusqu'à la Défense et 2024 pour la portion jusqu'à Mantes-la-Jolie. Ils seront finalement livrés respectivement en 2023 et 2025, soit avec un an de retard. SNCF Réseau a également évoqué le contexte crise sanitaire. "Toutes les organisations ont dû faire face à ces situations depuis deux ans, pourtant elles n'explosent pas toutes leurs enveloppes budgétaires dans de telles proportions", a rétorqué Jean-Philippe Luce, conseiller régional UDI, lors de la séance du 17 novembre dernier. Plusieurs élus se sont également indignés des menaces de la SNCF d'abandonner le chantier en cas d'absence de financement supplémentaire par les collectivités. "La SNCF Réseau nous a dit "vous payez, sinon on arrête le chantier". C'est insupportable", a déclaré Stéphane Beaudet, vice-président de la Région, et président de l'association des maires d'Ile-de-France. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Coup de pouce aux contrats de performance énergétique

La mission du GCS n'est pas seulement de mutualiser les achats dans plusieurs segments (textile, alimentaire, médicaments, DM...). "C'est aussi celui d'accompagner les structures sur la montée en compétence, notamment dans le domaine de l'achat durable et de la prise en compte du coût complet. Je souhaite également développer la création de parcours de formations", complète Florian Vinclair. La diffusion des bonnes pratiques est également au menu, en animant des réseaux régionaux. Trois fonctionnent déjà, celui des juristes, des contrôleurs de gestion achat et des logisticiens. >> Lire l'article complet sur le site de Santé-Achats

Supply chain

La supply chain figure parmi les préoccupations des entreprises, d'après HSBC

Les entreprises françaises craignent des perturbations de leur chaîne d'approvisionnement : 79% prévoient une interruption en 2022, contre 23% des entreprises du reste du monde. Dans leur esprit, ces perturbations seraient liées à une accélération de la demande suite à la crise sanitaire, à une pénurie de conteneurs, mais aussi à une pénurie de main d'oeuvre. Ainsi, 62 % des entreprises françaises s'attendent à ce que le commerce international se complexifie durant les 12 prochains mois. Pour s'y préparer, elles prévoient d'investir davantage dans leurs chaînes d'approvisionnement. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Coûts du transport routier : le contexte inflationniste devrait se poursuivre en 2022

Comme chaque année, le Comité national routier (CNR) dresse un panorama des coûts du transport routier de marchandises en 2021 et livre ses prévisions pour 2022. L'an dernier, le secteur a été exposé à une inflation particulièrement marquée, notamment liée à la crise sanitaire. Pour autant, "la hausse du prix de revient enregistrée par le CNR atteint en moyenne + 4,8 %. Pour 2022, le facteur déterminant sera l'évolution du coût du personnel, dépendante d'une part des négociations paritaires sur la revalorisation des minima conventionnels (rémunération et indemnités de déplacement du personnel de conduite) et d'autre part de la tension sur le marché", résume l'étude. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique


IT

Everyday Robots : les robots du X Lab sortent des laboratoires pour effectuer des tâches du quotidien

Après avoir montré qu'il était possible pour les robots de s'améliorer par la pratique, les chercheurs du X Lab se sont fixés de nouveau objectifs. Les robots du X Lab sont aujourd'hui plus d'une centaine à effectuer de manière totalement autonome une série de "tâches utiles" dans les bureaux de Google. Par ailleurs, les robots ont chaque jour de nouvelles compétences. Ils sont aujourd'hui capables de tenir une raclette pour essuyer les tables. Ils peuvent saisir des tasses pour les ranger et également ouvrir les portes avec leurs pinces. >> Lire l'article complet sur le site du Siècle digital

Fleet management

Fiscalité auto. La TVS remplacée par deux taxes en 2022

En 2021, l'État a allégé sa méthode de calcul pour cette taxe qui additionnait jusqu'alors 2 composantes : une basée sur le taux d'émission de CO2 ou puissance fiscale (selon l'année de mise en circulation), une seconde établie sur le niveau d'émissions polluantes selon le type de carburant utilisé. Désormais, les sociétés se basent sur un barème linéaire (et non plus un système de tranche) où chaque gramme de CO2, de 21 à 269 g/km, est associé à un montant (voir lien ci-dessous), sur le modèle du malus écologique. Pour les émissions à partir de 270 g/km, le tarif est égal au produit entre les émissions et 29 € par gramme par kilomètre. >> Lire l'article complet sur le site de l'Argus

Pour les constructeurs, l'hydrogène ne sera pas le carburant miracle

L'hydrogène ne remplacera pas le diesel pour le XXIe siècle. C'était la seule conclusion certaine à tirer de la conférence dédiée à ce sujet au salon Solutrans, le 17 novembre à Lyon. Mais tout le monde s'y intéresse. "Elle fait partie de notre feuille de route", admet Jérôme Flassayer, directeur électromobilité et énergies alternatives chez Volvo Trucks. L'entreprise suédoise projette une première production de véhicules en 2025, pour une montée en puissance progressive jusqu'en 2030. >> Lire l'article complet sur le site de l'Antenne

Travel management

Trois aéroports français reçoivent les premiers labels aérobio

La décision d'attribution du label, comprenant trois niveaux, est pré-analysée par les équipes d'Aéro Biodiversité avant d'être décidée, de façon indépendante et éthique, par le Conseil Scientifique issu du MNHN. (...) Le label aérobio couvre quatre enjeux de biodiversité : Biodiversité - Investissement du personnel - Communication - Ancrage territorial. Les aéroports Tarbes-Lourdes Pyrénées et Perpignan Sud de France ont obtenu respectivement les labels niveau 1 et 3 pour leurs actions " remarquables de protection de la faune et de la flore ainsi que de la gestion raisonnée de leurs prairies (fauche, zéro phyto, etc.) " .(...) L'aéroport Paris-Orly a obtenu un label de niveau 3 pour sa stratégie remarquable de gestion des espaces verts, en particulier sa fauche nocturne, sa préservation des espèces dont certaines menacées, l'implication et la formation de son personnel en termes de gestion de l'environnement. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN Business


Carrière / RH / Management

Profil atypique: ce qu'il peut apporter à une entreprise

Ce sont des personnes très créatives, qui savent se montrer originales et innovantes. Si vous souhaitez que votre entreprise se démarque quant à sa campagne de communication, les profils atypiques sont les personnes idéales pour vous y aider. Elles auront des idées que personne n'a eues avant elles. Les profils atypiques sont aussi toujours très motivés. Comme ils n'ont pas suivi le même parcours que tout le monde, ils veulent prouver leur compétence et redoublent donc d'efforts pour se distinguer. La plupart d'entre eux considèrent les missions qui leur sont confiées comme des challenges qu'ils ont envie de relever. De plus, les profils atypiques sont des personnes très polyvalentes. Comme ils s'intéressent à tout et qu'ils retiennent facilement ce qui les intéresse, ils sont capables de réaliser parfaitement des missions très différentes. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

Soft skills : le défi d'être soi

Les recherches scientifiques soulignent ainsi qu'un leadership authentique génère de la confiance et encourage la communication ouverte. Elles montrent aussi qu'être aligné avec ses valeurs est essentiel dans l'atteinte du bien-être eudémonique (la dimension eudémonique du bien-être envisage le bien-être au travers de la réalisation de soi et de son plein poten­tiel, elle s'inspire de la concep­tion classique d'Aristote, le père de "l'eudemonia" : les individus les plus heureux sont ceux qui sont le plus en accord avec leur "daïmon", leur "vrai-soi"). Ainsi, les compétences clés du manager aujourd'hui doivent être techniques mais surtout de plus en plus interpersonnelles. Ces nouvelles aptitudes émergent en réponse à un bouleversement dans l'approche classique du management, comme par exemple une remise en cause de la "culture du chef" et du modèle pyramidal, ou encore la réhabilitation de la dimension émotionnelle du travail. Elles constituent aussi des compétences nécessaires dans un monde professionnel de plus en plus digitalisé et empreint de technologie, dans lequel les nouvelles formes de travail, telles le télétravail et l'économie de plateforme, modifient en profondeur la nature des liens sociaux en entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de HBR